Cransac

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 12 février 2017 à 16:22 et modifiée en dernier par Thierry46 (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Modèle:À recycler/géographie

Cransac
Cransac
L'établissement thermal
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Communauté de communes Decazeville Communauté
Maire
Mandat
Michel Raffi
2014-2020
Code postal 12110
Code commune 12083
Démographie
Gentilé Cransacois
Population
municipale
1 541 hab. (2014)
Densité 223 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 31′ 33″ nord, 2° 17′ 07″ est
Altitude Min. 274 m
Max. 470 m
Superficie 6,91 km2
Élections
Départementales Enne et Alzou
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cransac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cransac
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Voir sur la carte topographique de l'Aveyron
Cransac
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Voir sur la carte administrative de l'Aveyron
Cransac

Cransac est une commune française située dans le département de l'Aveyron et la région Occitanie.

Géographie

Le ruisseau de l'Enne

Cransac est situé dans le Bassin historique de Decazeville-Aubin, dans le Nord Aveyron. Cette région riche en houille est devenue à partir des années 1830 un des bassins houillers les plus importants du Sud de la France. Le bassin de Decazeville, bien qu'ayant beaucoup perdu d'habitants depuis 60 ans, garde son unité historique et géographique, et est devenu en 1998 une communauté de communes : celle du bassin Decazeville-Aubin, où de nombreux projets mettant en commun les cinq anciennes villes du bassin (Decazeville, Aubin, Viviez, Firmi, et Cransac) ont été mis en œuvre.

Fumées s'échappant de la "Montagne qui brûle

Cransac est situé dans l'étroite vallée de l'Enne, ruisseau affluent du Riou mort, recouvert sur la majorité de son parcours, et à proximité d'Aubin. Ces deux villes sont tellement proches que le bâti reste continu entre ces deux villes. Cela n'a pas toujours été le cas, et jusqu'au milieu du XIXe siècle, Cransac, tout comme Aubin étaient de petits villages. L'arrivée de la mine, très gourmande en main d’œuvre, a été pour beaucoup dans le peuplement très rapide de Cransac et dans la densification de l'espace bâti. L'habitat à Cransac se présente donc, comme dans de nombreuses villes ouvrières, sous la forme d'un village-rue : des immeubles bâtis de façon continue le long d'une rue (la rue Anatole-France), à proximité du lieu de travail ; derrière ses immeubles est traditionnellement situé un petit jardin potager. Mais la déprise démographique à la suite de la fermeture des mines en 1963 a transformé ces rues bouillonnantes de vie en un espace en voie de désertification. Il ne faut donc pas que le visiteur s'étonne que l'habitat très dense contraste avec le peu de personnes croisées dans les rues.

La vie du village est tournée autour de la place centrale : la place Jean-Jaurès, sur laquelle a lieu un marché hebdomadaire, ainsi que de nombreuses autres animations. L'église située sur cette même place est relativement récente. À la fin du XIXe siècle, l'ancienne église de Cransac, trop petite pour accueillir les mineurs a été démolie et remplacée par un édifice plus grand. En matière d'espaces verts, Cransac offre à ses habitants et visiteurs deux parcs agréables : le parc thermal, ancien site du puits n°1, reconverti en parc dans les années 1970 ; et le bassin de Passelaygues, ancienne mine à ciel ouvert aujourd'hui remplie d'eau.

La ville de Cransac possède en outre une autre richesse : ses ressources thermales. En effet, la combustion des pyrites de fer à l'intérieur de la « montagne qui brûle » crée une sortie de vapeurs dont les effets sont bénéfiques en cas de douleurs ostéo-articulaires et de rhumatismes. De plus, la minéralisation des eaux de pluies infiltrées dans la montagne crée des sources chaudes minéralisées : les sources Fraysse, Saint-Augustin, et Geneviève, mais seule la dernière est exploitée à des fins médicales. Ces sources, qui ont été perdues dans les années 1860, coulent dans d'anciennes galeries minières.

Histoire

la source Saint-Augustin

La première période thermale

Cransac, petit village aveyronnais, était déjà réputé à l’époque romaine pour les vertus de ses eaux[1]. Il semble que l'usage des eaux thermales soit resté libre jusqu'au XVIIe siècle, époque à laquelle les sources ont été rachetées par les notables du village qui y bâtissent des pavillons pour accueillir les curistes[2].

