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Château de Lanniron

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Château de Lanniron
Image illustrative de l’article Château de Lanniron
Vue du château depuis la rivière.
Période ou style palladien
Début construction XVe siècle
Fin construction XIXe siècle
Propriétaire initial Évêques de Cornouaille
Propriétaire actuel François et Marie de Massol de Rebetz
Destination actuelle Propriété privée (camping, gîtes, lieu de réception, restaurant, golf, visites du parc)
Protection Logo des sites naturels français Site classé
Logo monument historique Inscrit MH (1988, 1992)
Coordonnées 47° 58′ 34″ nord, 4° 06′ 38″ ouest[1]
Pays Drapeau de la France France
Anciennes provinces de France Bretagne
Subdivision administrative Finistère
Commune Quimper
Zone tampon ha
Géolocalisation sur la carte : Quimper
(Voir situation sur carte : Quimper)
Château de Lanniron
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Château de Lanniron
Géolocalisation sur la carte : Finistère
(Voir situation sur carte : Finistère)
Château de Lanniron
Site web http://www.lanniron.com

Frontstalag 135, puis camp de prisonniers allemands de Lanniron (après août 1944)
Image de l'établissement
Le camp de prisonniers de guerre de soldats d'origine coloniale aménagé par les Allemands à Lanniron pendant la Seconde Guerre mondiale.
Localisation
Pays Drapeau de la France France
Localité Ergué-Armel
Coordonnées 47° 58′ 34″ nord, 4° 06′ 38″ ouest
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Frontstalag 135, puis camp de prisonniers allemands de Lanniron (après août 1944)
Architecture et patrimoine
Style Palladianisme
Installations
Type Château
Fonctionnement
Date d'ouverture septembre 1940
Effectif env0,800 0 prisonniers de guerre français, puis env0,400 0 prisonniers de guerre allemands
Date de fermeture mai 1946

Le château de Lanniron (XVe - XIXe siècle) est un château situé sur le territoire de la commune de Quimper dans le Finistère, en Bretagne. Ancienne résidence d'été des évêques de Cornouaille[2], il fait l'objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le et depuis le [3].

Un camp de prisonniers de guerre y était installé, de 1940 à 1946, et nommé « Frontstalag 135 » jusqu'en 1944.

La présence des évêques de Cornouaille à Lanniron est attestée depuis le XIIe siècle.

Un premier corps de logis est créé par l'évêque de Cornouaille Bertrand de Rosmadec au XVe siècle[4].

Nicolas Caussin, confesseur du roi Louis XIII, passa un temps en exil à Quimper et à Lanniron.

Monseigneur René du Louët témoigna son soutien à la mystique Marie-Amice Picard qui fut accusée de sorcellerie et attesta des faits extraordinaires qui lui étaient attribués par lettre du 1er août 1667 donnée à Lanniron[5].

Des jardins en terrasse sont construits entre 1668 et 1706 par Monseigneur François de Coëtlogon. Contemporains de ceux créés à Versailles, leur ancienneté en fait un rare exemple dans l'ouest de la France. En 1695, le docteur et poète vannetais Nicolas de Bonnecamp (1630-1704)[6] en donne une description précise[7] en 432 alexandrins[8].

L'aile ouest est ajoutée par Monseigneur Auguste François Annibal de Farcy dans les années 1760. C'est à cette époque que Lanniron fut fréquenté par Elie Fréron[9].

Lanniron est confisqué comme bien national durant la révolution française sous l'épiscopat de Monseigneur Toussaint-François-Joseph Conen de Saint-Luc bien que ce ne soit pas un bien d'église mais la propriété personnelle de l'évêque en place qui était prié de la racheter à la famille de son prédécesseur.

28 janvier 1791 Adjudication définitive de la terre de Lanniron, bien national, à M. Pierre Joseph André Malin, capitaine de Vaisseau demeurant à Brest.

19 août 1805 (Ier Fructidor an XIII) Vente de Lanniron par M. Malin à M. François Marie Toussaint Léon de Treverret ex-payeur de la guerre à Quimper et son épouse Mme Caroline Raymonde Rosalie Perrin, demeurants à Quimper.

