Discussion:Aurillacois (dialecte)

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Contradiction[modifier le code]

Cet article, l'article Auvergnat, et l'article Languedocien rentre en contradiction sur les notions du carladézien. Est il possible de faire une analyse comparative et d'essayer d'aligner ce qui est dit ? Il semblerait que dans le sud d'Aurillac on parle le Languedocien, qu'à Aurillac (et autour de Carlat) on parle Carladézien, et qu'un peu plus au nord on parle l'Auvergnat. Il faudrait peut être sur de bien définir ce qu'est alors le Carladézien et voir si il est cohérent de le mettre dans l'article languedocien (ce que je commence à douter)?

Résumé des points de vue :

Orientation languedocienne
  • Article languedocien :
    • Selon Louis Alibert, l'aurillagais fait parti d'un languedocien septentrionnal
    • Selon Ronjat, l'aurillacois fait parti d'un languedocien guyennais
    • et déclare (sans source) que le languedocien est parlé Dans la région Auvergne (dans le sud-ouest du Cantal, notamment le carladézien)
  • Article Carladès :
    • "une littérature en dialecte carladezien (plus proche du languedocien que de l'auvergnat)."
Orientation ambiguë
  • Article Auvergnate  :
    • Parle d'un dialecte carladézien sans plus de précision (mais dans la page de discussion on voit plusieurs points de vue).
    • Parle de l'auvergnat dans le cantal sans y inclure la zone d'Aurillac
Orientation auvergnate
  • Article Dialecte carladézien :
    • Ne parle pas du Languedocien
    • Indique les origines auvergnates.

Voila, l'analyse de ce que j'ai trouvé sur wikipédia qui entraine une incohérence quelque part Loreleil [d-c]-dio 9 novembre 2009 à 20:26 (CET)[répondre]

associations[modifier le code]

J'ai retiré le CTA qui s'occupe de "l'auvergnat" et non du "guyennais" (pour reprendre ses termes). Au global, même remarque que pour l'article Auvergnat. --— J.-F. B. (me´n parlar) 16 avril 2010 à 12:58 (CEST)[répondre]

Drôle d'article[modifier le code]

Bonjour à tous, Je trouve cet article un peu bizarre... On y parle de la variante régionale du languedocien mais on y trouve aussi un manifeste un peu chauvin sur un pays traditionnel. Je pense qu'il faudrait prendre un peu plus de hauteur de vue ! Cordialement Techno B 105 8 août 2013 à 18:56 (CEST)

Il faut enlever le manifeste un peu chauvin sur l'usage du dialecte qui se perd, mais pas la référence à un pays traditionnel: une langue ne naît pas de rien, une zone linguistique recouvre toujours un substrat politique et ethnique, un ancien peuple qui se distinguait et dont c'était la langue. Une fois que ce substrat est effacé, la langue a disparu faute de locuteurs, elle ne peut subsister que comme une langue morte. Si dans une zone il existe une langue particulière, cette particularité se décline aussi dans les autres domaines de la culture matérielle: variantes dans la musique, dans la littérature populaire, dans les danses, dans le bétail et son élevage, dans l'architecture, la civilité, les fêtes, les prénoms, etc.. comment voulez-vous que le domaine linguistique soit autonome de tout le reste ? -- Heurtelions (discuter) 21 juin 2015 à 01:57 (CEST)[répondre]
Je persiste à penser que cet article est douteux. Il est rédigé pour argumenter un rêve.Techno105 (discuter) 3 juin 2016 à 22:11 (CEST)[répondre]

Informations et références douteuses[modifier le code]

Proposé par : Sigmops (discuter) 28 octobre 2014 à 23:20 (CET)[répondre]

Raisons de la demande de vérification[modifier le code]

Les informations données sont en contradiction avec les analyses linguistiques modernes généralement admises. Les références citées sont anciennes et contestées.

