Bois-le-Roi (Seine-et-Marne)

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Bois-le-Roi
Bois-le-Roi (Seine-et-Marne)
La mairie.
Blason de Bois-le-Roi
Blason
Bois-le-Roi (Seine-et-Marne)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau
Maire
Mandat
David Dintilhac
2020-2026
Code postal 77590
Code commune 77037
Démographie
Gentilé Bacots
Population
municipale
5 979 hab. (2021 en augmentation de 4,99 % par rapport à 2015)
Densité 865 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 27″ nord, 2° 41′ 54″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 91 m
Superficie 6,91 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bois-le-Roi
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nangis
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bois-le-Roi
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Bois-le-Roi
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Bois-le-Roi
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Bois-le-Roi
Liens
Site web ville-boisleroi.fr

Bois-le-Roi est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

En 2021, elle compte 5 979 habitants.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune de Bois-le-Roi se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1]. Elle est située en lisière de la forêt de Fontainebleau, le long de la Seine (rive gauche) face à Chartrettes sur l'autre rive.

Elle se situe à 8,64 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département, à 9,20 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture et à 28,97 km de Nangis[4], bureau centralisateur du canton de Nangis dont dépend la commune depuis 2015. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Bois-le-Roi[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Chartrettes (1,6 km), Livry-sur-Seine (4,2 km), Samois-sur-Seine (4,6 km), La Rochette (4,7 km), Fontaine-le-Port (5,2 km), Héricy (5,7 km), Vaux-le-Pénil (6,0 km), Dammarie-les-Lys (6,5 km).

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude varie de 38 mètres à 91 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 68 mètres d'altitude (mairie)[Carte 1].

Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[6],[7].

Géologie de la commune de Bois-le-Roi selon l'échelle des temps géologiques[6],[7].
Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
Cénozoïque Quaternaire Holocène
X : Dépôts anthropiques, remblais.
CF : Colluvions de versant et de fond de vallon.
Fy : Alluvions anciennes (basse terrasse de 0–10 m) : sables et graviers colluvions alluvions et apports éoliens.
Fx : Alluvions anciennes (moyenne terrasse de 10–20 m) : sables et graviers .
Fw : Alluvions anciennes de haute terrasse (terrasse de 20–30 m) : sables et graviers.
Fv : Alluvions anciennes (terrasse de 45–55 m) : sables et graviers (= Cailloutis de Sénart).
Pléistocène
Néogène Pliocène non présent.
Miocène non présent.
Paléogène Oligocène
g1AR : Argile verte, Glaises à Cyrènes et/ou Marnes vertes et blanches (Argile verte de Romainville).
g1CB : Calcaire de Brie stampien et meulières plio-quaternaire indifférenciées.
g1SF : Sables de Fontainebleau, accessoirement grès en place ou peu remanié (versant).
Éocène
e7C : Calcaire de Champigny, Calcaire de Château-Landon, Marnes de Nemours.
e7MS : Marnes supragypseuses : Marnes blanches de Pantin Marnes bleues d'Argenteuil
Paléocène non présent.

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[8].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Bois-le-Roi.

Le système hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 3,18 km[11].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 717 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontainebleau à 7 km à vol d'oiseau[14], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,1 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19].

La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », zone centrale et zone de transition, est un espace protégé sur la commune, créé en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (46 056 ha). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[20],[21],[22].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » :le « Massif de Fontainebleau »[24]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. La forêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces de coléoptères, 1 200 de lépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées[25].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Bois-le-Roi comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[26], le « Massif de Fontainebleau » (20 711,14 ha), couvrant 18 communes dont 17 en Seine-et-Marne et 1 dans l'Essonne[27] , et un ZNIEFF de type 2[Note 4],[26], la « vallée de la Seine entre Melun et Champagne-sur-Seine » (1 062,65 ha), couvrant 15 communes du département[28].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bois-le-Roi est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[29],[30],[31]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bois-le-Roi, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[32] et 9 431 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[33],[34].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[35],[36].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (63,04 % en 2018), une proportion supérieure à celle de 1990 (60,85 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (52,37 %), forêts (27,87 %), espaces verts artificialisés non agricoles (10,67 %), eaux continentales[Note 7] (8,60 %), milieux à végétation arbusive et/ou herbacée[Note 8] (0,50 %)[37].

