Dijon Métropole

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Dijon Métropole
Blason de Dijon Métropole
Dijon Métropole
Le siège de Dijon Métropole situé à Dijon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Forme Métropole
Siège Dijon
Communes 23
Président François Rebsamen (PS)
Budget 320 573 009 [1]  (2017)
Date de création 1999
Code SIREN 242100410
Démographie
Population 257 193 hab. (2021)
Densité 1 072 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 00″ nord, 5° 02′ 00″ est
Superficie 240,0 km2
Localisation
Localisation de Dijon Métropole
Localisation de Dijon Métropole dans le département de la Côte-d'Or.
Liens
Site web metropole-dijon.fr
Fiche Banatic Données en ligne
Fiche INSEE Dossier complet en ligne

Dijon Métropole est une métropole française, située dans le département de la Côte-d'Or et la région Bourgogne-Franche-Comté.

Dijon Métropole a été créée le par transformation de la communauté urbaine du Grand Dijon.

Historique[modifier | modifier le code]

Intercommunalités précédentes[modifier | modifier le code]

Le SISAD[modifier | modifier le code]

En 1966 est créé le syndicat intercommunal des services de l’agglomération dijonnaise (Sisad) et qui regroupe les neuf communes d'Ahuy, Chenôve, Dijon, Fontaine-lès-Dijon, Longvic, Plombières-lès-Dijon, Quetigny, Saint-Apollinaire et Talant. Ce syndicat gère les transports urbains, les ordures ménagères et le service de secours et de lutte contre l’incendie, ainsi que l’agence d'urbanisme[2].

Le district[modifier | modifier le code]

Le district de Dijon est créé en 1976, à l’initiative du docteur Jean Royer, par cinq communes (Ahuy, Chenôve, Dijon, Plombières-lès-Dijon et Saint-Apollinaire) afin de gérer notamment les transports urbains, les ordures ménagères et les pompiers.

Le district passe à neuf communes en 1978 (Fontaine-lès-Dijon, Longvic, Quetigny et Talant rejoignant l’intercommunalité) puis à treize communes en 1984 (Chevigny-Saint-Sauveur, Daix, Neuilly-lès-Dijon, Sennecey-lès-Dijon).

Le district reprend les compétences du SISAD et prend les compétences liées au logement et à la réalisation de zones industrielles, telles que celles de Dijon-Chenôve et de Dijon-Saint-Apollinaire (futur Cap Nord). Ses compétences s'accroissent progressivement avec la gestion des sols en 1982, le crématorium et le cimetière en 1988, les actions de développement économique en 1993 et la « grande voirie »en 1994[3].

La communauté d'agglomération[modifier | modifier le code]

Carte des communes de Dijon Métropole (à l'époque, la Communauté d'agglomération du Grand Dijon) depuis le . En 2019, au sud-est, les communes de Neuilly-lès-Dijon et Crimolois ont fusionné pour former Neuilly-Crimolois.

La communauté de l'agglomération dijonnaise (COMADI) est fondée le , sous l'impulsion de Maurice Lombard, alors président du district de Dijon, pour remplacer ce dernier.

Présidée par Maurice Lombard, la naissante communauté d'agglomération dijonnaise regroupe 16 communes : les treize de l’ancien district (Ahuy, Chenôve, Chevigny-Saint-Sauveur, Daix, Dijon, Fontaine-lès-Dijon, Longvic, Neuilly-lès-Dijon, Plombières-lès-Dijon, Quetigny, Saint-Apollinaire, Sennecey-lès-Dijon et Talant) et trois nouvelles communes (Marsannay-la-Côte, Ouges et Perrigny-lès-Dijon).

Comme toutes les communautés d'agglomération, la COMADI est notamment financée par la taxe professionnelle unique qui assure une péréquation fiscale entre les communes pauvres et celles dotées d'un tissu économique important. Cela permet de financer de nouvelles compétences, telles que le développement économique, l'aménagement de l'espace communautaire, l'équilibre social de l'habitat, la politique de la ville, la protection et la mise envaleur de l'environnement et du cadre de vie, la voirie communautaire, l'eau et l'assainissement[4],[5]...

