Famille de Penfentenyo

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Famille de Penfentenyo
Image illustrative de l’article Famille de Penfentenyo
Armes

Blasonnement Burelé de dix pièces de gueules et d'argent.
Devise « Plura quam exopto »
(Plus que je ne souhaite)
Branches de Cheffontaines et de Kervereguin. Éteintes : de Kermorvan; de Poulbroch-Trévieu ; de Villeneuve ; de Mesgral; de Kermorus.
Période XIVe siècle- XXIe siècle
Pays ou province d’origine Drapeau du duché de Bretagne Duché de Bretagne, paroisse de Sibiril, évêché de Léon
Allégeance Drapeau du duché de Bretagne Duché de Bretagne
Fiefs tenus Cheffontaines, Mesnoalet, Coetquenon, Coatconq, Kermoruz, la Villeneuve, Bodigneau, Mesgral, Kergoet, Kermorvan, Kermoal, Penhoet, Kermoal, Kermoman, Kosquer, Kermorus, Kerfilin…
Demeures Cheffontaines, Kervéréguin, la Ville Bague,la Cour, le Rongoët…
Charges Gouverneur de l'île Bourbon, député du Finistère en 1822 et 1824, préfet maritime en 1938…
Fonctions militaires Aide de camp du prince de Condé, aide de camp du duc d'Enghien, 2 maréchaux de camp, général de cavalerie, contre-amiral, vice-amiral d'escadre
Fonctions ecclésiastiques Général de l'Ordre de Saint-François puis archevêque de Césarée
Récompenses civiles 1 page d'Anne de Bretagne, 3 pages du roi
Récompenses militaires Commandeurs de l'ordre de Saint-Louis, grand-croix de la Légion d'honneur, commandeur de la Légion d'honneur…
Preuves de noblesse
Montres 1481, 1503, 1534, paroisse de Sibiril, Cléder et Minihi, évêché de Léon
Réformation de la noblesse 1426-1456, 1669 sur dix générations
Admis aux honneurs de la Cour 18 mars 1788

La famille de Penfentenyo, originaire de Sibiril, dans l'évêché de Léon en Bretagne, est une famille d'extraction chevaleresque sur preuves de 1393. Elle bénéficie des honneurs de la Cour en l'année 1788.

La famille de Penfentenyo fait partie des familles subsistantes de la noblesse française. Elle est inscrite à l'ANF depuis 1968[1].

Cette famille compte parmi ses membres un gouverneur de l'île Bourbon de 1826 à 1830, des officiers généraux, un archevêque, un député, un préfet maritime.

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

À partir de Jehan de Penfentenyo, premier du nom et marié en 1393, la lignée est prouvée et suivie sans interruption[2]. C'est en 1651 que la famille se scinde en deux branches : les Cheffontaines se fixant à Clohars-Fouesnant et la branche cadette Kervereguen, qui s'installe à Loctudy.

Cheffontaines est la traduction du breton Penfeunteuniou (pen : tête ou chef, feunteuniou : fontaines)[3]. Le nom le plus ancien du domaine est Kergoët (nom du château qui a précédé celui de Cheffontaines en Clohars-Fouesnant).

L'ancêtre le plus ancien connu est Jehan de Penfeunteuniou, né vers 1360, décédé vers 1423, et marié avec Amice de Launay. Son petit-fils est Guiomarc'h de Penfeunteuniou, seigneur de Kermorus[réf. souhaitée], un manoir situé à Saint-Pol-de-Léon et marié avec Ollive le Ny de Kersauson. L'arrière-petit-fils de Guiomarc'h de Penfeunteuniou, François de Penfeunteuniou de Kermorus, né vers 1570 à Saint-Pol-de-Léon, épouse en 1593 Jeanne Marie de Lanros, héritière du château de Kergoët en Clohars-Fouesnant, ce qui explique très probablement pourquoi la famille fait souche désormais dans cette paroisse et ses environs. Leur fils Charles de Penfentenyo, né le à Saint-Pol-de-Léon se marie le à Plouisy avec Marie Fleuriot, fille de feu noble et puissant Charles Fleuriot, seigneur de Kernevenoy, Kernabat, Kergrech, Kergarich et Kerogou, chevalier de Saint-Michel . Le couple a seize enfants ; parmi eux, les deux aînés sont les fondateurs des deux principales lignées à avoir fait souche :

  • Jean-Baptiste de Penfentenyo, baptisé à Saint-Pol-de-Léon en , marié à Marie Jobart, dame de Saint-Georges, à l'origine de la branche de Cheffontaines[4]
  • Sébastien de Penfentenyo, baptisé à Fouesnant le , marié à Marguerite de Kerveregen, fille de feu noble messire René, seigneur de Kerveregen, à l'origine de la branche des Penfentenyo de Kervéregen[5].

