Buigny-lès-Gamaches

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Buigny-lès-Gamaches
Buigny-lès-Gamaches
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CC des Villes Sœurs
Maire
Mandat
Jérémy Moreau
2020-2026
Code postal 80220
Code commune 80148
Démographie
Gentilé Bistiers
Population
municipale
394 hab. (2021 en diminution de 4,6 % par rapport à 2015)
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 01′ 30″ nord, 1° 34′ 03″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 116 m
Superficie 4,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Friville-Escarbotin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gamaches
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
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Buigny-lès-Gamaches
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Buigny-lès-Gamaches

Buigny-lès-Gamaches est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Rose des vents Embreville Aigneville Rose des vents
N Maisnières
O    Buigny-lès-Gamaches    E
S
Gamaches Maisnières

Immédiatement au nord de Gamaches, le village s'est installé sur le plateau qui domine la vallée de la Bresle.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 875 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 16 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Buigny-lès-Gamaches est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,3 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), zones urbanisées (9,2 %), prairies (5,8 %), forêts (0,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Buigny en 1648 ; Bugni-lez-Gamaches en 1733 ; Bugny-les-Gamaches en 1757 ; Buigny-les-Gamaches en 1763 ; Buigni-en-Vimeu en 1766 ; Buigni-Vimeu en 1776[13].

La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à une ville voisine plus grande. Par exemple, la commune de Buigny indique qu'elle se situe près de Gamaches, dans le Vimeu.

Les lieux-dits du Petit Selve (attesté sous les formes Theoldi Silva en 1191 ; Petit-Sœuvre en 1753 ; Petit-Seve en 1757 ; Petit-Sevre en 1778 ; Petit-Selve en 1836)[14] et du Grand Selve (attesté sous les formes Gerlandi Silve et Gerland Selve en 1185 ; Grant Soivre en 1337 ; Grand Sève en 1733 ; Grand Seves en 1757 ; Gransæuvre en 17.. ; Grand Sœuvres en 1753 ; Grand Sevre en 1761 ; Grand Selve en 1781)[15], siège d'une ancienne commanderie des Templiers.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

La Ferme du Petit Selve et du Grand Selve, siège d'une ancienne commanderie des Templiers. Il subsiste des vestiges de cet édifice. La chapelle du Grand-Selve passe aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem après le procès des Templiers en 1307[16].

Pendant la période révolutionnaire[modifier | modifier le code]

Attachés au roi avant 1789, les Bistiers ont cependant accepté la Grande Révolution, se laissant entraîner par la cascade d’évènements de la fin du XVIIIe siècle, sûrement dans leur propre intérêt et dans un contexte immédiat et mouvementé.

Le 20 avril 1792, la France a déclaré la guerre à François II, roi de Bohême et de Hongrie, soutenu par la Prusse. Les armées austro-prussiennes déferlent alors sur la France ; l’invasion est stoppée à Valmy cinq mois plus tard, le 20 septembre 1792. Le lendemain, à la première séance de la Convention, la royauté est abolie et fait place à la Première République. Mais, si la victoire de Valmy a fermé la France à l’invasion, elle ouvre aussi une période marquée par une longue série de revers, qui oblige la jeune République à un lourd effort de guerre.

À l'intérieur, les enjeux politiques ont fait apparaître le régime de la Terreur : sur un fond de guerres extérieures, les luttes intestines minent la nouvelle République. Après la victoire de Fleurus (1794), les succès militaires se succèdent, et le général Bonaparte affirme ses ambitions.

L'assemblée municipale de 1792[modifier | modifier le code]

En 1792, la municipalité de Buigny-lès-Gamaches se compose de M. Delattre, maire ; Laurent Rimbaut, procureur ; M. Holleville, officier et Pierre Maubert, greffier, qui avant de se marier en secondes noces à Buigny-lès-Gamaches le 22 février 1791 était clerc laïc dans la paroisse de Béthencourt-sur-Mer.

Le 4 novembre 1792, François Hermine obtient la majorité des suffrages à l’élection d’un officier public. Le 8 décembre suivant, à l’issue des vêpres, l’assemblée des citoyens de la commune réunis dans l’église paroissiale procède au renouvellement de la municipalité. Après le dépouillement, les trois scrutateurs proclament les résultats suivants :

Maire : Pierre Têtu
Officiers municipaux : Angély Prévost fils et Adrien Cahon
Procureur : J.B. Stoup
Greffier : François Stoup
Notables : Pierre Devillepoix, Alexandre Delabre, Louis Stoup, François Hermine, Pierre Lotin et François Gest.

Le 27 mai 1792, les citoyens actifs assemblés au son de la cloche nomment deux commissaires chargés de veiller à l’exécution des ordonnances du corps municipal : Joseph Chivot, maréchal et Pierre Têtu, tisserand.

