Discussion:Études postcoloniales

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Discussions sur la PdD de Études postcoloniales avant fusion[modifier le code]

Spécialiste du post-colonial, je trouve tout à fait erroné le lien restreint qui lie cette page à l'Histoire stricto sensu. Le concept de post-colonial est avant tout un concept de théorie littéraire qui a ensuite été investi et adopté par les chercheurs en "cultural studies". Par ailleurs, je suis volontaire pour enrichir cette entrée. Guillaume Cingal 12 mai 2006 à 12:41 (CEST)[répondre]

Deux notices ?![modifier le code]

Les deux articles Postcolonialisme et Études postcoloniales disent tous deux que Postcolonialisme et Études postcoloniales sont une seule et même chose mais continuent d'exister parallèlement. Soit ils ont raison et il faut les fusionner, soit ils ont tort et il faut les modifier.

Ceci étant, il me semble qu´on utilise aussi postcolonialisme dans le sens d'une situation succédant au colonialisme, de manière plus nuancée que néocolonialisme (c'est en tout cas ce que je fais, mais peut-être est-ce un usage discutable... : "En Afrique coloniale et postcoloniale, la peau claire, celle du colonisateur, est un modèle, et d’innombrables femmes détruisent leur épiderme en croyant pouvoir le blanchir." [travail en cours]). Auquel cas s'ouvrirait un autre espace pour postcolonialisme...

--Dgreusard (discuter) 2 septembre 2018 à 11:12 (CEST)[répondre]

La fusion paraît intéressante et il est tout à fait possible de consacrer, au sein de l'article Études postcoloniales, des sections Postcolonialisme et Néocolonialisme permettant de nuancer/préciser les concepts. Pour le titre de la page finale, ma préférence irait, comme vu ci-dessus à Études postcoloniales. Cordialement ~ Antoniex (discuter) 2 septembre 2018 à 12:26 (CEST)[répondre]

Discussions sur la PdD de Postcolonialisme avant fusion[modifier le code]

Avis anonyme[modifier le code]

le postcolonialisme est encore en débat. il se pose de plus en plus comme une science qui va redonner au culture perdu de pays colonnisé une seconde vie... sur ce point la science politique en Afrique l intègre deja dans ses programmes, et veut en faire une discipline qui va redonner aux Africains une vision plus digne de leur histoire. le drame c est que les auteurs se focalisent sur la colonisation ou les conquêtes coloniales commes fondement de ses etudes, au lieu de cibler dans la colonisation le problème majeur. le problème ici fut et continu d etre la domination qui de prêt ou de loin continue.Domination et négation raciale et infantilisation des peuples noirs. Achille mbembe :" de la postcolonie" hamadou kourouma "Allah n est pas obligé" joseph ki zerbo "histoire générale de l Afrique" si la bibliographie revêt un caractère littéraire et historique, le caractere culturel doit etre le principal objectif des études postcolonial.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 41.202.219.65 (discuter)

Sur le passage n force d'une I.P[modifier le code]

  • L'Amérique du Sud était déjà indépendante au début du XIXe siècle longtemps avant les autres et les processus cognitifs, culturels et historiques de ces sociétés ne permettent pas de l'inclure dans le concept d' "études postcoloniales[1]" né à partir des années 50.

Une i.p tente de rajouter ceci en force en supprimant les colonies espagnoles et portugaises. J'ai supprimé la référence à wikipédia (wikipédia n'est pas une source pour wikipédia); ainsi qu' une source grossièrement détournée (sur l'indépendance de l'amérique du sud - basé sur une recension à propos d' amérique latine). L'article CAIRN ici cité n'est pas consultable (pour l'instant) mais au mieux ne refléterait que l'avis d'une chercheuse et pas une généralité à placer en intro. --Anar déchaîné (discuter) 30 mars 2017 à 04:10 (CEST)[répondre]

Je m'apprêtais à dire que l'IP avait plutôt raison car l'Amérique du Sud n'est pas incluse dans les études postcoloniales classiques mais il semblerait que je me serais trompé... l'article d'Emmanuelle Sibeud (l'une des spécialistes françaises de la question dont l'avis est parfaitement recevable) ne parle absolument pas de l'Amérique sauf pour dire : « Cette définition large du post-colonialisme permet l’explosion des Post-Colonial Studies dans les années 1990. Le champ s’élargit à toutes les colonisations modernes depuis la découverte de l’Amérique (...). »
Donc en fait la référence à l'article peut être conservée pour justifier la version que tu a restaurée Émoticône
Si l'IP continue ses passages en force à base de détournement de sources il faudra demander une semi-protection. Un historien (discuter) 30 mars 2017 à 10:16 (CEST)[répondre]

Deux notices ?![modifier le code]

Les deux articles Postcolonialisme et Études postcoloniales disent tous deux que Postcolonialisme et Études postcoloniales sont une seule et même chose mais continuent d'exister parallèlement. Soit ils ont raison et il faut les fusionner, soit ils ont tort et il faut les modifier.

