Bonnay (Saône-et-Loire)

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Bonnay
Bonnay (Saône-et-Loire)
L'église.
Blason de Bonnay
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes du Clunisois
Statut Commune déléguée
Code postal 71460
Code commune 71042
Démographie
Population 312 hab. (2020 en diminution de 7,69 % par rapport à 2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 33′ 03″ nord, 4° 37′ 21″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 378 m
Superficie 11,99 km2
Élections
Départementales Canton de Cluny
Législatives Première circonscription
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Bonnay-Saint-Ythaire
Localisation
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Bonnay
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Bonnay
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Bonnay

Bonnay est une ancienne commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

À partir du , la commune fusionne au sein de la commune nouvelle de Bonnay-Saint-Ythaire, l'ancienne commune conservant le statut de commune déléguée[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Bonnay se trouve à 17 km à l'ouest de Tournus, de la vallée de la Saône et du département de l'Ain, à égale distance (106 km) de Lyon (Rhône) au sud et de Dijon (Côte-d'Or) au nord - ces deux trajets par l'autoroute A6.

Les villes les plus proches sont Montceau-les-Mines à 33 km au nord-ouest, Bourg-en-Bresse (Ain) à 77 km au sud-est et Chalon-sur-Saône à 37 km au nord-est. Cluny, le chef-lieu de canton, est à 18 km au sud ; Mâcon, la préfecture, est à 40 km au sud-est. Paris est à 377 km au nord-est par la A6[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hameaux[modifier | modifier le code]

A

  • Aynard

B

  • Besanceuil
  • Besseuil
  • le Bois Aumônier

C

  • Chassignole (château)
  • la Chaume
  • les Chevaux

E

  • l’Étang

L

  • la Lochère

M

  • la Mouillot

P

  • la Pouillouse

S

  • Saint-Hippolyte

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Presque toute la limite sud-est et est de la commune est confondue avec le cours de la Guye, affluent de la Saône. Bonnay partage 525 m du cours de la rivière avec Salornay-sur-Guye, puis 2,8 km et 1,6 km (en deux sections) avec Cortevaix, 2,5 km avec Malay et enfin 75 m avec Savigny-sur-Grosne[3] ; soit environ 8,2 km de rivière. Hormis trois très petits affluents, c'est le seul cours d'eau de la commune.

Transports[modifier | modifier le code]

L'autoroute la plus proche est la A6, avec une entrée-sortie vers le nord à 37 km à Chalon-sur-Saône (n° 28, « Chalon-sud »), et une entrée-sortie vers le sud à 36 km à Mâcon (n° 28, « Mâcon-nord »)[2].

La ligne ferroviaire du TGV Sud-Est traverse la commune, avec la gare de Chalon-sur-Saône à 35 km vers le nord et la Gare de Mâcon-Loché-TGV à 38 km vers le sud. La gare de Mâcon-Ville, quant à elle, est dans le centre de Mâcon, à 40 km[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 822 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Guiche », sur la commune de La Guiche à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 963,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bonnay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), forêts (13,4 %), terres arables (11,4 %), zones urbanisées (2,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

On donne au nom de « Bonnay » une double origine : « bonne aygue » (bonne eau) en raison d’une source intarissable sur ces lieux ou bien « Belnacium » (terme attesté en 1119), en référence au dieu gaulois Belnacius.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire

Des fouilles au hameau de Aynard ont dévoilé des silex taillés et des tessons de céramiques gauloises[17].

Antiquité

Les Romains se sont établis à la villa Saint-Germain, juste en face du gué Aynard (restes de piscine en marbre), sur la commune voisine Cortevaix[17].

Vers l'an -50, le territoire échappe de peu à l'invasion des Helvètes qui ne traversent pas la Guye[17].

Il semble que le hameau de Aynard, alors beaucoup plus important, était à la fin de l'Antiquité le centre d'un large domaine ou potestas qui aurait été partagé en quatre au Ve siècle, avec chacun à leur tête les villages de Aynard, Bonnay, Ougy (sur Malay) et Ameugny.
Lors des invasions barbares, ces quatre domaines ont eux-mêmes été divisés chacun en deux :

  • Aynard garda Saint-Hippolyte, Chassignolles, Besseuil et Chaumes ; le reste de son territoire composa un autre domaine avec Confrançon avec Levry ;
  • Bonnay garda La Lèchère ; Cortevaix et Mont formèrent un autre domaine ;
  • Ougy garda Seugne et perdit Cortemblin qui fut réuni à Malay ;
  • Ameugny garda La Grange Sercy et Pommier ; Cormatin fut réuni à Chazelles[17].

Des trésors monétaires ont été retrouvés à Curtil et à Étrigny, cachés lors des invasions barbares[17].

Moyen-Âge

Les Mérovingiens (560-700) ont laissé quelques vestiges, dont des tombes au Mouillot en bordure sud du hameau de Besanceuil, et un sarcophage mérovingien de forme trapézoïdale servait d’abreuvoir près de l’église du hameau de Sainte-Hippolyte. L'importante nécropole voisine sur Curtil date de la même époque. Le nom de Cortevaix provient des Francs, comme les noms d'autres lieux en ‘cor’ ou ‘con’ (Confrançon, Cormatin, etc)[17].

