Blanquefort (Gironde)
Blanquefort | |||||
![]() La mairie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Bordeaux | ||||
Intercommunalité | Bordeaux Métropole | ||||
Maire Mandat |
Véronique Ferreira 2020-2026 |
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Code postal | 33290 | ||||
Code commune | 33056 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Blanquefortais | ||||
Population municipale |
15 510 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 460 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 54′ 41″ nord, 0° 38′ 11″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 39 m |
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Superficie | 33,72 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Portes du Médoc | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Blanquefort (Blancahòrt en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.
Ses habitants sont appelés les Blanquefortais[1].
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Commune de l'aire urbaine de Bordeaux située dans son unité urbaine qui compte 3 372 hectares mais une large partie est inconstructible. En effet, la moitié orientale, proche de la Garonne et de la rivière Jalle de Blanquefort est formée d'anciens marais. Ceux-ci ont été asséchés à partir du XVIIe siècle par des Hollandais mais ils demeurent encore zones inondables. Cette partie de la commune sert donc de prés pour un peu de bétail. Une carrière d'extraction de graves y est installée ; elle a creusé le second plus vaste plan d'eau de la banlieue bordelaise.
La moitié orientale de la commune se partage entre de vastes bois, notamment celui de Tanaïs, la viticulture, et les zones habitées. Les châteaux viticoles constituent encore aujourd'hui une activité importante de la ville et contribuent à la structure du paysage. Le château Dillon a ainsi été intégré dans un lycée agro-viticole en 1923.
Après une croissance rapide durant les décennies 1970 et 1980, la population de la ville semble stagner même si elle reste jeune. Les établissements scolaires sont d'ailleurs nombreux, tant publics que privés. La croissance démographique a poussé la ville à se doter d'infrastructures socio-culturelles comme le centre des Colonnes, à la fois médiathèque et cinéma. Il illustre l'urbanisation du centre-ville avec des ensembles collectifs de moyenne importance, tandis que dans le reste de la commune domine un habitat pavillonnaire individuel structuré en lotissements à voies curvilignes.
Les espaces verts ont une importance particulière aussi dans la ville qui cherche à maintenir un aspect campagnard. Le parc de Majolan a été construit à la fin du XIXe siècle dans le goût romantique. Autour d'un vaste plan d'eau, de grottes et de ruines artificielles, le parc est l'un des lieux de promenade prisé des habitants de l'agglomération bordelaise.
Accès par la Rocade : sortie 06 Bruges-Blanquefort-ZI Campilleau
Accès par la Rocade : sortie 04a Stade Atlantique-Parc Expositions-Bruges en contournant la Réserve Naturelle Nationale des Marais de Bruges.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
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Transports en commun[modifier | modifier le code]
Réseau TBM[modifier | modifier le code]
Le réseau Transports Bordeaux Métropole (TBM) dessert la commune à travers les lignes de bus 22, 37, 38 et 77 et 78. En soirée, la commune est desservie par le Flexo 57 et la ligne C du tramway.
L'extension de la ligne C du tramway mise en service en 2016 permet de relier la gare de Blanquefort à Bordeaux. Un deuxième arrêt de tramway dessert Blanquefort : l'arrêt Frankton.
Réseau Trans Gironde[modifier | modifier le code]
La ligne 704 part de la gare à destination d'Arsac, la ligne 705 part quant à elle de Place Ravezies-Le Bouscat à destination de Pauillac, Saint-Estèphe et Cissac-Médoc.
Train[modifier | modifier le code]
- La gare de Blanquefort est desservie par la ligne du Médoc.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Blanquefort tire son nom du latin blanca fortis, dénomination du « fort blanc », château construit au XIe siècle en pierres calcaires[réf. souhaitée].
Histoire[modifier | modifier le code]
Les premières traces d'occupation remontent à l'époque proto-historique. À l'âge du bronze (1500 av. J.-C.) existaient des habitats près de la rivière qui borde la commune au sud, la Jalle de Blanquefort. Des céramiques ont été retrouvées le long de la rivière et sur le site de la forteresse médiévale.