Elle est maintenue noble d'ancienne extraction en Bretagne en 1669[6].

La famille de Penfentenyo était titulaire des seigneuries de Penfeuntenyo (paroisse de Sibiril); de Kermorus et de Lesvestric (paroisse du Saint-Pol-de-Léon) ; de Villeneuve (Kernevez-Rossunan[7], paroisse de Plouvien) ; du Louc'h, de Mesgral (paroisse de la Forest), de Mesnoalet (paroisse de Guilers) ; sr. de Coëtconq, sr. de Kermorvan (paroisse de Trébabu) ; sr. de Penhoët (paroisse de Plougonven) et de nombreux autres lieux[8].

Cette famille s'est divisée en plusieurs branches, dont cinq branches sont éteintes : les Penfentenyo de Kermorvan ; les Penfentenyo de Poulbroch-Trévieu ; les Penfentenyo de Villeneuve (Kernevez-Rossunan); les Penfentenyo de Mesgral ; les Penfentenyo de Kermorus. Seules deux sont subsistantes : les Penfentenyo de Cheffontaines et les Penfentenyo de Kervereguen.

Le commando de Penfentenyo porte le nom d'Alain de Penfentenyo de Kervéréguin, blessé mortellement en 1946 en Indochine française[9].

La gwerz du page de Louis XI[modifier | modifier le code]

Une gwerz, traduite par Théodore Hersart de La Villemarqué, raconte l'histoire tragique d'un page de Louis XI, originaire de Bodinio en Clohars-Fouesnant et ami de Jean III de Penfentenyo, lui aussi alors page du roi :

Le petit page du roi est en prison pour un coup qu'il a fait,
Pour un coup hardi, il est à Paris dans une dure prison.
Là, il ne voit ni le jour, ni la nuit ; il a pour lit une poignée de paille ;
Pour nourriture du pain de seigle, et de l'eau du puits pour boisson.
Là, personne ne vient lui rendre visite, excepté les souris et les rats,
Les souris et les rats, voilà sa seule distraction.
Pt, un jour, par le trou de la serrure, il disait à Penfentenio :
« Iannick, toi mon meilleur ami, écoute-moi un peu.
Rends-toi au manoir, chez ma sœur, et dis-lui que je suis en danger,
En grand danger de perdre la vie par les ordres injustes du roi.
Si ma sœur venait me voir, elle consolerait mon cœur.»
Penfentenio, l'ayant entendu, partit pour Kemper.
Il y a cent trente lieues à peu près de Paris à Bodinio,
Et cependant il les fit, l'enfant de Cornouaille, en deux nuits et demie et un jour.
Quand il entra dans la salle de Bodinio, elle rayonnait de l'éclat des lumières ;
La dame donnait à souper à la haute noblesse du pays.

La suite de la gwerz raconte comment, informée par Penfentenio, la sœur du page se rend à Paris, mais arrive juste trop tard, le page venant juste d'être décapité sur l'échafaud ; elle s'adresse au roi :

« Quel crime a-t-il commis, que vous l'avez décapité ?
Il a joué de l'épée sans l'agrément du roi, et tué le plus beau de ses pages »

Le roi explique sa sentence :

« Il s'est mis en colère et a cherché querelle à mon page favori ;
Et tout de suite, épée contre épée, pour avoir entendu le dicton bien connu,
Ce vieux dicton, cette vérité : "Il n'est d'hommes en Bretagne que des pourceaux sauvages" ».

Elle dit alors au roi :

« Lorsque bientôt j'aurai fait voir à mes compatriotes mon voile ensanglanté ;
Alors tu verras si la Bretagne est peuplée de pourceaux sauvages ».
Or, deux ou trois semaines après, arriva un messager à la cour ;
Il arrivait du pays des Normands avec des lettres scellées,
Des lettres scellées de rouge, à remettre au roi Louis sur l'heure.
Quand le roi les eut lues, il roula des yeux noirs,
Il roula des yeux aussi noirs que ceux d'un chat sauvage pris au piège :
« Malédiction rouge ! Si j'avais su, la l'aie ne m'eût pas échappé !
Je perd plus de dix mille écus et de dix mille hommes pour un ! »

Les lettres du messager normand apprenaient l'avance des Bretons en direction de Paris[10].

