Discussion:Constantine (Algérie)

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Les images sont surtout à connotation historique et n'ont rien à avoir avec aujourd'hui, tel est mon avis. Elles devraient être déplacées vers un autre article... Quelqu'un ne partage pas mon avis ? -Nicobn 28 octobre 2005 à 06:05 (CEST)[répondre]

Oui, j'ajoutes les images utilisés à la Wikipedia anglophone. Aaker 16 février 2007 à 17:59 (CET)[répondre]

Je ne suis pas trop sûr de l'endroit où ajouter des photos, ni de la procédure à suivre, mais je souhaite ajouter Les quelques photos suivantes, partagées en Creative Commons ShareAlike : [1], [2], [3], [4], [5], [6], [7], [8].

Si d'autres photos de constantine vous plaisent sur la gallery, il n'y a aucun probleme pour les partager sur la même license. Sami Dalouche (88.163.20.163 (d))

Personnalités[modifier le code]

Le général Juin ; Enrico Macias (Gaston Ghrenassia) naît le 11 décembre 1938 ; Cheikh Raymond, Raymond Leyris dans le civil, fut le grand chantre du maalouf, musique judéo-arabe ou arabo-andalouse, selon les sources. il est le beau-père d'Enrico Macias qui faisait partie de son orchestre. Sa mort donna le signe définitif du départ à la communauté juive de Constantine aprés plusieurs siècle de présence.

recherche[modifier le code]

douar chebba (ancien) dépend de Constantine ou d'ailleurs

Université de Constantine[modifier le code]

j'ai entendu dire que la forme des batiments de l'université construite par l'architect brésilien seraient particulieres et representeraient des outils d'architect justement , personne n'aurait une photo prise de haut, ou meme une image de google earth ? merci d'avance

Texte rajouté n'importe comment sur la page d'homonymie[modifier le code]

Je le copie-colle ici : il faudrait fusionner. Remi Mathis (d · c). À Paris, ce 25 août 2007 à 15:59 (CEST)[répondre]


Constantine قسنطينة (Quassantina en arabe) Capitale de l'est algerien, ville construite sur un roché par les Romains depuis plus de 2000 ans, ville des ponds suspendus, ville du malouf et des oulamas (les savants), elle se situe a 450 Km de l'est de la capitale Alger, 2éme ville algerienne par sa population.


Constantine, aujourd'hui peuplée de plus de 450 000 habitants (environ 120 000 en 1960), est située au nord-est de l'Algérie.

L'évolution géologique du site est assez extraordinaire. Au quaternaire le Rocher de Constantine n'était pas détaché de celui de Sidi M'Cid, et à cet endroit le eaux d'un torrent coulaient vers le Sud (à l'inverse du cours actuel). Plus tard le Rhumel, qui jusqu'alors passait à l'Ouest du Rocher, vint buter sur la falaise. Les eaux creusèrent une galerie souterraine, et trouvèrent une issue vers le Nord. Les voûtes s'écroulèrent donnant peu à peu l'aspect actuel. Le canyon fait 1800m de long, profond de 135m à son début, il atteint près de 200m à Sidi M'Cid.

La ville s'étend sur un plateau rocheux à 649 mètres d'altitude. Elle est coupée des régions qui l'entourent par des gorges profondes où coule l'oued Rhumel, de tous côtés sauf à l'ouest. Le choix de cet emplacement est avant tout une stratégie de défense. Aux alentours, la région dotée de terres fertiles a fait de Constantine le grenier du pays à l'époque romaine.

L'ouverture sur la mer est assurée par le port de Skida (ex Philippeville), qui avec Constantine et Annaba (ex Bône) forme un triangle industriel important.

La géographie de la ville elle-même est unique. Sa situation a nécessité la construction de nombreux ponts. A la fin du XIXe siècle, Guy de Maupassant décrit : "Huit ponts jadis traversaient ce précipice. Six de ces ponts sont en ruines aujourd'hui." Aujourd'hui les ponts les plus importants sont, le pont suspendu de Sidi M'Cid à 175 mètres au-dessus du Rhumel, le pont d'El-Kantara ouvrant la route vers le nord, et le pont de Sidi Rached long de 447 mètres et reposant sur 27 arches dont une de 70 mètres.

La vieille casbah conserve de très belles demeures du XVIe et XVIIe siècles. D'autres monuments comme la grande mosquée ou le palais du Bey témoignent de la richesse architecturale de Constantine. Le musée de Cirta rassemble le patrimoine culturel de la ville.