C'est une dénomination qui a un caractère historique (remontant au mouvement félibre et à ses publications, donc au milieu du XIXe-milieu XXe) et qui correspond à ce que les universitaires contemporains appellent le "dialecte aurillacois", dénomination plutôt jacobine, puisqu'elle est très récente et se justifie uniquement par le fait qu'Aurillac est la préfecture du département du Cantal, dont le territoire ne recouvre pas cette aire linguistique. L'appellation dialecte carladézien renvoyait à une ancienne entité politico-géographique: la Vicomté de Carlat, ou Carladès (auvergnat et rouergat), ancien pagus qui s'étendait sur toute la vallée de la Cère (Arpajon, Laroquebrou,.. et sur tout ce qu'on appelle aujourd'hui la Chataigneraie), autrement dit le sud-ouest du cantal et une bande au nord-est de l'Aveyron; possédé pendant presque dix siècles par les comtes de Rodez, devenus comtes de Provence, comtes de Barcelone, c'est-à-dire souverains de presque toute l'ère occitane, le rayonnement littéraire très brillant de leur cour (les troubadours) a fait de ces dialectes des langues savantes, à la fois juridiques, administratives, poétique et littéraires. Il n'y a effectivement plus de sources contemporaines qui utilisent cette appellation, on ne distingue plus de variantes de languedociens, et quand on le fait, on parle de dialecte aurillacois, qu'on arrête logiquement à la frontière administrative du département de l'Aveyron où on fait commencer le Languedocien. -- Heurtelions (discuter) 21 juin 2015 à 01:46 (CEST)[répondre]

Aurillac n'a jamais été en vicomté du Carladez mais en Comté d'Auvergne. Le gonfanon rouge du drapeau auvergnat est justement le gonfanon de l'abbaye d'Aurillac !

L'aurillacois a les conjugaisons de l'auvergnat et pas celles du rouergat. L'aurillacois a le vocabulaire de l'auvergnat et pas celui du rouergat.

Les Rouergats ne comprennent pas bien l'aurillacois alors que les gens de Mauriac, le Puy, Mende, Saint-Flour, le comprennent parfaitement.

Aucun linguiste ne classe l'aurillacois dans le languedocien. C'est un délire des séparatistes occitans pour faire croire qu'il y a un énorme dialecte languedocien destiné à devenir "langue nationale" lol

Oüvirnhat (discuter) 7 septembre 2016 à 01:07 (CEST)[répondre]

Discussions et commentaires[modifier le code]

Toutes les discussions vont ci-dessous.

L'aurillacois n'est pas du languedocien puisque les Languedociens sont obligés de le traduire en français pour le comprendre[modifier le code]

la classification de l'aurillacois dans le languedocien est une ânerie du pharmacien Adrien-Louis Alibert. Personne d'autre ne dit cette bêtise, sauf ses disciples séparatistes "occitans" qui ne comprennent pas plus l'aurillacois que la mauracois ou le parler du Puy.


La preuve en est que lorsque les occitans ont publié deux livres de Vermenouze ils ont "retouché la langue pour mettre les formes classiques au lieu des formes locales" (sic!) comme ils le disent dans leur préface.

Bref ils ont changé toutes les conjugaisons et remplacé plus de trois cents mots par des mots languedociens !

Pour les autres ils ont multiplié les traductions en bas de page : cinq à dix mots par page !

Effectivement un Languedocien ne peut pas savoir ce qu'es "uno blounde" "uno nichoulo" "un aurcèl" "un auratèl" "un tèule" "un broussieiròu" "un palhauet" "uno pièlo" "uno ougo", "uno puosse" "lou baraire" "l'ènno" "lou chamais" "lo pialho" ou les verbes "moudalha, vïsca, fourgiga, amassa, foulhoula, assoubta, s'amouda, cuca, s'atïnta" ... ni des adjectifs comme "gourle" "marelat"

et aucun Languedocien ne dit comme les Aurillacois "ogaro, cosset, quessi, dicistont"

Oüvirnhat (discuter) 7 septembre 2016 à 01:04 (CEST)[répondre]

Bonjour, ce que vous dites ne m'étonne pas, les occitaniste sont des jacobins, ils font de l'impérialisme linguistique, ils veulent une langue occitane uniforme de Barcelone à Angers, une langue de synthèse que plus personne ne comprend.
Je ne suis pas sûr qu'on ait eu raison de fusionner le dialecte aurillacois (le même qu'à Salers) et le dialecte carladezien (le même qu'à Mur-de-Barrez.

