Biars-sur-Cère

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Biars-sur-Cère
Biars-sur-Cère
L'hôtel de ville.
Blason de Biars-sur-Cère
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Elie Autemayoux
2020-2026
Code postal 46130
Code commune 46029
Démographie
Gentilé Biarnais
Population
municipale
1 973 hab. (2021 en diminution de 5,24 % par rapport à 2015)
Densité 544 hab./km2
Population
agglomération
5 904 hab. (2013)
Géographie
Coordonnées 44° 55′ 44″ nord, 1° 50′ 52″ est
Altitude 141 m
Min. 125 m
Max. 265 m
Superficie 3,63 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Biars-sur-Cère
(ville-centre)
Aire d'attraction Biars-sur-Cère - Saint-Céré
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Cère et Ségala
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Biars-sur-Cère
Liens
Site web Site officiel de Biars sur Cère

Biars-sur-Cère est une commune française, située dans le nord-est du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans la Limargue, une région naturelle occupant une dépression verdoyante entre les causses du Quercy et le Ségala quercynois.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Cère et par deux autres cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de la Cère et tributaires ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Biars-sur-Cère est une commune rurale qui compte 1 973 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'agglomération de Biars-sur-Cère et fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré. Ses habitants sont appelés les Biarnais ou Biarnaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

La Cère en amont du pont de la route départementale 940, entre Biars-sur-Cère (à gauche) et Bretenoux (à droite).

Ville située à l'extrême nord du Lot, à la limite avec le département de la Corrèze, dans les vallées de la Cère et de la Dordogne sur l'ancienne route nationale 140. Elle forme une agglomération avec la commune voisine de Bretenoux.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bretenoux, Gagnac-sur-Cère, Girac et Glanes.

Communes limitrophes de Biars-sur-Cère[1]
Gagnac-sur-Cère
Girac Biars-sur-Cère[1] Glanes
Bretenoux
Carte de la commune de Biars-sur-Cère et des communes avoisinantes.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 978 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Camps-Saint-Mathurin-Léobazel à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 432,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de la Cère et tributaires »[13], d'une superficie de 3 031 ha, qui présente un intérêt notable largement lié à la présence de frayères potentielles pour les poissons migrateurs anadromes (Salmo salar, Petromyzon marinus) ainsi que par la présence de la loutre[14].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[15] : la « rivière de la Cère et ruisseau d'Orgues » (737 ha), couvrant 14 communes dont une dans le Cantal, quatre dans la Corrèze et neuf dans le Lot[16] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[15] : la « vallée et gorges de la Cère » (6 777 ha), couvrant 22 communes dont quatre dans le Cantal, six dans la Corrèze et 12 dans le Lot[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Biars-sur-Cère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[I 1],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Biars-sur-Cère, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[I 2] et 4 545 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (64,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (45 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), forêts (13,3 %), cultures permanentes (8,7 %), prairies (0,1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Biars-sur-Cère est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cère. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2018 et 2021[24],[21].

Biars-sur-Cère est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Biars-sur-Cère.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[26].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 4,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 903 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 0 sont en aléa moyen ou fort, soit 0 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[29].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une infrastructure ferroviaire. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

La commune est en outre située en aval des barrages de Saint-Étienne-Cantalès et de Bort-les-Orgues, des ouvrages de classe A[Note 6] disposant d'une retenue de respectivement 133 millions[32] et 477 millions de mètres cubes[33],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[34]

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Biars-sur-Cère est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[35].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Biars est d'origine germanique avec le radical Wit bois ou ber ours et la terminaison hard voulant dire fort. Sur-Cère a été ajouté en 1934[36].

Histoire[modifier | modifier le code]

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

L’histoire de Biars est liée à celle de la forteresse médiévale voisine, le château de Castelnau, aujourd'hui situé sur la commune de Prudhomat. Le cartulaire de l’abbaye de Beaulieu-sur-Dordogne mentionne Biars dès l’an 893.Le village dépend, au point de vue religieux, de ladite abbaye, dont il est d'abord un prieuré en 911, puis un doyenné en 1399.

Sur le plan administratif, Biars fait partie de la châtellenie de Gagnac, elle-même dépendante de la vicomté de Turenne. Cependant, un procès long de cinq cents ans oppose les vicomtes et les barons de Castelnau pour la possession de Biars. Le procès ne prend fin qu'en 1789. À cette date, Biars, qui compte alors 250 habitants, est érigé en commune. L'autonomie du village gagne la sphère religieuse : en 1803, Biars devient paroisse annexe de Gagnac puis, en 1809, paroisse de plein exercice[37].

