Campinas
Campinas Surnom : Cidade das andorinhas Princesa d'OesteDevise : « Labore Virtute Civitas Floret » | ||||
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Campinas du point de vue de Torre de Castelo, un belvedère | ||||
Administration | ||||
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Pays | ![]() |
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Région | Sud-Est | |||
État | São Paulo | |||
Langue(s) | portugais | |||
Maire | Jonas Donizete (PDT) | |||
Code postal | 13000-000 à 13139-999 | |||
Fuseau horaireHeure d'été | UTC-3UTC-2 | |||
Indicatif | 19 | |||
Démographie | ||||
Gentilé | campineiro | |||
Population | 1 223 237 hab.[1] (2021) | |||
Densité | 1 539 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 22° 54′ 04″ sud, 47° 03′ 26″ ouest | |||
Altitude | 685 m |
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Superficie | 79 457 ha = 794,57 km2 | |||
Divers | ||||
Date de fondation | ||||
Localisation | ||||
Géolocalisation sur la carte : Brésil
Géolocalisation sur la carte : Brésil
Géolocalisation sur la carte : État de São Paulo
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Liens | ||||
Site web | http://www.campinas.sp.gov.br | |||
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Campinas (IPA: kɐ̃ːˈpinɐs) est une commune brésilienne de l'État de São Paulo. Elle est située environ 90 km au nord de la ville de São Paulo. Sa population de 1 080 999 habitants au recensement de 2010[2] en fait une des 15 plus grandes villes du pays. La municipalité s'étend sur 796 km2[3]. Campinas est formée de cinq régions (Centre, Nord, Est, Sud et Ouest) et de quatre districts plus éloignés du centre (Joaquim Egídio, Sousas, Barão Geraldo et Nova Aparecida).
C'est la ville la plus importante d'une région métropolitaine formée de 19 communes qui concentre près de 2,8 millions d'habitants (6,78 % de la population de l'État). Proches de Campinas sont condensées les autres grandes régions métropolitaines de l'État de São Paulo : Jundiaí, São Paulo, Sorocaba, Santos et São José dos Campos, dont les populations additionnées à celle de Campinas dépassent 29 000 000 d'habitants, soit 80 % de la population de l'État.
Actuellement, la ville concentre environ un tiers de la production industrielle de l'État. On y trouve principalement des industries de haute technologie et du secteur métallurgique. C’est aussi un important centre économique - elle possède par exemple le plus long (on croit à tort qu'il s'agit du plus grand) centre commercial d’Amérique latine : le Shopping Parque Dom Pedro. Dans sa région métropolitaine, se trouve l'aéroport de Viracopos, aéroport brésilien majeur pour le transport de marchandises. Grâce à sa situation géographique sur un plateau, Campinas n'est pas une ville très polluée. La pollution provenant de ses usines et de sa grande circulation automobile affecte plus les communes voisines.
Les équipes de football les plus populaires sont le Guarani Futebol Clube et l'Associação Atlética Ponte Preta.
Histoire
[modifier | modifier le code]Campinas fut fondée par les Portugais dans la première moitié du XVIIIe siècle comme faubourg rural de la « Vila » de Jundiaí.
Elle est connue comme cité-phénix en raison de sa renaissance après la fièvre jaune, qui élimina un quart de sa population au XIXe siècle.
La première culture fut la canne à sucre, rapidement remplacée par celle du café. Ainsi, l'économie du café généra un nouveau cycle de développement de la ville. Durant cette période (seconde moitié du XVIIIe siècle), la population de Campinas était surtout composée de travailleurs, esclaves et libres, employés dans les plantations et les activités productives rurales et urbaines.
Avec la crise du café des années 1930, Campinas s'industrialisa et développa le secteur des services. La ville commença à recevoir des immigrants du monde entier (surtout d'Italie), attirés par le développement de nouvelles industries.
Entre les années 1970 et 1980, la population de la ville a pratiquement doublé, en raison d'une forte immigration.