16 mai 1809 Vente de Lanniron par M. et Mme Léon de Treverret à M. Guillaume Kerbriand-Postic & Mme Thérèse Lavallée son épouse, négociants demeurants à Morlaix.

15 juin 1822 Vente par M. et Mme Kerbriand-Postic, demeurants à Paris à M. Emmanuel Calixte Harrington, gentilhomme britannique de mère française. Il a fait édifier par l'architecte Jean-Baptiste Bigot (père de l'architecte Joseph Bigot) la façade actuelle de style néo-classique, ressemblant à une villa palladienne avec son péristyle à 6 colonnes ioniques.

23 mars 1833 Vente par M. Harrington, demeurant à Ergué-Armel à MM. Hypolite Sire et Constant Chauveau-Sire, banquiers demeurants à Boulogne-sur-Mer.

12 juillet 1833 Vente de Lanniron par MM. Hypolite Sire et Constant Chauveau-Sire à M. Charles Fidèle de Kerret et Mme Marie Marguerite Félicie Le Feuvre de la Faluère son épouse dont les descendants sont les actuels propriétaires.

Né en 1863 à Lanniron, son petit-fils Georges Blanchet de la Sablière, féru de voyages comme son oncle René de Kerret qui voyagea avec l'escadre de l'amiral Auguste Febvrier Despointes, fera de nombreux voyages notamment en Alaska[10]. Ce sont ces voyages qui seront à l'origine de la collection botanique de Lanniron.

Vitrail du couronnement, basilique du Folgoët.

Mademoiselle Geneviève Blanchet de la Sablière, propriétaire de Lanniron entre 1896 et 1922 est représentée à genoux avec sa cousine Marthe du Homme debout à droite sur le vitrail du couronnement de la basilique du Folgoët.

Le camp de prisonniers entre 1940 à 1946

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Entrée du camp « Frontstalag 135 » en 1940.

La ville de Quimper abrita un camp de prisonniers de guerre à Lanniron, le « Frontstalag 135 », de 1940 à 1946[11]. Après avoir été dans les locaux de la caserne de La Tour-d’Auvergne (dans l'actuel collège du même nom[12]) depuis le 25 juin 1940, le camp s'installa sur la rive gauche de l'Odet dès septembre 1940. À cette date, des terrains privés furent réquisitionnés par les autorités militaires allemandes d'occupation[13], soit plus de 8 hectares à l'emplacement actuel du bois au sud du château de Poulguinan[14], de l'orangerie et du camping de Laniron (à l'ouest du golf). Au début du mois de novembre 1940, le château de Lanniron fut également réquisitionné et mis à disposition des officiers commandant le camp de prisonniers, dirigé par l'Hauptmann Queish du bataillon de sécurité Landesschutzen 388.

À partir de la fin de l'année 1940, et jusqu'en août 1944, le site sera le lieu de l'emprisonnement de Français, principalement des militaires issus des colonies d'Afrique française du Nord, d'Indochine française, d'Afrique-Équatoriale française et d'Afrique-Occidentale française, dites des « troupes coloniales ». Ceux-ci ont été jugés indésirables par le régime national-socialiste sur le sol allemand.

Selon un rapport de la Croix-Rouge, il y avait « 803 blancs, 6 592 hommes de couleur, 31 noirs, 320 annamites (dont une centaine de civils), soit un total de 7 746 hommes » en mai 1941 à Lanniron et à l'annexe du camp, localisée à l'école Saint-Charles[15]. L'historienne Armelle Mabon estime cependant que le nombre de prisonniers issus des colonies fut supérieur de plusieurs centaines[16]. Dix soldats coloniaux décèderont dans le camp. Un des bâtiments du camp fait office de mosquée, un autre de bibliothèque[17].

À partir d'août 1944, et jusqu'en juin 1946, le camp deviendra un camp de prisonniers de guerre allemands. En septembre 1945, le CICR recensait 3 853 détenus. On dénombra 39 décès allemands. Le camp de prisonniers fut fermé le 29 juin 1946 car les autorités militaires françaises levèrent la réquisition des terrains qui furent alors restitués à leur propriétaire. Aujourd'hui, aucune trace du camp n'est visible puisqu'il fut entièrement démoli[18].