Le texte intégral de cette gwerz, ainsi que les commentaires joints, sont disponibles sur un site Internet[11], y compris en version bilingue breton et français[12]. Cette gwerz fait allusion à des événements survenus en 1465, 1467 ou 1468 et notamment à la révolte des grands féodaux contre le roi Louis XI connue sous le nom de "Ligue du Bien public".

Personnalités[modifier | modifier le code]

Filiation[modifier | modifier le code]

Branche de Penfentenyo de Cheffontaines[modifier | modifier le code]

  • Jean Baptiste Sébastien de Penfentenyo (1623-1667), déjà cité. Marié en 1651 à Marie Jobart, dame de Saint-Georges [15],[16].
  • François Hyacinthe de Penfentenyo (1663-1717), chevalier, seigneur de Cheffontaines, créé baron de Cheffontaines en 1680. Il avait épousé en premières noces, en 1681, sa cousine Suzanne-Corentine de Penfentenyo, morte sans postérité. Puis, en secondes noces, en 1717, Marie-Jeanne de Guinguené, dame de La Villeneuve.
  • François Louis Hyacinthe de Penfentenyo (1717-1775) chevalier, seigneur de Cheffontaines. Il est châtelain de Bodigneau et de Kerggoët, officier aux Gardes françaises, chevalier de Saint-Louis. Il se marie en premières noces, en 1750 à Morlaix avec Marie Jeanne du Coëtlosquet (1732-1751), puis en deuxièmes noces, en 1772, avec Renée-Rosalie de Trévelec[17].
  • Jonathas 1er Marie Hyacinthe de Penfentenyo (1751-1844), fils du précédent, (1er lit), « marquis » de Cheffontaines, page de la petite écurie du roi en 1765, admis aux Honneurs de la Cour avec un titre de marquis, le [18]. Il se marie en 1772 à Saint-Coulomb avec Julie-Marie-Rose Éon du Vieuxchatel. En 1793, il émigre en Allemagne à Hambourg et ses biens sont vendus comme biens nationaux[19].
  • Achille Adrien Joseph Marie de Penfentenyo de Cheffontaines (1806-1874), deuxième fils du précédent, général de brigade, commandeur de la Légion d'honneur.

Branche de Penfentenyo de Kervéréguen[modifier | modifier le code]

  • Sébastien de Penfentenyo Kermorus (1628-1674), chevalier, marié en 1651 avec Marguerite de Kervéréguen, fille de René, seigneur de Kervéréguen[23].
  • Jean Baptiste de Penfentenyo, (1654-), chevalier, seigneur de Kervéréguen, marié en 1682 avec Marguerite d'Acigné, fille de Charles d'Acigné, seigneur de Kernabat [24]
  • Jean François Marie de Penfentenyo (1726-1812), - petit-fils de Jean Baptiste de Penfentenyo - chevalier, seigneur de Kervereguen. Lieutenant des vaisseaux du roi, chevalier de Saint-Louis. Il épouse vers 1760 Hélène-Élisabeth Bobet, dame de Lanhuron.
  • Jean Morice de Penfentenyo de Kervéréguen (1720-1805), capitaine des grenadiers au régiment d'infanterie du Béarn, participe à douze campagnes, dont la bataille de Fontenoy ; il revint couvert de blessures et amputé d'une main. En 1793, en demandant qu'on le brûle avec son manoir, il le sauve des révolutionnaires qui voulaient l'incendier.
  • Alphonse de Penfentenyo de Kervéréguen (1788-1874), commissaire de marine, maire de Loctudy de 1843 à 1852[25]. Sa fille, Clara de Penfentenyo, fonde l'école du Bon Ange de Loctudy en 1870[26].
  • Jehan de Penfentenyo de Kervéréguen (1872-1950), général, maire de Loctudy de 1936 jusqu'à sa mort en 1950. Élu avant la guerre, il est conforté dans ses fonctions à la Libération et réélu en 1945 et 1947[25].
  • Michel de Penfentenyo (1927-2018, frère du précédent), directeur de la Société des remorqueurs de l'Océan et l'un des dirigeants de La Cité catholique, puis de l'Office international des œuvres de formations civiques et d'action doctrinale selon le droit naturel et chrétien[29]. Il est le fondateur de plusieurs satellites de l'Office, dont le Secrétariat d'Information des Collectivités Locales et Régionales (SICLER), auquel il se consacre entièrement à partir de 1981[29]. En 1995, il en confie la direction à son fils, Xavier de Penfentenyo[29]. Un autre de ses fils, Tanguy de Penfentenyo, est avec son épouse le fondateur de la Troménie de Marie[30].
  • Hervé de Penfentenyo de Kervéréguin (1939-2019, fils d'Yves de Penfentenyo), cadre du Front national[31]. Son épouse, Marie-Christine de Penfentenyo, militantiste pro-vie, est conseillère municipale et régionale du FN en Rhône-Alpes dans les années 1990-2000[31]. Ils ont neuf enfants, dont la musicologue et guide-conférencière Bénédicte de Penfentenyo (1965-2022)[32], coorganisatrice du Festival de Musique Sacrée de Saint-Malo, la femme politique Marie de Penfentenyo de Kervéréguin (née en 1981), épouse Dionnet, élue RN en Isère, puis candidate Reconquête dans le Rhône pour les élections législatives françaises de 2022[33] et le père Yann de Penfentenyo (né en 1968), prêtre bénédictin et aumônier militaire[34].
  • François de Penfentenyo (né en 1941, frère du précédent), officier de Marine, fondateur de l'institut Civitas avec Xavier Pierson et Dominique Chrissement[29].
  • Louis de Penfentenyo de Kervegueren, lieutenant, décédé en service au Maroc en 1933.

