Caumont (Ariège)

Caumont | |||||
Église Saint-Barthélémy. | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Saint-Girons | ||||
Canton | Portes du Couserans | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Jean-Jacques Méric 2014-2020 |
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Code postal | 09160 | ||||
Code commune | 09086 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Caumontais | ||||
Population municipale |
324 hab. (2016 ![]() |
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Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 01′ 53″ nord, 1° 05′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 338 m Max. 528 m |
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Superficie | 9,22 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie Géolocalisation sur la carte : Ariège Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France | |||||
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Caumont est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie. Elle est traversée par la rivière Salat.
Ses habitants sont appelés les Caumontais.
Sommaire
Géographie[modifier | modifier le code]
Commune des Pyrénées située dans l'aire urbaine de Saint-Girons. Elle fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Caumont est limitrophe de huit autres communes.
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La commune est arrosée par le Salat, un affluent de la Garonne ainsi que par le ruisseau de Rieutort et le Ruisseau de Marterat.
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
La superficie de la commune est de 922 hectares ; son altitude varie de 338 à 528 mètres[2].
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Accès avec la route départementale D 117 ancienne route nationale 117, et par les cars SNCF de la ligne de Boussens à Saint-Girons (prolongée en période hivernale et à certains horaires jusqu'à Guzet-Neige). Des cars régionaux directs de Toulouse à Saint-Girons desservent également la commune.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Histoire[modifier | modifier le code]
De 1866 à 1969, la commune a bénéficié d'une gare sur la ligne de Boussens à Saint-Girons.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Administration municipale[modifier | modifier le code]
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[3],[4].
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Commune faisant partie de l'arrondissement de Saint-Girons de la communauté de communes Couserans - Pyrénées et du canton des Portes du Couserans (avant le redécoupage départemental de 2014, Caumont faisait partie de l'ex-canton de Saint-Lizier) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de l'Agglomération de Saint-Girons.
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[5]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[6].
En 2016, la commune comptait 324 habitants[Note 1], en augmentation de 4,18 % par rapport à 2011 (Ariège : +0,51 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
selon la population municipale des années : | 1968[9] | 1975[9] | 1982[9] | 1990[9] | 1999[9] | 2006[10] | 2009[11] | 2013[12] |
Rang de la commune dans le département | 61 | 82 | 104 | 91 | 92 | 97 | 101 | 104 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Enseignement[modifier | modifier le code]
Caumont dispose d'une école primaire publique et fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture et festivités[modifier | modifier le code]
Activités sportives[modifier | modifier le code]
Football club caumontais, 12e étape du Tour de France 2006, chasse, pétanque,
Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]
La déchetterie intercommunale la plus proche se trouve à Mercenac au lieudit Casséjoul. L'entreprise Saica Natur Sud (anciennement Llau) est une importante entreprise industrielle de recyclage et de valorisation ; elle est installée sur la zone industrielle du Couserans, à proximité immédiate de la commune.
Économie[modifier | modifier le code]
La zone industrielle du Couserans est installée pour une petite partie de la commune de Caumont, comprenant notamment deux entreprises agroalimentaires : les glaces Philippe Faur et la fromagerie Jean Faup, qui fabrique entre autres «le Bethmale» au lait cru et à croûte naturelle, dans la tradition des Pyrénées centrales.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Église Saint-Barthélémy (XVIIIe siècle).
- Ruines du castrum médiéval.
- Vestiges de l’église Saint-Martin.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Abbé Cau-Durban, Félix Pasquier, Le Castrum de Caumont (Ariège) Notice archéologique, Lacour, coll. « Rediviva », Nîmes, 2004 (fin XIXe), 44 p.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références[modifier | modifier le code]
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014/(path)/MN2014/031/031416.html.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le 10 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).