Crouzilles

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Crouzilles
Crouzilles
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Val de Vienne
Maire
Mandat
Daniel Brisseau
2020-2026
Code postal 37220
Code commune 37093
Démographie
Population
municipale
531 hab. (2021 en diminution de 3,45 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 28″ nord, 0° 27′ 37″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 102 m
Superficie 14,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Maure-de-Touraine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Crouzilles
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Crouzilles
Liens
Site web crouzilles.fr

Crouzilles est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et paysages[modifier | modifier le code]

La commune est en position d'interfleuve en limite Nord, ouest et sud. Les rivières et cours d'eau délimitent naturellement le territoire de la commune En bordure de Manse, des prairies naturelles et permanentes recouvrent ses terres inondables. Plus en hauteur, les sols bruns calcaires nourrissent des cultures céréalières.

Les sables-graviers des terrasses (Puits livet) favorisent la culture de la vigne (AOC Chinon). Les sols plus ingrats issus des formations argilo-silicieuses couronnent les hauteurs.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Crouzilles.

La commune est longée sur son flanc sud par la Vienne (0,939 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 9,17 km, comprend un autre cours d'eau notable, la Manse (3,411 km), et cinq petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

La Vienne, d'une longueur totale de 363,3 km, prend sa source sur le plateau de Millevaches, dans la Creuse, à une altitude comprise entre 860 et 895 m et se jette dans la Loire à Candes-Saint-Martin, à 30 m d'altitude, après avoir traversé 96 communes[3]. La station de Nouâtre permet de caractériser les paramètres hydrométriques de la Vienne. Le débit mensuel moyen (calculé sur 61 ans pour cette station) varie de 60 m3/s au mois d'août à 355 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 2 480 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 8,61 m le [4],[5]. Sur le plan piscicole, la Vienne est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].

La Manse, d'une longueur totale de 30,5 km, prend sa source à une altitude de 117 m sur la commune de Bossée, dans "l'étang Bas", et se jette dans la Vienne à L'Île-Bouchard, à 32 m d'altitude, après avoir traversé 11 communes[7]. Sur le plan piscicole, la Manse est également classée en deuxième catégorie piscicole[6].

Une zone humide[Note 1] a été répertoriée sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Manse de Monmay à la Boussaye »[8],[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Épain à 6 km à vol d'oiseau[12], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 745,6 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Crouzilles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,9 %), forêts (18,8 %), cultures permanentes (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), zones urbanisées (5,7 %), prairies (5,5 %), eaux continentales[Note 4] (2,1 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Crouzilles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Bourouse, la Manse et la Vienne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[24],[22].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Boizé, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Crouzilles.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 48,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 326 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 251 sont en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[27].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Crouzilles vient peut-être du latin crucellia (coquille) par référence aux fossiles coquilliers fréquents dans l’argile de poterie et de tuilerie exploitée dans la commune depuis l’époque gallo-romaine.

Une autre hypothèse avance que le nom de Crouzilles viendrait du latin crucicula (croisement) en raison du croisement des routes d'Avon les Roches-Crissay sur Manse et l'Ile Bouchard.

L'étymologie de "Crouzilles" est incertaine et c'est peut-être l'explication de la présence de la coquille et de la croix sur le blason.

Dès le VIIIe siècle, dans un diplôme de Charlemagne, il est fait mention de CRUCILIA; puis au XIe siècle, dans la Cartulaire de Noyers, de CRUZILIA.

Au XIIIe siècle, dans la Cartulaire de l'Archevêché de Tours, sont écrits GRUZILIA, GRUZILIA, CROZILLES.

Enfin dans la charte de Saint Martin en 1256 est inscrite "La Parochia de CROZILLE".

Histoire[modifier | modifier le code]

Le fief de Crouzilles relevait de la châtellerie de L'Ile Bouchard.[réf. nécessaire]

Fondation de la léproserie au XIe siècle : la charte 80 du cartulaire de Noyers mentionne l'endroit en 1080. Les seigneurs de Crouzilles y ont droit de présentation pour la nomination du chapelain de sa chapelle Saint-Lazare, on peut donc supposer qu'ils en sont les fondateurs[28].

En 1213 il appartenait au Chevalier Aimery ; en 1472 à Jean de la Jaille puis à Pierre et Aymar de la Jaille ; En 1527 à François d'Allemaigne seigneur de Nalliers.

