Discussion:Antoine-Marie Claret

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Refonte de l'article existant. Dans les documentations consultées en vue de la refonte de cet article, il est question de Prades, mais il y a plusieurs Prades, et j'ignore duquel il s'agit. Si quelqu'un le sait, ce serait bien de rajouter un lien interne vers cette ville. Theoliane 18 août 2007 à 20:22 (CEST)[répondre]


J'ai supprimé la section relative au confessions telles qu'elles auraient été pratiquées par Antoine-Marie Claret, puisque la citation constitutive de cette section provenait manifestement d'un faux : divergence dans les titres des ouvrages cités (La clé d'or ou Les livres secrets des confesseurs), caractère satirique du second (pastiche de Léo Taxil), caractère douteux des "Éditions de la France Laïque", en tout état de cause peu vraisemblable pour un traité ecclésiastique, existence de nombreuses satires concernant Antoine-Marie Claret dès son vivant (cf. http://ciremia.univ-tours.fr/GUERENA-04-02-2006.pdf). Espitolier (d) 3 juillet 2013 à 00:00 (CEST)[répondre]

Réponse d'un hérétique[modifier le code]

Que ce texte vous gêne, c'est fort possible, qu'il s'agisse d'un faux, c'est moins certain. L'étude de l'université de Tours que vous citez parle d'une parodie des environs de 1880 et précise que votre saint homme « abordait certes, mais en latin – ce qui limitait de fait sa diffusion, de nombreux aspects touchant la sexualité. » C'est donc avouer qu'il en parlait. Or Google Books a eu l'obligeance de publier la Llave de or de 1860 où l'on peut lire aux pages 96 et 97 ses Reflexiones uxoratoe, quae debitum negat, faciendae.

« Consideres oportet, carissima soror, contineri se non posse maritum, cum suam diligit sponsam, et amoris passione inflammatus est, ideoque teneri te ilium admiltere sub gravissimi peccati poena. Quod ut faciliùs comprehendas hac utar similitudine: Si tu, cùm aliqua premeris corporale necessitate, quid diceres si à marito interdicta, usque manè vel ad octo usque dies attenderes, praeciperet? Imprudentem certè, rationeque destitutum hominem diceres maritum, teque nullo modo expectare posse reponeres, atque ubivis ea projicienda oportere. Idipsum in marito, passionis aestu abrepto, evenire certissimè scias velim : eâdem enim tunc necessitate impellitur, quâ tu in casu supposito etc. »

C'est exactement le texte qui vous contriste. Tout ce que je puis vous concéder, c'est qu'il s'agit d'une traduction en français d'une première traduction en espagnol et que l'on pourrait essayer de faire une nouvelle traduction plus directe, mais je ne crois pas que vous y gagnerez grand-chose. Gustave G. (d) 3 juillet 2013 à 04:13 (CEST)[répondre]

Vous trouverez ici le texte publié par les soins de GoogleBooks, et ce ne sont pas les Éditions de la France laïque mais la Libreria religiosa de Barcelone. Gustave G. (d) 3 juillet 2013 à 07:07 (CEST)[répondre]
Je vous en prie, évitez les procès d'intention. Puisqu'apparemment vous avez établi la preuve que ce texte n'est pas un faux, ne croyez-vous pas qu'il serait préférable de modifier l'article pour y citer ce lien que vous me donnez, en plus de sa traduction et/ou recension par les soins de Leo Taxil, dont le moins que l'on puisse dire est qu'il peut troubler le lecteur ? N'auriez-vous pas des doutes quant à l'honnêteté d'un article concernant un auteur si vous n'y trouviez qu'une citation indirecte, provenant d'un de ses plus farouches détracteurs ? Espitolier (d) 3 juillet 2013 à 08:58 (CEST)[répondre]
Le problème est que cette référence à un livre de Léo Taxil a été ajoutée le 27 février 2012 par une I.P. (voir ici) et elle ne fait effectivement pas sérieux. Je vais mettre un renvoi au livre en latin et en espagnol de 1860 ou, quand j'aurai eu le temps de m'en occuper, au livre de 1857 en refaisant la traduction (je ne suis pas chez moi actuellement). Amicalement. Gustave G. (d) 3 juillet 2013 à 17:01 (CEST)[répondre]