Champenard
Champenard | |
![]() La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Seine-Eure |
Maire Mandat |
David Pollet 2020-2026 |
Code postal | 27600 |
Code commune | 27142 |
Démographie | |
Gentilé | Champenardais |
Population municipale |
276 hab. (2018 ![]() |
Densité | 119 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 06′ 25″ nord, 1° 20′ 04″ est |
Altitude | Min. 110 m Max. 136 m |
Superficie | 2,32 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Gaillon |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Champenard est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
La commune est située sur le plateau de Madrie.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La source du « ru d'Anière » se situe sur la commune.
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies de communication[modifier | modifier le code]
On y parvient par la RD 75 en provenance de Saint-Julien-de-la-Liègue ou de Sainte-Colombe-près-Vernon ou par la RD 65 en provenance de Saint-Aubin-sur-Gaillon ou de Houlbec-Cocherel.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Champenard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Campus Enardi en 1181, autrement dit « le champ d'Énard » (cf. Mesnil-Esnard et Éginhard), anthroponyme d'origine germanique, encore fréquemment porté comme patronyme sous les formes Esnard ou Énard, notamment au sud ouest du domaine de la langue d'oïl[réf. nécessaire].
Histoire[modifier | modifier le code]
Charpillon ne trouve pas de point notable concernant la commune, outre celui du droit de présentation de l'abbé de La Croix-Saint-Leufroy[7].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[9].
En 2018, la commune comptait 276 habitants[Note 2], en augmentation de 16,46 % par rapport à 2013 (Eure : +0,83 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Économie[modifier | modifier le code]
La société CINRAM possède un site de production qui occupe une vaste surface du territoire de la commune.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Lavoir en bordure de la RD 75.
- Inventaire du patrimoine culturel en ligne [2].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Jean-François Davy (né en 1945), réalisateur qui y achète une propriété dans les années 1970 et y fait construire une usine de cassettes vidéo dans les années 1980[12].
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 26 mars 2021).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le 26 mars 2021).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 26 mars 2021).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le 26 mars 2021).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le 26 mars 2021).
- Louis-Étienne Charpillon et l'abbé Caresme, Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l'Eure, t. I, p. 486 - [1].
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Adrien Gombeaud, « Merci qui ? Merci Davy », Vanity Fair n°46, mai 2017, pages 116-123.