Discussion:Catharsis

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Discussion[modifier le code]

Quel est le rapport entre le paragraphe : « En politique les commissions vérité et réconciliation ont servi à refonder symboliquement des identités nationales, en incarnant la métamorphose après le conflit intérieur, la répression et la victoire de la majorité. » et la catharsis ? Sans doute mon cerveau n'est-il pas assez bien éveillé, ou alors il faudrait un peu plus d'explication... 夕鹤 28 fev 2005 à 10:34 (CET)


Le Politique[modifier le code]

Je précise qu'Aristote fait bien référence à la Catharsis bien plus dans "Le Politique" où il parle de la musique que dans "La poétique" où il n'en parle qu'une fois. Ce n'est donc pas une erreur (se référer au texte dont j'ai donné les références). Jean Zin 15 août 2006 à 09:51 (CEST)[répondre]

Rapport entre plaisir et catharsis...?[modifier le code]

Quel est le rapport entre plaisir et "purification des émotions"?

En effet l'homme prend plaisir aux représentations, mais la catharsis à plus un rôle éducatif: en ressentant nos émotions lors de représentations, nous avons l'occasion d'apprendre à les gérer, nous apprenons à avoir des émotions appropriées à ce qui les déclenche.

Il y a l'idée dans l'oeuvre d'Aristote que la vertu est dans la proportionnalité d'une action ou d'une émotion à ce qui l'occassionne. En nous permettant de "pratiquer" nos émotions et à les adapter à ce que nous vivons au travers de l'identification aux personnages, nous nous en rendons maîtres.
Il y a donc un rôle éminament éducatif dans la catharsis, et un devoir de la part du poète de déclencher les réactions émotionnelles appropriées aux situations, au travers de la construction du récit.

Le fait que la catharsis soit attachée aux plaisirs de la représentation ne la rend que plus intéressante aux yeux d'Aristote, puisque cela permet de lier plaisir et éducation morale. La dichotomie entre morale et esthétique n'a pas lieu d'être me semble-t-il.


Pas super évident à comprendre cette phrase[modifier le code]

"On oublie largement au concret et dans une inspiration plus nietzschéenne la catharsis concrète du courant de la vie vécue, qui est largement plus représentative de l'effet d'une catharsis significative et permanente. Il ne va pas sans dire par conséquent que son effet ne se répercutait pas nécessairement au théâtre en tant que tel, mais dans la manière de prendre le courant de la vie soi-même et sous l'influence des formes de la purgation que le théâtre représentait. En effet, il serait ridicule et cela relèverait d'une fausse exclamation de liberté de croire qu'aller au théâtre fait en sorte lorsqu'on en sort que tout notre être soit débloqué de manière permanente. De cette manière, on considère qu'il est naturel à l'homme refoulé de confronter son caractère et sa substance par sa présence et son acte à d'autres et que ceux-ci réagissent de la même manière autant refoulés qu'ils soient et de même déchirés d'un refoulement qui ne parvient pas à tout contenir, qui vont par les dispositions de la morale et de la loi se protéger d'eux-mêmes et de leur autodestruction que leur manière de pensé engendre, lesquels confrontés à leur propre image représenter par les instances les plus concrètes, c'est-à-dire le soi et la cité, ont le choix de produire la tragédie en continuant à s'autodétruire et dans ce cas il n'y a pas de catharsis ou bien de produire la comédie en cessant l'autodestruction et en dépassant les limites qui réprimaient leur essence impossible à vivre à cause de fausses opinions à l'égard de l'être et de la loi."

=> Y a qq'un qui arrive à suivre ce que ça veut dire cette phrase ? Perso, j'ai l'impression qu'elle n'est grammaticalement pas correcte.--URSS (d) 18 mai 2010 à 17:31 (CEST)[répondre]

=> Je n'y comprend rien non plus... et je supprime de l'article.

un article de la bibliographie introuvable[modifier le code]

L'article cité "Jean-Philippe Bloch, Catharsis et séries télévisées, Cahiers du CNRS n°527, 2011" est introuvable sur internet (via google, google scholar ou encore via le site du CNRS). On peut supposer qu'il n'est pas en libre accès, mais on ne trouve non plus aucune référence institutionnelle, ne serait-ce qu'au titre. L'auteur supposé, Jean-Philippe Bloch, ne semble en outre pas être très connu sur le site du CNRS. Y a-t-il une erreur dans la référence ?

Je cherche encore. SI je la trouve, j'effacerais ce commentaire.