Occupation des sols en 1990 et 2018[37].
Type d’occupation 1990 2018 Bilan
Territoires artificialisés
(zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
422,28 ha 60,85 % 437,48 ha 63,04 % 15,21 ha en augmentation
Territoires agricoles
(terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
0,00 ha 0,00 % 0,00 ha 0,00 % 0,00 ha en stagnation
Forêts et milieux semi-naturels
(forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
212,04 ha 30,55 % 196,83 ha 28,36 % −15,21 ha en diminution
Surfaces en eau
(eaux continentales, eaux maritimes)
59,68 ha 8,60 % 59,68 ha 8,60 % 0 ha en stagnation

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[38],[39],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Carte du cadastre de la commune de Bois-le-Roi.

La commune compte 91 lieux-dits administratifs[Note 9] répertoriés consultables ici[40] dont Brolles, Sermaize, la Cave, la Ruelle (source : le fichier Fantoir).

Quartiers[modifier | modifier le code]

Les anciens hameaux rattachés à la commune pour créer Bois-le-Roi forment des îlots de constructions indépendants au sein de la commune, séparés par des zones boisées ou de constructions plus récentes. Ces quartiers dont les noms sont encore usités par les Bacots tel Brolles qui abrite l'ensemble le plus typique, était traditionnellement composés d'un château autour duquel prenait place des constructions plus modestes, généralement basses et de la forme d'un rectangle allongé. La pierre utilisée était puisée en forêt de Fontainebleau qui possédait d'importantes carrières.

L'avenue Alfred Roll qui traverse le quartier de Brolles ou l'avenue de Tournezy qui traverse Sermaize, cette dernière artère menant à l'île de loisirs régionale, ont conservé ces maisons très rapprochées débordant sur une voie étroite. Certaines de ces constructions aujourd’hui réhabilitées peuvent dater du XVIe siècle pour les plus anciennes d'entre elles ; la grange sise au numéro 18 de l'avenue Alfred-Roll a ainsi conservé sa mangeoire d'origine attestant du passé rural de la commune. Cette architecture, témoin d'un passé très agricole en Seine-et-Marne, est typique des villages du Gâtinais.

Le quartier dit de la Cité possède le vestige d'un mur d'enceinte qui semble témoigner de l'existence d'une cité dont il est de nos jours difficile de trouver l'origine et de déterminer l'exacte importance. D'anciennes cartes de la commune montre en outre un ensemble de ruines qui, selon la légende, aurait servi à l'édification de la ville de Melun. Cette hypothèse demeure en l'état en l'absence de sources historiques probantes.

Les berges de Seine abritent d'imposantes villas du début du XXe siècle, dénommées Les affolantes du bord de Seine[41], telles que Chante-Merle et le Clos Barbeau réalisées par l'architecte Louis Périn dans un esprit à la fois néogothique et art nouveau. Ces berges accueillent également la villa la Roselière qui rappelle les villas patriciennes ou le Vieux Logis dont la façade du XVe siècle fut apporté d’Amiens pour orner ce qui était à l'origine un petit pavillon appartenant à Émile Rochard, directeur du théâtre du Châtelet. Ce dernier, entretenant une liaison avec Sarah Bernhardt, invita régulièrement l'artiste à séjourner à Bois-le-Roi.

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 2 645 dont 87,1 % de maisons et 12,7 % d’appartements.

Parmi ces logements, 87 % étaient des résidences principales, 6,9 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants.

La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 80,7 % contre 16,2 % de locataires[42], dont 1,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 10] et 3,2 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La ligne de chemin de fer de Paris à Marseille traverse le territoire de la commune du nord-ouest au sud-est.