L'essor économique (XIXe et XXe siècles)[modifier | modifier le code]

L'hôtel de ville au carrefour des routes départementales 102 et 940.

Le flottage du bois sur la Cère au port de Lacaze[Information douteuse], la construction en 1891 de la ligne ferroviaire Souillac - Saint Denis - Aurillac ainsi que la gare SNCF de Biars donnent à la commune un essor économique grandissant.

Avec la construction de cette ligne ferroviaire s'implante à Biars un chantier de fabrication de traverses en bois destinées à supporter les rails de chemin de fer. Ce chantier, occupant une superficie de 25 hectares et employant près de 150 agents, constitue le seul et unique atelier SNCF en France de fabrique et de traitement de traverses en bois.

Autour de ce nouveau pôle économique s'installent au début du XXe siècle des négociants en fruits, légumes et marchandises de toutes sortes. Deux de ces négociants, dont le confiturier Andros, mettent en place, à partir de 1940, la transformation à l'échelle industrielle des fruits en confiture. Aujourd'hui installé sur la zone d'activité Biars-Gagnac (50 ha), Andros y a implanté son siège social et a consacré la ville de Biars comme « Capitale européenne de la confiture ».

Sur ce même site s'installent des entreprises de la chaudronnerie et de formage de métaux, de fabrication de peintures, de construction de charpente métallique, de transformation du bois, de plats cuisinés, de transport, de bureaux d'études en mécanique de précision, qui font de Biars un des plus importants pôles industriels du département, générant plus de 1 200 emplois[37].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[38]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1798 Étienne Lacaze    
1798 1799 Jean Lareginie    
1799 1805 Pierre Pondisse    
1805 1815 Bernard Verdier    
1815 1821 Pierre Paul Lacaze    
1821 1831 Jean-baptiste Vaur    
1831 1837 Jacques Ignace Molinie    
1837 1848 Jean-baptiste Vaur    
1848 1850 Jean-baptiste Molinie    
1850 1857 Louis Molinie    
1857 1865 Jean-baptiste Adolphe Lauman    
1865 1878 Louis Fourneaux    
1878 1882 Jean Guy    
1882 1884 Antoine Ponchie    
1884 1888 Jean-Louis Bonnal    
1888 1893 Louis Fourneaux    
1893 1900 Antoine Ponchie    
1900 1901 Eugène Fages    
1901 1913 Jean Marbouty    
1913 1916 Armand Molinie    
1916 1918 Louis Cance    
1918 1926 Armand Molinie    
1926 1929 Ernest Durrieu    
1929 1941 Étienne Chazoule Bloc des
Gauches
Conseiller d'arrondissement (1934 → 1940)
1941 1943 Jules Mounal    
1943 1944 Albert Genibre    
1944 1947 Émile Salesse    
1947 1959 Barthélémy Mazet    
1959 1977 Jean Larribe    
1977 1981 Pierre Siaube UG  
1981 1989 Georges Gratacap PCF  
1989 2014 Albert Salle PCF Employé, ancien premier adjoint
Conseiller général de Bretenoux (2008 → 2015)
2014 En cours Élie Autemayou PCF Ancien cadre
Réélu pour le mandat 2020-2026

Elle fait partie du Pays de la Vallée de la Dordogne lotoise.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La Cère entre Biars-sur-Cère et Bretenoux.

Biars est récompensée par deux fleurs au palmarès du concours des villes et villages fleuris[39].

Population et société[modifier | modifier le code]

Aire urbaine de Biars-sur-Cère

Démographie[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Biarnais(es).

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

En 2021, la commune comptait 1 973 habitants[Note 7], en diminution de 5,24 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
228206235307309303315292309
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
287298275304304266274383404
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
408431452513627700734750810
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0371 2731 7581 9542 0231 9832 0031 9881 906
2015 2020 2021 - - - - - -
2 0821 9981 973------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[44] 1975[44] 1982[44] 1990[44] 1999[44] 2006[45] 2009[46] 2013[47]
Rang de la commune dans le département 14 9 10 10 10 10 10 10
Nombre de communes du département 340 340 340 340 340 340 340 340

Enseignement[modifier | modifier le code]

Biars possède :

  • une école primaire ;
  • une bibliothèque ;
  • une Cyber base.

