Beaumont-en-Artois

Nom officiel	Beaumont

Géographie
Pays	France
Ancien canton français	canton d'Hénin-Beaumont
Ancien canton français	canton de Montigny-en-Gohelle
Région	Hauts-de-France
Commune française	Hénin-Beaumont
Département français	Pas-de-Calais
Coordonnées	50° 23′ 26″ N, 2° 58′ 08″ E

Démographie
Population	1 779 hab. (1968)

Fonctionnement
Statut	Commune française (jusqu'en 1971)

Histoire
Remplacé par	Hénin-Beaumont
Dissolution	1^er janvier 1971

Identifiants
INSEE	62098

Beaumont-en-Artois est une ancienne commune rurale du Pas-de-Calais, qui fusionna en 1971 avec la ville voisine, Hénin-Liétard, du bassin minier. Cette fusion donna naissance à la ville actuelle, Hénin-Beaumont. Les habitants de ce village sont toujours appelés les Beaumontois^[1].

Le village, par certains aspects encore rural, s'étend sur 724 ha. Il est groupé autour de son église néo-gothique, l'église Saint-Martin de Beaumont, dépendant de la paroisse Sainte-Claire-en-Héninois du diocèse d'Arras.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Beaumont est attesté sous les formes Belmont (1191) ; Bellus mons (1213) ; Bellomuns (1255) ; Bellus mons versus Héning (1260) ; Biaumont (1270) ; Biemont (1272) ; De Montebello (XIIIe siècle) ; Byaumont (1333)^[2].

L’Artois est un pays traditionnel et une province du royaume sous l’Ancien Régime, ayant pour capitale Arras, aujourd’hui inclus principalement dans le département du Pas-de-Calais.

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ Haydée Sabéran, op. cit.
↑ Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Imprimerie nationale, 1907 (lire en ligne), p. 36.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Haydée Sabéran, Bienvenue à Hénin-Beaumont, éd. La Découverte, Paris, 2014

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Beaumont-en-Artois, sur le Wiktionnaire

[1] Haydée Sabéran, op. cit.

[2] Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Imprimerie nationale, 1907 (lire en ligne), p. 36.

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