Deux routes départementales relient Bois-le-Roi aux communes voisines :

  • la D 115, à Chartrettes au nord ; et à Fontainebleau, au nord-ouest ;
  • la D 137, à Fontainebleau, au sud-est.

Le territoire de la commune est traversé par le sentier de grande randonnée GR 1 qui se prolonge vers Chartrettes au nord-est et vers Fontainebleau au sud-ouest ainsi que par le GR 2. Les deux sentiers se chevauchent sur quelques centaines de mètres entre l'écluse et le pont menant à Chartrettes.

La ville est également traversée par la voie cycliste la Scandibérique qui emprunte, sur le territoire communal, les anciens chemins de halage de bord de Seine[43].

Transports[modifier | modifier le code]

La gare de Bois-le-Roi

La commune dispose d'une gare desservie par les trains de la ligne R du Transilien effectuant les liaisons : Paris - Montereau et Paris - Montargis.

La commune est desservie par trois lignes du réseau de bus Fontainebleau - Moret :

  • ligne no 40, qui décrit une boucle dans la commune en desservant la gare de Bois-le-Roi ;
  • ligne no 44, qui relie Le Châtelet-en-Brie à la gare de Bois-le-Roi ;
  • ligne no 45, qui relie Chartrettes à Fontainebleau.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionnée sous les formes Boscus Regis en 1239[44],[45] ; Lou Bois le Roi de Biere en 1278[46],[45] ; Boys le Roy en 1303[47],[45] ; Boys le Roy en Biere en 1380[48],[45] ; Boilleroy en vers 1380[49],[45] ; Bois le Roy en 1385[50],[45] ; Boyes le Roy au XVe siècle[51],[45] ; Bar le Roy en 1548[52],[45] ; Balleroy en Brie en 1656[53],[45].

Ce toponyme conjugue deux origines : « Bois » vient du mot latin buscus signifiant « broussailles », « Roi » vient du mot celte ritum signifiant « gué ». En effet, de nombreux gués s'étendaient autrefois entre Paris et Montereau et la localité de Bois-le-Roi en possédait un, en roche long de 750 mètres ; le nombre de ces aménagements s'amoindrit progressivement à partir de l'apparition des barrages en 1860[54].

Pendant la période révolutionnaire, Bois-le-Roi prend le nom de Bois-la-Nation en 1793[55],[45].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village est mentionné en 1260.

Un temple protestant trouvait place dans l'actuelle rue de la Presche, sa démolition fut engagée à la demande du roi Louis XIV, il n'en demeure nulle trace.

Le , un champ de course à Sermaise est inauguré par le roi Louis XVI et la reine Marie-Antoinette d'Autriche. Le comte d'Artois y fit courir un magnifique pur sang. Il s'agit du premier hippodrome permanent réalisé en France après celui des Sablons à Neuilly-sur-Seine. Bois-le-Roi a accueilli ainsi la première course équestre organisée en France. La proximité de la cour royale sise à Fontainebleau explique cette localisation.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la deuxième circonscription de Seine-et-Marne, du canton de Nangis et de la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau. Bois le Roi appartenait au canton de Fontainebleau avant le redécoupage cantonal de 2014 et à l'ex-communauté de communes du Pays de Seine jusqu'au .

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[56]
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 Paul Armand    
1945 1958 Georges Lefevre    
1958 1991 Robert Lesourd DVD Pharmacien
1991 mars 2001[57] Didier Guyot[58] DL Urbaniste
mars 2001 mars 2002[59] François Danel DVD Chef d'entreprise
Mandat écourté par la démission d'un tiers des élus du conseil municipal
mars 2002[60] mars 2014 Nicole Delporte DVD Médecin du travail retraitée
mars 2014 octobre 2018 Jérôme Mabille DVD Consultant
Vice-président de la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau
Mandat écourté par la démission d'un tiers des élus du conseil municipal
octobre 2018[61] En cours
(au 7 juillet 2020)
David Dintilhac SE
puis DVC
Gestionnaire de patrimoine
Vice-président de la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau
Réélu en 2020

Administration municipale[modifier | modifier le code]