Le , cinq nouvelles communes rejoignent la communauté d'agglomération. Il s'agit des communes de Bressey-sur-Tille, Bretenière, Crimolois, Hauteville-lès-Dijon et Magny-sur-Tille. L'année suivante, la structure change de nom, pour devenir la Communauté d'agglomération du Grand Dijon, et le nom usuel « Grand Dijon » remplace celui de « Comadi ». En 2007, la commune de Fénay rejoint le Grand Dijon. Le , les communes de Corcelles-les-Monts et Flavignerot rejoignent le Grand Dijon, portant à 24 le nombre de communes associées.[réf. nécessaire]

La communauté urbaine[modifier | modifier le code]

Le , la communauté d'agglomération du Grand Dijon se transforme et prend le statut de communauté urbaine avec l'accord de toutes les communes membres (sauf Talant), exerçant un plus grand nombre de compétences, mais bénéficiant de ce fait de dotations d'état plus importantes[6].

La création de la métropole[modifier | modifier le code]

Le , avec l'approbation d'au moins la moitié des membres des conseils municipaux des communes concernées, la communauté urbaine du Grand Dijon est transformé en métropole sous le nom de « Dijon Métropole »[7],[8],[9].

Le , la commune nouvelle de Neuilly-Crimolois se substitue à Neuilly-lès-Dijon et Crimolois, ramenant à 23 le nombre de communes dans l’intercommunalité.

Territoire métropolitain[modifier | modifier le code]

Géographie[modifier | modifier le code]

Les grandes agglomérations les plus proches de la métropole sont :

Rose des vents Paris (263 km)
Rouen(375 km)
Lille (396 km) Strasbourg (246 km)
Metz (217 km)
Nancy (175 km)
Rose des vents
Nantes (498 km)
Orléans (244 km)
N Besançon (75 km)
O    Dijon    E
S
Clermont-Ferrand (228 km)
Bordeaux (514 km)
Toulouse (500 km)
Lyon (174 km)
Marseille (449 km)
Montpellier (423 km)
Grenoble (243 km)
Nice (439 km)

Composition[modifier | modifier le code]

La métropole est composée des 23 communes suivantes :

Liste des communes de l'intercommunalité
Nom Code
Insee
Gentilé Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Dijon
(siège)
21231 Dijonnais 40,41 159 346 (2021) 3 943
Ahuy 21003 Aqueduciens 6,4 1 584 (2021) 248
Bressey-sur-Tille 21105 Bresseyliens 7,26 1 122 (2021) 155
Bretenière 21106 Bretenièrais 6,03 912 (2021) 151
Chenôve 21166 Cheneveliers 7,42 14 445 (2021) 1 947
Chevigny-Saint-Sauveur 21171 Chevignois 12,11 10 944 (2021) 904
Corcelles-les-Monts 21192 Corcellois 14,33 644 (2021) 45
Daix 21223 Daixois 11,8 1 529 (2021) 130
Fénay 21263 Fédinois 10,46 1 697 (2021) 162
Flavignerot 21270 Flavignerotins 6,29 223 (2021) 35
Fontaine-lès-Dijon 21278 Fontainois 4,49 8 847 (2021) 1 970
Hauteville-lès-Dijon 21315 Hautevillois 9,01 1 217 (2021) 135
Longvic 21355 Longviciens 10,56 8 676 (2021) 822
Magny-sur-Tille 21370 Magnytillois 10,56 883 (2021) 84
Marsannay-la-Côte 21390 Marcenaciens 12,85 5 309 (2021) 413
Neuilly-Crimolois 21452 Neuilloisien 8,21 3 146 (2021) 383
Ouges 21473 Ougeois 12,1 1 604 (2021) 133
Perrigny-lès-Dijon 21481 Patriniens 6,71 2 249 (2021) 335
Plombières-lès-Dijon 21485 Plombiérois 16,21 2 518 (2021) 155
Quetigny 21515 Quetignois 8,19 8 869 (2021) 1 083
Saint-Apollinaire 21540 Épleumien 10,24 7 490 (2021) 731
Sennecey-lès-Dijon 21605 Senneçois 3,42 2 045 (2021) 598
Talant 21617 Talantais 4,9 11 894 (2021) 2 427