Aujourd'hui la ville se modernise : le building de 22 étages de l'Université, et l'élégante silhouette de l'Université des sciences islamiques "Émir Abd El Kader" en sont l'expression


Constantinois célèbres

Massinissa vers 240 avant J-C - vers 149 avant J-C Vers la fin du troisième siècle av. J.C., apparaît un descendant de la dynastie massylienne ( La Massylie est une partie de la Numidie : actuellement la partie orientale de l'Algérie et la partie occidentale de la Tunisie), Massinissa, fils de Gaia, roi dépossédé des terres de ses ancêtres par le Masaesyle Syphax. Pour récupérer cet héritage, Massinissa combat en Espagne en 206 av. J.C. aux côtés des Carthaginois, contre les Romains, alliés de Syphax. Sorti vainqueur du conflit (capture de Syphax en 203 et bataille de Zama, à la frontière algéro-tunisienne, où est défait le Carthaginois Hannibal), Massinissa emploiera son long règne (203 à 148 av. J.C., soit 56 ans) à agrandir son royaume avec la bienveillance de Rome, aux dépens de la Massésylie, à l'ouest, et de Carthage, à l'est. Massinissa un personnage vigoureux qui, sans pour autant dédaigner les fastes de son palais de Cirta (Constantine), chevauchait encore aux côtés de ses cavaliers, par tous les temps, alors qu'il était octogénaire, et laissa une nombreuse progéniture ; il organisa une puissante armée, mit en valeur le sol, noua des relations avec le monde méditerranéen (péninsule ibérique, Rome, Athènes, Rhodes, Délos) et frappa monnaie à la façon des monarques (hellénistiques). Il laisse encore le souvenir du premier souverain qui unifia la quasi-totalité de l'Afrique du Nord en un Etat organisé.


Fronton de Cirta (Marcus Cornelius Fronto) entre 90 et 100 - 175 Rhéteur latin originaire de Cirta

Orateur réputé, précepteur de l'empeur Marc-Aurèle, sa correspondance avec cet empereur sera retrouvée et publiée. Fut consul en 143 sous Antonin le Pieux. Il a une réputation prodigieuse, il a réalisé exactement l'idéal littéraire de ses comtemporains ; et si nous trouvons, nous, dans ses oeuvres, beaucoup d'affectation, de la prétention et du mauvais goût, nous ne devons pas oublier que ces défauts, pour les Romains du IIe siècle, étaient des qualités et que Fronton a été unanimement reconnu, de son vivant, comme un très grand artiste.


Une rue du quartier Saint-Jean porte son nom.

Constantin Ier Le Grand (Caius Flavius Valerius Aurelius Constantinus) entre 270 et 288 - 337 Re-fondateur de Constantine Après la victoire des Romains sur les Numides vers 203 av. J.-C., Cirta devint une importante colonie romaine. En 310, elle fut mise à sac par l'armée de l'empereur Maxence, qui régna sur la moitié occidentale de l'Empire romain de 306 à 312. C'est l'empereur Constantin le Grand qui rebâtit la ville en 313 après J.-C. et lui donna son nom.

Salah Bey 1725 (Izmir en Turquie) - 1792 Bey de Constantine de 1771 à 1792

Constantine fut choisie au XVIème siècle pour être la capitale du Beylik de l'Est. Le Bey était nommé par le pacha d'Alger qui pouvait le révoquer à volonté. Plus qu'aucun autre, Salah Bey fit vraiment figure de prince. S'appliquant à continuer l'œuvre entreprise par ses prédécesseurs, il voulut doter Constantine de constructions dignes d'un chef-lieu de grande province. En faisant raser de vieilles maisons, il réorganisa tout un quartier, celui de Sidi el-Kettani, voisin de la Kasbah. Il y fit édifier une belle mosquée à laquelle il adjoignit une medersa. Cette école étant devenue rapidement insuffisante, il en créa une seconde à Sidi Lakhdar. On lui doit aussi la reconstruction du pont d'El-Kantara dont le passage avait été interrompu pendant cinq siècles. La carrière de Salah Bey connut une fin dramatique ; Hassan Pacha, le Dey, le démit de ses fonctions, et, devant son refus d'obéir, le fit assassiner, en 1792.


Hadj Ahmed Bey Constantine vers 1784 - 1850


Hadj Ahmed, dernier bey de Constantine, est l'une des grandes figures de la résistance au colonialisme. Après avoir occupé plusieurs postes de responsabilité, il devint gouverneur du Beylik de l'Est en 1826, au temps du Dey Hussein. Le dernier bey de Constantine fit construire son palais de 1826 à 1835. Il eut recours à deux artistes réputés, El Hadj el-Djabri, originaire de la ville et le Kabyle El-Khettabi. Il livra et remporta sa première bataille à Constantine, en 1836, contre les troupes commandées par le maréchal Clauzel. Le 21 novembre 1836, un corps de 8700 hommes arrive devant Constantine. L'armée française entreprit deux assauts par le pont, mais ils se brisèrent devant la porte d'EI Kantara. Battant en retraite, poursuivis par les Algériens, les soldats français abandonnèrent sur le terrain armes, bagages et blessés. En 1837, l'état-major français décida de mener une seconde expédition, qui fut confiée au général comte de Damrémont. Celui-ci disposait de 20400 hommes, dont 16000 combattants, d'une artillerie importante commandée par le général Valée et d'un corps de génie. Le 5 octobre, cette armée arriva à Constantine. Le 13 octobre, après une forte résistance la ville finit par tomber entre les mains de l'ennemi, qui subit pourtant de lourdes pertes. Hadj Ahmed Bey n'abandonna pas pour autant la lutte, et, ayant réussi à sortir de la ville avec quelques cavaliers, il se rallia des tribus de la région et se dirigea vers les Aurès en passant par Biskra. Il incita les populations de la région à organiser la résistance pour paralyser les mouvements de l'envahisseur. Mais, de plus en plus isolé et affaibli, il se rendit en juin 1848. En résidence surveillée à Alger, il y mourut en 1850.