l'aurillacois n'est pas le même que le parler de Salers qui est des montagnes et se rattache au mauriacois :

exemples : Cau trobolha ommé lei bacos puèi donsa (Aurillac) Chau trabalha ammé lei bachos puèi dansa (Salers)

Es bengu (Aurillac) i bindyù (Salers) écrits phoéntiquement.

l'ènno cubris lou moulet (Aurillac) l'èdro coubris lou mougui (Salers) le lierre couvre le moulin

_____________________________________________________

Vous parlez le dialecte de quel village précisément?
Est-ce que selon vous le dialecte aurillacois ressemble au patois de l'Aveyron, est-ce qu'un habitant de Marcolès comprend mieux un habitant de Figeac ou un habitant d'Issoire ? Est-ce que le dialecte de Thérondels est le même que celui de Salers ? -- Heurtelions (discuter) 30 septembre 2016 à 02:12 (CEST)[répondre]

_______________________ Le parler de Thérondels est de l'Aveyronnais sauf s'il fait partie de la petite zone auvergnate agrégée à l'Aveyron lors de la départementalisation. Dans ce cas il est le même que celui de Pierrefort, s'il ne s'est pas rouerguisé par esprit départemental.

Le moyen de savoir est de demander comment on y dit "la maison" : l'oustal est rouergat (guyennais), l'oustau est auvergnat. Bien sûr il y a d'autres différences mais ce mot-là va avec un tas d'autres choses qui différencient l'auvergnat du rouergat.


Un changement brutal se fait à Chaudes-Aigues, un parler du Saint-Flourain: lis istiahras. (los estièlos à Thérondels ?)


Un habitant de Marcolès comprendra mieux un Fijacois pour la prosodie, mais ils auront des quiproquos à cause des conjugaisons différentes. Il aura plus de mal avec la prosodie d'Issoire mais plus de vocabulaire commun.

Dans les deux cas il va ramer.

A une époque plus ancienne, quand les gens parlaient auvergnat en dehors de la famille et des proches, les gens connaissaient toutes les variantes locales de l'auvergnat. Maintenant je doute que beaucoup de gens de Marcolès comprennent bien un Yssingelais.

Le parler aurillacois a en commun avec l'aveyronnais de prononcer O ouvert beaucoup de A prétoniques : L'as poga lou copèl ? mais le vocabulaire et les conjugaisons sont auvergnats (l'as paga lou chapèr,? à Mauriac, l'as paga lou tsapé ? à Saint-Flour)

Il est indéniable que l'aurillacois fait une transition avec ce qu'on parle en Aveyron et dans le Lot mais il reste de l'auvergnat, de même que l'Yssingelais fait une transition avec le vivarais et avec les parlers d'oïl de la région de Saint-Etienne, mais il reste de l'auvergnat.

Bien sûr dans le village de Saint-Santin, celui qui est à cheval sur l'Aveyron et le Cantal, les gens se comprennent même avec des dialectes différents. "lou dimenche cal sourti de l'oustal per ona ò lo glèio" "lou dimmèrgue cau sourtï de l'oustau per ona ò lo glèigio" ce n'est pas hermétique.

De même Maurs-la-Jolie qui est collée à la frontière de l'Aveyron a un parler qui vocalise comme en auvergnat mais son vocabulaire est mélangé. Ce n'est pas le cas d'Aurillac ni même de la Châtaigneraie. ___________________

Carladez veut dire "pays de Carlat" qui est une toute petite bourgade[modifier le code]

Alors qu'Aurillac existe depuis le haut Moyen Age et est une ville importante dès cette époque.

Une ville ne dépend pas d'un village !

Aurillac a toujours été en Comté d'Auvergne.