L'église Saint-Hippolyte de Bonnay a été construite par les clunisiens (ordre de saint Benoît) au XIe siècle et a probablement été détruite au XVIe siècle. L'ordre, très influent à l'époque de la construction, choisit pour cette église un emplacement dominant tout le paysage[18] : bâtie sur une hauteur, elle se voit de loin[2].
Sa location et ses solides murs en pierre en font un point de ralliement en cas de danger. C'est l'une des premières églises fortifiées de Bourgogne, et contrairement à ce qui se passera plus tard pour de nombreuses autres églises, ces travaux de protection ne sont pas le fait des populations mais celui des moines[18]. Cette fortification, dûment autorisée par le seigneur de Brancion[19], commence à partir de 1214. Bien que l'ensemble soit de nos jours en ruines, ce qui reste du mur d'enceinte surmontée de larges créneaux garde son impact de puissance massive. Le clocher d'origine a été fortifié en ajoutant sur des côtés opposés deux extensions munies d'archères, avec comme résultat la formation d'une tour maîtresse[18].

Vers le XIe siècle également, Landry Gros, seigneur d'Uxelles instaure un péage sur le gué d'Aynard, passage difficilement contournable sur le trajet de la voie antique d'Autun à Belleville (et qui desservait aussi l'abbaye de Cluny). Ceci n'agréa point ces religieux et leur abbé Hugues de Cluny (1024-1109) fit promptement appel au pape (Pascal II, 1050-1118) qui ordonna tout aussi promptement, le 2 février 1107, l’exemption de péages sur tous les voyageurs allant à ou venant de Cluny, ce jusqu'à Mâcon, Bois-Sainte-Marie, Charolles, Mont-Saint-Vincent, Jully, Beaujeu, Brancion et Tournus, sous peine d'interdiction de pénétrer dans les églises. Malgré cette peine socialement très lourde à l'époque, les seigneurs d'Uxelles ne respectent pas toujours l'exemption, ce qui engendre des conflits avec l'abbaye[17].

Époque contemporaine

Le , Bonnay devient une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Bonnay-Saint-Ythaire[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 mars 2014 Daniel Bouquet   Retraité secteur privé
mars 2014 décembre 2022 Christophe Parat[20]    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2020, la commune comptait 312 habitants[Note 3], en diminution de 7,69 % par rapport à 2014 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
450428479513521531502510534
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
552554539755736780730686627
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
630617582509445412392346313
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
309300253250250249283286302
2014 2019 2020 - - - - - -
338318312------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique
Les vignobles du Mâconnais.

Vignoble[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sur le territoire de la commune est implanté un EHPAD, qui a succédé à une maison de convalescence pour dames : la Villa Sainte-Agnès, d'une capacité d’accueil de 59 lits. L’établissement, privé, consiste en une belle maison de pierre du XIXe siècle, attenante au cloître qui est le berceau des sœurs dominicaines de la Congrégation Sainte-Catherine de Sienne, dans un parc orné d’arbres centenaires.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Besanceuil.
  • Le château de Chassignole.
  • L'église de l’Assomption de la Vierge Marie, dont la première pierre a été posée en 1881 (elle fut bénite en 1884 et consacrée en 1885 par monseigneur Perraud, évêque d’Autun). Son clocher abrite l'une des plus anciennes cloches du diocèse d'Autun : une cloche de bronze de la fin du XVe siècle (1497), classée au titre des Monuments historiques dès 1914, portant cette inscription : « IHS Maria Sancta Katerina ora pro nobis ».
  • L'église Saint-Hippolyte (en ruine), au hameau de Saint-Hippolyte, vestige d'un ancien doyenné de l'abbaye de Cluny[25] (sur carte IGN 1:250 ; Saint-Hippolyte sur carte Michelin 1:200.000).
  • L'église Saint-Pierre de Besanceuil, édifice consacré relevant de la paroisse Saint-Augustin en Nord-Clunisois (Ameugny).
  • La croix Blanche de Bonnay, classée au titre des Monuments historiques, qui date du XIIIe siècle et se caractérise par la croix losangée qui constitue sa partie supérieure[26].
  • Un lavoir, alimenté par une source.

Aux environs : pierres levées à Massilly, La Chapelle-sous-Brancion et Uxelles ; traces de forteresses gauloises à Brancion et à Suin.

Le GR 76 traverse la commune, ainsi que ses branches le GR 76B et GR 76D[3].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Un ensemble à défendre : le hameau de Besanceuil, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 108 (décembre 1996), page 11.
  • Martin Raether, Flâneries autour de Bonnay, revue « Images de Saône-et-Loire », n° 211, septembre 2022, pages 10–11.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Bulletin d'Information et Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Marne du 30 septembre 2022 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), p. 81.
  2. a b c et d Bonnay sur google maps.
  3. a et b Carte IGN interactive d'Étigny sur geoportail.gouv.fr. Couches « cartes IGN classiques » et « Limites administratives » activées. Vous pouvez aisément moduler la transparence des couches dans l'onglet de sélection des couches en haut à droite de la carte ; et en ajouter depuis le menu « Cartes » en haut à gauche. Zoomer en rapprochement pour passer à la carte d'état-major.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Bonnay-Saint-Ythaire et La Guiche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « La Guiche », sur la commune de La Guiche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « La Guiche », sur la commune de La Guiche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b c d e f et g « Saint-Hippolyte - Les bords de Guye » sur saint-hippolyte-71.org.
  18. a b et c Fabrice Cayot. La fortification des églises rurales en Bourgogne. Ed. Centre de Castellologie de Bourgogne, 2010. Pp. 147-148.
  19. Auguste Bernard, « Recueil des chartes de l’abbaye de Cluny », tome 6, éd. A. Bruel, Paris, 1903. Texte latin.
  20. Le Journal de Saône-et-Loire, édition du 17 avril 2014, p.  2
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  25. « Itinérances autour des doyennés clunisiens et du ban sacré », livret édité par la FAPPAH, juin 2016, introduction de Jean-Denis Salvèque (ISBN 978-2-9556826-0-9).
  26. Martin Raether, « Flâneries autour de Bonnay », revue Images de Saône-et-Loire, n° 211, septembre 2022, pages 10-11.