Clessé (Deux-Sèvres)

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Clessé
Clessé (Deux-Sèvres)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais
Maire
Mandat
Christine Soulard
2020-2026
Code postal 79350
Code commune 79094
Démographie
Population
municipale
934 hab. (2021 en diminution de 2,61 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 43′ 01″ nord, 0° 24′ 18″ ouest
Altitude Min. 138 m
Max. 236 m
Superficie 29,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bressuire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cerizay
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Clessé
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Clessé
Liens
Site web http://www.clesse79.fr/

Clessé (en poitevin Cllessé[1]) est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le Pays de Gatine à égale distance de Bressuire et de Parthenay. La municipalité de Clessé compte également la commune limitrophe de Laubreçais.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Depuis le 1er septembre 2020, Clessé est desservie par la ligne 108 du réseau Tréma à destination de Bressuire.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 929 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1978 à 2011 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records CLESSE (79) - alt : 207 m 46° 42′ 36″ N, 0° 25′ 12″ O
Records établis sur la période du 01-01-1978 au 31-12-2011
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,5 1,5 3,4 5 8,6 11,5 13,5 13,4 10,8 8,6 4,5 2 7,1
Température moyenne (°C) 4,4 5 7,7 9,8 13,7 17,1 19,3 19,2 16,2 12,5 7,7 4,9 11,5
Température maximale moyenne (°C) 7,3 8,5 12 14,7 18,8 22,8 25,1 25,1 21,6 16,5 10,9 7,7 16
Record de froid (°C)
date du record
−15,5
17.01.1985
−11
10.02.1986
−11
01.03.05
−4
04.04.1996
−1
03.05.1979
3
05.06.1989
6
12.07.00
5
31.08.1986
1,5
25.09.02
−3
30.10.1997
−8
22.11.1993
−11
30.12.1996
−15,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17
27.01.03
20,5
15.02.1998
23
19.03.05
28
30.04.05
32,5
29.05.01
37
22.06.05
38
18.07.06
39
09.08.03
33
03.09.05
30
02.10.11
19,8
02.11.1982
18
15.12.1998
39
2003
Précipitations (mm) 84,9 60,6 57,9 65 62 44,8 51,9 41,1 63,2 93,9 84,1 90,5 799,9
Source : « Fiche 79094001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Clessé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bressuire, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,5 %), terres arables (35,5 %), prairies (20,9 %), forêts (3,6 %), mines, décharges et chantiers (2 %), zones urbanisées (1,6 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Clessé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Clessé.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d'alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 47,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010, par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d'exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Clessé est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Clessé est apparu en 1276. Le village a également été appelé Claysset, Clessay ou encore St Hilaire de Clessé. Une origine possible est *Classiacum, formé de Classius, nom d'homme romain, suivi du suffixe gaulois -acos, ce qui signifierait « Terre de Classius »[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Clessé compte quinze membres dont le maire et les quatre adjoints au maire.

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2008   Joël David[22]    
mars 2014   Louis-Marie Birot    
Mai 2020   Christine SOULARD    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[23].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Clessé, cela correspond à 2006, 2011, 2016[24], etc. Les autres dates de « recensements » (2009, etc.) sont des estimations légales.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
750458679680834791789875875
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9419141 0561 1081 1331 2861 2951 3641 370
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3681 3271 3741 2661 1631 1901 2151 2161 116
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1881 1731 103991924891905940954
2021 - - - - - - - -
934--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Santé[modifier | modifier le code]

Un cabinet médical se trouve sur la place du Général de Gaulle de la commune.

La 'Pharmacie de la Chapelle' est à 10 minutes de route à La Chapelle Saint-Laurent.

Les hôpitaux les plus proches sont ceux de Bressuire et de Parthenay.

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école Violine est l'établissement primaire accueillant les enfants de la commune. Cette école accueille une centaine d'enfants dans 4 classes.