Une stèle à la mémoire des prisonniers de guerre a été inaugurée le 18 mai 2010, allée de Laniron[19]. Sur la plaque, il est écrit que « plus de 2000 soldats métropolitains et 7746 soldats issus des colonies françaises d’Afrique et d’Asie » ainsi que « 3853 prisonniers de guerre allemands y furent internés ».

Après guerre

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Pendant la Tempête de 1987 le parc perd plus de 400 arbres, la propriété est dévastée. Il s'ensuit un vaste programme de restauration débuté dans les années 1990 et qui devra s'achever par la restitution des jardins tels que dessinés au XVIIe siècle.

Les allées ont été replantées, l'orangerie a été réaménagée, le canal du XVIIe siècle fut recreusé et réalimenté, 1,5 km de murs ont été restaurés, le bassin du Neptune enfoui dans la vase à l'ouest des terrasses a été reconstruit sur ses fondations, 3 des 5 bassins ornant les terrasses ont été restitués en 2005. Il reste à refaire aujourd'hui, pour achever le projet, 2 bassins ainsi que le tracé et la plantation des parterres.

Dans un souci de restauration soignée, les jardins ont fait l'objet de fouilles en juillet 2011 sous la direction d'Anne Alliment-Verdillon[20],[21], formée à la Villa Médicis.

Activité actuelle

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C'est pour soutenir la restauration des jardins et la conservation du site qu'une activité touristique a vu le jour. Aujourd'hui le domaine abrite un camping Sunélia 5 étoiles, des gîtes, un golf, un restaurant, des salles de réceptions, des locations de bureaux, et le parc est ouvert à la visite. Depuis 2020, le domaine accueille aussi des spectacles de fauconnerie ainsi qu'un parcours d'accrobranche[22].

Le golf de Lanniron est un parcours neuf trous de 1 388 mètres agréé par la Fédération française de golf[23] et membre du réseau Golfy[24]. Le golf est aussi équipé d'un espace d'entraînement avec practice, putting green et bunkers. Une école de golf existe également avec des cours enseignés par Bertrand Coathalem[25] professionnel et champion de golf [26].

Le restaurant a notamment accueilli le vernissage du peintre Yann Queffelec à l'occasion de la publication de son œuvre avec le poète Henry Le Bal, «L'Ile nue»[27].

Depuis de nombreuses années, l'Orangerie accueille les Semaines musicales et plusieurs artistes tels que : François-Frédéric Guy[28], Ophélie Gaillard[29], Zhu Xiao-Mei[30], Anne Queffélec[31], Daishin Kashimoto[32], Claire-Marie Le Guay[33], Éric Le Sage, Shiho Narushima[34] sont passés dans ses murs.

Chaque année, le parc est également ouvert dans le cadre de la campagne Neurodon, des Rendez-vous aux jardins et des Journées européennes du patrimoine.

Architecture

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Architecture néo-classique d'inspiration palladienne reconnaissable à ses frontons et ses colonnades.

Armorial des propriétaires

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Image Armoiries du propriétaire
1290-1320 : Alain Rivelen, dit Morel, de Riec
1320-1322 : Thomas d'Anast, ancien doyen du chapitre d'Angers

d'or à la croix engrêlée de sable, cantonnée de quatre étoiles de même.

1322-1324 : Bernard du Plouget, franciscain, nommé par le pape le , transféré à Nîmes, sans être jamais venu à Quimper
1324-1326 : Guy de Laval, transféré au Mans
1326-1330 : Jacques de Corvo, transféré à Toulon
1330-1333 : Yves Le Prévôt de Bois Boëssel, transféré à Tréguier, puis à Saint-Malo en janvier 1333
1333-1335 : Alain Gontier, ancien principal du collège de Navarre, ancien évêque de Saint-Malo

Ses armoiries dont on ignore les couleurs sont: écartelé 1/4 d'une fasce 2/3 un sautoir

1335-1352 : Alain Le Gall, de Riec
1352-1357 : Geoffroy de Coëtmoisan , précédemment abbé de la Couture au Mans, transféré à Dol

une croix cantonnée de quatre hures de sanglier.