Général Louis Juchault de Lamoricière 5 février 1806 - 2 septembre 1865

Alphonse Laveran 18 juin 1845 - 1922 Médecin, chercheur - Prix Nobel Après avoir fait ses études classiques au collège Sainte Barbe, puis au lycée Louis le Grand, le jeune Laveran intègre en 1863 limicole du Service de Santé Militaire de Strasbourg. Nommé interne des hôpitaux en 1866, il soutient en 1868 sa thèse de doctorat et rejoint aussitôt l'École d'Application du Val-de-Grâce. En 1878, son temps d'agrégation terminé, Laveran est affecté aux hôpitaux de la division de Constantine, et successivement à ceux de Bône, Biskra et Constantine, où il est promu en 1879, médecin major de 1" classe. C'est à Constantine, en 1880, que Laveran décrit dans le sang d'un soldat paludéen, des corps sphériques pigmentés identifiés à l'hématozoaire du paludisme, découverte fondamentale aussitôt rapportée à l'Académie de Médecine et à l'Académie des Sciences. C'est en 1907, que l'institut royal Carolin de Stockholm décerne à Alphonse Laveran le prix Nobel de physiologie et de médecine pour l'ensemble de ses travaux sur le rôle des protozoaires comme agents infectieux. Il a laissé son nom au lycée des filles de Constantine.

Émile Morinaud 17 février 1865 à Philippeville - ? Député-Maire de Constantine, Ministre Il devient Maire de Constantine le 27 janvier 1901. Il est ensuite élu Député et nommé Ministre. Pendant ses mandats de Maire qui durèrent 34 ans, il transforma la ville. On lui doit entre autre l'arasement du Coudiat-Aty, le pont de Sidi Rached, le pont suspendu de Sidi M'Cid, les passerelles Perrégaux et Lamy, les ascenseurs Sidi M'Cid et Perrégaux, le boulevard de l'Abîme, le Monument aux Morts, la Poste, le Casino, le Musée, le Palais de Justice, la refonte complète de l'Hôpital, de nombreuses Habitations à Bon Marché, etc, etc ...

Abdelhamid Ben Badis 1889 - 1940 Né en 1889 à Constantine, Abdelhamid Ben Badis fait ses études à la Zitouna de Tunis. Prédicateur et formateur à la mosquée "Djamaâ Lakhdar" qu'il ouvre en 1911, il se rend en pèlerinage en 1914 à la Mecque. Il participe activement au mouvement de l'Islah musulman et publie dès 1925 Al Mountaqid, journal critique dans lequel il amorce un travail profond de prise de conscience nationale. Après l'interdiction de cet organe, il lance la même année "Achihab" (le météore) puis "El-Bassaïr" (visions d'avenir) où il contribue à faire renforcer dans les plus larges masses les concepts du nationalisme, de l'arabisme et de la fidélité a l'Islam, les trois piliers de la personnalité algérienne. Fondateur de l'Association des Oulémas d’Algérie, il participe au Congrès musulman d'Alger en juin 1936 et déploie une activité constamment entravée par l'administration coloniale. Il meurt en 1940, laissant derrière lui une œuvre politique et culturelle qui a nourri l'esprit de plusieurs générations d’Algériens de son fameux triptyque : "l’Algérie est notre patrie, l'Islam est notre religion, l'Arabe, est notre langue." Promoteur du savoir, il est le 16 avril de chaque année, honoré au cours de "Youm-El-Ilm" (Journée de la science.)


Cheikh Raymond 1912 - 22 juin 1961

Marcelle Devaud 7 janvier 1908 à Constantine

Après des études au lycée de Constantine, puis à la faculté de lettres de Grenoble, Marcelle Gougenheim épouse Stanislas Devaud, professeur agrégé de philosophie, élu député de Constantine en 1936. En 1940, le couple regagne la France, s’installe à Clermont-Ferrand, puis à Paris en 1943. Engagé dans la Résistance, il contribue, avec l’aide du Secours National, à soustraire aux recherches policières des évadés, des résistants, des israélites ou des réfractaires au STO. Sénatrice dès 1946 puis députée (de 1958 à 1962), maire de Colombes (1959-1965), membre de Conseil Economique et Social (1962-1979), représentante de la France à la commission de la femme aux Nations-Unies (1975-1983),

