Beuvardes

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Beuvardes
Beuvardes
Troupes en juillet 1918.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Château-Thierry
Intercommunalité CA de la Région de Château-Thierry
Maire
Mandat
Catherine Richard
2020-2026
Code postal 02130
Code commune 02083
Démographie
Gentilé Beuvardais
Population
municipale
751 hab. (2020 en augmentation de 4,16 % par rapport à 2014)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 08′ 34″ nord, 3° 29′ 25″ est
Altitude 101 m
Min. 131 m
Max. 226 m
Superficie 15,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Château-Thierry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fère-en-Tardenois
Législatives 5e circonscription de l'Aisne
Localisation
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Beuvardes
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Beuvardes
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Beuvardes
Liens
Site web https://mairiedebeuvardes.e-monsite.com/

Beuvardes est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte topographique de la commune.

Beuvardes est un village périurbain du Tardenois dans l'Aisne, desservi par l'ancienne route nationale 367 (actuelle RD 967) qui le relie à Château-Thierry, situé à 12 km à vol d'oiseau au sud-ouest du village. Villers-Cotterêts est à 31 km au nord-ouest, Soissons à 29 plus au nord, Reims à 41 kmau nord-est et Épernay à 36 km à l'est.

Le sud du territoire communal est traversé par l'Autoroute A4 (France) et la LGV Est européenne

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Le Charmel, Chartèves, Coincy, Épieds, Fère-en-Tardenois et Villeneuve-sur-Fère.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Ru du Pont-Foirier draine le territoire communal. Il s'agit d'un affluent de l'Ordrimouille, et donc d'un sous-affluent de la Seine par la Marne.

Sa source est située aux alentours de Beuvardes et elle est alimentée par la la nappe phréatique du toit des marnes du Bartonien supérieur.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 775 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre.

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oulchy-le-Château », sur la commune d'Oulchy-le-Château, mise en service en 1964[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 712,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 76 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Beuvardes est une commune rurale[Note 6],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Château-Thierry, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,8 %), terres arables (36,6 %), prairies (11,8 %), zones urbanisées (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[19].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 360, alors qu'il était de 334 en 2013 et de 326 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 84,2 % étaient des résidences principales, 11,1 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,5 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beuvardes en 2018 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,1 %) supérieure à celle du département (3,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,2 % en 2013), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Beuvardes en 2018.
Typologie Beuvardes[I 1] Aisne[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 84,2 86,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 11,1 3,5 9,7
Logements vacants (en %) 4,7 9,8 8,2

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution française, Beuvardes possédait une fondation de 300 livres de rentes pour ses pauvres[20].

Circonscriptions d'Ancien Régime

La paroisse relevait de l'intendance de Soissons, des bailliage et élection de Château-Thierry, ainsi que du diocèse de Soissons[20].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Durant la Première Guerre mondiale, le village subit des destructions[21] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Château-Thierry du département de l'Aisne[23].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Fère-en-Tardenois[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Fère-en-Tardenois porté de 23 à 84 communes[23].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Aisnedepuis le dernier découpage électoral de 2010[25].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Beuvardes était membre de la communauté de communes du Tardenois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération de la Région de Château-Thierry dont est désormais membre la commune[23].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1820   M. Deligny    
         
1900   M. Leopolard    
         
1978 mars 1989 Yolande Dubois[26],[27] SE Institutrice et professeure d’anglais, résistante.
1989 novembre 1995
[réf. nécessaire]
Fernand Richard[Note 8] SE Directeur commercial ancien combattant
         
2001 2008 Luc Dussaussoy   Agriculteur
mars 2008[28] juillet 2020 Lucien Jérome[29] DVD Professeur
juillet 2020[30] En cours
(au 6 juin 2023)
Catherine Richard[31]   Professeur ou profession scientifique

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2020, la commune comptait 751 habitants[Note 9], en augmentation de 4,16 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6807146688479559831 0051 0301 017
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
939941913842849800759807763
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
714660659622580547566524469
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
477458479544642640701709722
2017 2020 - - - - - - -
749751-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le chêne d'Artois dans les années 1980.
  • Église Saint-Martin[35]
  • À la ferme d'Artois se trouve un des arbres remarquables, un chêne de 700 ans.
  • Fontaine avec la statue de saint Martin.
  • Lavoirs[36].
  • Circuit des Écuyers, dédié aux sports mécaniques auto et moto[37],[38]. Cette piste vallonnée (parfois appelée « Circuit de Château-Thierry ») n'accueille pas de compétition.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Étienne Moreau-Nélaton, Recueil. Patrimoine architectural du département de l'Aisne : Arrondissement de Château-Thierry, Communes classées dans l'ordre alphabétique, de Beuvardes à Brécy, 1907-1913 (lire en ligne), p. 1-19, sur Gallica.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 33 SE, Soissons [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[3].
  3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Une place de la commune porte le nom de ce maire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
  7. « Station Météo-France Oulchy-le-Château - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Beuvardes et Oulchy-le-Château », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Oulchy-le-Château - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Beuvardes et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
  15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le )
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. a b et c « Beuvardes », Communes, sur https://www.genealogie-aisne.com (consulté le ).
  21. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  22. Journal officiel du 24 octobre 1920, p. 16440.
  23. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Beuvardes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
  26. « Certains élèves n’oublieront pas l’habitante de Beuvardes Yolande Dubois : Le décès de Yolande Dubois a affecté élèves et enseignants qui avaient travaillé grâce à elle. », L'Union ,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Yolande Dubois, une institutrice dans la Résistance », àCT (À Château-Thierry),‎ , p. 50 (lire en ligne [PDF], consulté le ) « Par la suite, elle fonde une famille avec Pierre Dubois, élève 3 enfants, devient professeur d’anglais et Maire de Beuvardes en décembre 1978. ».
  28. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  29. Réélu pour le mandat 2014-2020: « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne (consulté le )
  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Dans le sud de l’Aisne, cinq mairesses parlent de ces petites différences quand le maire est une femme : Elles échangent beaucoup, se concertent et se déplacent ensemble, notamment pour se rendre aux réunions, lorsque l’invitation est commune. Rencontre avec cinq maires au féminin dans des communes du Tardenois. », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  35. Église Saint-Martin photographiée par Clochers de France
  36. Photo et localisation d'un lavoir, sur un site spécialisé
  37. Article de l'Union, en date du 5 juillet 2007
  38. [1]
  39. Claude Pennetier, Justinien Raymond, « DERVILLERS Onésime, Prudent, Jean-François, dit PRUDENT-DERVILLERS : Né le 1er décembre 1849 à Beuvardes par La Fère-en-Tardenois (Aisne) ; mort le 30 octobre 1896 à Paris (XIXe arr.) ; coupeur-tailleur ; communard ; possibiliste ; conseiller municipal socialiste du XIIIe arr. ; député du XIXe arr », Le Maitron en ligne, 30/3/2010 mis à jour le 13/11/2021 (consulté le ).
  40. « Prudent, Onésime Prudent-Dervillers(1849-1896) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.