À l'instar de 2002, la démission d'un tiers des conseillers municipaux intervenue début (élus de l’opposition et issus de la majorité) a provoqué l'organisation d'élections partielles dans le délai de trois mois imparti par le Code général des collectivités territoriales[62],[63],[64]

Budget et fiscalité[modifier | modifier le code]

Le compte administratif de la commune (document annuel qui rend compte des opérations budgétaires exécutées au cours de l'exercice) de 2021 était constitué tel que ci-dessous (chiffres arrondis)[65]:

  • total des recettes de fonctionnement : 5 997 000 , soit 995  par habitant (1 196  pour les communes de la strate démographique) ;
  • total des dépenses de fonctionnement : 5 855 000 , soit 971  par habitant (1 043  pour les communes de la strate démographique) ;
  • total des recettes d'investissement : 795 000 , soit 132  par habitant (450  pour les communes de la strate démographique) ;
  • total des dépenses d'investissement : 972 000 , soit 161  par habitant (434  pour les communes de la strate démographique).

Sur longue période, l'investissement annuel de la commune en dépenses d'équipement se compare comme suit par rapport à la moyenne des villes de sa strate démographique :

Dépenses communales annuelles en équipement public
Montant annuel en euros par habitant 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Commune de Bois-le-Roi
(base Population légale en vigueur au 1er janvier de l'exercice) (a)
196  81  278  210  128  136  97  282  376  209  205  267  141 
Moyenne des communes de taille comparable
(strate de population de 5 à 10 000 habitants) (b)
322  300  329  356  385  317  260  265  298  320  370  309  315 
Écart de la commune à la moyenne de la strate [66] −39,1 % −73,0 % −15,5 % −41,0 % −66,8 % −57,1 % −62,7 % +6,4 % +26,2 % −34,7 % −44,6 % −13,6 % −55,2 %
Source : Ministère de l’Économie et des Finances[67].

Au , le fonds de roulement ressort à 5 009 000  soit 831  par habitant, niveau de ratio qui demeure très supérieur à celui de la moyenne des communes de la strate démographique qui se fixe, quant à lui, à 388 . Il représente plus d'une année de ressources fiscales ; cette particularité signale un sous-emploi chronique des ressources collectées.

L'endettement par habitant s'avère très inférieur à celui de la strate des communes similaires (strate 5 000/10 000 habitants) avec respectivement 98  contre 775 .

Les taux de fiscalité locale, inchangés depuis 2002, s'établissent comme suit en 2021 :

  • taxe d'habitation : 13,22 % (taux des communes de la strate démographique : 15,57 %) ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 44,93 % (taux des communes de la strate démographique : 39,10 %) ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 61,20 % (taux des communes de la strate démographique : 52,31 %).

Jumelages[modifier | modifier le code]

Carte
Jumelages et partenariats de Bois-le-Roi.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Bois-le-Roi.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Langenargen[68]Allemagnedepuis

La signature des serments de jumelage s'effectue en à Langenargen et en à Bois-le-Roi[69]. En l'honneur de la ville jumelle allemande, le principal stade de Bois-le-Roi a pris le nom de « stade Langenargen »[70].

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [71],[72].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Bois-le-Roi est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [73],[74],[75].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[76]. La communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[73],[77],[78].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [73],[79].

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bière[80].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[81]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[82].

En 2021, la commune comptait 5 979 habitants[Note 11], en augmentation de 4,99 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
800782828780929896910946916
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9079509909751 0291 0351 1181 1361 213
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3141 4251 4951 5141 7241 9081 9432 4112 662
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 7912 7823 0443 3954 7445 2925 4335 4525 649
2017 2021 - - - - - - -
5 8765 979-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[83] puis Insee à partir de 2006[84].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports[modifier | modifier le code]

Plage de l'île de loisirs de Bois-le-Roi

L'île de loisirs de Bois-le-Roi gérée et animée par l'UCPA (Union nationale des centres sportifs de plein air) couvre 73 hectares. De nombreuses activités peuvent y être pratiquées, qu'elles soient nautiques (planche à voile, baignade...) ou terrestres (équitation, golf, tir à l'arc, tennis, mur d'escalade, VTT...).