Henri de Boulainvilliers, écrivain prolifique et encyclopédiste du XVIIIe siècle, va décrire un état de la France dans plusieurs ouvrages et au sujet de Cransac, voici ce qu'il rapporte [3]:

" Il y a dans le même lieu de Cransac deux fontaines d'eaux minérales que l'on tient des meilleures d'Europe. Elles attirent en ce lieu quantité de malades dans les deux saisons de May et Septembre et on les transporte dans les lieux éloignés, même jusqu'à Paris. Leur principal effet est de rétablir les estomacs faibles et languissants, les obstructions et de soulager les douleurs néphrétiques. Au dessus de ces fontaines, il y a des grottes ou étuves où les malades se font suer pour guérir les rhumatismes, sciatiques, goutes et paralysies, et rétablir les membres blessés ou affaiblis. La vertu de ces eaux consiste dans l'alun dont elles sont imprégnées ... Il faut ajouter que ces eaux minérales sortent de la montagne dans laquelle on a pratiqué les étuves dont il vient d'être parlé et que cette montagne renferme un feu intérieur qui exhale ordinairement en fumée, mais qui jette assez souvent des flammes considérables. La superficie du terrain y est toute brûlée, marque certaine que le feu n'en est pas profond, aussi ne s'y plaint-on guère des tremblements de terre si fréquents dans le voisinage des autres volcans."

Les trois principales sources de l'époque étaient les sources Basse-Richard, Haute-Richard, et Belzègues. La source Haute-Richard était la plus minéralisée, et était située dans le hameau de la Pélonie. Les autres sources coulaient dans le parc thermal de l'époque, devenu aujourd'hui le bassin de Passelaygues, ayant été transformé en mine à ciel ouvert pendant la période minière. Ces sources étaient utilisées afin de soigner des maladies aujourd'hui marginales comme le paludisme ou les maladies de foie.

Les gisements de vapeur à la sortie de la montagne qui brûle étaient eux aussi exploités. Une cabane en bois, que l'on appelait étuve était bâtie à l'émergence des vapeurs. Les curistes s'y asseyaient au-dessus, nus, durant une vingtaine de minutes. À la sortie, un personnel soignant les attendait et les couvrait de vêtements chauds afin de ne pas être victimes d'un choc thermique.

Les hôtels accueillant les curistes appartenaient aux propriétaires des sources thermales. On comptait cinq hôtels en 1848 (apogée du thermalisme à Cransac) : l'hôtel Saint-Charles, l'hôtel Rocques, l'hôtel Sahut, et le Château. Ces hôtels, pour la plupart situés sur la partie haute de Cransac, dans le Cransac originel, sont soit abandonnés, ou bien abritent des logements pour des particuliers. L'hôtel Saint-Charles est aujourd'hui en restauration.

L'hôtel Rocques, aujourd'hui abandonné. Il vient d'être démoli le 25 novembre 2014. Cela a duré une semaine pour que cet hôtel disparaisse à jamais, Il reste un grand vide... Une page de l'histoire de Cransac s'est tourné

La période minière

L'apogée du Cransac thermal, qui accueillait près de 5 000 curistes par an début du XIXe siècle[4] va prendre fin dès lors que les compagnies minières vont s'intéresser à Cransac. La houille est en effet une ressource traditionnelle dans le bassin de Decazeville. Les charbonnières, mines creusées de façon artisanale, ont alimenté en combustible des générations de forgerons cransacrois. Mais la révolution industrielle et ses besoins astronomiques en charbon vont faire de Cransac un des bassins houillers les plus importants du Sud de la France. Ainsi, avec la révolution industrielle, Cransac-les-Eaux devient Cransac-les-Mines, et son sous-sol est partagé entre la compagnie d'Orléans et la compagnie de Campagnac, qui seront réunies en 1947 avec la nationalisation des compagnies minières.

Le village qui comptait alors 500 habitants en 1848, va en compter jusqu'à 7 000 au début du XXe siècle. Ainsi, le puits no 1, organe central de l'industrie houillère, va devenir le centre du village autour duquel l'habitat va se développer. Les sources thermales vont se perdre à cause de travaux dans les galeries, et seules vont subsister les étuves qui donneront à Cransac le surnom de ville thermale sans eaux.

Une terrible catastrophe eut lieu le 3 novembre 1888 aux mines de Campagnac, dans le puits Sainte-Barbe. Un coup de grisou fit une cinquantaine de victimes[5],[6].

En 1914, la Compagnie des mines de Courrières évacue ses Mineurs westphaliens vers le Massif central et 80 Westphaliens d'origine polonaise, famille incluse, venus des mines du Nord, arrivent à Cransac, avec parmi eux le leader syndical Thomas Olszanski, qui fondera dans les années 1920 à Lens le journal en polonais Robotnik Polski.

