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Château Poséidon

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Château Poséidon
Image illustrative de l’article Château Poséidon
Le château encore en bon état
Nom local Château de la Borde
Période ou style Néo-renaissance
Architecte Alfred Dauvergne
Début construction 1860
Fin construction 1865
Propriétaire initial Louis Gustave Boullet et Gabrielle Picot d'Agard
Destination initiale Demeure patricienne
Propriétaire actuel Thomas Garneau-Bertrand et Damien Verhaegen
Destination actuelle Habitat et évènements
Coordonnées 47° 13′ 28″ nord, 1° 36′ 58″ est
Pays Drapeau de la France France
Région française Centre-Val de Loire
Département français Indre
Commune Val-Fouzon
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Château Poséidon
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
(Voir situation sur carte : Centre-Val de Loire)
Château Poséidon
Géolocalisation sur la carte : Indre
(Voir situation sur carte : Indre)
Château Poséidon

Le château Poséidon, également connu sous le nom de château de la Borde ou château Laborde, est un château de style néo-Renaissance situé dans la commune de Val-Fouzon, dans le département de l'Indre en Centre-Val de Loire. Il s'agit d'une propriété privée.

Localisation

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Le château est situé au hameau de la Borde, dans la commune de Varennes-sur-Fouzon, commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Val-Fouzon dans le canton de Saint-Christophe-en-Bazelle du département de l'Indre. Ce territoire, voué principalement aux activités agricoles et viticoles, fait partie de la région naturelle du Boischaut Nord ou « Gâtine berrichonne »[1].

Le château fut construit de à d'après les plans établis par l'architecte Alfred Dauvergne (-), à l'époque du Second Empire, période de prospérité agricole et industrielle pour le département de l'Indre, desservi par le chemin de fer dès [2].

De nombreux investissements furent réalisés dans les grands domaines agricoles et permirent à leurs propriétaires de s'enrichir. Alfred Dauvergne sut répondre aux besoins de cette clientèle fortunée qui voulait restaurer ou reconstruire ses résidences, en suivant le goût pour le Moyen Âge et le style néogothique ou néorenaissance du XIXe siècle, avec le confort des vastes baies, le chauffage et la salle de bains, dans la lignée d'Eugène Viollet-le-Duc. Nommé architecte départemental en , Dauvergne réalisa plusieurs chantiers et travaux publics à Châteauroux et ses environs qui contribuèrent à asseoir sa réputation dans la région à partir de . Ces succès lui valurent de nombreuses commandes tant privées que publiques, attestées par ses archives conservées aux Archives départementales de l'Indre[3]. Il fut particulièrement productif dans la région de la Loire avec à son actif de nombreuses églises, presbytères, mairies, écoles et châteaux.

Pour le château Poséidon, Dauvergne s'inspira sur le château d'Azay-le-Rideau. La construction suivit la démolition d'une ferme fortifiée, dont subsiste une tour isolée à quelques dizaines de mètres en avant de l'édifice actuel. La plupart des autres éléments de cette ferme ont disparu[1]. Les matériaux de démolition de cette première bâtisse furent utilisés pour les fondations et la base du nouveau château.

Sur un des murs du hall d'entrée est apposé un écusson avec la devise Qui veult, peut, variante du dicton latin Nihil difficile volenti (en français : Rien n'est difficile pour qui veut). Elle aurait déjà été la devise du roi Arthur et des chevaliers de la Table Ronde, de qui la devise principale était Dieu le veult. Elle est classée parmi les proverbes bretons et est la devise de la ville de Pierrefonds (Oise).

La Famille Boullet

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Louis Gustave Boullet (Valençay, 7 août 1814 - 3 mars 1867)[N 1] et son épouse Gabrielle Picot d'Agard (1826-1905) qui firent construire le château Poséidon, en furent les premiers châtelains. Il était membre d'une famille de propriétaires fonciers et de négociants[N 2]. Il ne profita guère de son château, puisqu'il mourut à peine les travaux achevés[N 3]. Sa veuve lui survécut pendant près de 40 ans. Le couple eut trois enfants : Henry Augustin Louis Boullet (1847-1907)[N 4], Gabrielle Boullet (1851-1923) et Gustave Boullet (1863-1884).

Henry Boullet épousa Marie Louise Conilh de Beyssac (1858-1934), qui lui survécut près de trente ans et ils eurent à leur tour trois enfants : Marthe Boullet (1886-1963), Pierre Boullet (1889-1956) et Eugène Boullet (1890-1940). Henry reprit le domaine du Poséidon après le décès de sa mère, mais mourut lui-même prématurément.