Ceci étant, il me semble qu´on utilise aussi postcolonialisme dans le sens d'une situation succédant au colonialisme, de manière plus nuancée que néocolonialisme (c'est en tout cas ce que je fais, mais peut-être est-ce un usage discutable... : "En Afrique coloniale et postcoloniale, la peau claire, celle du colonisateur, est un modèle, et d’innombrables femmes détruisent leur épiderme en croyant pouvoir le blanchir." [travail en cours]). Auquel cas s'ouvrirait un autre espace pour postcolonialisme...

--Dgreusard (discuter) 2 septembre 2018 à 11:11 (CEST)[répondre]

Bonjour Notification Dgreusard, je suis favorable à la fusion et, en l'absence d'opposition, la procédure sera engagée après deux ou trois jours. Études postcoloniales vous convient-il comme titre pour la page finale ? Cordialement ~ Antoniex (discuter) 2 septembre 2018 à 12:51 (CEST)[répondre]
En effet, la fusion paraît logique dans l'état actuel des articles. Pour ma part Postcolonialisme me paraîtrait plus respectueux du principe de moindre surprise mais je me plierais à l'avis majoritaire. Un historien (discuter) 2 septembre 2018 à 23:54 (CEST)[répondre]
Idem Un historien (d · c · b). Même si je vois quelques nuances entre les deux termes, puisque les "études coloniales" ont mené à cette rhétorique du "postcolonialisme" dans laquelle Edward Saïd ne reconnaissait pas complètement. Chris93 (discuter) 3 septembre 2018 à 22:42 (CEST)[répondre]
Merci à Antoniex et aux autres contributeurs pour leurs réactions. Je n'ai pas de légitimité sur ce sujet. Toutefois, comme je l'avais noté, il me semble que Postcolonialisme comporte une ambiguïté et qu'Études postcoloniales ne pose pas ce problème. La page Postcolonialisme pourrait devenir une page d'homonymie (même si le second sens n'ouvre pas une page pour l'instant...), ou, si ma position est contestée par les experts, renvoyer à Études postcoloniales ? --Dgreusard (discuter) 8 septembre 2018 à 15:25 reproduit ici~ Antoniex (discuter) 8 septembre 2018 à 16:09 (CEST) [répondre]
En histoire et en études littéraires, « postcolonialisme » est utilisé en référence aux études postcoloniales donc à mon sens il n'y a pas vraiment d'ambiguïté. L'adjectif « postcolonial » (ou « post-colonial ») peut parfois être utilisé simplement pour distinguer l'état qui suit la colonisation, sans référence directe aux théories du postcolonialisme, mais ce n'est pas le cas majoritaire. En tout cas je vous promets qu'en octobre j'irai tenter d'améliorer tout ça à partir de sources francophones de référence. Un historien (discuter) 9 septembre 2018 à 08:48 (CEST)[répondre]

Fusion opérée[modifier le code]

Bonjour @Celette, @Chris93, @Un historien, @Krosian2B, @Dgreusard et @TuhQueur, la fusion est faite. Merci aux volontaires compétents sur le sujet (ce que je ne suis pas) de vérifier, réorganiser et compléter. Cordialement (bon courage Émoticône) ~ Antoniex (discuter) 14 septembre 2018 à 16:48 (CEST)[répondre]

Le résultat est impressionnant... Dgreusard (discuter) 14 septembre 2018 à 22:30 (CEST)[répondre]

La section « Hybridité stratégique » sans rapport direct avec le postcolonialisme[modifier le code]

Cette section parle non pas des études postcoloniales mais de certaines pratiques historiques de conquérants qui se sont appuyés pour gouverner sur une partie des populations conquises. Par conséquent elle aurait sa place éventuellement dans un article sur l'histoire de la colonisation. Au passage, il y est dit que Napoléon Bonaparte arrive "quelques siècles plus tard" après Alexandre le Grand...

