Cyber-Warrior Akıncılar
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| Cyber-Warrior Akıncılar | |
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| Situation | |
|---|---|
| Création | 1999 |
| Domaine | Sécurité informatique, hacking |
| Siège |  Turquie
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| Site web | https://www.cyber-warrior.org/ |
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Cyber-Warrior Akıncılar (en référence à l'unité Akindji[1]), anciennement Illegal-Port, est un groupe de hackers islamo-nationaliste turc créé en 1999[2]. Pro-Erdoğan[3], le groupe aurait des liens avec les autorités turques ; ces dernières auraient fait appel à leurs services pour mener des attaques notamment contre RedHack[2]. Les membres d'Akıncılar suivent une hiérarchie militaire et s'attaquent à toute personne ou organisation qu'ils jugent contraire aux intérêts de la Turquie et de l'islam[4]. Ils avaient par exemple piraté le site de Charlie Hebdo en 2011 (pour les dessins de Mahomet)[5] ou encore les sites d'élus français comme Valérie Boyer (à cause du projet de loi contre la négation du génocide arménien)[6]. Ils s'en prennent aussi régulièrement à des sites américains et israéliens mais aussi arméniens, grecs et kurdes[5],[1],[7].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) AFP, « Turkish hacker claims credit for French paper cyber-attack », sur hurriyetdailynews.com, (consulté le )
- (en) Salih Bıçakcı, Doruk Ergun et Mitat Çelikpala, « The Cyber Security Scene in Turkey » [archive] [PDF], sur edam.org.tr (consulté le )
- Audrey Renault, « Piratage de Twitter: "Erdogan a la faculté de mobiliser de jeunes partisans" » [archive], sur lexpress.fr, (consulté le )
- Ariane Bonzon, « Les hackers, bons petits cybersoldats du nationalisme turc » [archive], sur slate.fr, (consulté le )
- « La cyberattaque contre "Charlie Hebdo" revendiquée par un groupe turc », sur lemonde.fr, (consulté le )
- « Un élu dracénois victime de cyber-pirates turcs » [archive], sur archives.varmatin.com, (consulté le )
- (tr) « Yunan Dışişleri Bakanlığına Türk hacker şoku », sur iha.com.tr, (consulté le )