Oüvirnhat (discuter) 7 septembre 2016 à 01:09 (CEST)[répondre]

Mais non, lisez l'article, le Carladez est une ancienne viguerie carolingienne, correspond à l'ancienne Vicomté de Carlat (le Carladès à cheval sur le Cantal et l'Aveyron), dont la capitale militaire était le château de Carlat et la capitale judiciaire Vic-en-Carladès. L'aire du dialecte aurillacois correspond exactement à l'ancienne aire du Carladès, et pas à celle des terres de l'Abbaye d'Aurillac et à ses possessions. Qu'il s'agisse de littérature juridique ou poésie courtoise des troubadours, on trouvera plus facilement l'origine dans la cour des Vicomtes de Carlat et de Rodez, comtes de Barcelonne que dans l'abbaye où tout devait se faire en latin. -- Heurtelions (discuter) 30 septembre 2016 à 01:26 (CEST)[répondre]

Deux affirmations gratuites soutenues par aucun exemple[modifier le code]

"l'aurillacois se rapproche du rouergat" sic , en quoi ?

"le mauriacois se rapproche du limousin" sic, en quoi ?


L'aurillacois a les mêmes conjugaisons que le mauriacois, le saint-flourain..... qui sont très différentes de celles du rouergat.


Le mauriacois n'a aucun mot ! commun avec le limousin en dehors de l'article "lou".

Les conjugaisons sont différentes, le vocabulaire aussi.

En revanche ils sont communs avec l'aurillacois.


Ils parlent se dit en auvergnat, autant d'Aurillac que d'ailleurs "parlou"

En limousin on dit "parlan" avec déplacement de l'accent sur la fin.

Les morphologies sont très différentes : exemples :


les étoiles se dit "lis istiagos" à Mauriac et "las eitiàlas" en limousin !

les vaches de dit "lei vàchios" en mauriacois /liy bàtchyo/ et "las vachas" en limousin /la vatsà/

un château se dit "in chastèr" en mauriacois /in tshastèr/ et "un chatèu" en limousin /ün tsatèw/


Il entend se dit "oügis" en mauriacois /ouwži/ et "auvo" en limousin /awvo/


un oiseau est "in oucèr" en mauriacois /oušèr/ et "un auvèu" en limousin /ün ôvèw/

Oüvirnhat (discuter) 7 septembre 2016 à 01:26 (CEST)[répondre]

Bonjour, quelle est la phrase que vous voudriez remplacer, et pour mettre quoi à la place ? -- Heurtelions (discuter) 30 septembre 2016 à 01:56 (CEST)[répondre]

Pour ma part il y a deux phrases qui m'indignent :

Différent de l'auvergnat, le carladézien se voyant être une variété septentrionale du languedocien, il se distingue donc aussi des autres dialectes cantaliens, qui eux sont des variétés de l'auvergnat. C'est le cas du sanfloran (région de Saint-Flour) qui se rapproche du dialecte brivadois (région de Brioude) et du dialecte mauriacois (région de Mauriac) qui bien qu'auvergnat, possède quelques traits similaires au limousin5.

ET

Le Carladez et le territoire de l'abbaye d'Aurillac sont des régions de l'Auvergne restées indépendantes du Comté d'Auvergne de l'époque carolingienne à leur rattachement à la Couronne de France au début du xvie siècle. Ce fait pourrait expliquer que cette partie de l'Auvergne historique ne parle pas l'auvergnat mais une variante du languedocien, et que ce dialecte ait pris très tôt une forme écrite (dans les actes et sentences) et littéraire (chez les troubadours)2

Pour la première phrase on devrait couper la fin "et du dialecte mauriacois qui bien qu'auvergnat, possède quelques traits similaires au limousin". C'est faux

Pour la seconde phrase il faut la supprimer entièrement; c'est le comte d'Auvergne Géraud en français, Guiral en auvergnat, qui a fondé l'abbaye d'Aurillac au IXème siècle. Le Comté d'Auvergne existe depuis 610 (réf : "Les origines franques Ve-IXe siècle" Stéphane Lebecq coll. point Histoire, éditions du seuil, février 1990 Taranomezin (discuter) 24 octobre 2017 à 00:15 (CEST)[répondre]

Le site de la mairie d'Aurillac dit la même chose.

L'Auvergne a été divisée à une époque en Comté d'Auvergne et Terre d'Auvergne mais la Terre d'Auvergne était un petit morceau du Puy de Dôme et ne concerne donc pas le Cantal.

