Beauziac

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Beauziac
Beauziac
La mairie (avr. 2013).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Nérac
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne
Maire
Mandat
Dominique Roman
2020-2026
Code postal 47700
Code commune 47026
Démographie
Gentilé Beauziacais
Population
municipale
232 hab. (2021 en diminution de 10,42 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 19′ 21″ nord, 0° 02′ 50″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 163 m
Superficie 15,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Casteljaloux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Forêts de Gascogne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Beauziac
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Beauziac

Beauziac (Bausiac en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située dans les Landes de Gascogne à 4,5 km à l'ouest de Casteljaloux.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Poussignac, Pindères, Casteljaloux et Saint-Martin-Curton.

Communes limitrophes de Beauziac[1]
Poussignac
Saint-Martin-Curton Beauziac Casteljaloux
Pindères
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 828 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-Curton à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 867,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Beauziac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Casteljaloux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (73,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,3 %), prairies (6,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Beauziac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Beauziac est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[17],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Beauziac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. 72 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2007, 2009 et 2018, par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune, qui résulte de la fusion de Bouchet (en occitan, Lo Boishet) et du Tren (en occitan, Lo Tren), a repris le nom du château de Beauziac. La mairie est au Bouchet.

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune est le résultat de l’union de deux anciennes communes : celle du Tren au sud, sans véritable agglomération, avec le château de Carnine et une chapelle, et celle de Bouchet, au centre-est, où se trouvent actuellement la mairie, l’église paroissiale, l’école.

Le , une ordonnance royale réunit les communes de Bouchet et de Le Tren sous le nom de Beauziac[22].
Au recensement de 1836, la commune du Tren comptait 289 habitants[23] et Bouchet, 240.

L'histoire de la commune est liée, en bonne partie, à deux familles nobles habitant les châteaux de Beauziac au nord et de Carnine au sud.

Château de Carnine[modifier | modifier le code]

Propriété de plusieurs générations de la famille de Brocas de Lanauze. Certains de ses membres ont été enterrés dans la chapelle de Sainte-Radegonde, située dans leur anciens domaines, non loin du château.

  • Le , noble Bernard du Casse, en son nom et de celui de son épouse, avait rendu foi et hommage au duc de Bouillon pour sadite maison noble de Carnine.
  • Le , naît de Pierre-Henri de Brocas (VII lignée de la famille) et de Jeanne du Casse leur fils aîné, messire François de Brocas. Plus-tard, écuyer, sieur de La Nauze, habitant Casteljaloux et l’initiateur de la 8e lignée.
François de Brocas fut institué héritier général et universel de Jeanne du Casse, sa mère, par le testament de celle-ci du .
Le , il s’est marié à Jeanne-Antoinette du Casse du Mirail, héritière de la maison noble de Mons ou Carnine, fille de noble Bernard du Casse, sieur de Mirail, et de dame Élisabeth de Joly d’Esclarens, habitants de Casteljaloux, en la paroisse de Saint-Raphaël.
  • Le , Pierre-Henry de Brocas, fils de messire François de Brocas sieur de La Nauze et de Jeanne-Antoinette du Casse du Mirail, 9e de la lignée, eut l’honneur d’accompagner Mgr le duc d’Angoulême[24] à son entrée à Bazas, lors de son retour en France, et fut décoré à cette occasion des insignes du « Brassard bordelais ».
Il est décédé au château de Carnine le .
Leur troisième enfant, François-Vosy Brocas de la Nauze, écuyer, initiateur de la 10e lignée, était en 1846 chef des nom et armes de sa maison, habitant au château de Carnine, près de Casteljaloux.
François-Vosy Brocas de la Nauze s’est marié à Mathilde-Marie-Françoise de Villespassans de Faure. Ils ont eu trois enfants, le premier noble Guillaume-François-de L’Île de Brocas de La Nauze est né au château de Carnine le . Le troisième, une fille, Antoinette-Marie-Félicie de Brocas de La Nauze, est née aussi au château de Carnine le .
  • Bernard de Brocas, d’une génération postérieure datant du début du XXe siècle, sans descendance, a légué la propriété à Henri de Roquemaurel, son cousin germain d’ancienne noblesse auvergnate.
Les actuels propriétaires continuent la lignée des Roquemaurel.
  • Ce château, situé dans le hameau du Tren, est constitué d’un corps central encadré par deux pavillons. L’axe central de la façade est constitué par un gable fini en épi de faîtage. Au vu de cette architecture régulière associée aux gables, on peut estimer sa période de construction entre les XVIIe et XVIIIe siècles.