René Bianco 21 juin 1908 à Constantine Chanteur d'Opéra ; Baryton Il fait des études de chant avec madame Cholin. Il a débuté sa carrière de baryton au théâtre de Constantine qu'il dirigera plus tard pendant un an. Sur le continent africain il chante à Alger et à Oran ainsi qu'à Tunis. En 1948, il rentre à l'Opéra Comique à l'Opéra de Paris grâce à deux représentations auditions : les contes d'Hoffmann de Offenbach et Lohengrin de Wagner. Dès lors, il interprète les plus beaux rôles de baryton des opéras de Puccini, Verdi, Wagner, Charpentier, Bizet, Gounod, Rameau, Massenet... (plus de 80 oeuvres à son répertoire). Il a créé également, plusieurs oeuvres contemporaines. Après deux ans d'enseignement au conservatoire de Québec, il continue sa carrière de chanteur et de professeur de chant en France et en Europe jusqu'à ces dernières années. Il vit maintenant sa retraite dans sa maison familiale près de Lyon.

Jean Michel Atlan Né a Constantine (1913-1960) Peintre français L'un des précusseurs à Paris, vers 1944, des courants informels et gestuels, épris d'ésotérisme et de primitivisme. Il parvient vers 1953 vers des formes semi-abstraites puissament scandées de cercles noirs qui exaltent la couleur.

Maâmar Benzeggouta Né en 1924 à Constantine Chercheur Cet instituteur en retraite a publié en 1999 le premier tome d'une série de livres sur les trente siècles d'histoire de Constantine : "Cirta-Constantine de Massinissa à Ibn Badis".

Sa devise est : " Quand l'Historien rafraîchit les mémoires, quand il réveille les consciences, quand il apporte une certaine image du Passé, il fait l'Histoire. "


Malek Haddad 5 juillet 1927 - 2 juin 1978 Écrivain

Kateb Yacine 1929 - 1989 Écrivain

Cheikh El-Hadj-Mohamed Tahar El-Fergani 9 mai 1928

Simone Tamar ? - 1990 Chanteuse

Enrico Macias 11 décembre 1938

Taoufik Bestandji Musicien et professeur de Malouf

Najia Abeer Constantine, 16 septembre 1948 - Alger, 21 octobre 2005 Auteure littéraire et artistique Ancienne professeur d'anglais à Alger, elle a publié en 2003 son premier roman sur Constantine la ville de son enfance.

Auteure de : Constantine et les moineaux de la murette (2003) L'albatros (2004) [disponible sur Fnac.com] Bab El Kantara (2005)

"Lettre à Constantine", un très beau texte de mon amie Najia.

Paul Amar 11 janvier 1950 Journaliste et présentateur de télévision, romancier. Correspondant permanent pour France-Inter en Asie du Sud-Est puis aux Etats-Unis, avant de devenir éditorialiste puis chef du service politique à Antenne 2. Il a présenté le journal de 20 heures.

Auteur de : Scènes de la vie de province (2001) Œeil de verre (1994)

Hervé HANNOUN Né le 3 août 1950 à Constantine Inspecteur général des finances

Diplômé de l´Institut d´études politiques de Paris.

Elève à l´Ecole nationale d´administration (Ena) (promotion Léon Blum, 1973-75), à l´Inspection générale des finances (1975-79), Inspecteur des finances, Chargé de mission à la direction du Budget (1979-81), Chargé de mission puis Conseiller technique au cabinet du premier ministre (1981-84), Conseiller technique au secrétariat général de la présidence de la République puis Chargé de mission auprès du président de la république (1984-88), Sous-directeur au ministère de l´Economie, des Finances et du Budget, Directeur de cabinet (1989-92) de Pierre Bérégovoy (ministre d´Etat, ministre de l´Economie, des Finances et du Budget puis Premier Ministre), Second sous-gouverneur (1992-99), Premier sous-gouverneur (depuis 2000) de la Banque de France, Inspecteur général des finances, Président du comité des relations internationales du système européen des banques centrales, Membre du conseil de la politique monétaire, du conseil général de la Banque de France et du conseil d'administration de la Banque des règlements internationaux.

Benjamin Stora 2 décembre 1950 Historien, écrivain

Smaïn Fairouze 3 janvier 1958 à Constantine Acteur, Réalisateur, Producteur, Scénariste A sa naissance Smaïn a été abandonné et élevé dans un dispensaire pendant 2 ans. 1960, il est rapatrié en France par une femme juive de Constantine, et il est adopté par un couple d'origine algérienne.1971, son père adoptif meurt, Smaïn (14 ans) doit retourner à la DDASS. Dans les années 80, Smaïn débute dans les petits cabarets , puis est remarqué par Philippe Bouvard qui lui offre une place de choix dans son "Petit théâtre de Bouvard".

Extrait du journal Horizons du 30 décembre 2000 "Le célèbre comique français d’origine algérienne Smaïn a exprimé mercredi son immense joie de se retrouver en Algérie. Lors d’une conférence de presse animée mercredi à Alger, Smaïn a déclaré être très touché par l’accueil chaleureux que le public lui a réservé à Constantine, sa ville natale qu’il a quittée depuis 1960 tout en affirmant qu’il se sentait renaître."