Les troubadours écrivaient bien en auvergnat des montagnes et aucun n'a jamais écrit en aurillacois qui a été écrit pour la première fois dans la deuxième moitié du XIXème siècle.

réf. Ramond Vidal de Bezaudu :


"Abril issi' e Mays intrava e cascus dels auzels chantava"


"Per qu'ieu m'en fora tost partitz per penr' un autre cossirier, mas aventur' e siey mestier, que mans homes fan benenans, volgron qu'ieu fos a Monferrans vengutz en Alvernh' al Dalfi, e si fon un sapte mati si co suy vengut de Riom..."

chantava ne peut pas être de l'aurillacois, c'eût été cantava au XIIIème siècle : contabo aujourd'hui. C'est d'autant plus remarquable que Bezaudu, Bezaudun en français, village de la commune de Tournemire, est en zone de parler aurillacois mais que le troubadour a choisi un parler plus nordique, celui de Rioms-ès-Montagnes, Mauriac, Salers. Taranomezin (discuter) 23 octobre 2017 à 23:50 (CEST)[répondre]

Le site de la vile indique au contraire que c'est le comte Géraud d'Auvergne qui fonda l'abbaye et que la ville se développa autour.[modifier le code]

Le site de la vile indique au contraire que c'est le comte Géraud d'Auvergne qui fonda l'abbaye et que la ville se développa autour.

■ Quant à Aurillac, elle doit sa naissance à la sollicitude du comte Géraud, qui y fit édifier une abbaye en 894. La ville se développa alors autour de l'abbaye qui accueillait des pèlerins venus se recueillir devant le reliquaire de saint Géraud; placée sous la protection pontificale, elle se dota très vite d'une école de monastique qui "eut comme illustre élève Gerbert. Après des études en Espagne, celui-ci devint écolâtre de Reims, abbé de Bobbio, archevêque de Reims et de Ravenne. Ce "faiseur de roi" qui contribua à l'élection d'Hugues Capet et à l'éducation de Robert le Pieux et d'Otton III, fut élu pape sous le nom de Sylvestre II.

http://www.auvergne-centrefrance.com/cantal/histoire-du-cantal.html

Jean Gallois (discuter) 24 septembre 2016 à 04:54 (CEST)[répondre]

Oui, c'est vrai, mais l'article ne dit pas le contraire.
Quel rapport cela a-t-il avec le dialecte aurillacois, alias carladézien ? -- Heurtelions (discuter) 30 septembre 2016 à 01:58 (CEST)[répondre]

Aurillac parle auvergnat, pas carladézien ! Le titre de l'article est bien "aurillacois (dialecte)", or le dialecte d'Aurillac est très différent de celui de Carlat.

C'est plutôt à moi de vous demander ce que font Carlat et le petit Carladez dans un article sur l'aurillacois Taranomezin (discuter) 24 octobre 2017 à 00:36 (CEST)[répondre]

Aurillac a toujours fait partie du comté d'Auvergne

Taranomezin (discuter) 24 octobre 2017 à 00:17 (CEST)[répondre]

Le site de la commune de Carlat dit qu'elle été une forteresse des comtes d'Auvergne jusqu'en 1643[modifier le code]

En 1643, le comté de CARLAT est créé et attribuée par LOUIS XIII au prince de monaco, HONORE II de GRIMALDI, par suite du traité de Péronne du 14 septembre 1641. Honoré II de Grimaldi, prince de Monaco, en Piémont, avait servi avec zèle les intérêts du roi Louis XIII, en Italie, et placé sa principauté sous la protection de la France, après en avoir chassé la garnison espagnole. C’est l’alliance française. En contrepartie de la perte de plusieurs terres considérables qu'il possédait dans le royaume de Naples et dans le Milanais, le Prince de Monaco reçoit des “Terres de France” : le comté de Carlat, en Auvergne, en fait partie. Cette terre tire un assez bon bénéfice de « ce changement de propriétaire ». N’appartenant plus à la Couronne, elle reste à l’abri des luttes internes du royaume et coule des jours paisibles sous l’administration monégasque. Honoré II de Grimaldi meurt le 10 janvier l662. A la révolution , les droits de la principauté sur le CARLADEZ sont supprimés.

