Châtenay-en-France

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Chatenay-en-France)

Châtenay-en-France
Châtenay-en-France
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CC Carnelle Pays-de-France
Maire
Mandat
Jacques Renaud
2020-2026
Code postal 95190
Code commune 95144
Démographie
Gentilé Francs-Chatenaisiens
Population
municipale
77 hab. (2021 en augmentation de 11,59 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 00″ nord, 2° 27′ 00″ est
Altitude 171 m
Min. 109 m
Max. 172 m
Superficie 3,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fosses
Législatives 9e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Châtenay-en-France
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Châtenay-en-France
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Voir sur la carte topographique du Val-d'Oise
Châtenay-en-France
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Châtenay-en-France

Châtenay-en-France est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Francs-Chatenaisiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Châtenay-en-France est située dans le nord-est du Val-d'Oise, à une distance orthodromique de 4 km au nord-nord-ouest de Goussainville, et de 25 km au nord-nord-est de Paris. Le village se situe sur une butte-témoin boisée culminant à 172 m d'altitude, dominant ainsi la plaine de France. Le village voisin de Fontenay-en-Parisis est situé 50 m plus bas. Des terres agricoles entourent la butte de tous les côtés. Les cours d'eau sont complètement absents sur la commune, qui compte quand même quelques sources et une mare forestière. Châtenay est membre à part entière du parc naturel régional Oise-Pays de France créé par décret du 13 janvier 2004[1].

Ancienne plaque Michelin d'entrée du village, du temps de la Seine-et-Oise.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont au nombre de cinq, toutes reliées à Châtenay par des sentiers de randonnée, à l'exception de Mareil-en-France. Par contre, aucune route directe ne relie Châtenay à Bellefontaine. Parmi les cinq communes voisines, seul Fontenay-en-Parisis est un petit bourg, mais le nouveau quartier de Puiseux-en-France dispose également de quelques commerces de proximité. Ce quartier, proche de la gare de Louvres, est à ne pas confondre avec le vieux village de Puiseux, à 1,5 km à l'est de Châtenay.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Witz à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 676,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Châtenay-en-France est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Châtenay est desservi par la RD 9, axe est-ouest reliant l'ancienne RN 16 (actuelle RD 316), à l'ancienne RN 17 (actuelle RD 317). La rue vers Fontenay-en-Parisis au sud est fermée à la circulation automobile.

Châtenay n'est pas desservi par les transports en commun autres que scolaires. La station de train la plus proche est la gare de Louvres, sur le RER D, à 5,7 km.

Le GR de Pays « de la Plaine de France » traverse la commune du nord au sud, venant de Fontenay-en-Parisis et continuant vers Bellefontaine et la vallée de l'Ysieux. À l'extrémité nord du territoire communal, ce sentier se croise avec un autre itinéraire de randonnée, venant de Louvres et Puiseux-en-France, et continuant vers Jagny-sous-Bois et Luzarches.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Castanetum en 1097, Castanetum in Francia, Castanedum, Castaneum en 1119, Chatenay-en-France[13].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[14], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie de 1806 à 1967 du canton d'Écouen de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, la ville intègre le canton de Luzarches[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Châtenay-en-France fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en février 2008[16]), et du tribunal judiciaire ainsi que de commerce de Pontoise[17],[18].

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Fosses

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Châtenay-en-France était membre de la communauté de communes du pays de France, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette petite intercommunalité a fusionné au sein de la communauté de communes Carnelle Pays de France dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 En cours Jacques Renaud UMP
puis DVD[19]
Responsable de société
Président (2001[20] → 2014) puis vice-président (2014[21] → 2016) de la CC du pays de France
Vice-président de la CC Carnelle Pays de France (2017 → 2020)
Réélu pour le mandat 2020-2026[22],[23]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 77 habitants[Note 3], en augmentation de 11,59 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1188989767770818472
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
785651697153767482
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
726267514660606178
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
695369756061646575
2018 2021 - - - - - - -
7677-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église, vue depuis le sud-est.

Châtenay-en-France compte un monument historique sur son territoire :

Une église à Châtenay est mentionnée dès 1097 dans une bulle d'Urbain II, quand l'évêque de Paris la donne au prieuré Saint-Martin-des-Champs, dont elle dépend jusqu'à la Révolution.
L'église initiale a bénéficié d'une réfection du chœur au XVIIIe siècle, mais a finalement été complètement démolie en raison de son mauvais état.
Pour la remplacer, une nouvelle église est construite entre 1784 et 1786 dans le style néoclassique, selon le plan du célèbre architecte Jacques Cellerier.
Le portail est encadré par deux colonnes et surmonté d'un fronton en segment de cercle. La nef est précédée d'un narthex et comporte cinq travées, et se termine par un chevet plat. La sacristie y est accolée. Le petit clocher est bâti sur le narthex. La totalité des façades est agrémentée de bossages, tout en restant sobre. Les ouvertures sont en demi-lune, y inclus la fenêtre du chevet. Le plafond est une voûte en berceau continue[28],[29],[30].

