Discussion:Accord général sur le commerce des services

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Il est possible de faire un lien vers une page en affichant un autre nom, cela évite de faire des pages en double comme par exemple nationaliser et nationalisation. Je modifie ton texte.Luk 20 jul 2004 à 09:48 (CEST)

J'étais assez surpris de lire le passage suivant que j'ai ôté faute de mieux:

"Cette baisse des subventions, qui peut également être décidée par les Etats, entraine un mécontentement des usagers (du train, de la sécurité sociale, etc.) du fait de la baisse de la qualité du service et un mécontement des salariés des services publics. Les gens souhaitent alors autre chose et lorsque l'on propose de privatiser en promettant d'augmenter l'efficacité et donc le service et de baisser les prix, le public cède aux pressions.[1] En fin de compte, l'AGCS fait partie des différentes actions politiques visant à privatiser les services publics."

  1. Noam Chomsky, De la propagande, p160-164, Collection Fait et Cause, (ISBN 2-264-03761-X)
J'avoue que la phrase est spectaculairement mal construite (ou traduite), et qu'en plus le raisonnement me paraît trop simpliste pour être du Chomsky. Où commence la citation exactement? Popo le Chien ouah 1 septembre 2008 à 13:39 (CEST)[répondre]
Il s'agit d'un résumé des pages 160 à 164. La référence a Chomsky concerne notamment la phrase qui précéde la référence. As-tu le livre en question ? --Circular (d) 7 septembre 2008 à 11:18 (CEST)[répondre]
Non, malheureusement pas celui-là. Bon, Chomsky n'est pas le plus neutre des auteurs non plus.
En fait ce qui me gène le plus est la première phrase, qui visiblement repose sur des exemples précis (les trains britanniques, la couverture maladie aux USA je suppose vu l'auteur), mais en néglige d'autres à l'opposé (le téléphone en Afrique, la CGN en Corse). La dernière phrase est, elle, un peu trop péremptoire: les États n'ont pas d'obligation de privatisation (bien des entreprises publiques sont de confortables vaches à lait qu'il serait sot de vendre en totalité), mais l'obligation d'empêcher les monopoles (qui sont souvent publics, en tout cas pour les plus indéboulonnables d'entre eux).
Il faudrait tourner les deux d'une manière à la fois plus vague (pour la première) et plus précise (pour la dernière, en disant un truc genre "<insérer auteur universitaire ou homme politique d'envergure> dit que cela conduirait forcément à la privatisation des services publics<ref>". Popo le Chien ouah 8 septembre 2008 à 18:10 (CEST)[répondre]