Campinas est devenu un important nœud routier avec :
- la Rodovia Anhanguera (1948) ;
- la Rodovia dos Bandeirantes (1978) ;
- la Rodovia Santos Dumont (années 1980) ;
- la Rodovia Dom Pedro I ;
- la Rodovia Jornalista Francisco Aguierre Proença ;
- la Rodovia General Milton Tavares de Souza, qui est un important accès à la REPLAN.
Le parc industriel moderne est le fruit de l'installation de pôles technologiques et d'institutions d'enseignements supérieurs renommées comme
- l'Université d'État de Campinas - UNICAMP et
- l'Université Pontifíciale Catholique - PUC.
Depuis 1998, la ville se vide de ses industries (avec le transfert des usines vers les municipalités voisines ou d'autres régions du pays — en partie à cause de la violence et des impôts élevés —, et le secteur tertiaire prend de l'ampleur (commerce, recherche, services de haute technologie et entreprises de logistique).
Maires
[modifier | modifier le code]Environnement
[modifier | modifier le code]Campinas abrite l'aire de grand intérêt écologique (Área de Relevante Interesse Ecológico) Santa Genebra de 251 ha, créée en 1985 et administrée par l'IBAMA, la mairie de Campinas et la Fondation José Pedro de Oliveira.
Parc technologique
[modifier | modifier le code]Campinas est connue nationalement comme étant un centre de production et de diffusion de connaissances technologiques de pointe. Actuellement, il se consolide un axe de développement technico-scientifique spécialisé dans les techniques agricoles.
Bien que les liens entre Campinas et la technologie remontent à plus de 100 ans (l'Institut Agronomique de Campinas (IAC) fut fondé par Pierre II, en 1887), la ville a reçu un grand appui avec la structuration du campus de l'Unicamp, commencée en 1962. Ce fut après la construction de ce campus, que s’installèrent à Campinas des institutions comme le Centre de Recherche et de Développement en télécommunication (CPqD), le Centro de Pesquisas Renato Archer (CenPRA- ancien CTI).
Voici une liste avec les principales institutions d'enseignement et de recherche de la ville :
Universités et facultés
[modifier | modifier le code]- UNICAMP (Universidade Estadual de Campinas)
- PUCC (Pontifícia Universidade Católica de Campinas)
- UNIP (Universidade Paulista / Campinas)
- FACAMP (Faculdades de Campinas)
- METROCAMP (Faculdade Integrada Metropolitana de Campinas)
- IPEP (Faculdades IPEP Integradas)
- UNISAL (Centro Universitário Salesiano)
- USF (Universidade São Francisco / Campinas)
- ESAMC (Escola Superior de Administração, Marketing e Comunicação / Campinas)
Institutions de recherche
[modifier | modifier le code]- EMBRAPA (Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecuária)
- CPqD (Centro de Pesquisa e Desenvolvimento em Telecomunicações)
- IAC (Instituto Agronômico de Campinas)
- CenPRA (Centro de Pesquisas Renato Archer - antigo CTI)
- Laboratório Nacional de Luz Síncroton
Collèges techniques
[modifier | modifier le code]- ETE Bento Quirino (Escola Técnica Estadual Bento Quirino)
- ETECAP (Escola Técnica Estadual Conselheiro Antonio Prado)
- COTUCA (Colégio Técnico de Campinas – Unicamp)
Culture
[modifier | modifier le code]La ville a toujours eu une position privilégiée dans l'État de São Paulo en ce qui concerne la culture avec une grande activité dans ce domaine.
Il y a trois théâtres municipaux, un orchestre symphonique (qui est considéré comme étant un des trois meilleurs du pays à côté de l'OSESP et de l'Orquestra Sinfônica Brasileira (pt) (OSB), quelques groupes de musique érudite, des chœurs et chorales, 43 salles de cinéma, des dizaines de bibliothèques dont une publique, des galeries d'art, des musées etc. La vie culturelle est variée et intense spécialement dans la musique populaire. Dans les dernières années du XIXe siècle, avant la dévastation due à la fièvre jaune, la population de Campinas rivalisait avec celle de São Paulo et recherchait un style de vie européen. On pouvait entendre des expressions comme « Campinas über alles ». Un romancier local, Eustáquio Gomes, exploita cette particularité dans son roman A Febre Amorosa.