Le renouveau du thermalisme

À partir des années 1950, le charbon subit une crise en France, et les bassins isolés des grands axes industriels, comme celui de Decazeville, vont être les premiers à fermer. Ainsi, les mines de Cransac ferment en 1963, accélérant l'exode des mineurs. Mais la fermeture des mines va avoir néanmoins un effet positif : les anciennes sources vont réapparaitre à la sortie des galeries minières. La mairie va de même se lancer dans une politique de démolition des friches et de remise en valeur du patrimoine thermal. Les anciennes étuves en bois, rudimentaires, sont rasées, et un centre thermal captant les gaz du haut de la montagne est bâti en contrebas, permettant aux curistes d'avoir accès à des soins plus variés et dans des normes d'hygiène moderne.

L'ancienne salle des machines du puits no 1, reconvertie en salle des fêtes

Le complexe industriel du puits no 1 va lui aussi être rasé et reconverti en parc afin de donner aux curistes un endroit agréable où se reposer. Seule subsiste aujourd'hui la salle des machines, reconvertie en salle des fêtes. Un travail sur la rénovation du bâti résidentiel a aussi été réalisé, bien que de nombreux logements restent à l'abandon. Les sources thermales mettront beaucoup plus de temps à être exploitées : la source Geneviève n'est exploitée commercialement que depuis 2010.

Ainsi, grâce aux efforts d'une génération de Cransacois, la ville a pu effacer les traces de la mine et se relancer dans l'accueil des curistes.

Schéma résumant la transformation du thermalisme du XIXe siècle à aujourd’hui

Économie

De récents progrès ont été enregistrés dans le domaine du thermalisme, bien que Cransac demeure une ville thermale secondaire. En 1996, la Chaîne thermale du Soleil rachète les thermes de Cransac. En 2003, un nouveau centre thermal est bâti. Il offre, outre une gamme de soins plus variée, la possibilité de loger sur place, dans le "Logis des Boisements". L'établissement est spécialisé dans le traitement des rhumatismes et des douleurs ostéo-articulaires.

En matière d'hébergement, Cransac est particulièrement bien fourni : la déprise démographique a permis la libération et la remise aux normes de nombreux logements qui sont aujourd'hui loués aux curistes par des particuliers. L'offre en meublés est donc particulièrement forte.

Cransac dispose en matière de commerces tous les services courants, ainsi que des services pratiques aux curistes (ambulance-taxi). L'offre en loisirs est de même diversifiée, avec de nombreux sites à visiter aux alentours, bien que la plupart des curistes apprécient le calme du village.

En matière d'accessibilité, Cransac est éloigné des réseaux autoroutiers, mais accessible en train via la ligne Capdenac - Rodez. Une ligne de bus : le TUB dessert depuis 2004 à heures régulières les cinq communes du bassin. Elle fait un crochet au thermes de Cransac pour transporter les curistes.

Se lançant résolument dans une politique de développement durable, Cransac a inauguré son réseau de chaleur biomasse - alimenté par des noyaux de fruits - le 3 avril 2009[7]. Cette centrale permettra bientôt de chauffer un lotissement en construction : le Belvédère de la Vaysse, surplombant la vallée.

Héraldique

Blason de Cransac Blason
D’azur au volcan de sable, enneigé d’argent, d’où s'écoule une lave de gueules et d’où s’échappent des fumées d’argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Paul Oustry    
    André Requi    
mars 2001 2014 Jean Paul Linol[8] PS  
2014 En cours Michel Raffi PRG Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[10],[Note 1].

En 2014, la commune comptait 1 541 habitants, en diminution de −7,45 % par rapport à 2009 (Aveyron : 0,57 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
473450607489590565563579801
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9421 9673 5403 6554 4684 5044 7735 6535 955
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6 7156 9536 6546 4416 3075 0874 5024 8214 765
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
4 1323 2442 8702 5202 1801 8211 7301 6651 541
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[12].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