Le château fut repris par Pierre Boullet et par son épouse et cousine germaine Marie Emilienne Marguerite Conilh de Beyssac (1885-1973). Elle était la nièce de Marie Louise Conilh et la sœur de Jean-Jacques Conilh de Beyssac (1890-1918), qui fut rugbyman international et mourut pour la France. Les Conilh avaient le général Jean Romain Conilh de Beyssac (1749-1820) comme ancêtre. Pierre et Marguerite vinrent habiter le château en 1915 mais durent le quitter à l'occasion d'une sortie d'indivision qui occasionna la vente du domaine en 1925.

En 1916 naquit au château leur fils aîné, Louis Boullet (Varennes-sur-Fouzon, 12 août 1916 - Bordeaux, 24 octobre 1997), qui devint prêtre catholique[N 5]. Il gagna l'estime des habitants de la commune girondine de Belin-Beliet, qui l'honnorèrent en donnant son nom à une de leurs rues. L'on s'y rapelle entre autres l'achat qu'il fit d'une bergerie dans la commune pyrénéenne de Camous, qu'il aménagea en colonie de vacances où de nombreux enfants de Belin-Beliet passèrent des vacances mémorables. "Il n'y a pas que les enfants ou les jeunes qui ont été marqués par l'altruisme, la mansuétude et la joie de vivre de Père Louis. Ses paroissiens l'aimaient beaucoup et lui montraient un grand respect." (Sylviane Remazeilles, secretaire-générale de Belin-Beliet)[4].

Louis eut trois sœurs, dont les deux aînées, les jumelles Solange (1918-2010) et Geneviève (1918-2018) naquirent à Cauderan. La cadette des filles, Jacqueline (1919-1976) naquit au château. Elle fut aide-soignante et demeura célibataire[5]. Il y eut ensuite le benjamin, Francis Boullet (1925-1981), né à Issac qui épousa Marie-France Le Goüais (1934-2022), fille de Yves Le Goüais (1902-1962) et de Marie de Dieuleveult (1911-1997). Ils eurent 4 fils (Pierre, Yves, Jean-Marc et Philippe) et 2 filles (Christine et Chantal) et 20 petits-enfants[N 6].

Une succession de propriétaires

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Entre les deux guerres le château semble avoir été utilisé comme siège d'une laiterie et fromagerie[N 7]. En 1925 le château est vendu par les Boullet à Jacques Borel (Fort de France 1860 - Paris 1945) qui s'était enrichi dans le commerce du rhum. Il semble avoir acheté le château pour son fils Marie Joseph Jacques Borel (Pointe à Pitre 1896 - Paris 1970) qui, après avoir épousé Jeanne Agoin, s'y installa et où naquit leur fils Jacques Borel (Varennes-sur-Fouzon, 1927 - Paris 2011).

À partir d'une date non déterminée et jusqu'en 1949, le château fut la propriété d'Élie Granat (Kiev, 16 avril 1889 - Paris, 26 décembre 1969). Diplômé de l'École supérieure d’électricité (promotion 1911-12), il devint ingénieur en chef des Établissements Barbier, Bénard et Turenne. Il fut l'inventeur d'équipements de défense anti-aérienne, d'équipements de navigation et de conduite de tir, qu'il fit confirmer par plusieurs octrois dans différents pays. Pendant la Grande Guerre, il fut mis à la disposition du ministère de la Guerre et travailla aux équipements de défense anti-aérienne, de navigation et de conduites de tir[6]. Au cours des années 1920 il créa la société Granat (équipements de télécommande électrique), dont les matériels furent adoptés par plusieurs marines. Il s'occupa de livraisons d'armes aux alliés au cours de la Seconde guerre mondiale. Promu commandeur de la Légion d'honneur, il est enterré avec son épouse au cimetière du Père-Lachaise à Paris[N 8]. Pour l'honorer, la commune de Varennes-sur-Fouzon a donné son nom à une de ses rues principales.

Le château fut ensuite la propriété de la Coopérative agricole d'élevage du Berry, spécialisée dans l'insémination artificielle de bovins. L'administration s'installa dans le château, une dépendance accueillit le laboratoire qui récoltait les semences des taureaux, hébergés dans des écuries. Après quelques années, les activités se ralentirent, puis disparurent.

En 1980, la propriété fut vendue à Josef-Albert Weber, un Allemand quadragénaire qui s'annonçait comme médium, guérisseur et magnétiseur. Il mena grand train, ce qu'il finança en extorquant des sommes considérables de certains de ses clients. Il mena la vie de château, s'entourant de quatre femmes, chacune d'elles occupant à l'étage une chambre et une salle de bain, peinte en une couleur différente. Il ne put maintenir longtemps une façade de solvabilité, et disparut en 1983, laissant entre autres dix millions de francs de dettes fiscales. Il fut déclaré en faillite et le tribunal de grande instance de Châteauroux procéda en 1985 à la vente publique de la propriété.