Maaskri Moussa 15 novembre 1962 Comédien " Je suis né le 15 Novembre 1962 à Châteaudun du Rhumel. Ensuite nous sommes partis vivre avec ma mère à Constantine, au Bardo, jusqu'à l'âge de six ans. J'ai des souvenirs de glaces que l'on prenait à la Brèche et d'un vendeur de bakhlaouas dans la rue des arcades. Ensuite nous sommes venus en France (1969). A Marseille. J'ai rencontré le théâtre dans des circonstances assez longues à raconter. Je suis parti vivre en Arles où j'ai fait du théâtre occitan et provençal. Ainsi devenu jeune intermittent du spectacle. J'ai écrit un texte "Mina Nouvelles histoires Marseillaises" en collaboration avec M.H Bonnafé. M.Maréchal l'a vu et m'a engagé au Théâtre de la criée."

Malek Bensmaïl 1966 à Constantine Cinéaste Né en 1966 à Constantine, il réalise plusieurs essais en film super 8. Il participe régulièrement aux festivals de cinéma amateur et obtient un prix national. En 1988, il quitte Constantine pour Paris, afin d'y poursuivre des études de cinéma. Diplômé de l'Ecole Supérieur d'Etudes Cinématographiques, il effectue un stage dans les studios de Lenfilm à Saint-Petersbourg (studios Lenfilm). Après quelques stages et postes d'assistanats sur des fictions TV, il crée avec trois amis de sa promo une structure de production : "Télétranger". Cette structure produira pendant trois années des magazines et des documentaires notamment pour France 3 et Planète (de1990 à1993). Enseigne et encadre également des ateliers de formations. Malek Bensmaïl développe essentiellement des projets autour de la relation " Orient-Occident ", des rapports " Nord-Sud " et de la confrontation " Modernité-Tradition ".

Hassiba Boulmerka 10 juillet 1968 à Constantine Championne d'atlhétisme (1500 m) Championne d'Afrique : 800 m en 2'02"33 ; 1500 m en 4'08"33 Championne Olympique 1500 m en 1992 à Barcelone Championne du monde 1500 m en 1991 à Tokyo et en 1995 à Göteborg

Mohamed Lamine Bendjama Né à Constantine Artiste - Peintre - Infographiste (Vit et travaille à Paris) Études: 1982-86 École Nationale des Beaux-Arts Constantine, puis Alger 1994 Diplôme ENSAD spécialisation cinéma, animation, vidéo. 1995 Atelier d'Image Informatique. Expositions : 1985-1993 peintures, gravures, sérigraphies. 1984 : Théâtre de Constantine. 1985,1989,1990 : Galerie Issyakheim à Constantine. Filmographie: La goutte d'or (1992), Beur (1993), Milimo (1994), Life is life (1994), La danseuse et le perroquet (1995)

Ali Saïdi-Sief Né le 15 mars 1978 à Constantine Champion d'athlétisme

Spécialité: 5000m - 1500m Vice-champion Olympique et Médaille d'argent au Jeux Olympiques de Sidney (2000) sur 5000m.

Sandra Laoura Née le 21 juillet 1980 à Constantine Championne de Ski acrobatique (équipe de France)

Médaille de bronze en ski de bosses aux Jeux Olympiques de Turin (2006). Championne de France (2005).

Raisons de la demande de vérification[modifier le code]

Il manque des références, il y a plusieurs informations qui manquent pour une ville aussi importante. 174.89.210.27 (d) 14 mars 2010 à 06:17 (CET)[répondre]

pont sidi rached[modifier le code]

--41.97.135.130 (d) 12 juillet 2011 à 16:36 (CEST)le pont de sidi rached est le plus long pont en pierre au monde[répondre]

Le dernier conseil municipal de Constantine avant l'indépendance[modifier le code]

Bonjour, j'ai enlevé cette partie de l’article[9], il n'y a pas un intérêt encyclopédique dans cette partie, chaque ville a eu son lot de conseil municipal.--Waran(d) 9 septembre 2012 à 16:28 (CEST)[répondre]

J'ai supprimé également cette partie[10], ce passage laisse penser que la ville avait un statut spéciale, hors c'est un statut qui concerne l'ensemble du pays à cette époque, et donc le sujet est déjà traité dans Algérie française, pour la reste la section "Démographie" ne concerne que la période coloniale, il sera plus intéressent et encyclopédique de développer l'évolution de la population de la ville dans cette période avec tous ses composantes et non se focaliser que sur certaines communautés. Cdlt.--Waran(d) 11 septembre 2012 à 22:12 (CEST)[répondre]

Fusion abandonnée entre Constantine (Algérie) et Cirta[modifier le code]

Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner
Bonjour, je suggère que soient fusionnées les pages Cirta et Constantine, la première n'étant que le récapitulatif de l'histoire de la seconde avant qu'elle ne prenne son nom actuel. Par contre, il me semble important que l'histoire antique de Cirta soit réécrite à partir de sources académiques récentes dont la plus complète me semble être la thèse de M. Bouchareb "Cirta ou le substratum urbain de Constantine". Cordialement,--Tdahweb (d) 31 mai 2013 à 15:37 (CEST)[répondre]

  1.  Neutre Pour, l'article Cirta traite une période historique de la ville de Constantine. Alors autant fusionner le contenu de l'article avec la section « période antique » de l’article Constantine, pour mieux harmoniser, corriger et sourcer le paragraphe.--Waran(d) 31 mai 2013 à 15:41 (CEST). Je retire mon vote, je suis partagé entre les avis, je garde une position neutre.--Waran(d) 14 juin 2013 à 12:00 (CEST)[répondre]
  2. Pour--Vikoula5 (d) 31 mai 2013 à 17:03 (CEST)[répondre]
  3. Contre fort Les articles séparés sur les cités antiques ont leur pertinence quand il y a suffisamment de sources et un potentiel non négligeable. Or Cirta n'était pas une ville antique de second plan, c'était quand même la capitale de la Numidie ! Cirta est donc pertinent en son nom propre et en tant qu'article détaillé permettant d'éviter une surcharge de Constantine. Les deux articles ont un potentiel de développement (ne pas se laisser berner par l'état actuel, juger le potentiel !). C'est le même principe que pour Lyon/Lugdunum ou Paris/Lutèce ou encore Sparte/Sparte (ville moderne). -- TwøWiñgš Boit d'bout 7 juin 2013 à 20:57 (CEST)[répondre]
  4. Contre Cirta est la cité antique... --34 super héros (d) 11 juin 2013 à 21:22 (CEST)[répondre]
  5. Réticent : à ce compte-là, je crains, même si les cas ne sont pas comparables, que certains ne proposent al fusion des articles Lutèce et Paris, ou encore Lugdunum et Lyon.

Suppression arbitraire de personnalités liées à Constantine[modifier le code]

User:Ikjan pourrait-il nous dire pourquoi il supprime certains de la liste des personnalités liées à Constantine ? -- Olevy (discuter) 28 mai 2014 à 23:48 (CEST)[répondre]

User:Olevy: Bonjour, d'abord il faudrait s'entendre sur la définition du mot "personnalité", personnalité du point de vue de qui? j'ai supprimé certaines personnes françaises de la liste, car elles ne sont pas des personnalités du point de vue des Algériens et des habitants de Constantine. Je ne vois pas en quoi un préfet français par exemple serait une "personnalité" liée à Constantine, même s'il y est né. Je ne laisse donc que les personnalités algériennes, et celles reconnues par les Algériens comme faisant partie de leur histoire ancienne et constitutives de leur identité. Et également les personnes françaises ayant une large notoriété auprès des Algériens, comme Benjamin Stora ou Enrico Macias --Ikjan (discuter) 28 mai 2014 à 23:58 (CEST)[répondre]
Au moins c'est très clair. personnalité du point de vue de qui ? vous demandez et vous y répondez : point de vue des algériens. et bien justement non , dans Wikipedia on n'adopte pas le point de vue d'une groupe particulier de personnes. Ici les personnalités retenues sont celles qui ont un lien avec Constantine Michel1961 (discuter) 29 mai 2014 à 08:55 (CEST)[répondre]
Il ne s'agit pas de savoir si, du point de vue des Algériens ces personnes sont des personnalités, mais si ces personnalités sont liées à Constantine. Il faut peut-être réduire la liste car être né dans une ville ne suffit pas à être lié à la ville, si on n'y a pas vécu.
  • Robert Vignon (préfet) a été poste à Tizi-Ouzou, cela peut être lié à ces origines. Dans le doute gardons le.
  • Guy Allouche : rien dans sa carrière ne rappelle Constantine. Je le supprimerais.
  • Alphonse Juin a été à la tête de l'Armée d'Afrique. Il faut le conserver.
  • Alfred Nakache a commencé sa carrière à Constantine. Je le conserverais.
  • Alphonse Halimi, selon Wikipedia, était adulé dans sa ville d'origine. Je le conserverais.
  • Cheikh Raymond : comment pouvez vous le supprimer alors que vous conservez Enrico Macias, son disciple.
  • Jean-Michel Atlan: il suffit de voir la liste de ses oeuvres pour comprendre qu'il faut le conserver
  • Françoise Arnoul peut probablement y être supprimée
  • Raphaël Draï : il suffit d'en lire quelques articles pour comprendre qu'il faut le garder
  • Daniel Lévi : on peut peut-être le supprimer
  • Charlotte de Monaco : je la supprimerais
  • Claude Cohen-Tannoudji : si j'étais contantinois, je le garderais par simple fierté, mais il se présente aussi comme originaire de Constantine. Il faut bien sûr le garder.
  • Jean-Claude Heberlé n'a pas d'article sur Wikipedia. je le supprimerais.
  • Paul Amar rappelle aussi ses origines. Il faut donc le conserver.