Le même site est occupé à l'époque romaine puisque des tegulae (tuiles romaines) et des monnaies y ont été mises au jour lors de fouilles. Le bâtiment, dont il ne reste d'autres traces, était probablement un poste de garde ou un péage car situé sur la voie romaine reliant Burdigala (Bordeaux) à Noviomagus dans le Médoc.
Le village existe déjà au Haut Moyen Âge, comme l'atteste la présence de sarcophages mérovingiens dans les soubassements de l'église. De plus, le bâtiment cultuel a été dédié à saint Martin, évangélisateur de la Gaule, ce qui laisse imaginer une origine lointaine.
Au milieu du XIe siècle, des seigneurs s'établissent et édifient un premier château de pierre, de style roman. Il succède vraisemblablement à un donjon primitif en bois. Le château est construit sur la route de Bordeaux au Médoc, axe stratégique sur lequel le seigneur perçoit des droits de passage. Établi au milieu de marais, l'édifice blanc - car construit en pierres calcaires - marque les esprits à une époque où même les églises sont encore en bois. Il donne son nom à la ville : Blanquefort est le blanca fortis, c'est-à-dire le « fort blanc ».
Au XIIIe siècle, le château devient la propriété du roi d'Angleterre Édouard Ier, qui est aussi duc d'Aquitaine. Le château est cédé peu après à la puissante famille de Durfort qui conserve la forteresse jusqu'à la Révolution française. Au début du XIVe siècle, les Durfort sont la plus puissante famille de Guyenne et ils représentent le roi en son absence. Blanquefort est leur principale possession. La seigneurie comprend alors un tiers du Médoc, atteint l'océan Atlantique et le bassin d'Arcachon.
Le petit château est alors agrandi pour devenir une forteresse royale anglaise chargée de défendre Bordeaux contre une attaque du roi de France. Blanquefort devient un lieu stratégique de la guerre de Cent Ans. Une enceinte en pierres est construite ; le donjon est agrandi par l'adjonction de six grosses tours.
Parallèlement, d'autres châteaux plus modestes apparaissent sur l'actuelle commune, comme à Breillan ou Terrefort. Une chapelle est construite plus au nord, dans le village de Caychac.
En 1453, après la victoire française de Castillon, la forteresse est prise, avant que Bordeaux ne tombe. C'est la fin de la guerre de Cent Ans. Pendant quelques années, le château devient forteresse royale française, possession de Louis XI. Puis l'un de ses lieutenants, Antoine de Chabannes, obtient la forteresse qu'il adapte à l'artillerie à feu et embellit de décors gothiques. Les Durfort récupèrent Blanquefort peu après.
La forteresse perdra progressivement son intérêt stratégique. Incendiée au XVIIe siècle, elle est abandonnée et sert même de carrière de pierres durant la Révolution.
Au XVIIe siècle, le village de Blanquefort connaît un nouvel essor avec la construction du château Dillon, du nom d'une famille de nobles irlandais venus s'installer ici. Un domaine viticole se développe, notamment autour du domaine de Breillan, acquis au XVIIIe siècle par deux autres familles irlandaises. Le château du Déhez illustre bien, avec son plan de villa romaine, le goût du siècle pour les châteaux de campagne. Le magnifique château de Fongravey a été construit par l'architecte Victor Louis, qui a également édifié le Grand Théâtre de Bordeaux, pour le consul de Hambourg Daniel Kristof Meyer. Le cadre de vie des habitants du Blanquefort d'alors nous est en partie connu (structure seigneuriale et rurale[2], mœurs juridiques familiales[3]) par quelques travaux d'universitaires.
On en voit ici une rame photographiée avant la Première Guerre mondiale.
La commune est secouée par la Révolution. Elle connaît la particularité d'avoir eu comme premier maire révolutionnaire Pierre Thadé Saincric, qui était le curé de la paroisse ; par la suite il se maria et devint notaire.