La famille de Penfentenyo de Kervereguen a été admise à l'Association des anciens honneurs héréditaires[35].

Galerie de portraits[modifier | modifier le code]

Alliances[modifier | modifier le code]

Familles d'Acigné, de Bobet, du Boisguéhenneuc, Chicoyneau de Coëtlosquet, de Coataudon, de Coattarel, de Coëtnempren de Kersaint, de Freslon, de Gouzillon, de Kergoët, de Kergrist, de Kernafflen de Kergos, de Kerroignant, de Kerroulas, de Kersaint-Gilly, de Kersauson, de Lacour de Balleroy, de Lalande de Calan, de La Moussaye, de La Noë, Le Borgne de Kéruzoret, de Lesguern, de Lestang du Rusquec, de L'Estourbeillon, de Parscau, de Pontual, de Pujo de La Fitole, du Boisbaudry, de Blois de La Calande, Colas des Francs, de Cussy, Geoffroy d'Assy, de Gueydon, Harscouët de Saint-Georges, Huchet de Quénétain, de La Haye Saint-Hilaire, de La Rochefoucauld, Le Gouz de Saint-Seine, Léon de Tréverret, de L'Escalopier, Magon de La Villehuchet, Martin de Lagarde, d'Orsanne, du Plessis d'Argentré, de Quatrebarbes, Rioult de Neuville, de Rocquigny du Fayel, de Villèle, Artur de La Villarmois, de Catheu, Ernault de Moulins, etc.

Possessions[modifier | modifier le code]

Armes[modifier | modifier le code]

  • Les Penfentenyo portent burelé de gueules et d'argent de dix pièces[39]. Devise : « Plura quam ex opto »[40]. .
  • La famille de Penfentenyo n'est pas titrée.