La commune de Clessé est rattachée pour les établissements secondaires à Moncoutant, pour le collège, et à la ville de Bressuire pour le lycée.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Vie associative[modifier | modifier le code]

La commune comprend plusieurs associations sportives et bénévoles[27] :

  • L'Amicale des Donneurs de Sang, associant les donneurs de Clessé, St Germain, Fénéry et Adilly pour organiser les collectes.
  • L'APE Violine, Association des Parents d'Eleve
  • Club de l'Amitié, club des seniors de plus de 60 ans.
  • Les Cyclo Randonneurs Clesséens
  • L'Entente Sportive Clessé Boismé, club de football des deux communes
  • Gym volontaire de Clessé, club de gymnastique féminine
  • Pieds au Plancher, club de théâtre

Sports[modifier | modifier le code]

  • Club de l'Amitié, club des seniors de plus de 60 ans.
  • Les Cyclo Randonneurs Clesséens
  • L'Entente Sportive Clessé Boismé, club de football des deux communes
  • Gym volontaire de Clessé, club de gymnastique féminine

Médias[modifier | modifier le code]

Économie[21][modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

La commune de Clessé compte sur sa commune 15 artisans (automobile, maçonnerie, faïence, peinture, plomberie, menuiserie, coiffure), 4 commerces (boulangerie, épicerie, jouets et produits naturels) et 6 entreprises.

Exploitations agricoles et producteurs locaux[modifier | modifier le code]

On peut dénombrer sur le territoire de Clessé 30 sièges d'exploitations agricoles : 25 éleveurs (bovins, ovins, caprins, porcins et volaillers) et 5 cultivateurs (vergers, maraichers).

On compte également 6 producteurs locaux : brasserie, fromager, producteurs de jus de fruits, charcuterie et légumes bio.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Hilaire.

Le territoire de Clessé comprend plusieurs monuments situés au sein de la commune ainsi que dans ses campagnes :

  • L'église Saint-Hilaire. Monument roman premièrement construit vers les XIe – XIIe siècles, elle a été agrandie au fil des ans, notamment avec l'ajout du clocher au cours du XIVe siècle. Son nom vient de son Saint Patron, Hilaire de Poitiers, protecteur des récoltes.
  • La Fortinière. Domaine du XIIIe siècle comportant un manoir construit en 1577.
  • La Chapelle St Amboise. Construite au XVIIe siècle, cette chapelle se trouve sur la route de Boismé. Sa construction étant sujette à légendes, elle a notamment été le lieu de messe secrètement tenues par des prêtres ayant refusé de prêter serment à la Constitution Civile du Clergé lors de la Révolution.
  • Les ruines de Villegué. Ruines d'une 'maison forte' du XVe siècle dont il reste le colombier et le donjon.
  • Le Gué du Prizard. Petit gué situé sur la commune de Laubreçais, construit par les Gaulois.
  • Les moulins de St Benoist. Clessé comptaient au XIXe siècle encore 11 moulins. Le 'Moulin Carré', situé sur la route de Boismé est restauré et visitable notamment lors de la fête du pain, à l'occasion de laquelle il est remis en service.
  • Calvaire du Peu. Inauguré en 1933, il a été construit sur un moulin à vent. C’est un monument de 16 m de haut avec une croix de 8 m.
  • Les Freaux. Manoir du XIVe siècle, les 'Frous' doit sans doute son nom a une terre peu arrable, 'frou' voulant dire jachère, friche en vieux français. Le domaine comportait à l'origine un étang, un moulin et une métairie appartenant à l'abbaye de L'Absie. Aujourd'hui, le logis est devenu un gîte accueillant les visiteurs de la région.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l'existence du risque RGA ;
    • au maître d'ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l'étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Vivre au pays (Beaulieu-sous-Parthenay, Deux-Sèvres), Observer, restaurer, habiter les maisons poitevines : Gâtine, Mougon, Geste édition, 1991, 123 p., Carte compilant les toponymes poitevins des communes de Gâtine et des alentours
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 79094001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bressuire », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Clessé », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. a et b « Clessé - Site officiel de la commune », sur clesse79.fr (consulté le ).
  22. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
  23. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  24. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Clessé - Site officiel de la commune », sur clesse79.fr (consulté le ).
  28. « Clessé. La députée européenne se ressource dans le Bocage », Courrier de l'Ouest,‎ 14.08.2013 06:26 (lire en ligne, consulté le ).