La viticulture connaît son apogée au XIXe siècle où des domaines comme Dulamon,
Le Dehez ou Dillon changent de mains. L'activité emploie alors la majorité d'une population qui atteint environ 2 000 habitants en 1900. Près de la Garonne, dans la palus se trouve alors pendant une courte période le principal élevage de sangsues de Bordeaux car les animaux étaient alors utilisés en médecine.
Blanquefort connaît une rapide croissance à partir des années 1960. La commune est intégrée à la communauté urbaine de Bordeaux à sa création en 1968. Une immense zone industrielle voit le jour où s'implante bientôt une usine du constructeur automobile Ford. Elle devient vite la plus grosse entreprise privée de la région Aquitaine avec plus de 4 000 salariés. La commune connaît alors un développement lié à l'agglomération bordelaise, en s'intégrant parfaitement dans la banlieue de la ville.
- Cartes postales anciennes de Blanquefort
Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
La commune se trouve dans l'arrondissement de Bordeaux du département de la Gironde. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de la Gironde.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Blanquefort[4]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton des Portes du Médoc.
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
La commune était membre de la Communauté urbaine de Bordeaux, créée par la loi n°66-1069 du 31 décembre 1966 relative aux communautés urbaines, et instituant les communautés urbaines de Strasbourg, Lille, Lyon et Bordeaux.
Cette communauté urbaine est transformée en métropole au par décret du pris en exécution de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPTAM) de 2014.
La commune est donc depuis lors membre de Bordeaux Métropole. Elle y possède 2 sièges lors des séances des conseils métropolitains.
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Politique de développement durable[modifier | modifier le code]
La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2007[11].
En octobre 2012, la ville a rejoint le réseau des "villes du bien vivre", communauté internationale appelée aussi Cittaslow[réf. nécessaire].
Distinctions et labels[modifier | modifier le code]
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué quatre fleurs à la commune[12]. Elle est ainsi la seule ville de Gironde avec ce label[13].
Jumelages[modifier | modifier le code]
Au 01 mars 2020, Blanquefort est jumelée avec :
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[14],[Note 1]
En 2018, la commune comptait 15 510 habitants[Note 2], en augmentation de 1,39 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
selon la population municipale des années : | 1968[16] | 1975[16] | 1982[16] | 1990[16] | 1999[16] | 2006[17] | 2009[18] | 2013[19] |
Rang de la commune dans le département | 23 | 20 | 18 | 17 | 18 | 18 | 18 | 19 |
Nombre de communes du département | 548 | 543 | 543 | 542 | 542 | 542 | 542 | 542 |
Culture[modifier | modifier le code]
La vie culturelle est structurée par de nombreuses associations regroupées autour de l'A.B.C., Maison de la Jeunesse et de la culture et de E.S.B., l'Entente sportive blanquefortaise. L'E.S.B. propose à ses 4 000 licenciés plus d'une vingtaine de disciplines sportives.
La saison culturelle est marquée par deux festivals de théâtre qui se déroulent sur le domaine de Fongravey. Le premier, « L'Échappée Belle » donne la part belle au théâtre de rue grâce à la venue de nombreuses troupes professionnelles; ces troupes viennent de France et d'Europe. Le festival a lieu chaque année début juin pendant une semaine à l'initiative de l'ELAC-Les Colonnes qui programme par ailleurs tout au long de l'année une trentaine de spectacles et gère le cinéma. Le second festival, « Gueule d'Amateur »[20] propose fin septembre des spectacles de troupes de théâtre amateur venues principalement de Gironde. Ce festival est organisé par le « Théâtre Expression » l'une des troupes que compte la commune. Le Carnaval à la mi-mars est un temps fort très populaire avec son traditionnel défilé de chars et la crémation de M. Carnaval. Mi-mai les jongleurs s'expriment lors de leur convention : Jubil'à jongle.