La rue Victor Hugo à Cransac
  • Établissement thermal, en bois, verre et zinc dessiné par Luc Demolombe.
  • Musée « la Mémoire de Cransac », qui présente l’évolution de Cransac-les-Eaux à Cransac-les-Mines et aujourd’hui Cransac-les- Thermes.
  • sur le chemin qui part du Centre Thermal en direction du cynodrome et du club hippique, vous verrez d'une part les conduites qui amènent les gaz chauds au Centre Thermal, d'autre part, vous passerez à proximité des très vieilles étuves (ruines) où vous percevrez très distinctement l'odeur de soufre des gaz. Les fumées de la "Montagne qui brûle" sont visibles derrière le centre thermal.
  • sur l'ancien plateau des mines, derrière la Mairie, vous noterez la réhabilitation et la réutilisation d'un ancien bâtiment de l'exploitation minière, aujourd'hui transformé en salle de fêtes.
  • à la sortie sud de Cransac (route d'Auzits et St Christophe) vous arriverez à un bassin, ancien puits de mine ennoyé. À proximité, à la base de la colline, la source Saint-Augustin produit un petit débit. L'eau est potable, bien que très minéralisée.
  • La source Fraysse, située à proximité de la chaufferie à noyaux de fruits, n'est pas visible : elle coule dans le jardin d'un particulier.
  • Le bassin de Passelaygues abrite une famille de cygnes dont le nid est protégé par un grillage.
  • Au sud du village, près de la gare, un important jardin-ouvrier encore entretenu est le témoin de l'agriculture vivrière que pratiquaient les mineurs.
  • Le cimetière, immense si on compare sa taille à la population actuelle du village.

Personnalités liées à la commune

  • Bernard Canac, député suppléant, conseiller municipal de Cransac.
  • le compositeur Émile Goué s'inspira de Cransac dans son triptyque Pénombres(1931)
  • Robert Szczepaniak, footballeur professionnel français, né le à Cransac.

Dans la culture

L'action du roman Duo (1934) de Colette se déroule à Cransac.

Bibliographie

  • Marie-Line Montbroussous, Histoire d'une intégration réussie : les Espagnols dans le bassin de Decazeville, Rodez, Ed. du Rouergue, , 199 p., ill., couv. ill. ; 23 cm (ISBN 2-905209-99-2, BNF 36685891)
  • Gérard Pertus et Michel Herranz, Bassin de Decazeville, Aubin, Cransac, Firmi, Viviez : usines et métallos. Tome 1, Decazeville, Association de sauvegarde du patrimoine industriel du Bassin de Decazeville, , 238 p., ill., couv. ill. ; 31 cm (ISBN 978-2-9531052-3-0, BNF 42307098)
  • Gérard Pertus et Michel Herranz, Bassin de Decazeville, Aubin, Cransac, Firmi, Viviez : usines et métallos. Tome 2, Decazeville, Association de sauvegarde du patrimoine industriel du Bassin de Decazeville, , 237 p., ill., couv. ill. ; 31 cm (ISBN 978-2-9531052-4-7, BNF 43520392)
  • Gérard Pertus et Michel Herranz, Mines et mineurs : Bassin de Decazeville : Aubin, Cransac, Firmi, Viviez, Decazeville, Association de sauvegarde du patrimoine industriel du Bassin de Decazeville, , 211 p., ill., couv. ill. ; 31 cm (ISBN 978-2-9531052-1-6, BNF 41420313)
  • Gérard Pertus et Michel Herranz, Puits de mines : Bassin de Decazeville : Aubin, Cransac, Firmi, Viviez, Decazeville, Association de sauvegarde du patrimoine industriel du Bassin de Decazeville, , 117 p., ill., couv. ill. ; 31 cm (ISBN 978-2-9531052-0-9, BNF 41184324)
  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Pierre Beffre), Aubinh : Cransac, Firmin, Vivièrs / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton d'Aubinh, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 247 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-38-6, ISSN 1151-8375, BNF 36708370)

Notes et références

Références

  1. Musée "la Mémoire de Cransac", « Musée "la Mémoire de Cransac" », sur http://www.tourinfos.com (consulté le )
  2. Yves Lacout, Renaissance du thermalisme à Cransac; mémoire d'histoire, université Toulouse-II le Mirail, 1984, p. 17
  3. Boulainvilliers, Henri de (1658-1722) État de la France Tome 2, 1727, pages 280-281
  4. ibid, p31
  5. « Journal de l'Aveyron - 06/11/1888 (Archives départementales de l'Aveyron) », sur archives.aveyron.fr (consulté le )
  6. « Journal de l'Aveyron - 08/11/1888 (Archives départementales de l'Aveyron) », sur archives.aveyron.fr (consulté le )
  7. [PDF] Mairie et office de tourisme de Cransac-Les-Thermes, « réseau de chaleur biomasse de Cransac-les-Thermes », sur http://www.cransac.fr, (consulté le )
  8. Site des maires de l‘Aveyron-liste des maires (doc pdf)
  9. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  10. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  12. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .

Notes

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Liens externes