Quant à l'officier public, il a la charge de rédiger les actes d’état-civil ; depuis 1792, c’est Pierre Holleville qui assume cette fonction, tant bien que mal…enfin plutôt mal que bien si l’on en croit la déclaration de l’agent national à l’assemblée municipale, le 5 frimaire an III : « […] il est justant de remédier aux actes de naissances qui étions mal dirigés de l’an 1793 vieux stile ». Le même jour, le conseil désigne alors Antoine Sueur en lieu et place de M. Holleville, mais le lendemain le nouvel officier public donne sa démission ne se « santans pas capable d’en remplir laditte actte dans leur correction comme nettans pas illuminé assez des loys dont il s’agit pour le remplire et ne connaissant rien pour la table alfabeth […] ».

La paroisse de Buigny-lès-Gamaches[modifier | modifier le code]

La paroisse de Buigny-lès-Gamaches dépend d’Hélicourt, et depuis 1790 l’abbé Poiré, vicaire, dessert la petite paroisse bistière. Natif d’Embreville, il est alors âgé de 28 ans. Mais quand la Révolution éclate, il préfère quitter la France, et le 8 septembre 1792, les officiers municipaux lui délivrent un laissez-passer afin qu’il rejoigne l’Angleterre « par Le Tresport ou Cayeux […] pour se conformer au décret de l’Assemblée nationale du 26 août dernier relativement à la déportation des prêtres non assermentés dont il est du nombre et laissez-passer et prêter lui aide et assistance en cas de besoin ».

Le même jour, les officiers municipaux procèdent à l’inventaire « des ornements, vases sacrés, linges, chasubles et autres effets de la chapelle pour la célébration du service divin », comme l’exige le décret du 4 septembre 1792. Les ornements, aubes, linges de purification, nappes, calices, pattennes et un ciboire en argent avaient été prêtés par M. de Rohaut, tandis que les autres effets de la chapelle (chandeliers en cuivre, encensoir, croix, bancs, deux paniers pour distribuer le pain bénit, crucifix et un plat en cuivre) avaient été prêtés par la communauté villageoise au chapelain pour célébrer l’office divin. Enfin, les administrateurs du district d’Abbeville avaient fait don de cinq ornements, trois aubes, sept bandes d’étole, une nappe de communion, une bourse verte et « une petite boète aux saintes huiles ».

La paroisse ne possédant donc plus de vicaire, la municipalité décide, le 7 octobre 1792, d’accorder au desservant de Gamaches la somme de 3 livres, payable par quartier, pour dire la messe et remplir les besoins spirituels des paroissiens tous les dimanches et fêtes.

La première école primaire de Buigny[modifier | modifier le code]

Buigny-lès-Gamaches compte à cette époque 417 habitants. La Convention ayant songé à l’instruction du peuple et ordonné la création d’une école primaire dans toutes les communes de plus de 400 habitants, la municipalité désigna, lors de la séance du 30 thermidor an II, le greffier de la commune François Stoup, comme « instituteur public » pour ouvrir l’école le 21 brumaire an II : François Stoup, premier instituteur officiel de la commune ? Un doute subsiste… Si c’est le cas, il ne le fut pas plus de six années : dans une lettre du maire de Buigny-lès-Gamaches répondant à la directive du sous-préfet d’Abbeville « […] aux instituteurs publics de respecter les institutions républicaines », M. Delattre répond, le 15 floréal an VIII : « […] il n’existe point d’instituteur dans la commune »… !?

Les bistiers et les armées républicaines[modifier | modifier le code]

Face aux énormes besoins des armées de la République, les communes sont obligées de répondre à de fréquents ordres de réquisitions : Blés, paille, voitures attelées de chevaux et fourrage. Mais, souvent, les cultivateurs de Buigny ne mettent, dans l’exécution de ces ordres, ni bonne volonté, ni empressement. Cette réticence vaut à la commune de Buigny-lès-Gamaches un vif rappel à l’ordre de la municipalité de Gamaches, le 28 germinal an III, considérant ce manque d’approvisionnement lié à «l’égoïsme des cultivateurs de Bugni ». C’est pourquoi le lendemain, à 5 heures du matin, quatre divisions de la garde nationale de Gamaches, soit 48 hommes commandés par 4 officiers municipaux, restent en garnison chez le maire, les officiers municipaux et les cultivateurs réticents de Buigny, jusqu’à ce qu’ils aient fourni le blé réquisitionné, arriérés compris. De plus, la municipalité gamachoise prévient celle de Buigny-lès-Gamaches que « les membres composant cette force armée seront nourris et hébergés et paiés à chacun 25 sols par jour qui leur seront paié avant leur départ ».