Cimetière du Tren[modifier | modifier le code]

Dans ce cimetière du Tren, autour de la chapelle de Sainte-Radegonde, ancien domaine du château de Carnine, à quelque 150 m de là, sont inhumés les derniers membres de la famille de Brocas de Lanauze et certains de la famille de Roquemaurel, unis par des liens du sang aux premiers, nouveaux propriétaires du château.

  1. à gauche : Guillaume-François-de L’Île de Brocas de La Nauze, fils de François-Vosy Brocas de la Nauze et de Mathilde-Marie-Françoise de Villespassans de Faure, né le et mort, au château, le .
  2. au fond à droite, double, les parents de Guillaume : Mathilde-Marie-Françoise de Villespassans de Faure de Saint Maurice, comtesse de Brocas de La Nauze, née le et décédée au château de Malvirade, inhumée ici le et François-Vosy Brocas de la Nauze né le 18.., décédé au château de Carnine le .
  3. en face, au fond : un enfant (non lisible)
  4. au milieu à gauche : Gabrielle Chantal Armande, de Barthelemy d’Hastel, comtesse de Brocas de La Nauze, morte à Bordeaux le , inhumée ici le .
  5. au fond à gauche, nom illisible, comtesse de Roquemaurel, née, au château de Carnine sans doute le , décédée à Bordeaux le .
  6. François Béranger Eduard Bernard, comte de Brocas de La Nauze, né à Courmelois (Marne) le , décédé à Lisbonne le , dernier du nom de la branche des de Brocas de La Nauze issus de la Famille de Brocas de Lanauze.
  7. tombe double : Ithier (1914-1996), marquis de Roquemaurel et Claude de Nadaillac (1917-1990) marquise de Roquemaurel.
  8. emplacement réservé aux actuels propriétaires de Roquemaurel.

Note d’archéologie du comte de Broca, maire de Beauziac[25] :

« En faisant les terrassements du chemin no 1, dit de Pindères, dans les terrains attenant au cimetière de l’église du Tren, on a trouvé des tombes ou sarcophages de pierre paraissant remonter à une époque assez reculée. Il m’a été remis une petite pièce de monnaie de Jeanne de Châtillon de 1279 à 1302. D’un côté il y a Comtesta et de l’autre, Blesio Castro. D’autres tombes semblables existent encore dans le même lieu. »

Chapelle Sainte-Radegonde[modifier | modifier le code]

Dans le hameau du Tren, autrefois propriété des châtelains.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1983 mars 1989 Roland Marquet    
mars 1989 mars 2001 René Rochereau    
mars 2001 Bernard Caubet DVD  
Claude Gally    
En cours Dominique Roman    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Beauziacais[26].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 232 habitants[Note 4], en diminution de 10,42 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
207199180184231240471436448
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
453413437460448435438441421
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
410415395324333290265217201
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
218192175173195215240243260
2017 2021 - - - - - - -
237232-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • François-Vosy de Brocas de La Nauze (1762-1824), maire de Beauziac.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Beauziac et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Martin-Curto » (commune de Saint-Martin-Curton) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Martin-Curto » (commune de Saint-Martin-Curton) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Beauziac », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. Archives départementales de Lot-et-Garonne, Beauziac, plan napoléonien, atlas, section TA, 1836, cote 3P/A07/32.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Tren », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
  24. Louis de France, duc d'Angoulême, fils du futur roi de France Charles X.
  25. citée par Jean-François-Samazeuilh, Dictionnaire, p. 49.
  26. Beauziac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 8 novembre 2015.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.