Courtomer (Orne)

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Courtomer
Courtomer (Orne)
Le château de Courtomer
Blason de Courtomer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Alençon
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de la Haute Sarthe
Maire
Mandat
Robert Collette
2020-2026
Code postal 61390
Code commune 61133
Démographie
Gentilé Courtomérois[1]
Population
municipale
718 hab. (2021 en diminution de 4,52 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 42″ nord, 0° 21′ 29″ est
Altitude Min. 172 m
Max. 279 m
Superficie 19,90 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Écouves
Législatives Première circonscription
Localisation
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Courtomer
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Courtomer
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Courtomer

Courtomer est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 718 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune se situe au nord-est de la campagne d'Alençon. Son bourg se trouve à 15 km à l'est de Sées, à 22 km au nord-ouest de Mortagne-au-Perche et à 28 km au sud-ouest de L'Aigle[2].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Superficie[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 19,90 km2 ; son altitude varie de 172 à 219 mètres[4]. Le territoire de Courtomer était le plus étendu du canton éponyme, disparu en 2015.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 16,55 km, comprend un cours d'eau notable, le Fresbee (0,994 km), et 5 petits cours d'eau[5].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

  • Moyenne annuelle de température : 9,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 782 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1997 à 2010 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[12]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records COURTOMER (61) - alt : 223 m 48° 37′ 12″ N, 0° 21′ 12″ E
Statistiques établies sur la période 1997-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1997 au 07-04-2010
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 2 3,6 5,4 9 11,4 12,8 13,3 10,9 8,4 4,5 1,8 7,1
Température moyenne (°C) 3,9 5 7,4 9,9 13,7 16,4 17,9 18,5 15,7 11,9 7,4 4,4 11
Température maximale moyenne (°C) 6,3 8,1 11,3 14,4 18,3 21,4 23 23,6 20,5 15,5 10,2 6,9 15
Record de froid (°C)
date du record
−13
01.01.1997
−8,3
02.02.1998
−9,1
01.03.05
−2,9
07.04.08
−0,7
07.05.1997
3,7
04.06.01
6
12.07.00
5,1
28.08.1998
2,6
19.09.07
−3,5
29.10.03
−6,3
23.11.1998
−9,6
19.12.09
−13
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
16,2
27.01.03
17,9
20.02.1998
22,3
19.03.05
26,3
30.04.05
29,7
27.05.05
32
28.06.05
34,7
26.07.06
37,5
06.08.03
31,7
04.09.05
24,8
13.10.01
18,3
06.11.03
16,4
07.12.00
37,5
2003
Précipitations (mm) 70,7 56,9 59,7 59,6 68,6 50,4 75,2 50,7 52,2 84,8 84,3 92 805,1
Source : « Fiche 61133001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Paysage[modifier | modifier le code]

Selon l'Atlas des paysages de l'Orne, la commune se situe dans les plaines et vallonnements du Merlerault et de la haute vallée de la Sarthe.

Les paysages aux alentours de la commune sont dominés par des parties planes et largement céréalières et une crête boisée, rebord du plateau du Pays d’Ouche, qui vient fermer visuellement un ensemble hétérogène de vallonnements herbagers[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Courtomer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,9 %), terres arables (35,4 %), forêts (6 %), zones urbanisées (2,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Curia Homeri en 1373[20].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Court-, dont l'élément Curia dans la mention ancienne résulte d'une mauvaise latinisation. Elle explique aussi la graphie moderne cour < ancien français court. Curia (avec ū long) aurait abouti à *cuire, *coire en français (cf. la ville de Coire, anciennement Curia). Court est en réalité issu du gallo-roman CORTE ou CURTE qui remontent respectivement au bas latin cortem et curtis (< latin classique cohors, cohortis). Court signifiait initialement « cour de ferme, ferme ».

Le second élément -omer représente un anthroponyme, peut-être Audomarus[20],[21] (allemand Otmar).

Le gentilé est Courtomerois.

Histoire[modifier | modifier le code]

La baronnie de Courtomer est érigée en marquisat par lettres patentes de (enregistrées au Parlement de Rouen le , et à la CC[Quoi ?] le [22]) en faveur de Jean-Antoine de Saint-Simon ; et à nouveau en (enregistré le ) pour Marie de Saint-Simon (1639-1670), « huguenote opiniâtre », épouse en 1652 au temple de Charenton (âgée d'à peine treize ans) de René de Cordouan (mariage annulé), puis remariée en 1661 à Jacques Nompar de Caumont (1625-1699), depuis 4e duc de la Force[23], dont trois filles. L'aînée, Jeanne de Caumont, héritière du marquisat, épousa en 1682 son cousin Claude-Antoine de Saint-Simon, dont postérité[24].