1357-1383 : Geoffroy Le Marhec

d'argent au lion de gueules chargé d'une fasce de sable à trois molettes d'argent.

1384-1408 : Thebaud de Malestroit, ancien évêque de Tréguier
1408-1416 : Gatien de Monceaux, nantais, il fit voûter le chœur de la cathédrale

d'azur à la fasce d'argent, accompagné de trois étriers d'or

1416-1444 : Bertrand de Rosmadec, se démit en août 1444, mort en 1445, il entreprit en 1424 la réfection de la nef de la cathédrale
1444-1451 : Alain de Lespervez, franciscain, transféré de Tréguier, nommé archevêque in partibus de Césarée-en-Palestine le 16 janvier 1451, † 1455
1451-1472 : Jean de Lespervez, neveu du précédent et son coadjuteur depuis le 23 décembre 1449

écartelé aux 1 et 4 : de sable à trois jumelles d’or, (Lespervez) ; au 2 d’or à deux fasces d’azur accompagnées de huit merlettes de gueules (Briquebec) ; au 3 : d’or au lion de sinople armé, lampassé et couronné de gueules (Painel-Hambye).

1472-1479 : Thibaut ou Thébaud de Rieux
1479-1484 : Guy du Boschet ou Bouchet, vice-chancelier de Bretagne
1484-1493 : Alain Le Maout, du Faouët, transféré de Léon
1493-1501 : Raoul Le Moël
1501-1540 : Claude de Rohan
1540-1546 : Guillaume Eder
1546-1549 : Philippe de la Chambre, évêque de Tusculum, nommé administrateur de l'évêché de Cornouaille le 19 juillet 1546

D'azur, semé de fleur de lis d'or, à la bande de gueules brochant sur le tout.

1550-1560 : Nicolas Cajetan di Sermonetta, se démit le 5 avril 1560 en faveur du suivant
1560-1571 : Étienne Boucher, champenois, ancien secrétaire de Catherine de Médicis et premier secrétaire de l'ambassade de France à Rome
1573-1583 : François de la Tour, de Plougonven, transféré à Tréguier
1583-1614 : Charles du Liscouët

1614-1640 : Guillaume Le Prestre de Lézonnet
1640-1668 : René du Louët de Coetjunval

Fascé de vair et de gueules.

1668-1706 : François de Coëtlogon
1707-1739 : François-Hyacinthe de Plœuc du Timeur
1739-1771 : Auguste François Annibal de Farcy de Cuillé
1772-1773 : Emmanuel-Louis de Grossoles de Flamarens, transféré à Périgueux
ch=grfl 1773-1790 : Toussaint-François-Joseph Conen de Saint-Luc

Coupé d'or et d'argent, au lion de l'un en autre, armé, lampassé et couronné de gueules.

Famille Malin
Famille Léon de Tréverret

D'or, à la fasce vivrée de gueules.

Famille Kerbriand-Postic
Famille Harrington
Famille de Kerret de Quillien

Ecartelé aux 1 et 4 : d’or au lion morné de sable, à la cotice de gueules brochante, qui est Kerret ; aux 2 et 3 : d’argent à deux pigeons affrontés d’azur, becquetant un cœur de gueules, qui est du Val.

Famille Blanchet de la Sablière

D'azur à la bande d'argent accostée de deux lys tigés en bande du même.

Famille Hersart de La Villemarqué

D'or à la herse de sable.

Famille de Massol de Rebetz

D'or à l'aigle bicéphale de sable, coupé de gueule au dextrochère tenant une masse (ou marteau d'arme) mouvant d'une nuée d'argent à senestre.