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 2 328 (dont 80 % imposés), représentant 6 006 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 31 630 euros[85].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 1 466, occupant 2 682 actifs résidants.

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70,2 % contre un taux de chômage de 6,2 %.

Les 23,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,6 % de retraités ou préretraités et 5,1 % pour les autres inactifs[86].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 557 dont 5 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 27 dans l’industrie, 42 dans la construction, 388 dans le commerce-transports-services divers et 95 étaient relatifs au secteur administratif[87].

Ces établissements ont pourvu 988 postes salariés.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre (XIIe et XIXe siècle), Logo monument historique Inscrite MH en 1926[88].
  • Château de Brolles, bâti en 1862 par Abel Laurent, agent de change à la Caisse des dépôts de Paris, aujourd’hui Centre de rééducation fonctionnelle infantile.
  • Villas remarquables du XIXe et début du XXe siècle sur les bords de Seine.
  • Château de Sermaise, autrefois propriété du beau-frère de Jules Ferry, puis de l'actrice Ellen Baxone.
  • Écluse de la Cave sur la Seine.
  • La commune a la particularité de disposer de fresques recouvrant la vingtaine de transformateurs électriques présents sur son territoire ; chacune étant en concordance avec la toponymie ou l'environnement du quartier où elle a été peinte[89].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Hippolyte Camille Delpy : Ferme aux environs de Bois-le-Roi

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Bois-le-Roi Blason
De gueules à un arbre arraché de sinople*, au chef ondé d'azur bordé d'argent chargé de trois fleurs de lys d'or.
Détails
Armes parlantes ( Un arbre pour le bois, un chef de France moderne pour le roi). * Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives.
Figurent sur le site de la mairie, aux côtés du logo.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Bois-le-Roi », p. 565–568
  • Robert Lesourd (ancien maire), Bois-Le-Roi, ma commune, Commune de Bois-le-Roi, . Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Association Bois-le-Roi Audiovisuel et Patrimoine, Les Bacots racontent Bois-le-Roi 1920-2020, Paris, Asso. BLR A&P, , 288 p. (ISBN 9-782956159315)
  • Monique Riccardi-Cubitt, « Bois-le-Roi, Village d’art. Les artistes de la Bohème dans la collection de la mairie », Fontainebleau, la revue d’histoire de la ville & de sa région, Société d'histoire de Fontainebleau et de sa région, no 22,‎ , p. 56-59
  • Monique Riccardi-Cubitt, La vie de Bohème à Bois-le-Roi. Art, politique et naturalisme, Éditions du Puits Fleuri, , 160 p. (ISBN 978-2867397219)
  • C. Parisot (instituteur), Notice historique et géographique sur Bois-Le-Roi, Melun, édition financée par la commune selon l'arrêté municipal du 25 août 1878, Imprimerie D. Charriou, . Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Pelouses, pâturages naturels, landes et broussailles, végétation sclérophylle, forêt et végétation arbustive en mutation.
  9. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  10. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Bois-le-Roi » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  2. « Bois-le-Roi - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Distance entre Bois-le-Roi et Melun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Distance entre Bois-le-Roi et Fontainebleau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Distance entre Bois-le-Roi et Nangis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Bois-le-Roi », sur villorama.com (consulté le ).
  6. a et b « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
  7. a et b « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
  8. « Plan séisme consulté le 10 novembre 2020 ».
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  10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Rosières (F4431100) » (consulté le ).
  11. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 6 décembre 2018.
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  84. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  90. Marie-France Laborde et Dominique Camus, Les affolantes du bord de Seine, Héricy, Éditions du puits fleuri, , 224 p. (ISBN 9782850563843), p. 164 à 169.
  91. Clémence Ledoux, Marie Reine Immaculee de l'Univers, Icône de Marie, (ISBN 9782909341026)
  92. Actu Seine-et-Marne édition du 7 mars 2014.