C'est un choix subjectif. D'autres peuvent vouloir garder ceux que je supprimerais. -- Olevy (discuter) 29 mai 2014 à 11:57 (CEST)[répondre]

globalement en accord avec cette liste. Pour les personnes "à supprimer" de cette liste mais néanmoins né à Constantine, je les mettrait dans un paragraphe ad hocMichel1961 (discuter) 29 mai 2014 à 12:03 (CEST)[répondre]

Sources primaires[modifier le code]

Bonjour,

Je rappelle que les récits médiévaux consistent des sources primaire (voir WP:sources), qui ne peuvent pas être utilisés à l’état brute, mais doit être interprété par un historien moderne. Je révoque toute utilisation de source primaire. Je rappelle aussi que l'article concerne une ville, toute information doit concerné la ville en particulier, Cordialement.--Waran(d) 18 septembre 2015 à 19:44 (CEST)[répondre]

Revoir la période historique française[modifier le code]

Proposé par : Sergio1006 (discussion) 7 juin 2016 à 02:59 (CEST)[répondre]

Raisons de la demande de vérification[modifier le code]

Le bandeau était placé dans cette section, je me suis contenté de le positionner en tête d'article.

Discussions et commentaires[modifier le code]

Toutes les discussions vont ci-dessous.

nom berbère "Cirta", "Tassirt" ???[modifier le code]

Avant de publier en début d'article "en bérbére (: ⵜⴰⵙⵉⵔⵜ-ⵙⵉⵔⵜⴰtassirt-Cirta )" il faut prouver que :

1) Ce nom est utilisé aujourd'hui, ce qui n'est pas le cas, et nulle part le nom antique d'une ville ne figure en début d'article comme étant son nom actuel. Or cette ville s'appelle Costantina/Qasentina/Constantine depuis le 4e siècle, et a toujours été appelée ainsi depuis. Le nom antique a sa place dans la section "histoire" et non-pas en début d'article comme un nom actuel.

2) Avant de dire que c'est son nom berbère, il faut prouver que Cirta / Kirta est bien un nom berbère, or la plupart des historiens lui donnent une origine punique (KRTN signifiant "ville" en punique). Par ailleurs il y a des berbèrophones aujourd'hui à 40 km à peine au sud de Constantine, et ils appellent cette ville Qsentina, tout comme les arabophones.

--Ikjan (discuter) 26 octobre 2016 à 21:39 (CEST)[répondre]

@ Ikjan : C'est ce que j'appelle une coopération wikipédienne...par contre je ne suis absolument pas spécialiste du sujet et encore moins compétent pour répondre aux questions que tu soulèves. Waran18 est plus introduit dans le sujet donc plus spécialiste, et lui par contre pourra j'espère te répondre...donc je vais immédiatement lui en faire part sur sa Pdd...amicalement --Zivax (discuter) 27 octobre 2016 à 10:17 (CEST)[répondre]
Bonjour. Je suis tout à fait d'accord avec Ikjan. Le nom actuel de la ville en berbère est bien Qṣenṭina. Cirta n'est, comme cité si-dessus, qu'un ancien nom dont l'origine reste à prouver. Il faudrait donc, à mon avis, modifier ce passage si ce n'est pas déjà fait. Cordialement, — Signé Issimo 15 27 octobre 2016 à 13:49 (CEST)[répondre]
Non, on ne se précipite pas et on attends l'avis d'autres wikipédiens...pour éviter les revers inutiles...rien ne presse...merci. --Zivax (discuter) 27 octobre 2016 à 17:44 (CEST)[répondre]
Bonjour, je précise que ce nom est une introduction récente et sans sources, tassirt me semble une berbèrisation farfelue du nom antique de la ville.--Waran(d) 28 octobre 2016 à 10:00 (CEST)[répondre]
Laissons le plaisir de cette modification à Ikjan...je l'ai reverté à tord...Bonne journée à vous. --Zivax (discuter) 28 octobre 2016 à 10:52 (CEST)[répondre]
Merci à tous pour vos réponses, je vais procéder aux changements, amicalement--Ikjan (discuter) 28 octobre 2016 à 22:30 (CEST)[répondre]
Notification Ikjan, Zivax, Waran18 et Issimo 15 :Je me permet de relancer le sujet car j'ai trouvé une source intéressante pour compléter l'article sur ce point :
  • S. Bertrandy, « Cirta », in Encyclopédie berbère, 13 | Chèvre – Columnatien [En ligne], mis en ligne le 01 mars 2012, consulté le 14 novembre 2016. URL : http://encyclopedieberbere.revues.org/2289.