Notes et références

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  1. Coordonnées vérifiées sur Géoportail
  2. Toussaint de Saint Luc, Mémoires sur l'Etat du clergé et de la noblesse de Bretagne, , 852 p. (lire en ligne), p. 54.
  3. Notice no PA00090328, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  4. Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, dédié à la nation bretonne : M-Z, , 986 p. (lire en ligne), p. 420.
  5. Jean François de La Marche, Abregé des vies de Marie Dias, Marie-Amice Picard, et d'Armelle Nicolas, dite la Bonne Armelle : a l'usage des retraites, , 194 p. (lire en ligne), p. 70.
  6. Nicolas de Bonnecamp, né en 1630 à Vannes, décédé le à Brest
  7. « SAF - Bulletin 1921 », sur du-finistere.org (consulté le ).
  8. http://bibnum.enc.sorbonne.fr/gsdl/collect/tap/archives/HASH01d3/a8d47ea0.dir/0000005531448.pdf
  9. Charles Monselet, Fréron, , 138 p. (lire en ligne), p. 92.
  10. « Georges de la Sablière. Les voyages d'un noble breton », sur letelegramme.fr, Le Télégramme, (consulté le ).
  11. L'essentiel des connaissances sur le camp de Lanniron est synthétisé dans l'article suivant, écrit par les Archives municipales de Quimper : « Le camp des prisonniers de Lanniron - Ville de Quimper », sur quimper.fr (consulté le ). Voir aussi Henri Martin, Prisonnier au Frontstalag 135 de Quimper, 1940-1941.
  12. Voir une image de 1940.
  13. Sur les terrains au nord du château (Geoportail, photographies aériennes de 1950 à 1965). Voir aussi l'image renversée nord-sud, de 1946, sur le site de la ville de Quimper.
  14. À propos du château de Poulguinan, voir le site de patrimoine.region-bretagne.fr
  15. Voir un extrait du rapport à la suite de la visite du 28 mai 1941 par le CICR, et aussi « À Saint-Charles, l'école est devenue une prison », ouest-france.fr, 27 mai2014.
  16. A. Mabon, « Ce chiffre n'a aucun sens historique », letelegramme.fr, 19 mai 2010.
  17. Erwan Chartier-Le Floch, « 39-45 : des prisonniers coloniaux en captivité en Bretagne », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Le camp de prisonniers de Lanniron », sur pagesperso-orange.fr (consulté le ).
  19. Voir kilroytrip.fr
  20. Christian Gouerou, « Lanniron : l'archéologue sur les traces du jardin du XVIIe », sur Ouest-France,
  21. « Archéologie. Faire parler la terre de Lanniron », sur letelegramme.fr, Le Télégramme, (consulté le ).
  22. Lætitia JACQ-GALDEANO, « Quimper. Le château de Lanniron, dans la même famille depuis 1833 », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  23. « Fédération française de golf », sur Fédération Française de Golf (consulté le ).
  24. « golfy.fr/fr/les-golfs-et-hotel… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  25. « De retour à Quimper comme prof au golf de Lanniron. Bertrand Coathalem veut partager sa passion », sur letelegramme.fr, Le Télégramme, (consulté le ).
  26. « golftechnic.com/pages_joueursp… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  27. « Lanniron. Le peintre invisible se dévoile », sur letelegramme.fr, Le Télégramme, (consulté le ).
  28. Éliane Faucon-Dumont, « François-Frédéric Guy. Pianiste! Un métier de partage », sur Le Télégramme,
  29. « Les Semaines musicales de Quimper 2007 », sur pianobleu.com
  30. Éliane Faucon-Dumont, « Semaines musicales. Zhu Xiao Mei à guichet fermé », sur quimper.letelegramme.fr,
  31. « Le programme des Semaines musicales - Quimper », sur ouest-france.fr,
  32. « Ce soir à Lanniron : un duo d'exception », sur letelegramme.fr,
  33. J-G. Lebrun, « Semaines musicales de Quimper », sur journal-laterrasse.fr,
  34. « Festival "Rencontres à l'Orangerie de Lanniron" », sur Sunêlia (consulté le )

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Bibliographie

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  • Anne Alliment-Verdillon, Les terrasses du jardin de Lanniron. Rapport de sondages 2011, Service régional de l'archéologie de Bretagne, 2012 (Code national de l'opération et n° du rapport : RAP02808).
    Rapport non disponible.
  • « L'Histoire oubliée du camp de prisonniers de Lanniron », dans Le mag, n° 1, Quimper, septembre 2009, p. 17 (en ligne).

Articles connexes

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Liens externes

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