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique du territoire métropolitain
1968 1975 1982 1990 1999 2009 2014 2020 2021
192 337221 542224 605237 246244 027245 716249 845256 758257 193
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes.
Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au .
(Source : INSEE RGP 2020[10])

Organisation[modifier | modifier le code]

Siège[modifier | modifier le code]

Le siège de Dijon Métropole est situé à Dijon au 40, avenue du Drapeau[11]. La salle du conseil de Dijon Métropole porte le nom d'Alain Millot depuis le [12],[13].

Élus[modifier | modifier le code]

Le conseil métropolitain se compose de 86 conseillers[14], représentant chacune des communes membres et élus pour une durée de six ans.

Ils sont répartis comme suit[14] :

Nombre de conseillers Communes
43 Dijon
5 Chenôve, Talant
4 Chevigny-Saint-Sauveur, Quetigny
3 Fontaine-lès-Dijon, Longvic, Saint-Apollinaire
2 Marsannay-la-Côte
1 (+1 suppléant) les 14 autres communes

Présidence[modifier | modifier le code]

Dijon Métropole est administrée par le conseil métropolitain, composé de 86 conseillers métropolitains[15],[16],[17],[18],[19],[20],[21].

Lors du conseil métropolitain du 16 juillet 2020, François Rebsamen (PS, MoDem, MR, Cap21, UDE, PRG) a été élu président de Dijon Métropole avec 70,93 % des suffrages (soixante-et-un votes) contre 20,93 % des suffrages (dix-huit votes) pour Emmanuel Bichot (LR, Agir, UDI, LC, SL). On comptabilise également 8,14 % de bulletins blancs ou nuls (sept votes), dont 6,98 % de bulletins blancs (six votes) et 1,16 % de bulletins nuls (un vote).

L'exécutif (PS, MoDem, MR, Cap21, UDE, PRG) de Dijon Métropole est composé, pour le mandat 2020-2026, du président, de dix-huit vice-présidents et de dix conseillers métropolitains délégués[22],[23],[24].

  • Président : François Rebsamen (PS)
  • Premier vice-président : Pierre Pribetich (PS) Actes administratifs, éco-habitat, urbanisme, PLUI-HD, relations contractuelles avec la région, fonds européens

La répartition par partis de l'exécutif (PS, MoDem, MR, Cap21, UDE, PRG) de Dijon Métropole est la suivante : dix-sept élus du Parti socialiste, quatre élus du Mouvement démocrate, un élu du Mouvement radical, un élu de Cap21, deux élus ex-Europe Écologie Les Verts, deux élus Les Républicains et deux élus Sans étiquette. L'exécutif (PS, MoDem, MR, Cap21, UDE, PRG) est composé de dix-huit hommes et de onze femmes.

L'opposition (LR, Agir, UDI, LC, SL) est composée de huit élus qui forment le groupe Agir ensemble pour Dijon Métropole - Droite, Centre et Indépendants[25],[19],[26] présidé par Emmanuel Bichot (LR)[27].

Le groupe Agir ensemble pour Dijon Métropole - Droite, Centre et Indépendants a des représentants au sein de la commission d'appel d'offres, de la commission de délégation de service public, de la commission consultative des services publics locaux, de la commission de contrôle financier et du syndicat mixte Tille Vouge Ouche[28]. Le groupe d'opposition dispose d'une tribune de libre expression trimestrielle dans le magazine d'information de Dijon métropole publiée également sur le site internet et la page Facebook de Dijon Métropole[29],[30].