http://carlat.fr.pagesperso-orange.fr/histoire%20synthetique%202.htm

Jean Gallois (discuter) 24 septembre 2016 à 05:14 (CEST)[répondre]

Non, la vicomté de Carlat était à cheval sur l'Auvergne et le Rouergue, mais elle n'appartenait ni aux comtes ni aux ducs d'Auvergne. Elle est passé par mariage chez les comtes de Rodez, puis revenue à la Couronne de France, indépendamment du comté d'Auvergne. -- Heurtelions (discuter) 30 septembre 2016 à 01:45 (CEST)[répondre]

A l'école primaire on apprend que le Comte d'Auvergne Guiral ou Géraud a fondé l'abbaye d'Aurillac[modifier le code]

La ville n'a jamais appartenu aux comtes de Rodez ! Quelle est votre source ?

Le Carladez a été créé par Louis XIII et se compose de la forteresse de Carlat et de territoire en Avyeron.

Qui est ce Bonnaud pour nous insulter comme ça ?

Martou Peyrol (discuter) 26 septembre 2016 à 14:34 (CEST)[répondre]

Le comte Géraud (855-909) qui a fondé l'abbaye d'Aurillac au IXe siècle n'était pas le comte d'Auvergne. Ce dernier appartenait à cette époque à Guillaume duc d'Aquitaine et comte d'Auvergne qui fonde Cluny sur le même modèle. -- Heurtelions (discuter) 30 septembre 2016 à 01:53 (CEST)[répondre]

________________________________________________________________

Deux questions :

- le Comte Géraud était comte de quoi selon vous ? Vous le savez mieux que la mairie d'Aurillac ? - vous êtes au moins d'accord que c'est un comte d'Auvergne qui a fondé Aurillac alors pourquoi laissez-vous l'article dire que cette ville appartenait "aux comtes de Rodez" (en fait comtes de Rouergue, qui n'avaient pas leur capitale à Rodez puisque la vile appartenait à l'évêque)

- un dernier point : après l'époque romaine, l'Auvergne n'a jamais fait partie de l'Aquitaine, raison pour laquelle elle s'est retrouvée pro-française lors de la guerre de Cent Ans. (Le Limousin faisait partie de l'Aquitaine et a été pro-anglais)

_________________________________________________________________________________________

Vous êtes nul en Histoire. Lisez le site de la mairie d'Aurillac si vous avez la flemme de lire des livres d'Histoire. Géraud était quoi selon vous ? Comment aurait-il pu fonder une abbaye ? Ne confondez pas un prêtre avec le Comte ! lol

Le Comté d'Auvergne a été créé en 610, sous les Carolingiens, et de dépendait pas de l'Aquitaine qui n'était même pas voisine ! Il y a le Comté de Limousin et le Marquisat de la Marche entre les deux. Taranomezin (discuter) 20 août 2017 à 23:06 (CEST)[répondre]

Le dialecte d'Aurillac n'a rien à voir avec celui de Carlat ![modifier le code]

A Aurillac / Ourlhat on parle auvergnat, à Carlat on parle rouergat.

Carlat est un village, Aurillac est une préfecture. Comment peut-on dire qu'Aurillac est en Carladez ?

Le Carladez c'est Carlat et dix km à l'entour. ~

Aucun troubadour n'a écrit en patois d'Aurillac ni de Carlat. Ramond Vidal de Bezaudu, de Bezaudun, Bezaudu en auvergnat, commune de Tournemire, Cantal, a écrit en parler du volcan:

"Abril issi' e Mays intrava e cascus dels auzels chantava"

Il n'a pas écrit "e cascus dels oucèls contabo"


Taranomezin (discuter) 20 août 2017 à 23:03 (CEST)[répondre]

Aurillac a toujours fait partie de l'Auvergne[modifier le code]

D'où vient le délire que "cette région n'a jamais appartenu à l'Auvergne" ?

Je parle d'Aurillac, pas de Carlat.