C’est la terre natale de Antônio Carlos Gomes, fameux compositeur d'opéras en Italie au XIXe siècle et auteur de Il Guarany, Fosca et O Escravo.
Principaux théâtres
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Les principaux clubs de football de Campinas sont : Guarani, Ponte Preta et Campinas.
Stades
[modifier | modifier le code]- Brinco de Ouro da Princesa (Guarani)
- Moisés Lucarelli (Ponte Preta)
- Cerecamp (Campinas)
Campinas en chiffres
[modifier | modifier le code]État civil (2003)
[modifier | modifier le code]- Nés vivants : 16 480
- Mariages : 5 569
- Décès : 7 543
- Décès d’âgés de moins d'un an : 168
- Séparations judiciaires : 1 184
- Divorces : 872
Santé publique (2002)
[modifier | modifier le code]- Établissements pour soins de santé : 243
- Médecins en fonction : 4 969
- Dentistes en fonction : 279
- Infirmiers et assimilés : 7 069
- Lits d'hôpitaux : 2 921
- Appareils d'exploration du corps humain et d'analyses cliniques : 4 438
Enseignement
[modifier | modifier le code]- Enseignement pré-primaire (2 004)
- Inscriptions : 30 581
- Établissements : 285
- Enseignants : 1 428
- Enseignement primaire (2 004)
- Inscriptions : 143 049
- Établissements : 252
- Enseignants : 6 934
- Enseignement moyen (2 004)
- Inscriptions : 45 220
- Établissements : 120
- Enseignants : 3 010
- Enseignement universitaire (2003)
- Inscriptions : 52652
- Établissements : 9
- Enseignants : 3588
Voir : L'enseignement au Brésil
Résultats économiques (2002)
[modifier | modifier le code]- Valeur ajoutée dans l’agriculture et l'élevage : 49 milliards
- Valeur ajoutée dans l’industrie : 3 413 milliards
- Valeur ajoutée dans les services : 6 149 milliards
- Impôts : 2 361 milliards
- PIB : 10 820 milliards
Secteur financier (2004)
[modifier | modifier le code]- Agences bancaires : 185
- Dépôts à vue du gouvernement : 1,6 milliard de R$
- Dépôt à vue des particuliers : 116,3 milliards de R$
- Épargne : 360,6 milliard de R$
Emploi (2003)
[modifier | modifier le code](personnes occupées en 2003)
- Agriculture, élevage, culture forestière : 1 098
- Pêche (halieutique) : 19
- Industries : 50 575
- Production et distribution d’électricité, distribution de gaz et distribution d'eau potable : 4 946
- Construction civile : 10 829
- Commerce, réparations de véhicules, objets personnels et objets domestiques : 90 280
- Hôtelerie et alimentation : 19 709
- Transport et communications : 27 870
- Secteur bancaire et financier: 8666
- Secteur immobilier et services aux entreprises : 38 740
- Administration publique, défense et sécurité sociale : 17 380
- Éducation: 24 801
- Santé et services sociaux : 14 016
- Autres services collectifs, sociaux et personnel : 13 979
Véhicules immatriculés dans la commune (2004)
[modifier | modifier le code]- Automobiles : 341 006
- Camions : 12 374
- Camionnettes : 13 709
- Camions tracteurs: 1 341
- Micro-autobus : 2 261
- Autobus : 3 097
- Tracteurs : 80
Agriculture et élevage
[modifier | modifier le code]Bien que la vocation de Campinas soit industrielle, voici sa production agricole de l'année 2003
Récoltes (2003)
[modifier | modifier le code]- Avocat : 1 139 t.
- Banane : 160 t.
- Café (en drupe) : 791 t.
- Kaki : 681 t.
- Orange : 1 888 t.
- Citron : 2 448 t
- Mangue : 803 t.
- Fruit de la Passion : 93 t.
- Raisin : 4 431 t.
Cultures (2003)
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- Pommes de terre : 1712 t.