Le donjon, dernier vestige du précédent château, datant du XVIIe siècle.

Le château Poséidon fut acquis par l'Allemande septuagénaire Erika Steinmuller. Elle s'était fait escroquer par le magnétiseur pour un montant de huit millions de francs. Elle n'avait nullement l'intention de s'installer au château mais imagina vaguement un projet de complexe hôtelier, qui lui aurait peut-être permis de récupérer l'argent perdu, mais qui ne fut pas réalisé.

La façade sud du château dans son état de 2025

En 1989-90 les investisseurs Allemands Herbert Warth et Heinz Windhauser rachetèrent le site. Ils se mirent à acquérir également des terres agricoles adjacentes, qui leur permirent de réunir une propriété de 200 ha[N 9]. Ils étudièrent des projets de centre de vacances de luxe, offrant une capacité de plus de 500 lits et accompagné d'un golf de dix-huit trous. Ces projets avortèrent, faute d'avoir trouvé les financements nécessaires. Découragés, les propriétaires abandonnèrent les projets et cherchèrent à se défaire de la propriété.

Le château sur une ancienne carte postale.

En conséquence, le château demeura inoccupé pendant une quarantaine d'années. Pendant ce laps de temps le bâtiment se détériora et des vols de mobilier (manteaux de cheminée, ferronnerie, chandeliers) furent commis. Malgré ces actes déplorables, le château demeura dans un état relativement protégé, grâce à un système d'alarme, sous la surveillance d'un voisin attentif[7].

Description

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Vue aérienne du château, début XXe siècle.

Le château fut baptisé « Poséidon » par les explorateurs urbains, d'après la sculpture qui orne l'escalier central du bâtiment. Les nouveaux occupants adoptèrent ce nom pour se distinguer de la dizaine d'autres châteaux et lieux commerciaux français portant le nom Laborde[8].

L'édifice se compose d'un imposant corps central, flanqué de quatre tours symétriques. La façade principale est marquée d'un avant-corps ornés d'échauguettes d'angle. La façade présente un décor abondant : cordons, pilastres, chapiteaux, puissante corniche au sommet. Les combles sont éclairés par des lucarnes d'esprit Renaissance[1].

L'imposant corps central s'étend sur cinq niveaux :

  • les caves, y compris les anciennes cuisines et le système de chauffage ;
  • le bel-étage avec les salons d'apparat et les pièces de séjour ;
  • le premier étage, avec une petite chapelle, ainsi que plusieurs chambres avec leur salle de bain ;
  • le deuxième étage avec les chambres mansardées, destinées au personnel ;
  • les greniers avec les charpentes en bois.
Détail d'un vitrail.
Détail d'un vitrail.

Plusieurs pièces sont agrémentées par des vitraux exécutés par le maître-verrier Julien-Léopold Lobin (1814-1864) ou par son fils Lucien-Léopold Lobin (1837-1892).

Ont en outre été préservés : la porte d'entrée, l'escalier monumental, les boiseries et portes, les plafonds sculptés et les parquets dans de nombreuses pièces, les fresques sur les murs du salon dédié à la chasse, les manteaux de cheminée à l'étage, des parquets et des carrelages, l'escalier de service, les charpentes. Les façades et les toitures sont généralement demeurées en bon état.

Le projet de restauration comprend, outre le château, la tour-donjon de l'ancien château, la maison du concierge (datant de 1960), la grille d'entrée du domaine, le parc et le bois s'étendant sur 15 hectares, une maison en ruine à l'intérieur du bois.

Restauration

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Le château a été acquis en juillet 2025 par un couple de canadiens, Thomas Garneau-Bertrand et Damien Verhaegen qui ont l'ambition de rendre au château sa splendeur ancienne[8].

Ils ont l'intention d'en faire leur demeure et d'offrir le bel-étage à des activités évènementielles et les chambres aux étages au logement touristique. Ils se sont fixés une période de cinq à dix ans afin de réaliser leur rêve sous tous ses aspects[9].

En juillet - octobre 2025 ils réalisèrent la rénovation de la maison du concierge, afin d'en faire leur résidence provisoire, à côté du château en restauration[10].