Liste des présidents des intercommunalités successives
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1982[31] mars 2001 Maurice Lombard RPR Sénateur de la Côte-d'Or (1980 → 1998)
mars 2001 avril 2014 François Rebsamen PS Maire de Dijon (2001 → 2014)
Sénateur de la Côte-d'Or (2008 → 2014)
Président de l'Etablissement public foncier local (EPFL)[32]
Démissionnaire à la suite de sa nomination comme ministre
avril 2014[33] juillet 2015[34] Alain Millot PS Maire de Dijon (2014 → 2015)
conseiller départemental de Dijon-2 (2015 → 2015)
Décédé en fonction
août 2015[35],[36] En cours
(au 16 juillet 2020)
François Rebsamen PS, Fédération progressiste (FP) Maire de Dijon (2015 → )

Majorité métropolitaine : PS, MoDem, MR, Cap21, UDE, PRG

Compétences[modifier | modifier le code]

Dijon métropole exerce les compétences qui lui ont été transférées par les communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

La métropole exerce de plein droit, en lieu et place des communes membres un ensemble des compétences en matière de développement et d'aménagement économique, social et culturel comme en matière d'aménagement de l'espace métropolitain[37].

La métropole exerce également certaines compétences facultatives[38], ainsi que des compétences départementales, car à compter du , la métropole bénéficie d'un transfert de certaines compétences du département de la Côte-d'Or[39].

Régime fiscal et budget[modifier | modifier le code]

Dijon métropole est un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre.

Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit, comme toutes les métropoles, la fiscalité professionnelle unique[11] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources.

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Projets et réalisations[modifier | modifier le code]

Réalisations[modifier | modifier le code]

Politique de la ville[modifier | modifier le code]

Quartier du Belvédère de Talant.

La politique de la ville étant une compétence de la métropole, celle-ci joue un rôle important dans la mise en place des opérations de rénovation urbaine dans les quartiers dit « sensibles ». La métropole de Dijon compte cinq quartiers prioritaires, rassemblant près de 20 000 habitants[48].

Alors que tous présentent un taux de pauvreté équivalent, Fontaine d'Ouche est le plus peuplé. Dans le cadre des projets de réhabilitations, il est classé d’intérêt régional par l'Agence nationale pour la rénovation urbaine tandis que Le Mail est d'intérêt national[48].

La ville de Chenôve a la plus grande part de logements sociaux de la métropole (43 %), tandis que Dijon, Talant et Longvic en comptent entre 16 et 31 %[48].

Quartier Commune Population
(2018)
Part HLM Pauvreté
Le Belvédère Talant 3 219 95 % 40,4 %
Le Mail Chenôve 5 037 68 % 43,7 %
Bief du Moulin Longvic 1 134 95 % 45,6 %
Les Grésilles Dijon 4 180 93 % 47,8 %
Fontaine d'Ouche Dijon 6 952 71 % 44,1 %

La Smart City à Dijon[modifier | modifier le code]

La Métropole de Dijon accorde une grande importance à la question du numérique et se veut la première métropole intelligente française[49]. L’attractivité économique du territoire est au cœur de la conception dijonnaise de la Ville Intelligente. Dijon Métropole obtient le label Métropole French Tech en juillet 2016 et crée, en partenariat avec la Région Bourgogne Franche Comté la Food Tech, alliant innovation numérique et alimentation[50]. En novembre 2017, la Métropole présente le « Projet Métropolitain » dans lequel le programme OnDijon est décrit comme un outil de gestion de la ville[51].

Le 14 novembre 2018 Dijon Métropole figure parmi les 7 finalistes des 473 candidats des World Smart City Awards lors de la Smart City Expo de Barcelone. Le World Smart City Award est décerné pour récompenser les idées, les projets et les stratégies mises en œuvre pour le développement urbain utilisant les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) afin d’améliorer les services urbains[52].

Le 11 mars 2019, l'Université de Bourgogne crée une chaire unique intitulée « Smart City et gouvernance de la donnée »[53] associée à plusieurs partenaires académiques et privés[54].