- Canne à sucre : 1 570 500 t.
- Haricots (feijão) : 272 t.
- Manioc : 1757 T.
- Maïs : 6 256 t.
- Soja : 540 t.
- Sorgho : 150 t.
- Tomates 3 144 t.
Production fermière (2003)
[modifier | modifier le code]- Œufs de poule : 50 458 douzaines
- Miel d’abeilles : 8 830 kg
Élevage (2003)
[modifier | modifier le code]- Bovidés : 24 888 têtes
- Porcins : 6 630 têtes
- Équidés : 1 556 têtes
- Gallinacées : 467 364 têtes
Transport
[modifier | modifier le code]Campinas possède un aéroport international (code AITA : VCP).
Le projet d'une LGV Rio de Janeiro à São Paulo et Campinas, annoncé en 2007, est toujours à l'état de projet en 2016.
Personnalités liées
[modifier | modifier le code]Personnalités nées à Campinas
[modifier | modifier le code]- Amaral (1954-2024), footballeur ;
- Paulo André (né en 1983), footballeur ;
- Ataliba (né en 1979), footballeur ;
- Luciano do Valle (1947-2014), commentateit sportif, présentateur de télévision, journaliste et entrepreneur ;
- Nelsinho Baptista (né en 1950), footballeur ;
- Moacir Barbosa Nascimento (1921-2000), footballeur ;
- Brandãozinho (1925-2000), footballeur ;
- Tiago Bueno (né en 1983), athlète ;
- Manuel de Campos Sales (1841-1913), homme d'État, président du Brésil de 1898 à 1902 ;
- Oliveira Capone (né en 1972), footballeur ;
- Carlos Augusto (né en 1999), footballeur ;
- Olavo de Carvalho (né en 1947), philosophe, écrivain et essayiste ;
- Antônio de Castro Mayer (1904-1991), évêque catholique ;
- Gabriel (né en 1992), footballeur ;
- Marcelo Damiao (né en 1975), basketteur ;
- Fábio da Silva (né en 1983), athlète ;
- Daniel Dias (né en 1988), nageur ;
- Pablo Diogo (né en 1992), footballeur ;
- Dodô (né en 1992), footballeur ;
- Leonardo Domenech de Almeida (né en 1992), footballeur ;
- Guilherme do Prado (né en 1981), footballeur ;
- Ana Júlia Dorigon (née en 1994), actrice ;
- Gabriela Duarte (née en 1974), actrice ;
- Edu (né en 1949), footballeur ;
- Emerson (né en 1973), footballeur ;
- Luís Fabiano (né en 1980), footballeur ;
- Fabinho (né en 1993), footballeur ;
- Conceição Geremias (née en 1956), athlète ;
- Gilberto (né en 1993), footballeur ;
- Caio Godoy (né en 1995), cycliste ;
- Antônio Carlos Gomes (1836-1896), compositeur ;
- Rikarudo Higa (né en 1973), footballeur ;
- Paulo R. Holvorcem (né en 1967), astronome ;
- Jefferson (né en 1994), footballeur ;
- João Leonardo (né en 1985), footballeur ;
- João Paulo (né en 1964), footballeur ;
- Ruth Kedar (née en 1955), designer ;
- Maurício (née en 1968), joueur de volley-ball brésilien, double champion olympique
- Léo (né en 1980), footballeur ;
- José Fiolo (née en 1950), nageur brésilien, détenteur du recorde du monde ;
- Marcinho (né en 1981), footballeur ;
- Arthur Mariano (né en 1993), gymnaste ;
- Matheus (né en 1989), footballeur ;
- Felipe Meligeni Alves (né en 1998), joueur de tennis ;
- Ricardo Mello (né en 1980), joueur de tennis ;
- Fabiana Murer (née en 1981), perchiste ;
- Henrique Nartins (née en 1991), nageur brésilien ;
- Alexandre Negrão (né en 1985), pilote automobile ;
- Paulinho Nogueira (1929-2003), auteur-compositeur-interprète ;
- Crodowaldo Pavan (1919-2009), biologiste et généticien ;
- Lucas Pereira (1982-2021), footballeur ;
- Lucas Perri (1997-), footballeur ;
- Renato Righetto (1921-2001), arbitre de basket-ball ;
- Ricardo Jésus (né en 1985), footballeur ;
- Roger (né en 1985), footballeur ;
- Rogério (né en 1976), footballeur ;
- Luiz Alberto de Araújo (né en 1987), athlète brésilien ;
- Igor Rossi (né en 1989), footballeur ;
- Sonia Rubinsky (née en 1957), pianiste ;
- Renato Marcos Endrizzi Sabbatini (né en 1947), spécialiste de biomédecine et d'informatique ;
- Sandy (née en 1983), chanteuse ;
- Gustavo Scarpa (né en 1994), footballeur ;
- Anna Stella Schic (1922-2009), pianiste ;
- Wesley Sena (né en 1996), basketteur ;
- Paulo Silas (né en 1965), footballeur ;
- Danilo Silva (né en 1986), footballeur ;
- Marcel de Souza (né en 1956), basketteur ;
- Maury de Souza (né en 1962), basketteur ;
- Toninho (né en 1965), footballeur ;
- Nicolina Vaz de Assis (1874-1941), sculptrice brésilienne.