Par décret impérial du , Courtomer (1 058 habitants en 1806) absorbe Saint-Lhomer (498 habitants), commune nommée Les Vallées sous la Révolution française[25],[26],[27]. Il est à noter que Saint-Lhomer était initialement le chef-lieu de l'actuel canton de Courtomer, au moins jusqu'en 1792[28],[Note 6]. D'ailleurs, le bourg actuel de Courtomer correspond à l'ancienne agglomération de Saint-Lhomer, dont le nom a complètement disparu des cartes. Le site primitif de Courtomer est aujourd'hui appelé le Vieux Courtomer, à un kilomètre au nord-ouest du bourg[29].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Courtomer

Les armes de la commune de Courtomer se blasonnent ainsi :
De sinople aux trois lionceaux d'argent.[30]
Il s'agit d'une reprise des armes de Jacques Étienne Antoine de Saint-Simon-Courtomer ( † 1768), vicomte de Courtomer.

Ex-libris de Jacques Etienne Antoine de Saint-Simon-Courtomer, vicomte de Courtomer

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
? ? Jean-Charles Lesage   Conseiller général du canton de Courtomer (1867-1871)
? ? Isaïe Manson   Mécanicien, conseiller général du canton de Courtomer (1919-1931)
avant 1995 ? René Giard    
? mars 2001 Jean-Claude Fournier    
mars 2001 2005 Michel Altazin    
2005[31] mai 2020 Monique Bracke[32] SE Commerçante
mai 2020[33] En cours Robert Collette SE Agriculteur retraité
Les données manquantes sont à compléter.
Carte
Localisation de la commune de Courtomer

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[33].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 718 habitants[Note 7], en diminution de 4,52 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Courtomer a compté jusqu'à 1 256 habitants en 1836, mais les deux communes de Courtomer et Saint-Lomer totalisaient 1 556 habitants en 1806..

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
1 1048021 0581 2541 2591 2151 1641 2161 202
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 1121 2001 1111 1401 1061 0921 0481 0111 004
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
894848770785733780852824849
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
783698659636676722729763702
2021 - - - - - - - -
718--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château du XVIIIe siècle et son ancien temple protestant du XVIIe, inscrits aux Monuments historiques[37].
  • Église Saint-Lhomer (XIXe siècle), construite en style néo-roman. Beau portail de style roman.
  • Chapelle du Vieux-Courtomer : chœur de l’ancienne église paroissiale du XIIe siècle. Les deux communes de Courtomer et de Saint-Lhomet furent réunies en 1821. La nef fut démolie à la fin du XIXe siècle.
  • Chapelle Saint-Jacques dans le bois d'Écuenne.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Ces informations ne figurent pas sur la notice communale du site Cassini[26], qui ne mentionne que Courtomer à partir de 1793.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.gentilix.com/nom/habitants/3362
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  5. « Fiche SIGES de la commune », sur SIGES Centre-Val de Loire.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  12. « Fiche du Poste 61133001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « L'atlas des paysages de l'Orne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 986.
  21. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 22.
  22. Eric Thiou, Dictionnaire des titres et des terres titrées…, Versailles, Mémoire et Documents, , 270 p..
  23. Woelmont de Brumagne, Notices généalogiques, Paris, Champion, , tome 7, p 281
  24. Woëlmont de Brumagne, Notices généalogiques, Paris, Champion, , tome 3, pp 709-715.
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Lomer », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  27. R. de Pelet, « Conflits entre Courtomer et Saint-Lhomer », Soc. hist, et arch. Orne,‎ , p. 27-35.
  28. Les Auteurs de l’Atlas National de France, Précis élémentaire et méthodique de la nouvelle géographie de la France, Bureau de l’Atlas National, Paris, 1791; Atlas National Portatif de la France, Bureau de l’Atlas National, Paris, 1792.
  29. Carte d’État-Major (relevés de 1825 à 1866, mises à jour jusqu’à 1889) et carte IGN au 1 : 25 000.
  30. « GASO, la banque du blason - Courtomer Orne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  31. « Monique Bracke à la tête de la liste « Courtomer pour tous » », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. Réélection 2014 : « Courtomer (61390) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  33. a et b « Municipales. Un premier mandat de maire pour Robert Collette à Courtomer », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Château et temple à Courtomer », notice no PA00110787, « parc du château », notice no IA61002725, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Alain Corbin à Flers : «  Revenir à Lonlay-L'Abbaye, c’était revenir au paradis » », sur actu.fr, .

Liens externes[modifier | modifier le code]

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