Si l’implication de Dijon Métropole pour intégrer les enjeux numériques de manière centralisée est remarquée à l’échelle nationale[55], le territoire métropolitain dijonnais n’assiste pas à une mobilisation particulière de ses habitants pour la mise en œuvre d’une politique du numérique de la Métropole. Une partie de l’opposition est contre l’importance accordée à la politique du numérique. Le projet OnDijon fait l’objet de critiques : Laurent Bourguinat, représentant de la droite et du centre, a déclaré en Conseil de Métropole de janvier 2019 que « Le projet OnDijon consommera en 2019 l’essentiel des dépenses de voirie. »[56].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Dijon Métropole : La métropole a voté son budget 2017 (le 22 décembre 2016)
  2. Grand Dijon, du district à la communauté urbaine, document mentionné en bibliographie, p. 6-7.
  3. Grand Dijon, du district à la communauté urbaine, document mentionné en bibliographie, p. 7.
  4. Grand Dijon, du district à la communauté urbaine, document mentionné en bibliographie, p. 8.
  5. Christiane Perruchot, « Dijon : la Comadi étend ses compétences », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. Marianne Picoche, « Dijon : Le Grand Dijon est devenue communauté urbaine le 1er janvier : La naissance officielle, hier 1er janvier 2015, de la communauté urbaine de Dijon, avec ses 24 communes, marquera un tournant décisif dans l'histoire de l'intercommunalité de la capitale bourguignonne », France 3 Bourgogne-Franche-Comté,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. « Le décret de la création de Dijon Métropole publié au Journal Officiel », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. Décret n° 2017-635 du 25 avril 2017 portant création de la métropole dénommée « Dijon Métropole », sur Légifrance
  9. Gabriel Zignani, « Création de la métropole dénommée « Dijon Métropole », La Gazette des communes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. INSEE, Recensement général de la population 2020, Document mentionné en liens externes.
  11. a et b « Dijon Métropole (N° SIREN : 242100410) », Fiche signalétique BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
  12. « Côte-d'Or - Hommage. Grand Dijon : la salle Alain Millot inaugurée », sur bienpublic.com (consulté le ).
  13. « Grand Dijon : La salle du conseil porte le nom d'Alain Millot - K6FM - La radio 100% Côte-d'Or », sur k6fm.com (consulté le ).
  14. a et b « Les élus métropolitains. », sur le site de la métropole (consulté le ).
  15. « Côte-d'Or - Politique. François Rebsamen (PS) réélu président de Dijon Métropole », sur bienpublic.com (consulté le ).
  16. « DIJON MÉTROPOLE : Le vote des conseillers métropolitains », sur infos-dijon.com (consulté le ).
  17. « COLLECTIVITÉ : François Rebsamen réélu président de Dijon Métropole », sur infos-dijon.com (consulté le ).
  18. « François Rebsamen reconduit à la présidence de Dijon Métropole », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté (consulté le ).
  19. a et b « Côte-d'Or - Politique. Emmanuel Bichot officialise son groupe d'opposition "Agir ensemble pour Dijon métropole " », sur bienpublic.com (consulté le ).
  20. « Le nouveau conseil de Dijon métropole est installé - K6FM - La radio 100% Côte-d'Or », sur k6fm.com (consulté le ).
  21. « Le Mag Dijon Métropole N53 Septembre 2020 », sur calameo.com (consulté le ).
  22. « Site internet de Dijon Métropole ».
  23. « Site internet de Dijon Métropole ».
  24. « Site internet de Dijon Métropole ».
  25. « Site internet de Dijon Métropole ».
  26. « DIJON MÉTROPOLE : Emmanuel Bichot crée un groupe politique », sur infos-dijon.com (consulté le ).
  27. « Site internet de Dijon Métropole ».
  28. « Site internet de Dijon Métropole ».
  29. « Dijon Metropole n°54 - Décembre 2020 », sur calameo.com (consulté le ).
  30. « Site internet de Dijon Métropole ».
  31. « Biographie Maurice Lombard », sur Who's Who in France.