    « Il est douteux que le nom de Cirta soit un mot d’origine phénicienne signifiant « ville ». Sur les monnaies de Cirta, à légendes néopuniques et datées de la fin du iie siècle avant notre ère, on lit, en effet, KRTN (Kirthan) avec un kaph. Or le terme phénicien QRT (Qart) débute par un qoph (Mazard, Corpus, n° 523-529). Il faut donc plutôt attribuer à ce nom une origine libyque. »

    .
Le nom Cirta est donc d'origine lybique (berbère antique) et non punique. Par contre aucune trace de tassirt (qui veut dire « la meule »). D'autre part dans les langues berbères actuelles c'est bel et bien le nom Qsentina qui est utilisé. Cordialment, Patillo 14 novembre 2016 à 11:11 (CET)[répondre]
Merci Patillo ! Je propose de créer une section "Étymologie" dans l'article Constantine ou rajouter ctte information à l'article Cirta. Fraternellement, — Signé Issimo 15 14 novembre 2016 à 17:19 (CET)[répondre]
Notification Kabyle20, Zivax, Waran18 et Issimo 15 : mais l'inscription KRTN est bien en lettres puniques, et si elle ne signifie pas forcément "ville" elle peut signifier autre chose en punique, pourquoi conclure immédiatement à une origine libyque ? c'est l'une ou l'autre de ces deux langues (vu que le nom est antérieur aux Romains), mais en l'absence de certitude on ne peut que se contenter d'hypothèses. Ce qui est certain c'est que son nom sous les romains était bien Kirta (le C latin des inscriptions romaines était prononcé K, et non pas S comme aujourd'hui), et que donc toutes les théories qui lui cherchent une origine avec un S (comme Tissirt) sont fausses, puisque cette ville ne s'est jamais appelée Sirta. --Ikjan (discuter) 16 novembre 2016 à 20:56 (CET)[répondre]

origine de Cirta[modifier le code]

rien ne prouve que cirta fu fondée par les phéniciens en effet ce son des marins il n'y a pas de port a constantine jusqu'a preuve du contraire cette affirmation n'est d'ailleur pas etayé dans l'article wikipedia

affirmation fausse

il est évident que cirta n'a été fondé ni par les pheniciens ni par les carthaginois donc la page contient de graves erreurs personne ne me respond et on ne peut pas corriger ces erreurs alors j'ai deux questions pourquoi maintenir des informations fausses? et pourquoi empecher la correction? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 176.151.61.251 (discuter), le 28 janvier 2018 à 05:39 (CET)[répondre]

Parce que cette « erreur » (selon vous) est appuyée par une référence. Vous devez vous aussi apporter une référence confirmant ce que vous dites, et non pas retirer celle qui existe. • Chaoborus 29 janvier 2018 à 17:47 (CET)[répondre]
justement le probléme c'est que cette affirmation celon laquelle constantine a été fondée par les phéniciens ne s'appui sur aucun élément aucune réferences — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 176.151.61.251 (discuter), le 30 janvier 2018 à 02:05 (CET)[répondre]
Ah oui ? Et ça ? C'est un chaton ? • Chaoborus 30 janvier 2018 à 05:26 (CET)[répondre]
ce n'est pas un chaton mais une blague

cette reference est une blague Daniel babo que cite cette réference écrit des livres de cuisine ce n'est pas tres serieux Gabriel Camps affirme clairement que les pheniciens n'ont pas fondé Cirta .Camps 1979 P 48 — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 176.151.61.251 (discuter), le 30 janvier 2018 à 13:30 (CET)[répondre]

Merci de votre réponse. En effet, Daniel Babo semble un spécialiste de beaucoup (un peu trop) de choses à la fois. De quel livre de Gabriel Camps s'agit-il ? (cf: Aide:références). Voir aussi cette section de 2016. • Chaoborus 30 janvier 2018 à 15:41 (CET)[répondre]

Antiquités africaines de gabriel Camps[modifier le code]

Il s'agit de Antiquités africaines de Gabriel Camps page 48 en bas de page

--176.151.61.251 (discuter) 31 janvier 2018 à 01:25 (CET)--176.151.61.251 (discuter) 31 janvier 2018 à 01:25 (CET)== rubrique toponymie ==[répondre]

dans la rubrique toponymie il y a une mention de l'origine phénicienne de constantine qui ne doit pas figurer — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 176.151.61.251 (discuter), le 30 janvier 2018 à 23:40 (CET)[répondre]

toponymie[modifier le code]

Il est indiqué dans cette rubrique que Cirta fut fondée par les phéniciens ce qui est formellement contredit par Gabriel Camps dans son livre Antiquités Africaine, comment corriger cette affirmation ?

Bandeau R3R et demande de protection de page[modifier le code]

Bonjour, comme cet article fait l'objet d'une guerre d'édition depuis des semaines, je viens de déposer une demande pour protéger l'article. Ces annulations successives ne prennent pas le chemin de s'arrêter. Evidemment, la protection viendra sur la mauvaise version, comme toujours. Cordialement.— Bédévore [plaît-il?] 3 juin 2018 à 17:09 (CEST)[répondre]

modification[modifier le code]

bonjour, il est regretable que les sujet de discussion posté n'ai pas attiré l'attention, apparemment il n'y a pas d'argument pour s'opposer a cet modification juste juste une volonté d'imposer un fait accompli — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 176.151.61.251 (discuter)