La musique bénéficie de la présence de l'école de musique et de danse « Henri Sauguet » qui propose une trentaine de disciplines. La ville compte aussi des chorales telle « La Villanelle » et de très nombreux groupes de rock amplifiés tels que Les Pellos et Les Isotops. Mi-mai se tient le festival Culture-Rock à Fongravey. Le clou de l'année musicale est la fête de la musique.
La commune a mis en place également une radio locale, RIG (90.7 FM).
Économie[modifier | modifier le code]
Durant des années, l'usine de boîtes de vitesse de Ford Aquitaine Industries (FAI), implantée depuis 1972 à Blanquefort a été la plus grande usine d’Aquitaine. En 2009, HZ Holding France, associé au groupe allemand Johann Hay reprend l'usine qui est renommée First à l'occasion, en proposant plusieurs projets industriels. En 2010, ces derniers semblant ne pas aboutir, les syndicats déclenchent une procédure d'alerte. Finalement, Ford revient sur sa décision en juin 2011 et rachète son ancienne usine[21] maintenant 955 emplois sur les 1 500 du site. Elle a arrêté définitivement sa production le 24 juillet 2019, épilogue de plus d'un an de conflit social pour tenter d'empêcher la fermeture de ce site qui avait employé jusqu'à 3 600 salariés[22].
Parmi les autres entreprises : Castel frères, Groupe Berkem, Bardinet, Labso chimie fine, Auchan Supermarché, LIDL, Aqmo, transport naval, France sécurité, First Aquitaine industries et CESI.
Projet Ecoparc : site de référence pour l’économie durable, piloté par la ville de Blanquefort, avec le soutien de la CUB, du conseil général de la Gironde et du conseil régional d'Aquitaine. Le projet favorise à la fois un développement économique et une démarche de qualité environnementale autour d’un parc dédié aux éco-industries et éco-activités.
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 32 345 €, ce qui plaçait Blanquefort au 10 160e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[23].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Château Dillon, construit à la fin du XVIIe et au tout début du XVIIIe siècle (avec des remaniements au XIXe siècle). Inscrit monument historique[24]. Il abrite aujourd'hui le lycée viticole de Blanquefort.
- Salle de Breillan.
- Château du Déhez.
- Château Saint-Ahon.
- Château Cambon.
- Château de Terrefort.
- Château Dulamon.
- Parc de Majolan, classé Jardin remarquable[réf. nécessaire].
- Parc et château de Fongravey.
- Forêt et château de Tanaïs[25].
- Cinéma Les Colonnes.
- La forteresse.
- La forteresse de Blanquefort
- Église Saint-Martin et église Saint-Joseph.
- Château de Grattequina et Port.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- La Salle de Breillan a été habitée par la famille Eyquem, des cousins de Michel de Montaigne.
- Au début du XIXe siècle, le baron Portal (politicien, sous Napoléon) a séjourné à Blanquefort dans son domaine de Breillan.
- Édouard de Woodstock, prince de Galles, fils aîné du roi d’Angleterre Edouard III (nommé le Prince Noir) serait passé à Blanquefort.
- Daniel Christophe Meyer consul de la république de Hambourg à Bordeaux possédait le domaine de Fongravey sur lequel il fit édifier une belle demeure.
- Friedrich Hölderlin poète allemand romantique, extrêmement connu dans son pays, enseigna aux enfants du consul Daniel Christophe Meyer à Fongravey.
- Le président au Parlement Jean-Baptiste Mercier Dupaty possédait à la veille de la révolution le château et domaine du Dehez où est né un de ses fils Emmanuel poète et auteur dramatique (1775-1781) membre de l'Académie française.
- Élysée Aviragnet, né le 30 juillet 1828 à Port-Louis (Île Maurice) et mort en 1908 à Lewisburg (Pennsylvanie), où il a été directeur de la Bucknell School of Music. Avec sa famille, il a été propriétaire du château du Grand Clapeau à Blanquefort (village de Caychac).
