Discussion:Daoulas (Finistère)

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Enseignement bilingue[modifier le code]

Les chiffres concernant l'enseignement bilingue ne sont pas explicites : en réalité, l'enseignement bilingue breton-français dispensé à Daoulas l'est dans une section maternelle multi-niveaux de l'école publique, dispositif intercommunal qui s'articule avec la section bilingue de l'école primaire publique de la commune de Loperhet. La grande majorité des enfants scolarisés en bilingue à Daoulas (et donc exclusivement en maternelle) résident dans les communes voisines. Il poursuivent leur scolarité en bilingue à Loperhet ou en monolingue (français) à Daoulas (ou leur commune de résidence). L'enseignement bilingue en cycle secondaire s'effectue en collège à Plougastel-Daoulas ou Landerneau. En bref, il est difficile de quantifier et qualifier les effectifs du bilingue de Daoulas sans se baser sur le critère de "commune de résidence". C'est probablement aussi le cas pour de nombreux autres sites d'enseignement public bilingue... (le paragraphe sur l'enseignement bilingue a beaucoup évolué depuis ce commentaire qui n'a plus lieu d'être - signé : l'auteur du commentaire)

Libération de Daoulas[modifier le code]

Je croyais avoir compris, à travers les récits des témoins (pas toujours d'accord sur les détails) récoltés par Christian MAGUET, que le commando n'a pas libéré Daoulas. Il est arrivé, a attaqué la kommandantur (il reste toujorus les traces de mitraille sur les murs, en cette année 2011), eut un blessé, puis a dû partir. La population, parmi laquelle certains avaient aidé le commando, a été rassemblée. Les hommes ont été séparés des femmes et des enfants durant une dizaine d'heures (la nuit) avec la crainte de fusillades arbitraires (cf. Oradour-sur-Glane). Plusieurs daoulasiens ont été tués durant ces quelques heures de combat (en particulier en attaquant le poste de contrôle à l'entrée du village sur la route principale). La population locale a finalement été libérée, en partie grâce au fait que les daoulasiens ont soigné les blessés, qu'il s'agisse de ceux du commando et de la résistance, comme des blessés allemands. Les allemands ont, plus tard, évacué la kommandantur pour rejoindre les troupes qui formèrent la poche de Brest. LWeber - Brest — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 80.14.7.187 (discuter), le 14 décembre 2011 à 15:55‎

Cliché de 1892[modifier le code]

Ce cliché parle d'un puits surmonté d'une cloche. Il s'agit sans doute de la légende d'origine de la photo. Celle-ci est erronée. L'église abbatiale a été rénovée en 1890 avec un profond remaniement (elle a diminué de taille et est devenue de style néo-roman, au lieu de son style gothique). Le clocher a disparu. Le porche principal a été démonté et reconstruit à l'entrée du cimetière (on le devine au dernier plan). Le clocher se trouvait sur ce porche. Sur le cliché, le porche n'a pas encore reçu de toit. Il en recevra un à 8 pans, sous lequel viendra s'installer la cloche (il devient ainsi un "porche-clocher", monument unique, classé MH depuis 2007). Cette cloche est donc ici de manière temporaire. De plus, il ne s'agit pas d'un puits. Le lieu sur lequel est implantée ce clocher temporaire est l'emplacement de l'ancien ossuaire, qui a aussi été démonté à l'occasion de ces travaux de 1890 (ses façades ornementées en pierre de kersanton ont été utilisées pour habiller la sacristie adjacente à l'église). LWeber - Brest