Postérité[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Annuaire de l'ANF, 2017, p. 59
  2. Guy Le Borgne, Armorial de Bretagne, Rennes, Pierre Garnier, 1681, p.225
  3. Base Mérimée [1]
  4. La Messelière, ibid p. 304
  5. La Messelière, ibid, p. 307
  6. Henri de La Messelière, Filiations Bretonnes, Prudhomme, Saint-Brieuc, 1922, T-4, p-304-309
  7. « Seigneuries et manoirs de Plouvien (Bretagne) », sur www.infobretagne.com (consulté le )
  8. La Messelière, ibid
  9. « 12/02/46 - Lieutenant Alain de PENFENTENYO (25 ans) », sur Soldats de France - Association Nationale de Soutien à nos Soldats en Opération (ANSSO) (consulté le ).
  10. Pitre-Chevalier, La Bretagne ancienne et moderne, Paris, W. Coquebert, , pages 503-504.
  11. « Barzaz Breiz/1846/Le Page du roi Louis XI », sur wikisource.org (consulté le ).
  12. « Barzaz Breiz/1846/Le Page du roi Louis XI/Bilingue », sur wikisource.org (consulté le ).
  13. (en) L'archevêque Christophe de Cheffontaine o.f.m., diocèse de Césarée de Cappadoce, GCatholic.
  14. Christophe Penfeunteniou Cheffontaine, BnF Data
  15. Ce mariage explique la présence conjointe des armes des familles de Saint-Georges et de Penfentenyo sur un écusson situé à la base du clocher de la chapelle Saint-Thomas à Pleuven
  16. La Messelière, ibid, p-304
  17. La Messelière, ibid, p.305
  18. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Robert Laffont, éd. 2007, p-151
  19. la vente concerne un domaine qui s'étend sur plus de 3 000 hectares à travers le canton de Fouesnant. L'énumération des biens constituant le domaine de la seigneurie de Cheffontaines occupe 80 pages d'un aveu conservé aux Archives Départementales du Finistère
  20. ce qui explique le lieu de naissance de ses deux premiers enfants (sa fille aînée Séraphine Marie Hélène de Penfentenyo naît le à Anvers, sa fille cadette Zoé Julie Gabrielle de Penfentenyo le à Hambourg)
  21. la troisième fille Clotilde Sophie de Penfentenyo naît à Nantes le , ce qui explique que dès 1802, les descendants de Jonathas 1er Marie Hyacinthe de Penfentenyo de Cheffontaines rachètent le château de Cheffontaines
  22. [PDF] Notice biographique
  23. La Messelière, ibid, p-307
  24. La Messelière, ibid, p.308
  25. a et b « Famille. Retrouvailles des Penfentenyo », Le Télégramme, 9 septembre 2008 ([2])
  26. « Loctudy. L'école du Bon Ange comme reflet de l'Histoire », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  27. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?insee=29037&dpt=29&idsource=3414&table=bp01
  28. « officier volontaire pour des missions périlleuses. Mortellement blessé le par des armes automatiques soutenues de mortiers aux environs du village de Thien-Quan, alors qu'il remontait le Dong Nai. Après une énergique riposte de ses moyens de feu, et quoique perdant beaucoup de sang et souffrant visiblement, a continué à assurer la manœuvre de ses LCVP qu'il a ramenés au poste de Tan-Huyen. A fait preuve d'un cran remarquable. Figure noble et magnifique incarnant les qualités de l'officier français http://www.soldatsdefrance.fr/12-02-46-Lieutenant-Alain-de-PENFENTENYO-25-ans_a586.html
  29. a b c d et e Yves Chiron, Histoire des traditionalistes, Paris, Tallandier, 2022, p. 1952
  30. Louis Jamin, « La Vierge Marie entame un « tour des lieux saints » bretons », sur Famille Chrétienne, (consulté le )
  31. a et b Bernard Fromentin, « Christine de Penfentenyo, l'élue FN « d'une famille chouane et fière de l'être » », sur Libération (consulté le )
  32. https://www.letelegramme.fr/ille-et-vilaine/saint-malo/la-disparition-de-benedicte-de-penfentenyo-05-04-2022-12974914.php
  33. « Législatives 2022. Marie de Penfentenyo de Kervereguin (Reconquête !) tournée vers l’avenir », sur www.leprogres.fr (consulté le )
  34. https://dioceseauxarmees.fr/wp-content/uploads/sites/44/2020/09/EGMIL-Juillet-Ao%C3%BBt-2015.pdf
  35. « Familles admises » (consulté le )
  36. http://les-chateaux.du-web.fr/chateau-233-29.html
  37. Serge Duigou, Châteaux et manoirs en pays bigouden.
  38. A. Le Grand et G.-M. Thomas, Manoirs de Basse-Bretagne.
  39. Armorial de l'ANF, éd. du Gui, 2004; p-587- N°1441 (BN. Nouveau d'Hozier 261)
  40. Traduction : « Plus que je ne souhaite »

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Une très ancienne famille de Bretagne, les Penfentenyo par Valentine de Penfentenyo, 1990, 179 pages [ (ISBN 2950475302)], [ (ISBN 9782950475305)] (ouvrage familial)
  • Les seigneuries et manoirs disparus par Pierre Lescot, revue "Foen Izella" spécial Clohars-Fouesnant ()
  • Penfentenyo, grande et petites histoires d'une famille bretonne, par Jean Claude Bourgeois, 2011, 410 pages.

Articles connexes[modifier | modifier le code]