On peut également signaler :

  • Château et orangerie de Châtenay
Le château de Châtenay.
L'orangerie du château de Châtenay.
    • Le château de Chatenay, au milieu de son parc : construit en 1880 par l'architecte Dainville, ce petit manoir à un étage présente cinq fenêtres sur la façade principale, avec un corps central faisant saillie au centre. La façade est conçue autour de chaînages d'angle en pierre de taille claire et de trumeaux en brique rouge[30]. La haute toiture à la Mansart abrite un second étage et des combles. Le château ainsi que ses bâtiments annexes dispersés dans le parc et le village ont été convertis en centre de séminaires[31].
    • L'ancienne orangerie, rue Honoré-de-Mirabeau : transformée en salle de réunion, elle reste un magnifique témoin de l'architecture industrielle du dernier quart du XIXe siècle, avec sa charpente en acier rivé et ses façades nord et sud entièrement vitrées. Ainsi, l'orangerie n'est pas sans rappeler les pavillons Baltard[31].
  • La maison de campagne d'un notaire parisien, rue Honoré-de-Mirabeau, au carrefour du centre du village
Construit en 1802 pour Desysnard de Moiret, elle reproduit le schéma des hôtels particuliers parisiens de la fin du XVIIIe siècle, où les communs délimitent une cour donnant sur la rue, avec la résidence construite en retrait. La façade est très sobre, agrémentée seulement par l'entablement de la porte, les pilastres d'angles faits de plâtre et le bandeau courant horizontalement sous les fenêtres de l'étage[32].
  • Le monument pour Ambroise Jacquin, au carrefour de la rue Honoré-de-Mirabeau avec l'allée des Joncs
De la forme de beaucoup de monuments aux morts, il commémore l'assassinat du résistant Ambroise Jacquin par la Gestapo, le 26 août 1944, à l'âge de quarante-six ans.
  • Le lavoir « fontaine des Joncs », allée des Joncs, au nord du parc du château sur le chemin rural menant vers Bellefontaine : bassin en pierre subdivisé en deux parties, avec un abri en charpente et toit en appentis à l'est, l'ensemble à l'état d'abandon. La source est aujourd'hui à peu près asséchée.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Châtenay-en-France », p. 451–453

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Cf. [PDF] « Journal officiel de la République française du 15 janvier 2004, p. 1143-1144 », sur DREAL Picardie (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Châtenay-en-France et Saint-Witz », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St Witz » (commune de Saint-Witz) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « St Witz » (commune de Saint-Witz) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  14. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008
  17. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  18. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  19. Pierre Steinmetz, « Au milieu du Val-d’Oise, un îlot frontiste », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  20. Da.D., « Le maire de Châtenay succède à Bernard Messéant », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Renaud, maire de Châtenay-en-France (61 habitants), la plus petite des dix communes du Cœur-du-Pays-de-France, est le nouveau président de cette communauté de communes lancée en 1993 autour de Luzarches. Élu lundi soir à l'immense majorité des suffrages (20 votes pour et 3 votes blancs), ce responsable de société âgé de 54 ans succède à Bernard Messéant (RPR), ancien maire de Luzarches, président de la communauté depuis sa création et contraint de se retirer puisqu'il n'a plus de mandat municipal ».
  21. « Le château prépare sa métamorphose », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  22. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, (consulté le ).
  23. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Notice no PA00080020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Cf. Catherine Crnokrak, Isabelle Lhomel, Christian Olivereau, Agnès Somers et Jean-Yves Lacôte (photographies), En pays de France : Cantons de Luzarches, Gonesse et Goussainville. Images du patrimoine, Cergy-Pontoise, Association pour le patrimoine d'Ile-de-France et Conseil général du Val d'Oise, , 104 p. (ISBN 2-905913-23-1), p. 29.
  29. Dominique Foussard, « Châtenay-en-France - Saint-Martin », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ , p. 70-71 (ISBN 9782953155402).
  30. a et b Yann Audino et Christian Garcia, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Châtenay-en-France », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 451-453 (ISBN 2-84234-056-6).
  31. a et b Cf. « L'orangerie », sur Château de Châtenay (consulté le ).
  32. Cf. En pays de France, op. cit., p. 78.