XVIe siècle : construction du château de Paviers

Le 11 décembre 1613, la maison seigneuriale et le fief mis en vente furent adjugés à René de Betz.

Le 11 juin 1647, Le prêtre Léonard de Barjot acheta le domaine.

Le 17 janvier 1690, René Barjot, chevalier marquis de Moussy, seigneur de Roncée, de Crouzilles, de Panzoult et de la Boussaye, rendit hommage pour le fief de Crouzilles.

Le 2 octobre 1754, Alexis Barjot de Roncée rendit aveu pour le même fief.

Un autre fief important était celui du Puy Bascle :

En 1346 premières mentions de Jean le Bascle. La seigneurie restera jusqu'au XVIe siècle.

Du XVIIe au XXe siècle, la famille Périllau devient propriétaire du Puy Bascle.

Depuis plus de 20 ans, M. Sjoerd Gosses, ancien ambassadeur des Pays-Bas en Turquie, ainsi que son épouse restaurent avec beaucoup d'attention ce lieu chargé d'histoire.

En 1788, Jean Louis Marie Le Bascle d'Argenteuil, époux de Marie-Joséphine Barjot de Roncée, est seigneur de Crouzilles.

En 1789, ce dernier comparait à l'assemblée de la noblesse de Touraine. La dime de la paroisse (dite dime de la Grande Maison) appartenait au seigneur de Crouzilles.

Le 31 janvier 1790, élection de la première municipalité de Crouzilles à l’église.

L'histoire de Crouzilles du XVIIIe au XXe siècle est marquée par la famille de Quinemont.

En 1736, Jean-Jacques Ours 1er marquis de Quinemont, (né en 1715) seigneur de Varennes épouse Marie-Jeanne Odart, dame de Paviers et de Mougon.

Auguste Charles Louis (1780-1839), petit-fils et 3e marquis de Quinemont fut maire de Mougon de 1812 à 1833 puis de Crouzilles de 1833 à 1837.

Arthur Marie-Pierre (1808-1883) 4e marquis de Quinemont fut maire de 1837 à 1849, député et sénateur.

Max Dupuy de Semur (1876-1947), fis d'Hélène Anna de Quinemont, épouse Dupuy de Semur, hérita du château de Paviers et y installa une école privée.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Maire de la commune
Période Identité Étiquette Qualité
         
avant 1995 ? Gérard Herrant PS  
mars 2014 En cours Daniel Brisseau   Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 531 habitants[Note 5], en diminution de 3,45 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
410362402405421536578632657
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
682703711669655732703704659
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
631680720721779797727674718
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
676655471453540519548556563
2018 2021 - - - - - - -
522531-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Crouzilles se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.

L'école élémentaire accueille les élèves de la commune.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame.

Plusieurs monuments de Crouzilles sont inscrits ou classés au titre des monuments historiques : l'église Notre-Dame, dans le bourg, un manoir situé non loin cette dernière, les ruines de l'église Saint-Pierre, dans le hameau de Mougon et le château de Paviers.

Un ancien donjon du nom de Puy Bascle est élevé sur la hauteur de la commune.

L'ancien village de Mougon, annexé à la commune, est un site archéologique majeur par la découverte, dès les années 1930 par Henry Auvray, de poteries diverses et par la mise en évidence de voies organisées en trame orthogonale, repérée par la prospection aérienne conduite par Jacques Dubois.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Crouzilles

Les armes de Crouzilles se blasonnent ainsi :

D'azur à la croix d'argent chargée de cinq coquilles de sable[33].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Schweitz, « De l’invention de l’atelier de potiers gallo-romains de Mougon à l’étude des origines de la viticulture en Touraine : l’implication de la Société archéologique de Touraine », Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. LXII,‎ , p. 5-18.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Crouzilles », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - la Vienne », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  5. « Station hydrométrique L7000610, la Vienne à Nouâtre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  6. a et b (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Fiche Sandre - la Manse », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  8. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  9. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Crouzilles et Saint-Épain », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Saint-Épain », sur la commune de Saint-Épain - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Saint-Épain », sur la commune de Saint-Épain - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Crouzilles », sur Géorisques (consulté le ).
  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  25. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  28. Louis Dubreuil-Chambardel, « Les vicissitudes d'une léproserie au XVIIe siècle. Saint-Lazare de Crouzilles », La Gazette médicale du Centre,‎ , p. 270-272 (lire en ligne [PDF], consulté en ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : mars 2009.