Chapelle Saint-Jean d'Amboise
Pour les articles homonymes, voir Chapelle Saint-Jean.
Cet article est une ébauche concernant le catholicisme, l’Indre-et-Loire et les monuments historiques français.
| Type | |
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| Propriétaire |
Ville d'Amboise (d) |
| Patrimonialité |  Classé MH () |
| Adresse |
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| Coordonnées |
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La chapelle Saint-Jean est un édifice religieux voué au culte catholique situé dans la commune française d'Amboise, dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
Localisation
[modifier | modifier le code]La chapelle est située dans la partie orientale de l'Île d'Or, qui sépare en deux le lit de la Loire, en amont du pont du Maréchal-Leclerc. Elle est implantée à une altitude de 57 m, soit 5 m au-dessus du niveau moyen du fleuve.
Histoire
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Commanderie Saint-Jean d'Amboise
La chapelle est l'unique vestige d'un monastère de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[1] bâti par les chevaliers de cet ordre vers 1175[2]. D'autres bâtiments, au nord et au sud, étaient attenants à cette chapelle[3].
Elle est classée au titre des monuments historiques français en 1938[1].
Description
[modifier | modifier le code]La chapelle se compose d'une nef unique à trois travées que prolonge un chœur terminé par un chevet plat qu'éclaire un triplet. Elle mesure dans l'œuvre 17,50 × 6,05 m[3].
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean-Mary Couderc (dir.), Dictionnaire des communes de Touraine, Chambray-lès-Tours, CLD, , 967 p. (ISBN 978-2-85443-136-0).
- Victor Guignard, « La chapelle Saint-Jean-de-l'Isle à Amboise », bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. XXVI, , p. 72-73 (ISSN 1153-2521, lire en ligne).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- Notice no PA00097502, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Louis-Auguste Bosseboeuf, « La chapelle Saint-Jean de l'île d'Amboise », bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. XXVI, , p. 43 (ISSN 1153-2521, lire en ligne).
- Guignard 1935, p. 72.
