Couvron-et-Aumencourt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Couvron)

Couvron-et-Aumencourt
Couvron-et-Aumencourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité CC du Pays de la Serre
Maire
Mandat
Carole Ribeiro
2020-2026
Code postal 02270
Code commune 02231
Démographie
Gentilé Covéronnais(es)
Population
municipale
936 hab. (2021 en augmentation de 1,85 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 37″ nord, 3° 31′ 03″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 91 m
Superficie 13,33 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Laon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marle
Législatives 1re circonscription de l'Aisne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Couvron-et-Aumencourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Couvron-et-Aumencourt
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Voir sur la carte topographique de l'Aisne
Couvron-et-Aumencourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Couvron-et-Aumencourt
Liens
Site web https://www.couvron.fr/

Couvron-et-Aumencourt est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont les Covéronnais[1]

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte
La commune dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
  • 1Carte dynamique
  • 2Carte Openstreetmap
  • 3Carte topographique

Couvron est située à 11 km de Crécy-sur-Serre, à 15 km de Laon, à 19 km d'Anizy-le-Château et à 32 km de Saint-Quentin.

L'accès à l'A 26, qui tangente au nord le territoire communal, en direction de Saint-Quentin est à 9 km de Couvron.

Couvron-et-Aumencourt est desservie par la gare de Crépy - Couvron située à Crépy, sur la ligne d'Amiens à Laon et desservie par des trains régionaux TER Hauts-de-France.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Remies Rose des vents
Monceau-lès-Leups N Chéry-lès-Pouilly
O    Couvron-et-Aumencourt    E
S
Fourdrain Crépy Vivaise

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est drainé par le Broyon, un affluent de la Serre et donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aulnois-sous-Laon à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 685,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Couvron-et-Aumencourt est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 106 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20,7 %), forêts (12,2 %), zones urbanisées (4 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 396, alors qu'il était de 378 en 2014 et de 367 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 92,4 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Couvron-et-Aumencourt en 2019 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,3 %) inférieure à celle du département (3,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 64,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (62,7 % en 2014), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Couvron-et-Aumencourt en 2019.
Typologie Couvron-et-Aumencourt[I 1] Aisne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 92,4 86,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,3 3,5 9,7
Logements vacants (en %) 5,3 9,9 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Couvron est attesté sous les formes Altare de Cuveron (1125) ; Coveron (1204) ; Couveron (XIIIe siècle)[14].

Aumencourt est une ancienne ferme de Couvron, attesté sous les formes Omundi curtis (1123) ; Parrochia de Aumoncurte (1134) ; parrochia de Omoncurte (1173) ; Amencourt[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Le , Couvron fusionne avec Aumencourt par arrêté du Directoire de l'Aisne et prend son nom actuel[16].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Durant la première Guerre mondiale, l'armée allemande implante un champ d’aviation à quelques centaines de mètres de la base actuelle[17].

Pendant la guerre, l’église de Couvron subi des dégradations, sans être démolie. Le , les vitraux sont soufflés et les cloches de l'église furent enlevées par les Allemands pour être fondues[18].

En 1917 est installée dans le bois entre Couvron et Crépy, après le passage à niveau, une Grosse Bertha qui bombarde Paris[18].

En 1918, dans le cadre des destructions systématiques des sites industriels opérées par les Allemands, les deux sucreries d’Aulnois ainsi que la râperie qui se trouvait à cheval sur Couvron et de Vivaise, qui avaient été occupées par l’ennemi, sont démolies et vidées de tout leur matériel pour être expédiéen Allemagne[18].

Par ordre du général allemand qui logeait au château (actuellement démoli), tous les habitants du village sont évacués à pieds le vers Vervins[18].

Le village est libéré le . La rue principale du village, autrefois dénommée rue Saint-Nicolas, porte depuis 1919 le nom de rue du Colonel Chépy, officier français tué ce jour-là lors d'une inspection du front, qui se trouvait à la hauteur de la ferme d’Aumencourt, victime d’éclats d’obus tirés par les Allemands qui se retiraient[18].

Le village est considéré comme largement détruit à la fin de la guerre[19] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [20].