- Olavo de Carvalho (1947-2022), philosophe ;
-
Manuel de Campos Sales, quatrième président du Brésil.
-
Moacir Barbosa Nascimento, considéré comme l'un des meilleurs gardiens de but de son temps.
Personnalités mortes à Campinas
[modifier | modifier le code]- Rubem Alves (1933-2014), penseur chrétien, fondateur de la théologie de la libération ;
- Emil Assad Rached (1943-2009), basketteur ;
- Lima Barreto (1906-1982), réalisateur ;
- Mariza Corrêa (1945-2016), anthropologue ;
- Hercule Florence (1804-1879), pionnier de la photographie ;
- Carlos Franchi (1932-2001), linguiste, avocat et homme politique ;
- Adilson de Freitas Nascimento (1951-2009), basketteur ;
- Hilda Hilst (1930-2004), écrivaine ;
- César Lattes (1924-2005), physicien ;
- Jorge Mendonça (1954-2006), footballeur ;
- Pinga (1924-1996), footballeur ;
- Mario Pretto (1915-1984), footballeur ;
- Renato Righetto (1921-2001), arbitre de basket-ball ;
- José Song Sui-Wan (1941-2012), prélat catholique.
Jumelages
[modifier | modifier le code]La ville de Campinas est jumelée avec [4] :
Asuncion (Paraguay) depuis le
Concepción (Chili) depuis le
Gifu (Japon) depuis le
Daloa (Côte d'Ivoire) depuis le
Novi Sad (Serbie) depuis le
Blumenau (Brésil) depuis le
Córdoba (Argentine) depuis le
San Diego (États-Unis) depuis le
Fuzhou (Chine) depuis le
Jéricho (Palestine) depuis le
Belém (Brésil) depuis 2003
Auroville (Inde) depuis le
Malito (Italie) depuis le
Ubatuba (Brésil) depuis le
Peruíbe (Brésil) depuis le
Durban (Afrique du Sud) depuis le
Cabinda (Angola) depuis le
Cotorro (Cuba) depuis le
Camanducaia (Brésil) depuis le
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles liés
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- (pt) Site officiel
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- (pt) Photographies de la cité sur le site de la mairie de Campinas
- (pt) Universidade Estadual de Campinas - UNICAMP (université de l'État à Campinas)
- (pt) Faculdades de Campinas - FACAMP (Facultés de Campinas)
- (pt) Pontifícia Universidade de Campinas - PUC-Camp (université pontificale de Campinas)
- (pt) Faculdade Politécnica de Campinas - POLICAMP (Faculté polytechnique de Campinas)
- (en) Vision par satellite de la cité de Campinas (Google Maps)
- (pt) Site officiel de la mairie de Campinas
- (pt) Site de l'Institut brésilien de géographie et statistiques où ont été recueillies les informations statistiques de cette page.
- (pt) Alliance française de Campinas