Discussion:Cuisine française

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons


Définir la cuisine française...[modifier le code]

Un peu de provocation... Déjà l'article francophone "cuisine française" est signalé comme une traduction totale ou partielle de l'anglais french cuisine. C'est impressionnant comme le monde défend la culture française que les français daubent superbement. Ceci dit, l'article me laisse largement sur ma faim. Certes, on ne peut pas tout unifier des spécificités régionales et la France a comme plusieurs terroirs avec une région qui intègre les apports germaniques l'Alsace, mais aussi une région proche de l'Italie comme la Provence-Alpes-Côte d'Azur avec ses huiles et surtout ses herbes proches d'un point fort de la cuisine italienne. Il y a d'autres régions avec leurs spécificités comme les magrets, terrines, pâtés, cassoulets du Sud-Ouest, etc. Je vois dans cet article une sorte de répertoire de plats. On parle des régions, on cite à chaque fois ce qu'on trouve dans les régions de France et la façon dont on vous a inventé un plat pour cela, on fait se succéder les produits de la pêche, le gibier, le porc, l'agneau, la volaille, le canard, etc. On série des époques: Moyen Âge, Ancien Régime, etc. Mais, il doit y avoir des moyens plus efficaces de définir la réputation de la gastronomie française dans le monde. L'article francophone "cuisine italienne" n'hésite pas à définir des plats qui rayonnent dans le monde, en célébrant maladroitement la pizza comme plat autochtone favori des américains, mais aussi n'hésite pas à définir une philosophie forcément la meilleure du monde de la manière de concevoir l'amour de la bonne table. On y fait même insolemment remarquer que les italiens ont sorti la France du Moyen Âge au moment de la Renaissance. Sur d'autres plans, et l'article francophone "cuisine française" n'échappe à cette règle, les gens ont l'idée qu'il suffit de bien manger dans un endroit et de bien faire la découverte d'un plat ou d'une variante de plat local pour avoir le droit de dire telle région a de la gastronomie, telle autre n'en a pas. Ce mécanisme est tellement ancré dans les têtes que les belges vont dire par exemple, et mais on parle toujours de la cuisine française, mais on mange bien chez nous. D'ailleurs, nos restaurants sont meilleurs que les restaurants français, etc. Or, déjà, il faut soulever un premier problème. Il faut différencier la cuisine française et l'état de la restauration française, en mesurant bien comment il est difficile aujourd'hui de goûter de la bonne cuisine française à un prix abordable dans les restaurants. Mais il y a un autre aspect que l'article "cuisine française" me semble superbement ignorer. La cuisine française n'est pas qu'une série de plats et régions de plats où on fait la synthèse des tendances. Il y a des idées sur la cuisine qui ont affiné toute une série de savoir-faire. Par exemple, je ne vois nulle part dans cet article de considérations sur la façon de découper la viande. Or, c'était les premiers renseignements que je cherchais en consultant cet article. Tous les peuples ne découpent pas la viande de la même façon, et les français auraient une approche unique du découpage de la viande qui auraient été reprise par les italiens, notamment pour les escalopes, bien que ces dernières soient plus nombreuses en Italie qu'en France. Il y a aussi à prendre en considération les théories sur la masse de la viande qu'on met dans la cuisson, etc. Bref, je cherchais des renseignements techniques, d'ailleurs à la croisée de la cuisine française et d'une grande cuisine internationale apparemment influencée par les écoles françaises. Un autre point important, la cuisine italienne est très forte sur certains plans, notamment l'utilisation d'une quinzaine d'herbes de la sauge au laurier en passant par le thym, etc., mais on peut se demander si l'exploration du goût ne demeure pas plus variée dans la cuisine française, et en même temps il y a un rebondissement important à prendre en considération en ce qui concerne les épices. En effet, fréquenter le monde, ce n'est pas que reprendre les plats du monde. Des épices ont été introduits en France qui ont eu un sort exceptionnel inimaginable dans leur pays d'origine. Il me semble que la sauce aux quatorze épices retour des Indes qu'on peut manger avec du turbot est un exemple de ce dynamisme de la cuisine française. Il y a un savoir-faire, une éducation et une sorte d'hérédité du goût qui permet de combiner des ingrédients du monde d'une sorte inattendue que le monde n'a pas développé ailleurs. Il s'agit aussi de se poser la question du potentiel d'évolution de la cuisine française. Est-ce une cuisine particulièrement apte à se marier avec les arts de la cuisine asiatique: japonaise, thaïlandaise, chinoise...? Enfin, il y a des oppositions de cuisine qui passent par-dessus les catégories nationales. Il y a les cuisine de terroirs plus grasses, plus paysannes, etc. Il y a une grande cuisine nationale née de pôles attractifs: les cours, Lyon, Paris. Il y a enfin la cuisine moderne très tape-à-l'oeil, hyper conceptuel et à tendance diététique. La cuisine française a un pied dans chacune de ces disciplines en fait. Ah oui, je crois que je n'ai pas vu mentionner les cuisses de grenouille. Ce n'est plus à la mode, mais c'est pourtant un article traduit de l'anglais. Qu'est-ce qui s'est passé?— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Columbo (discuter), le 27 août 2009 à 00:42 (CEST)[répondre]

Découpage en Grand ou plus précis en regroupement de régions[modifier le code]

