Brettes

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Brettes
Brettes
Mairie de Brettes.
Blason de Brettes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Val de Charente
Maire
Mandat
Thierry Andre
2020-2026
Code postal 16240
Code commune 16059
Démographie
Gentilé Brettois
Population
municipale
165 hab. (2021 en diminution de 9,84 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 00′ 21″ nord, 0° 02′ 31″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 126 m
Superficie 12,21 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ruffec
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Brettes
Géolocalisation sur la carte : France
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Brettes
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Brettes
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Brettes

Brettes est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont des Brettois et des Brettoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Brettes est une commune du Nord-Charente située à 3 km à l'ouest de Villefagnan, chef-lieu de son canton.

Située non loin de la limite des Deux-Sèvres (6 km), elle est à 12 km de Ruffec (à l'est) et d'Aigre (au sud), 15 km de Chef-Boutonne, 44 km de Saint-Jean-d'Angély, 40 km d'Angoulême, 52 km de Niort, 68 km de Poitiers[2].

La route principale est la D 9, route de Villefagnan à Longré, qui traverse la commune et le bourg d'est en ouest. La D 61 et la D 303 relient aussi le bourg aux communes alentour[3].

La gare la plus proche est celle de Ruffec, desservie par des TER et grandes lignes à destination d'Angoulême, Poitiers, Bordeaux et Paris.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune comporte quelques hameaux, comme Marsillé, le Grand Villeret et le Petit Villeret, qui sont en limite sud, et la Charrière à l'ouest[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Plus particulièrement, l'Oxfordien (Jurassique supérieur) occupe la surface communale. Des alluvions récentes du Quaternaire occupent les vallées à l'ouest[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'une plaine et de bas plateaux au sud. Le point culminant est à une altitude de 126 m, situé près de la limite sud-est. Le point le plus bas est à 75 m, situé le long de l'Aume sur la limite ouest. Le bourg est à 95 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Brettes.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Aume, le ruisseau des Fontaines de Frédière le ruisseau de Siarne et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].

L'Aume, affluent de la Charente en rive droite, arrose l'ouest de la commune. Elle reçoit sur sa rive gauche un petit affluent, le ruisseau des Fontaines de Frédière, naissant sur la commune voisine de Paizay-Naudouin et qui fait aussi la limite communale avec Longré, et qui rassemble d'autres ruisseaux intermittents arrosant le nord de la commune. D'une longueur totale de 3 km, elle prend sa source dans les Deux-Sèvres,dans la commune de Valdelaume, et se jette dans la Charente à Ambérac, après avoir traversé 11 communes[9].

Au sud, un court ruisseau naissant au Grand Villeret coule en direction du sud et du ruisseau de Siarne, affluent de l'Aume.

Des bassines servant à l'irrigation ont été édifiées à l'ouest, près de la Charrière[3].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Brettes est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ruffec, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,4 %), forêts (3,7 %), zones urbanisées (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), prairies (1,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Brettes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brettes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 26,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 110 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 37 sont en aléa moyen ou fort, soit 34 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Brecis en 1280, Brethis en 1648[23].

L'origine du nom de Brettes remonterait à un nom de personne gaulois Brittius, ce qui correspondrait au « domaine de Brittius »[24]. Britto- est un terme de nom gaulois[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les photographies aériennes ont montré la présence d'une villa gallo-romaine au lieu-dit les Dunes[26].

L'église Saint-Cybard de Brettes appartenait à l'ancien diocèse de Poitiers[27].

Avant le XIXe siècle, des moulins à vent agitaient leurs ailes au sommet des collines (moulin de la Charrière, etc.)[28].

En 1570, trois vaches ornaient le blason d'argent de Brettes qui leur doit sans doute son nom, car brette signifie vache bretonne en poitevin[27],[29].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1965 1995 Daniel Debord SE Agriculteur
1995 2014 René Gallais SE Retraité agricole
2014 En cours Thierry André   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 165 habitants[Note 3], en diminution de 9,84 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
425477468475563619590563600
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
585542495465470429433402358
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
369380341285303294272278261
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
232208197197187189200176165
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 87 hommes pour 88 femmes, soit un taux de 50,29 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
11,5 
75-89 ans
15,7 
14,9 
60-74 ans
14,6 
24,1 
45-59 ans
23,6 
16,1 
30-44 ans
14,6 
11,5 
15-29 ans
13,5 
21,8 
0-14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église.

L'église paroissiale Saint-Cybard dont les parties basses remontent au XIIe siècle dessine un rectangle allongé. Elle a été remaniée au XVe siècle d'où l'aspect gothique des fenêtres.

Une tour d'escalier polygonale dessert le clocher carré.

La nef a été abaissée puis elle a été doublée d'une voûte de lauzes en briques en 1867 et 1868[37].

La pierre des morts a été ramenée devant l'église.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Au XIIIe siècle, un ancien château appelé la Tour de Brettes abritait une prison d'état. Ce château fut transformé au XVe siècle[27]. Il n'en reste que des contreforts percés d'archères et quelques ornements Renaissance qui font remonter une partie des constructions au XVe siècle[38].

Le lavoir Saint-Cybard a été construit au-dessus du puits Saint-Cybard.

La légende veut que l'eau y a été trouvée, lors de la sécheresse de l'été 1893, après que le curé ait organisé une procession jusqu'à ce lieu.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D’azur au château couvert d’or, donjonné de deux pièces, ouvert et ajouré du champ, maçonné de sable, au chef cousu de gueules chargé de trois vaches cousues de sable.
Commentaires : Blason de Brettes.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Brettes » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Brettes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « l'Aume »
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Brettes », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Brettes », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 192
  24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  25. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
  26. « Les Dunes », notice no ARR54_971609283ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  27. a b et c Pascal Baudouin, « Canton de Villefagnan, commune de Brettes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).
  28. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 94-95
  29. Collectif, Le Petit Robert, (ISBN 2-321000112, présentation en ligne), p. 1866
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Brettes (16059) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  36. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  37. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 85
  38. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Catillus Carol, « Brettes », (consulté le )