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Chefika Gasprinskyi

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Chefika Gasprinskyi
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 88 ans)
IstanbulVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom dans la langue maternelle
Şefiqa Gaspıralı ou Шефика Исмаиловна ГаспринскаяVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Activités
Éditrice, personnalitéVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Mère
Fratrie
Rifat Gasprinsky (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint

Chefika Gasprinskyi (-[1]) est une journaliste, éditrice, femme politique et éducatrice tatare de Crimée.

En 1917 au Hansaray, Congrès national des peuples tatars de Crimée, avec Noman Çelebicihan, Asan Sabri Ayvazov, Cafer Seydahmet Kırımer, Osman Aktchokrakli, Seitcelil Hattat.

En 1917, elle est députée de la république populaire de Crimée, qu'elle doit fuir en 1919 avec ses enfants pour l'Azerbaïdjan, dont son mari Nassib Youssifbeyli est premier ministre. En 1920, elle fuit de nouveau, devant l'invasion soviétique, et gagne la Turquie.

En plus de la collaboration avec Terciman, le journal de son père, elle s'implique en tant qu'éditrice dans Alem-i Nisvan, magazine tourné vers le féminisme.

Avec ses enfants Zöhrə et Niyazi.

Elle est issue d'une famille princière tatare, les Akchurinas, par sa mère ; son père est Ismail Gasprinski, penseur de la culture tatare, son frère Ryfat Gasprinskyi est aussi journaliste.

Elle repose au cimetière de Zincirlikuyu à Istanbul.

Références

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  1. (tr) « Büyük bir kayıp (Şefika Gaspıralı) », sur emelvakfi.org (consulté le ).

Liens externes

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