Conclusion : étant hors sujet, elle doit être supprimée.--JMGuyon (discuter) 20 mai 2021 à 22:57 (CEST)[répondre]

Problèmes dans la section «L'hybridité ou métissage»[modifier le code]

  • Cette section qui compte 23 lignes (dans le grand format "ancien") n'en comporte que 6 sur le concept d'hybridité dans la théorie postcoloniale. Les 5 premières lignes rappellent le sens de «hybridité» depuis Darwin (est-ce vraiment utile ?). Les 12 dernières lignes évoquent des critiques de la notion d'hybridité culturelle, dont on a à peine compris ce qu'elle recouvrait, au cours des 6 lignes qui lui sont consacrées. Avant la suppression que je viens d'opérer, il y avait à la suite un long développement sur l"hybridité stratégique" pratiquée par certains conquérants, tout cela noyant complètement l'hybridité culturelle des théoriciens du postcolonialisme. Il y a là un problème de proportion.
  • Dans une phrase de transition entre le paragraphe sur l'hybridité culturelle et celui sur les critiques, on lit : «Cette théorie, qui a dominé les débats postcoloniaux ces vingt dernières années, a beaucoup d’adeptes ; elle compte aussi des détracteurs.». Or on n'a, ensuite, que les détracteurs, et aucun nom d'adepte. Il y a là comme un biais (?).
  • Les 12 dernières lignes exposant des critiques par les détracteurs est pour une part incompréhensible. Le lecteur vient d'apprendre que l’hybridité selon son théoricien Bhabha ouvre « un troisième espace » intermédiaire, « un lieu d’énonciation » privilégié où les constructions binaires et essentialistes sont abolies. Or juste après, on trouve le contraire, sans la moindre explication : «John Hutnyk, Jan Pieterse Nederveen et Amar Acheraiou, parmi tant d’autres, reprochent concrètement à la théorie de Bhabha son inefficacité politique, mais aussi sa propension à créer de nouveaux essentialismes.» Comment une théorie anti-essentialiste devint-elle essentialiste ? Il faut soit en toucher un mot, soit supprimer, autrement cela apparaît comme une accusation gratuite.
  • Dans ces mêmes douze dernières lignes, d'autres propos paraissent injustifiés : la théorie de Bhabha «tend également à marginaliser la question de « race » et de racisme. Pour Nederveen, par exemple, la théorie de l'hybridité est « inutile », et il la considère, au mieux, comme un pur « non-sens »[2]. Hutnyk, quant à lui, juge cette théorie « creuse » d’un point de vue géopolitique[3]

Enfin tout le propos reprenant Questioning Hybridity, Postcolonialism, and Globalization (2011), de Amar Acheraiou, paraît naïf : il est bien évident que le postcolonialisme ne se donne pas pour mission de défendre les pratiques de la colonisation française en Algérie ou celles d'Alexandre le Grand.

Conclusion : pour que cette section ait un intérêt encyclopédique, il faudrait lire les références, et restituer mieux que ne l'ont fait ses rédacteurs(trices), ce que disent les sources. Je laisse les références, et supprime le texte. --JMGuyon (discuter) 20 mai 2021 à 23:23 (CEST)[répondre]

Problèmes dans la section «L'Identité» : sources inappropriées, confusion entre études postcoloniales et sociétés postcoloniales[modifier le code]

Cette sous-section dans la section « Thèmes principaux » est sourcée uniquement avec des historiens des sociétés africaines et caribéennes. Il y a là une confusion entre d'une part la discipline des études postcoloniales, sujet de l'article, discipline qui associe théorie littéraire, philosophie, épistémologie, études culturelles etc ; et, d'autre part, l'histoire des pays colonisés.

La section "L'identité" aurait donc sa place dans un article sur l'histoire moderne de l'Afrique ou des Caraïbes. Elle n'a rien à faire ici.

J'attends d'éventuels avis avant de la supprimer intégralement--JMGuyon (discuter) 22 mai 2021 à 21:39 (CEST)[répondre]

Renommage[modifier le code]

Le mot postcolonialisme est ambigu : il peut faire référence aux études postcoloniales (souvent anticolonialistes) ;il peut renvoyer aussi à des réalités d'après la colonisation, on parle ainsi de sociétés postcoloniales, de racisme postcolonial, de discriminations postcoloniales etc.

Pour éviter que des gens ne publient ici des hors sujet, comme celui dont j'ai annoncé plus haut la suppression, je renomme l'article Études postcoloniales. --JMGuyon (discuter) 31 juillet 2021 à 23:07 (CEST)[répondre]

La section Identité supprimée[modifier le code]

transférée ici,au cas où qqn saurait en faire qqchose :

L’identité n’est pas fixe ou finie, mais est en construction permanente, et ceci vaut autant pour les identités individuelles que collectives ou nationales. Dans les pays anciennement colonisés la question identitaire occupe une place importante, et certains de ces pays peinent encore aujourd’hui à assainir des clivages identitaires hérités de la colonisation ou exacerbés par cette dernière[4]. Pendant des décennies, le colonialisme a exercé sur les peuples colonisés une domination politique et économique associée à une emprise culturelle qui se caractérise par une dévalorisation systématique de leur passé et de leurs cultures. Dans les années 1950 et 1960, des luttes anticoloniales éclatèrent un peu partout dans le monde colonisé et avaient pour objectif la libération complète du joug colonial. À cette période, c’est précisément dans leur passé et héritage culturel longtemps méprisés, et désormais réhabilités, voire idéalisés par les colonisés, que ces derniers ont puisé les idées nationalistes qui leur ont permis de mobiliser les masses contre le colonisateur.

