Discussion:Bataille de Fort Frontenac

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«Dans l'intervalle, le général Abercrombie détacha le lieutenant-colonel Bradstreet, avec un corps de trois mille hommes, principalement des provinciaux, pour exécuter un plan avec lequel cet officier avait dressé contre Cadaraqui (ou fort Frontenac) situé sur le côté nord du fleuve Saint-Laurent, là où il tire son origine au lac Ontario. Par le côté de ce lac, il pénétra avec son détachement, et s'engagent à bord de sloops et de bateaux, prévu à cet effet, à débarquer à un mille du fort Frontenac, de la garnison qui composé de cent dix hommes, avec un peu d'Indiens, se rendaire immédiatement. Considérant l'importance de ce poste, qui, dans une grande mesure, commande l'embouchure du fleuve Saint-Laurent et servait comme magasin à des forts plus au sud, le général français est inexcusable de l'avoir laissé dans une telle condition sans défense.»

«La forteresse elle même était négligeable et de mauvaise conception; néanmoins, il contenait soixante pièce de canon, seize petits mortiers, avec une immense quantité de marchandises et un dépôt de provisions pour l'utilisation des forces françaises détaché contre le brigadier Forbes, pour leurs garnisons à l'ouest, et leurs alliés indiens, ainsi que pour la subsistance du corps commandé par Monsieur de Lévi, pour son entreprise contre la rivière Mohawk».

«M. Bradstreet non seulement réduit le fort sans effusion de sang, mais également il se rendit maître de toute la navigation ennemie sur le lac, d'un nombre de neuf navires armés, dont certains possédaient dix-huit canons. Deux de ceux-ci, M. Bradstreet les envoya à Oswega, où il rentra avec les troupes, après avoir détruit le fort Frontenac, avec toutes l'artillerie, les magasins, les provisions et les marchandises qui y figuraient. À la suite de cet exploit, les troupes françaises au sud ont été exposés au danger de la famine, cependant il n'est pas facile de concevoir la raison général pour donner des ordres d'abandonner et de détruire un fort, qui s'il est bien renforcé et soutenu, pouvait rendre maître les Anglais du lac Ontario, en harcelant grandement l'ennemi, à la fois dans leur commerce et leurs expéditions à l'ouest».

“A Complete History of England, par Tobias Smollet”

Cette citation est horriblement mal traduite, on ne peut pas vraiment la laisser là. Je n'ai pas trouvé sa version originale, donc en attendant mieux, je la déplace en discussion.--SammyDay (d) 26 janvier 2010 à 15:13 (CET)[répondre]