- Édouard Otlet, entrepreneur belge y est décédé en 1907
- Philippe Poutou, ex-ouvrier à l'usine Ford de la ville, candidat du NPA à l'élection présidentielle de 2012 puis de 2017 et enfin candidat à la mairie de Bordeaux en 2020.
- Vincent Feltesse, ex-homme politique français et ancien conseiller de François Hollande, a été maire de Blanquefort de 2001 à 2012 puis président de la CUB (maintenant Bordeaux Métropole) de 2007 à 2014 et enfin candidat à la mairie de Bordeaux en 2020 avant de renoncer en décembre 2019[26] puis de se retirer de la vie politique en février 2020[27] .
- Mathieu Valbuena, footballeur professionnel ayant joué avec l'équipe de France, il est sélectionné pour disputer la Coupe du monde 2010, l'Euro 2012 et la Coupe du monde 2014.
- Benjamin Millepied, danseur et chorégraphe français de danse contemporaine, mari de Natalie Portman
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes de Blanquefort (Gironde) se blasonnent ainsi : D'azur à l'enceinte fortifiée de quatre tours d'argent, ouverte de sable, en perspective fuyante, sommée d'un donjon de six grosses tours aussi d'argent, le tout ajouré et maçonné aussi de sable, sur une mer d'azur ondée d'argent, semée de touffes de roseaux de sable, le dit donjon accosté de deux fleurs de lys d'or, au chef cousu de gueules chargé d'un léopard aussi d'or armé et lampassé du champ.
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Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- Nom des habitants des communes françaises sur habitants.fr, consulté le 8 novembre 2011.
- Jean Cavignac, Noblesse et seigneurie rurale dans la région de Blanquefort au XVIe siècle, Bordeaux,
- Thierry Benesse, Les contrats de mariage en Haut-Médoc dans la première moitié du XVIIIe siècle, Bordeaux, université Bordeaux IV,
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- http://histoire-caychac.e-monsite.com/album/bourg-rues-et-monuments/lagnet-le-bassin-verso.html
- « Vincent Feltesse ne sera plus maire de Blanquefort », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le 16 mai 2019).
- Commune de Blanquefort sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 9 novembre 2011.
- Christine Morice, « Madame le maire, élue hier soir : Véronique Ferreira a été élue hier soir maire de la commune et l’UMP Jean-Christophe Guillaume a démissionné », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le 16 mai 2019) « Vincent Feltesse lui avait, en quelque sorte, passé le relais lorsqu’il a démissionné de son poste de maire pour rester simple conseiller municipal : la socialiste Véronique Ferreira, 40 ans, a été élue hier soir, sans surprise, maire de Blanquefort. Pour deux ans. Elle est la première femme à occuper cette fonction sur la commune ».
- B.L.., « Blanquefort : une liste signée Véronique Ferreira », Ouest France, (lire en ligne, consulté le 17 mai 2019).
- Mila Ta Ninga, « Municipales 2014 à Blanquefort : un tour devrait suffire », France Bleu Gironde, (lire en ligne, consulté le 17 mai 2019).
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Blanquefort, consultée le 27 octobre 2017
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 29 janvier 2021.
- « Les communes labellisées Site officiel du Label Villes et Villages Fleuris », sur www.villes-et-villages-fleuris.com (consulté le 23 juin 2020)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le 10 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- Site du festival Gueule d'Amateur
- Ford confirme la pérennisation de 1 000 emplois à Blanquefort en Gironde, lexpress.fr, 6 mai 2011
- Gironde: L'usine Ford de Blanquefort a arrêté définitivement sa production ce mercredi, 20minutes.fr, 24 juillet 2019
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le 17 février 2018)
- Notice no PA00083146, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Note historique sur le château de Tanaïs », sur associations-blanquefort.fr, (consulté le 10 mai 2019)
- « Municipales : Vincent Feltesse renonce à présenter une liste à Bordeaux », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le 1er mars 2020)
- « Bordeaux : Vincent Feltesse quitte la vie politique », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine (consulté le 1er mars 2020)