Discussion:Bataille de Montcornet

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Bonjour. Il y avait aussi les Renault R 35 du 24è B.C.C. qui sont entrés dans Moncornet, mais les chars de tête ont été immédiatement détruits, soit par des mines, soit par les canons allemands. Etaient aussi présents des chars Somua S-35 du 3è Cuir. le matin du 18 mai.En tout, 150 chars. --Scoperh3 (discuter) 16 mai 2020 à 17:50 (CEST)[répondre]

De Gaulle vs Guderian ?[modifier le code]

Je ne ne pense pas qu'il soit vraiment équilibré, de mettre dans la box, d'un coté un colonel et de l'autre un général de corps d'armée.--EdC / Contact 17 mai 2020 à 13:24 (CEST)[répondre]

En effet. Pourquoi pas De Gaulle vs Adolphe Hitler ? J'ai mis les commandants des divisions allemandes. --Le Petit Chat (discuter) 17 mai 2020 à 15:00 (CEST)[répondre]
Bravo et Merci--EdC / Contact 18 mai 2020 à 14:18 (CEST)[répondre]
Guderian reçoit de Kleist le Haltbefehl de Montcornet le 17 mai à 7 heure du matin (6 heure à Paris ?) sur le terrain d'atterrisage de Montcornet. A cette heure là, il proteste car aucune menace sérieuse ne s'est encore présentée sur le flanc gauche de son attaque (Guderian parle dans ses mémoires de la capture à l'entrée de Montcornet d'un escadron de char de de Gaulle dont il sait qu'il se concentre près de Laon le 16, mais ce jour là c'est le 3e RAM qui est devant Montcornet...) Guderian présente sa démission qui est acceptée. Ce qui n'empêche pas le Haltbefehl jusqu'au 18 mai à 18h. Le commandement du corps d'armée échoit dans l'intervalle par intérim à son divisionnaire le plus ancien Rudolf Veiel (2e PD). Guderian est consigné dans son PC à Soize à 5 km à l'est de Montcornet où il ne risque pas grand chose (c'est moins sûr pour ses visiteurs revenant des premières lignes et passant par Montcornet). Le général List arrive dans l'après-midi à son PC pour le rétablir dans ses fonctions : autorisation de mener des reconnaissances musclées à condition que le PC ne bouge pas. Donc l'ennemi principal de Guderian le 17 c'est le haut commandement. Il a quand même bien conscience que la seule menace sur le terrain est celle de de Gaulle, considérant que l'armée de réserve de huit divisions constituée par le général Frère en région parisienne ne l'attaquera pas tant qu'il restera en mouvement obéissant à une doctrine française où le renseignement doit toujours précéder l'action. Pour la sureté personnelle de Guderian, l'attaque de de Gaulle la plus marquante est celle du 19 qui s'approche à deux km de son PC faiblement protégé en forêt de Holnon.--Barbanegre (discuter) 18 mai 2020 à 22:15 (CEST)[répondre]