Le 13 vendémiaire an III, l’agent principal pour la fabrication des salpêtres du district d’Abbeville lance un appel aux communes pour qu’elles fournissent la poudre nécessaire aux armées républicaines. Le 16 vendémiaire suivant, le citoyen bistier Modeste Devillepoix est nommé chef de l’atelier de fabrication du salpêtre de la commune de Buigny-lès-Gamaches. Le 28 vendémiaire, il demande à la communauté du village de lui fournir « 6 bacquets pour lessiver les terres salpêtrées, 2 bacquets pour renvoier les eaux et 2 sceaux ». Le 19 bruimaire suivant, tous les citoyens de la commune âgés de 12 à 60 ans sont réquisitionnés pour cueillir chacun « 3 bottes de poix de 30 livres », et les « porter dans une pièce de terre de 8 journaux occupée par Pierre Devillepoix tenant au plan du citoyen maire du lieu » (La terre nitreuse et les cendres de certains végétaux servaient à la fabrication du salpêtre).

La garde communale[modifier | modifier le code]

Un document de Nivôse an IV (le seul sur la garde nationale du village) réorganise la garde nationale de Buigny-lès-Gamaches à la suite de l’arrêté départemental du 28 frimaire an IV :

Capitaine : Nicolas Prévost
Lieutenant : Jacques François Hermine
Sous-lieutenant : François Stoup
Sergent-major : Pierre Louis Lottin
Sergents : Pierre Lecat, Sulpice Stoup, Victorice Delamare, Vincent Horville
Caporaux : Pierre Turpin, Pierre Louis Horville, J.B Delattre, Jacques Hermine, Laurent Chivot, Laurent Rimbaut, Dominique Prévost, Louis Roy.

Anecdotes[modifier | modifier le code]

Une photo de l'école de Buigny-lès-Gamaches, prise dans les alentours de 1910, apparait dans tous les livres d'histoire. Sur cette photo vous pouvez lire la phrase suivante : « Le peuple qui a les meilleures écoles est le premier peuple, s'il ne l'est pas aujourd'hui il le sera demain » Jules Simon.

lien vers la photo : [3]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1808 Pierre Testu   Adrien Cahon, Angély Prévost, officiers municipaux
1808 1810 Modeste Devillepoix    
1810 1815 François Devillepoix    
1815 1832 Pierre-Louis Holleville    
1832 1848 François Devillepoix    
1848 1855 Alexandre Devillepoix    
en cours en 1858   Dufrien    
en cours 1865   Dufrien    
1876 1878 Théophile Dufrien    
1879 1887 Chrysostome Devillepois    
1893 1929 Pierre Devillepoix    
1929 1935 Julien Cahon    
1935 1944 Maurice Grandsire    
1945 1948 Raymond Bardoux    
1948 1953 Jean Devillepoix    
1953 1965 Louis Dehedin    
1965 1971 Jean Devillepoix    
1971 1977 Raymond Bardoux    
Les données manquantes sont à compléter.
1977 2001 Pierre Cahon    
2001 2008 Jacques Berthe    
2008 avril 2014 Dany Cahon    
avril 2014[17] En cours
(au 25 mai 2020)
Jérémy Moreau DVD Réélu pour le mandat 2020-2026[18]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

En 2021, la commune comptait 394 habitants[Note 3], en diminution de 4,6 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
405375417468492506512508493
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
486504523498518501513507469
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
431452450386406419410446453
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
462461471428440403400405390
2014 2019 2021 - - - - - -
408400394------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune a géré son école d'une classe jusqu'à l'établissement du regroupement pédagogique intercommunal avec la commune voisine d'Embreville. Après sa fermeture, le village n'a plus d'école. Les enfants se rendent majoritairement à Embreville.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Notre-Dame-des-Fermes. La chapelle est construite en 1873 par les propriétaires de la ferme qui ont eu un fils après la disparition de leurs trois premiers enfants[16].
  • Église Sainte-Marie-Madeleine.

Galerie de photos[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Buigny-lès-Gamaches et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 180 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 149 (lire en ligne sur DicoTopo) [hhttps://dicotopo.cths.fr/places/P38635840].
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 433 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  16. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 63 (ASIN B000WR15W8).
  17. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 14 avril 2014, p. 14.
  18. « Somme : Jérémy Moreau rempile pour un nouveau mandat à Buigny-lès-Gamaches : Dimanche 24 mai 2020, les nouveaux élus de Buigny-lès-Gamaches ont procédé à l'élection de leur maire. Jérémy Moreau, unique candidat au poste, a été réélu », L'Éclaireur du Vimeu,‎ « Jérémy Moreau, entré au conseil en 2008, maire depuis 2014, remercie le conseil ».
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.