En Afrique, cette mobilisation du passé et de l’identité collective contre le colonialisme a été propulsée par le mouvement de la négritude initié par les poètes Aimé Césaire et Léopold Sédar Senghor. Ces deux poètes incitaient les Africains à réhabiliter leurs cultures et leur passé dévalorisés par le colonisateur afin de se défaire définitivement des représentations coloniales.

La lutte des anciennes colonies pour la reconstruction identitaire se poursuivit après l’indépendance. Et vite la place de l’héritage colonial, notamment la langue du colonisateur au sein des nouvelles sociétés postcoloniales, occupa le centre des débats. Remplacer ces organes d’oppression qu’étaient les langues coloniales par des langues locales s’avéraient être la première étape de cette décolonisation culturelle, et pourtant dans les faits cela se révélait être beaucoup plus compliqué qu’on le pensait alors. Sur le continent africain, dans des pays tels que le Nigeria, par exemple, on trouve 478 langues et pas une seule de ces langues n’est comprise de tous les habitants pour servir de langue nationale[5]. Ainsi, pour des raisons purement pratiques, plusieurs anciennes colonies continuaient à utiliser au niveau administratif et dans l’enseignement les langues coloniales, même si celles-ci étaient encore largement perçues comme un véhicule d’oppression.

Dans des pays comme l’Algérie, par ailleurs, malgré une forte volonté nationaliste de se défaire de la prédominance du français dans l’administration et le domaine de l’enseignement, il a fallu plusieurs années pour que l’Arabe classique devienne la langue nationale de ce pays, et ce au détriment des autres dialectes ou langues locales, notamment le berbère, qui, jusqu'à tout récemment, était marginalisé et opprimé par le gouvernement algérien[6].

Dans d’autres régions anciennement colonisées, notamment les Caraïbes, la reconstruction identitaire a pris une trajectoire différente. L’héritage colonial était souvent plus facilement intégré aux héritages africains dans une restructuration identitaire où les cultures et langues des anciens colonisateurs (le français, anglais, espagnol, portugais) côtoyaient (et côtoient toujours) le créole et d’autres dialectes locaux. Ceci a donné lieu à un espace hétéroclite de métissage linguistique, culturel, et religieux, qui reflète le passé tumultueux de ces régions (génocide, esclavage, colonisation, déplacement, immigration, notamment chinoise, indienne et libanaise qui forment de grandes diasporas qui ajoutent de nouvelles strates de métissage à cette région déjà très métissée). Aucun de ces peuples actuels des Caraïbes, il faut le préciser, n’est originaire de cette région et les premiers habitants de ces îles (les Arawaks, Caribes et Amérindiens) ont tous été décimés par les colons blancs. De fait, donc, ces nouvelles identités postcoloniales des Caraïbes, multiples et hybrides, ont vu le jour sur un sol qui n’était pas originairement le leur et se sont, pour ainsi dire, littéralement édifiées sur les vestiges de ces peuples autochtones[7],[8].

  1. Emmanuelle Sibeud, « Post-Colonial et Colonial Studies: enjeux et débats », Revue d’histoire moderne et contemporaine, vol. no51-4bis, no 5,‎ , p. 87–95 (ISSN 0048-8003, lire en ligne, consulté le )
  2. (en) Jan Petierse Nederveen, « Hybridity, so what? The Anti-Hybridity Backlash and the Riddles of Recognition », Theory, Culture and Society,‎ 2001 (vol.18-2), p. 219-45
  3. (en) John Hutnyk, « Adorno at Womad: South Asian crossovers and the limits of hybridity-talk in , 1997, Zed Books, (ISBN 1856494241). », Debating Cultural Hybridity, ed. by Tariq Modood and Pnina Werbner. Zed Books,‎ , p. 106-136
  4. Odile Goerg, Jean-Luc Martineau et Didier Nativel (dir), Les indépendances en Afrique L’événement et ses mémoires, 1957/1960-2010, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, (ISBN 978-2-7535-2749-2)
  5. (en) « Ethnologue - Lewis, M. Paul, Gary F. Simons, and Charles D. Fennig (eds.). 2016. Ethnologue: Languages of the World, Nineteenth edition. Dallas, Texas: SIL International. », sur http://www.ethnologue.com, (consulté le )
  6. Mohamed Benrabah, Langue et pouvoir en Algérie : Histoire d'un traumatisme linguistique, Paris, Séguier, (ISBN 2840491508)
  7. Emmett Williams, Histoire des caraibes, Présence Africaine,
  8. José del Pozo, Histoire de l'Amérique latine et des Caraïbes: de 1825 à nos jours, Les éditions du Septentrion,