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

En 1936, l'armée française implante une plate-forme d’opérations pour les besoins opérationnels de l'Armée de l'Air, qui deviendra la base aérienne de Laon-Couvron[17],[21].

Le calvaire érigé en 1902, démoli lors des bombardements allemands, est restauré le , devant une foule nombreuse[18].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

La base aérienne connaît une grande activité durant la Drôle de guerre puis la Campagne de France de mai-juin 1940[17].

Après l'armistice du 22 juin 1940, la base est utilisée et agrandie par la Luftwaffe jusqu’en 1944[17],[21].

Couvron-et-Aumencourt est libéré le [22].

L'après-guerre[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Laon du département de l'Aisne[24].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Crécy-sur-Serre[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Marle[24].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Aisne[25].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Penvénan est membre fondateur de la communauté de communes du Pays de la Serre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1992 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité succède au Syndicat du Pays de la Serre créé en 1986.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
1959 1965 Jean Wateau    
1965 1971 Yvonne Ladeux    
1971 1977 Sylvère Tribouilloy    
1977 2001 Marcel Vivès PS Conseiller général du canton de Crécy-sur-Serre (1993-2001)
2001 2014 Edmond Sebestyen[27] PS Enseignant universitaire
2014[28] En cours
(au 11 novembre 2020)
Carole Ribeiro SE Fonction publique
Présidente de la CC du Pays de la Serre (2020 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[29]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école de 6 classes, de la maternelle au CM2, dotée d'un accueil périscolaire et d'une cantine[30].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 936 habitants[Note 3], en augmentation de 1,85 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
636646707751772768817807802
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
748712685701692677656664636
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
624616573465516484498504574
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6065906666978991 0151 4141 3761 151
2017 2021 - - - - - - -
938936-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Privat.
  • Chapelle Saint-Privat de Couvron-et-Aumencourt.
  • Monument aux morts, édifié en 1923, grâce à une souscription lancée dans la population par les anciens combattants de l’époque en mémoire de leurs camarades tombés au front, la municipalité ayant participé aux dépense[18]
  • Calvaire.
  • L'astroboule, sculpture monumentale de Claude Viseux.
  • Base aérienne de Laon-Couvron occupée par l'armée américaine de la Seconde Guerre mondiale jusqu'en 1967 et restituée alors à l'armée française à la suite de la sortie de la France du commandement centralisé de l'OTAN.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « La commune en quelques mots », Vie locale > Histoire de la commune, sur couvron.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Couvron-et-Aumencourt et Aulnois-sous-Laon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Aulnois-sous-Laon » (commune d'Aulnois-sous-Laon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Aulnois-sous-Laon » (commune d'Aulnois-sous-Laon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l’Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 84.
  15. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l’Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 14.
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. a b c d et e « De l’avion au char : le camp militaire », Vie locale > Histoire de la commune, sur couvron.fr (consulté le ).
  18. a b c d e f et g Marcel Vives, « Centenaire de la Libération de Couvron » [PDF], Vie locale > Histoire de la commune -, sur couvron.fr, (consulté le ).
  19. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  20. Journal officiel du 3 août 1921, p. 9097.
  21. a b c et d DGAC, « Plate-forme d'opérations de LAON - COUVRON (Aisne) », Atlas historique des terrains d'aviation de France métropolitaine 1919-1947, sur anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
  22. « Libération de Couvron (39-45) », Vie locale > Histoire de la commune, sur couvron.fr (consulté le ).
  23. « Il y a dix ans, la base de Laon-Couvron fermait. Le départ des militaires a laissé un vide (1/4) : La base militaire de Couvron-et-Aumencourt a fermé ses portes il y a dix ans, laissant un vide dans le village après le départ de nombreuses familles », L'Union ,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Couvron-et-Aumencourt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  25. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  26. « Les Maires de Couvron », Vie locale > Histoire de la commune, sur couvron.fr (consulté le ).
  27. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  28. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  29. « Second mandat de maire pour Carole Ribeiro à Couvron-et-Aumencourt », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Ecole primaire et maternelle », Jeunesse > L'école > Ecole primaire et maternelle, sur couvron.fr (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SE, Laon [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.