  32. Patrice Bouillot, « François le conquérant », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. AFP, « Dijon : Alain Millot succède à François Rebsamen à la tête de la communauté d'agglomération : Alain Millot a succédé ce jeudi à François Rebsamen, devenu ministre du Travail, à la tête du Grand Dijon », RTL,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Alain Millot a été élu à la tête de la communauté d'agglomération avec 58 voix sur 79, contre 3 pour le candidat FN Edouard Cavin ».
  34. « Dijon : mort d'Alain Millot, maire de Dijon (PS) : Le maire de Dijon, Alain Millot, ancien premier adjoint de l'actuel ministre du Travail, François Rebsamen, est mort ce lundi à 63 ans d'un cancer », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Rebsamen quittera le ministère du Travail s'il est élu maire de Dijon : François Rebsamen quittera le gouvernement s'il est élu maire et président de la communauté urbaine de Dijon (Côte-d'Or) lors des élections organisées après le décès d'Alain Millot lundi dernier », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Comme nous l'annoncions ce jeudi matin dans nos colonnes, le ministre du Travail François Rebsamen va briguer la mairie de Dijon (Côte-d'Or) ainsi que la communauté urbaine après le décès d'Alain Millot lundi dernier. Le ministre, toujours élu municipal et conseiller de la communauté urbaine de la capitale bourguignonne, avait cédé ses mandats à son premier adjoint Alain Millot, lors de sa nomination au gouvernement en avril 2014 ».
  36. A.M et S.G., « François Rebsamen reprend la mairie et le Grand Dijon », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ) « François Rebsamen est élu maire de Dijon avec 46 voix (11 votes blancs et 2 voix pour Édouard Cavin) ».
  37. Article L 5217-2 du Code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  38. Article 4 du décret no 2017-635 du portant création de la métropole dénommée « Dijon Métropole ».
  39. « Signature de l’arrêté préfectoral portant transfert de compétences entre le Conseil départemental de la Côte-d'Or et Dijon-Métropole » [PDF], Communiqués de presse 2019, Préfecture de la Côte-d'Or, (consulté le ).
  40. « Keolis renouvelé à Dijon »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur keolis.com, (consulté le ).
  41. [PDF] « Séance du 12 novembre 2008 », Compte-rendu du Conseil de Communauté de l'agglomération dijonaise, sur grand-dijon.fr, (consulté le ), p. 8-10.
  42. Usine d’incinération de Dijon Métropole, trier pour valoriser matières et énergie (14 février 2013)
  43. « La carte Culture : c'est quoi ? », sur le site du Grand Dijon (consulté le ).
  44. « Dossier: Le quartier Junot », sur dijon-ecolo.fr (consulté le ).
  45. « Le stade d'athlétisme Colette Besson », sur le site du Grand Dijon (consulté le ).
  46. « Qu’est-ce que Velodi ? », sur le site de Velodi (consulté le ).
  47. « La LINO », sur le site du Grand Dijon (consulté le ).
  48. a b et c EPCI : Dijon Métropole sur sig.ville.gouv.fr
  49. Métropole Dijon, « ONDijon, Métropole Intelligente et Connectée », sur Dijon Métropole Actualités (consulté le ).
  50. Christophe Tarrisse, « Le gouvernement étend le label French Tech à 21 territoires dont Dijon et Chalon », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).
  51. DIJON METROPOLE, « Le Projet Métropolitain », sur Dijon Métropole, (consulté le ).
  52. Le Bien Public, « Ville intelligente : Dijon n'a pas remporté le prix », sur Le Bien Public, (consulté le ).
  53. Lucas Boncourt, « Dijon accueille une chaire universitaire dédiée à la smart city », sur La banque des territoires, (consulté le ).
  54. « « Dijon Smart City et gouvernance de la donnée », une chaire unique en France inaugurée », sur Infos Dijon, (consulté le ).
  55. Jamal El Hassani, « À Dijon et Angers, la smart city tout-en-un », sur Journal du Net, (consulté le ).
  56. « Dijon Métropole : le projet « On Dijon » réalisé au détriment des dépenses de voirie ? », sur Le Bien Public, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]