Bibliographie

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L'architecte

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  • « Qui sont les Dauvergne ? », sur Archives départementales de l'Indre, 2024-2025.
  • Marc du Pouget (dir.) et Association Promotion Patrimoine, Châteaux, manoirs et logis : l'Indre, Chauray-Niort, Éditions Patrimoines et médias, , 414 p. (ISBN 2-910137-32-5).
  • Olivier Prisset, Les grandes fortunes du cabinet Dauvergne (1850-1919), des conditions du monopole aux limites d’un modèle économique, Livraisons de l'histoire de l'architecture, .
  • Jean-Jacques Bourassé (Abbé), J.-Léopold Lobin, peintre d'histoire, directeur de la manufacture de vitraux peints de Tours. Notice biographique, Tours, imprimerie de J. Bouserez, (lire en ligne)
  • L. Huillier, « La famille Lobin et la peinture sur verre en Touraine », Bulletin de la Société archéologique de Touraine, Tours, Librairie de la Société archéologique de Touraine, t. 9,‎ .
  • Françoise Perrot et Nicole Blondel, L'atelier Lobin, l'art du vitrail en Touraine, CLD, (présentation en ligne)
  • Olivier Geneste (photogr. Thierry Cantalupo, Vanessa Lamorlette-Pingard et François Lauginie), Le vitrail en Touraine au XIXe siècle, un foyer de création, Service patrimoine et inventaire de la région Centre - Val-de-Loire, coll. « Images du patrimoine » (no 318), , 112 p. (ISBN 978-2-49352-205-4, présentation en ligne)

Les habitants

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Les propriétaires - restaurateurs

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  • Martine Roy, « « On suit notre rêve »: ils ont quitté leur vie au Québec pour donner une seconde vie au château de la Borde, à Val-Fouzon », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  • Cécile Verin, « Une aventure unique: ce couple de Québécois a tout plaqué pour un château français abandonné », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  • Maude Larin-Kieran, « Deux Québécois deviennent propriétaires d’un château en France », TVA Nouvelles,‎ (lire en ligne).
  • Christian Panvert, « Adoubé par les villageois, un couple de Canadiens restaure un château abandonné dans l’Indre », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Notes et références

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  1. Son père, Louis Auguste Boullet est indiqué dans les actes publiques comme percepteur et marchand.
  2. À son mariage les témoins étaient: pour lui, Jules Boullet, oncle et propriétaire, Antoine Martin, cousin et notaire, pour son épouse, Antoine Picot, officier de santé et cousin, François Desfosses, notaire et cousin.
  3. Son décès fut annoncé à la mairie par les deux mêmes parents qui furent ses témoins de mariage.
  4. Son décès fut déclaré par le régisseur de ses biens Jules Huguet et par le curé Michel Langlais.
  5. Il fut ordonné prêtre le 6 avril 1946 à la cathédrale St André de Bordeaux. Successivement vicaire à Saint Amand de Caudéran (1946-1955), curé d'Hostens (1955-1964), curé de Belin (1964-1985), curé de Lugos (1985-1993), retraité à Bordeaux.
  6. Ajout faite par un Wikipédien anonyme, membre de la famille et digne de foi.
  7. L'information donnée sur le site pose problème 'Laiterie de Varennes-Sur-Fouzon', indique: "Après la première guerre mondiale, Louis Trougnou fabrique le fromage 'Je suis de France' et achète le château de La Borde à une comtesse anglaise. Il y installe sa fromagerie". Il s'agissait bien du château de la Borde de Varennes-sur-Fouzon, dont la photo était reproduite sur les boîtes d'emballage.
  8. Garat épousa Anna Wolowelsky (1889–1950), qualifiée sur leur tombe de « son ange gardien ». Le monument est singulier: une arche de granit encadrant une porte en bronze ouvrant sur le vide, avec une fontaine alimentée par trois dauphins en bronze. Une inscription poétique en latin orne le monument : "Te loquor absentem, te vox mea nominat unam, nulla venit sine te, nox mihi, nulla dies." Ou : "Absente je te parle, toi seule ma voix appelle, sans toi nulle nuit n'arrive, sans toi nul jour ne se lève."
  9. Le 12 juin 1995 Herbert Warth (né en 1938) et son épouse Barbara von Harpe-Warth (née en 1950) fondèrent 'Château de la Borde et Country Club' au capital de 38 112 euros mais avec zéro de chiffre d'affaires dans les années suivantes. La société a été radiée du Registre du Commerce et des Sociétés (RCS) le 15 novembre 2012.

Références

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  1. a b et c Du Pouget 1999, p. 25.
  2. Du Pouget 1999, p. 15.
  3. Du Pouget 1999, p. 16.
  4. Mairie de Belin-Beliet.
  5. Informations contenues dans les différents articles de presse mentionnés; données biographiques dans Geneanet et My Heritage.
  6. « Elie Granat », sur Service historique de la Défense.
  7. Informations données dans les différents articles de presse cités, en particulier Mabilleau 2024.
  8. a et b Verin 2025.
  9. « EN IMAGES - Deux Québécois redonnent vie au château de Val-Fouzon dans l'Indre - ici », sur ici, le média de la vie locale, (consulté le ).
  10. Informations dans les articles de presse Roy 2015, Verin 2025 & Larin-Kieran 2024; vidéos Poséidon sur YouTube.

Articles connexes

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Liens externes

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