Bonjour, tout le monde, je suis étonné que les spécialités régionales soient regroupées parmi le Grand-Ouest, le Grand-Est, le Grand-Sud-Ouest et le Grand-Sud-Est. Parmi ces définitions, le Languedoc-Roussillon apparaît dans les deux Grand-Sud, tandis que le Nord-Pas-de-Calais, la Picardie et l'Île-de-France n'apparaissent jamais dans ces définitions. Dans l'article sur la cuisine française, la Picardie et l'Île-de-France ne sont pas représentés, et le Nord-Pas-de-Calais arrive à la fin du Grand-Est, alors qu'il n'y fait même pas parti. Pensez-vous alors que l'on doit découper pour former plutôt des regroupements de régions qui tiennent la route ?? TiboF® 30 décembre 2010 à 11:00 (CET)[répondre]

Il est sûr que les lacunes que tu pointes sont dommageables. Que proposerais-tu comme type de regroupement régional ? Amlt ? --JPS68 (d) 31 décembre 2010 à 09:57 (CET)[répondre]
Plus ou moins comme l'article anglophone ; c'est-à-dire : « Paris et l'Île-de-France », « Champagne, Lorraine et Alsace », « Nord-Pas-de-Calais, Picardie, Normandie et Bretagne », « Vallée de la Loire et Centre », « Bourgogne et Franche-Comté », « Lyon et Rhône-Alpes », « Poitou-Charente et Limousin », « Bordeaux, Périgord, Gascogne et pays basque », « Toulouse, Quercy et Avignon », « Roussillon, Languedoc et Cévennes », « Provence et Côte-d'Azur » et enfin « Corse ». Après, moi je verrai bien une variante où on divise le NPdC et la Picardie de la Normandie et de la Bretagne qui n'ont presque rien à voir ensemble, si ce n'est le fait qu'ils soient sur la côte de la Manche. Ou sinon, à l'inverse, on regroupe d'autres entités. TiboF® 31 décembre 2010 à 10:58 (CET)[répondre]
Effectivement cela sera un peu plus logique. Mais fondamentalement, je le signalai sur la PDD d'Égoïté (d · c · b), il manque une ossature : l'analyse des raisons objectives de la prééminence de la cuisine française. Elle se trouve particulièrement bien expliquée par Jean-Robert Pitte, dans le gros chapitre Gastronomie française de son ouvrage Géographie culturelle Éd. Fayard, Paris, 2006, (ISBN 2213628785). Connais-tu ? Elle est tout simplement politique et liée à la cour de Versailles et sa centralisation des pouvoirs. Tu peux appliquer ça à l'Italie et à l'influence centralisatrice (donc gastronomique) de la Cour pontificale de Rome, etc. Bref, il reste du travail encyclopédique sur Cuisine française et sa division en quartiers ou en régions ne pourra prendre toute sa signification qu'à travers les travaux de Pitte qui n'est même pas référencé en Bibliographie. Cdlt JPS68 (d) 31 décembre 2010 à 11:15 (CET)[répondre]

la choucroute en cuisine jurasienne sans doute aussi? mais il y a une region a l est du grand est : l alsace! perso quitte a parler de choucroute... sans parler de tous les autres plats... mais techniquement une partie du massif jurassien se trouve en alsace, comme Belfort jusqu en 1871 et la moitiee du massif vosgien aussi... donc mettons la choucroute aussi dans les Vosges? mais finalement quand je fais une choucroute j y met aussi de la montbeliarde voir morteau ou ornanaise.... mais la choucroute es ist elsaessisch! kopf dommi noch a mal!!!! donc si vous parlez de CHOUCROUTE faudrait ineviteblement parler d ALSACE!
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 88.169.134.94 (discuter), le 9 avril 2016 à 11:17 (CEST)[répondre]


Corrections typographiques[modifier le code]

Je suis dedans. Un utilisateur a fait des ajouts qui concernent la reine Marie Leszczynska, femme de Louis XV. Pas de souci, les bouchées à la reine, c'est bien... mais je vérifie l'autre ajout, concernant le consommé à la reine (appelé aussi potage à la reine) et je vois que la recette a plutôt été créée pour Marguerite de Valois, première épouse d'Henri IV. Merci à la personne qui a fait les ajouts de vérifier.

Je me permets de changer des mots, quand le rapport avec le sujet est trop « téléphoné ». Exemple : Carême, qui travaille en pâtisserie et son talent « croissant ». J'ai remplacé par « s'épanouissant ». Sinon, pâtisserie, croissant...

Corrections finies. Question en passant : pourquoi ne parle-t-on pas de Vatel ?

--Aldine Esperluette (discuter) 11 octobre 2016 à 20:07 (CEST)[répondre]

Problème de géographie[modifier le code]

Bonjour, En lisant cette page, je viens de voir que vous partager le sud en 2 (la moitié Ouest dans le sud ouest et la moitié Est dans le sud est), le problème est que le Languedoc Roussillon ou maintenant l’Occitanie (l’ancienne province du Languedoc (rive droite de la Garonne et rive droite du Rhône) est une cuisine particulière issue du brassage méditerranéen et terrien. Comme sur une boussole dans les point cardinaux il y a le "Sud", je pense qu'il faudrait améliorer la page pour une meilleur caractérisation des cuisine régionales (notamment celle de l’ancien comté du Languedoc).

merci j attend vos réponses cordialement

Mr XXX— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2a01:cb1d:8741:ab00:4520:e541:6f43:b70f (discuter), le 19 octobre 2016 à 19:43 (CEST)[répondre]