Sports[modifier | modifier le code]

Le stade municipal de Biars-sur-Cère.

La commune est dotée de plusieurs équipements sportifs :

  • une piscine municipale (ouverte uniquement en été) ;
  • un gymnase ;
  • un terrain de football ;
  • un terrain de rugby ;
  • un dojo.

Évènement : Tour du Limousin 1995.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 922 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 962 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 400 [I 7] (20 740  dans le département[I 8]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 8,1 % 10 % 8,6 %
Département[I 10] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 194 personnes, parmi lesquelles on compte 77,3 % d'actifs (68,7 % ayant un emploi et 8,6 % de chômeurs) et 22,7 % d'inactifs[Note 9],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré[Carte 3],[I 12]. Elle compte 2 652 emplois en 2018, contre 2 675 en 2013 et 2 287 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 833, soit un indicateur de concentration d'emploi de 318,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,1 %[I 13].

Sur ces 833 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 450 travaillent dans la commune, soit 54 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 77,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,1 % les transports en commun, 19,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

165 établissements[Note 10] sont implantés à Biars-sur-Cère au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 165 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
21 12,7 % (14 %)
Construction 19 11,5 % (13,9 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
55 33,3 % (29,9 %)
Information et communication 2 1,2 % (1,8 %)
Activités financières et d'assurance 11 6,7 % (2,8 %)
Activités immobilières 6 3,6 % (3,5 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
17 10,3 % (13,5 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
22 13,3 % (12 %)
Autres activités de services 12 7,3 % (8,7 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (55 sur les 165 entreprises implantées à Biars-sur-Cère), contre 29,9 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[48] :

  • Biars Distribution, magasins multi-commerces (34 971 k€)
  • Sob Soc Fabriq Peint Vernis Oinville, fabrication de peintures, vernis, encres et mastics (13 471 k€)
  • Etablissements Boy SARL, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et légumes (6 762 k€)
  • Techniques Et Formages (Abregee En T&F Ou TF), découpage, emboutissage (5 399 k€)
  • B46, activités des agences de travail temporaire (3 494 k€)

Biars est le haut lieu des confitures, depuis qu'y est installée la direction du groupe Andros ainsi que ses usines de compote Andros et de confiture Bonne Maman[49] (830 salariés), ainsi que celle du groupe Boin-Materne (170 salariés). D'autres ateliers s'y sont établis : entremets et desserts Tradifrais (150 salariés), peintures et vernis SOB (50 salariés), mécanique Techniques et Formages (40 salariés) et CFM (25 salariés), centre commercial Leclerc (90 salariés), transports Dumont (20 salariés) et les Établissements Boy-Maury (15 salariés) primeurs et grossiste en noix.

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 16 14 10 4
SAU[Note 12] (ha) 91 72 47 9

La commune est dans la vallée de la Dordogne », une petite région agricole occupant du petite partie (7 communes) du nord du territoire du département du Lot[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (16 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 9 ha[52],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Biars-sur-Cère

Les armes de Biars-sur-Cère se blasonnent ainsi :

« Écartelé : au premier et au quatrième d'argent à la manufacture à deux cheminées de sable, au deuxième d'azur à la voie ferrée (rail) d'argent posée en fasce, au troisième d'azur à la fasce ondée d'argent, le tout enfermé dans une bordure de gueules chargée de huit besants d'or ; sur le tout, coticé d'or et de gueules (ce blason a été créé par Frédéric Luz (Armorial de France et d'Europe n°2 1991)). »

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[51].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Biars-sur-Cère » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Biars-sur-Cère » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Biars-sur-Cère » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Biars-sur-Cère » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Biars-sur-Cère » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Biars-sur-Cère et Camps-Saint-Mathurin-Léobazel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Camps » (commune de Camps-Saint-Mathurin-Léobazel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Camps » (commune de Camps-Saint-Mathurin-Léobazel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Biars-sur-Cère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « site Natura 2000 FR7300900 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Biars-sur-Cère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF la « rivière de la Cère et ruisseau d'Orgues » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF la « vallée et gorges de la Cère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Biars-sur-Cère », sur Géorisques (consulté le ).
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  31. Article R214-112 du code de l’environnement
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  51. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  52. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Biars-sur-Cère - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).