Famille Brûlart

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Famille Brûlart
Image illustrative de l’article Famille Brûlart
Armes

Blasonnement De gueules à la bande d'or, chargée d'une trainée de poudre ondée de sable, côtoyée de cinq barillets du même (Sillery)
Branches Sillery
la Borde
Genlis
Période XVe siècle - XVIIIe siècle
Pays ou province d’origine Champagne, Paris
Fiefs tenus Sillery, la Borde, Genlis

La famille Brûlart est une famille noble française tôt établie à Paris, au service des rois de France, puis possessionnée en Bourgogne. Elle serait originaire de Saint-Martin-d'Ablois (Marne), en Champagne[1]. La famille Brûlart s'est éteinte en 1793 avec sa branche de Genlis.

Histoire[modifier | modifier le code]

Branches[modifier | modifier le code]

La famille Brûlart (ou Brulart)[2],[3] a formé trois branches principales :

Premiers degrés[modifier | modifier le code]

Branche de Sillery[modifier | modifier le code]

Branche de La Borde[modifier | modifier le code]

Branche de Genlis[modifier | modifier le code]

Personnalités[modifier | modifier le code]

Branche de Sillery[modifier | modifier le code]

Branche de Genlis[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois, Dictionnaire de la Noblesse..., Paris, 1864, 3e édition colonnes 360 à 375
  • Anatole Louis Théodore Marie Granges de Surgères, « Brulart », dans Répertoire historique et biographique de la Gazette de France, depuis l'origine jusqu'à la Révolution, 1631-1790, vol. 1, Paris, Libraire Henri Leclerc, , 832 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. "Le dimanche, 21e jour de juing 1648, Me Charles a Demory, esleu mayeur, Monsieur le Marquis de Genlis y « estant présent à la nomination tenant séance d'autre pour « lors en ceste ville y commandant à cause des guerres" Bulletin de la Société académique de Chauny, 1886, t.I,

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Selon le site indexé Racines&Histoire, la famille de Brûlart se rattache peut-être aux Champenois Adam Brulart (bouteiller du comte Henri) et son fils Geoffroy (bouteiller du comte Thibaut), fl. au XIIe siècle, mais cela reste bien hypothétique. De manière plus assurée, ce site donne comme arrière-grand-père de Pierre Ier Brûlart : Jacques Brulart (sire de Heez & Agnets en Artois, fiefs que possèdera sa descendance au moins jusqu'à Jacques, petit-fils dudit Pierre Ier Brûlart ; Jacques Brulart, l'arrière-grand-père de Pierre Ier, était président au Parlement : en 1323, il prononça l'arrêt déboutant Robert contre sa tante Mahaut dans la Succession d'Artois), père de Gaspard/Adam/Jean (1356 : il aurait été maître de l'Artillerie, « maître des engins et machines de guerre », sous Jean le Bon, ce qui expliquerait les armes des Brûlart ?), père de Girard (qui serait † à Azincourt en 1415) et de Nicole/Nicolas Brulart (fl. 1440/1450 ; x Isabeau Jouvenel des Ursins, fille de Jean Ier Jouvenel seigneur de Traînel et de Michèle/Madeleine de Vitry), lui-même père dudit Pierre Ier Brûlart. Quant à Héez et Agnets, s'ils sont bien en Artois, ce peut être Héez (la couture des Hées/d'Hé à Achicourt) et Courtieux-en-Aignets/en-Agnés (Agnez-lès-Duisans) « au comté d'Artois » ; sinon, il existe La Neuville-en-Hez/forêt de Hez et Agnetz en Beauvaisis dans l'Oise...
  2. « Famille Brulart, p. 290-300 », sur Dictionnaire de la Noblesse, t. III, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, 1771
  3. « Famille Brûlart », sur Racines & Histoire
  4. a et b « Famille Cauchon », sur Racines & Histoire
  5. « Maison de Longueil, p. 7, 14 et 15 », sur Racines & Histoire
  6. « Histoire de Grisy-Suisnes », sur site de la commune de Grisy-Suisnes
  7. « Famille Dauvet, p. 4, 5 et 8 », sur Racines & Histoire
  8. « Histoire de Villequier-Aumont », sur Cahier de Marie Delaire (1891), présenté par Yannick Boucher
  9. Archives nationales de France, scellé du 21 décembre 1761, Y.11077.
  10. Granges de Surgères 1902, p. 577.
  11. Marie-Catherine Vignal Souleyreau, Correspondance du cardinal de Richelieu : inédits, années 1632 et 1633 Texte