La note 5 est fausse François de Murat ne dit pas qu'il y a du limousin dans le mauriacois[modifier le code]

Il donne des formes limousines en comparaisons pour bien montrer qu'elles sont différentes, justement ZorglubFantasio (discuter) 9 novembre 2017 à 07:46 (CET)[répondre]

Pourquoi les deux recueils de Vermenouze ne sont-ils pas cités ? parce qu'il y a l'adjectif "auvergnat" dans le titre ?[modifier le code]

Arsène Vermenouze a publié à Paris - seul écrivain auvergnat assez prestigieux pour y être édité -

Flours de brouso, recueil de poèmes en patois auvergnat (1896)

et

Jous la cluchado, recueil de poèmes en patois auvergnat (1908)

Il n'a jamais appelé sa langue autrement que l'auvergnat. La lettre parlant de poésies languedociennes est un faux des occitans : elle n'est pas aux archives départementales du Cantal.

Ce qui est vrai c'est qu'ils ont traduit en occitan quelques poèmes de Vermenouze et les ont édités à quelques dizaines d'exemplaires sous le titre "Poésies languedociennes de Vermenouze" mais c'est le titre des occitans cent ans après la mort de Vermenouze, ce n'est pas un titre de notre grand poète.

"mès cò'i l'auvernhat mai que mai

que parle, qu'escrive e que cante"

ZorglubFantasio (discuter) 9 novembre 2017 à 08:20 (CET)[répondre]

Peut-on m'expliquer ce passage étrange ?[modifier le code]

"le changement de polarisation de cette zone passée lors de l'époque médiévale de l'Auvergne au midi toulousain affectant ainsi la langue qui passe de l'auvergnat à un languedocien marqué par la langue antérieure3."

En quoi la capitale de la Haute-Auvergne serait-elle passée au Midi toulousain qu'elle a combattu lors de la croisade des Albigeois ?

On passe de Carlat à Aurillac sans transition et on délire ZorglubFantasio (discuter) 21 novembre 2017 à 16:40 (CET)[répondre]

On ne peut pas changer cet article tellement il est faux historiquement d'un bout à l'autre. Il faut le supprimer[modifier le code]

1 Aucun félibre du XIXème n'a jamais employé le terme "carladézien" pour parler de l'aurillacois. Les félibres du XIXème l'ont toujours appelé auvergnat en français et oubernhat puis ouvernhat en oc.

2 beaucoup plus grave l'article prétend que "ces régions n'ont jamais fait partie du Comté d'Auvergne" et sans référence bien sûr.

Wikipédia qui demande des références à tort et à travers, là, ne demande rien.


Tous les historiens et la commune d'Aurillac savent que la ville a été fondée par le comte Géraud d'Auvergne.

Aurillac et son futur arrondissement ont toujours fait partie du Comté d'Auvergne.

Le seul territoire qui a bougé est Carlat et le Carladez, le vrai, cinq à dix km autour de la bourgade, pas plus, qui a été un vicomté confié aux Grimaldi. D'ailleurs la fille du prince Albert a le titre de comtesse du Carladez.

Notons qu'à Carlat on ne parle pas auvergnat, ni aurillacois ni autrement mais guiennais. Marc Aubrun (discuter) 20 juin 2020 à 14:35 (CEST)[répondre]

Il est donc invraisemblable d'imagine des félibres du XIXème siècle, si fiers d'être Auvergnat, appeler leur langue "carladézien"~

Pour référence on peut lire tous les poèmes de Vermenouze qui a fondé le félibrige cantalien et appelle sa langue l'auvernhat "Lou francés, lou parle, d'acò rai, mas quo'ï l'auvernhat mai que mai qu'escrive, que parle e que cante" Marc Aubrun (discuter) 20 juin 2020 à 14:38 (CEST)[répondre]

Evidemment l'auteur de l'article ne donne aucune référence pour ce délire complètement a-historique. Marc Aubrun (discuter) 20 juin 2020 à 14:35 (CEST)[répondre]

L'article est contredit par un autre article de Wikipedia[modifier le code]

L'article Geraud d'Aurillac dit

"Géraud, ou aussi Guiral en aurillacois, qui portait comme son père le titre de comte (bien qu'Aurillac ne fût pas un comté)" et l'article aurillacois prétend que Aurillac n'était pas dans le Comté d'Auvergne !!!! Marc Aubrun (discuter) 20 juin 2020 à 14:45 (CEST)[répondre]