Dignac

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Dignac
Dignac
L'église de Dignac.
Blason de Dignac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Françoise Delage
2020-2026
Code postal 16410
Code commune 16119
Démographie
Gentilé Dignacois
Population
municipale
1 363 hab. (2021 en augmentation de 3,65 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 26″ nord, 0° 16′ 52″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 223 m
Superficie 27,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boëme-Échelle
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Dignac
Géolocalisation sur la carte : France
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Dignac
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Dignac
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Dignac
Liens
Site web www.dignac.fr

Dignac (Dinhac en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Dignacois et les Dignacoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Dignac est située à 14 km au sud-est d'Angoulême et à 12 km du département de la Dordogne, dans le pays d'Horte et Tardoire, sur la route d'Angoulême à Périgueux.

Dignac est aussi à 8 km de Villebois-Lavalette, le chef-lieu de son canton, 15 km de La Couronne, 21 km de Montbron, 30 km de Nontron, 54 km de Périgueux[2].

La route principale traversant la commune est la D 939, route d'Angoulême à Périgueux, qui passe au bourg. La D 23, au sud de la commune, en bifurque pour aller vers Villebois. Des routes départementales de moindre importance desservent aussi le bourg et le relient aux communes voisines. La D 41 va de Rougnac à Vœuil-et-Giget et La Couronne. La D 73 va au nord-est vers Sers et la D 122 au sud-ouest vers Fouquebrune. La D 34 au sud de la commune relie la D 23 (carrefour de la Pointe du Chemin Rouge) à Grassac par la forêt d'Horte et Beaulieu[3].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune comprend les hameaux de Cloulas et Beaulieu situés à l'est sur la route de Grassac. Il y a aussi Lascour et Peugis au sud-est, la Côte au sud-ouest du bourg, ainsi que de nombreuses fermes et anciens petits domaines, comme Saint-Jean de Grâce au nord-ouest[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune occupe un terrain calcaire datant du Crétacé, qui s'étage du Turonien (ou Angoumien) au nord, au Santonien au sud, en passant par le Coniacien.

Ce plateau est toutefois recouvert par endroits de dépôts du Tertiaire, sous forme de sable argileux, galets quartzeux, silex. Ces zones pauvres, situées en hauteur et souvent boisées (pin maritime et châtaignier), sont appelées localement landes ou brandes. Sur la commune, cela concerne une petite zone au nord couverte par la forêt de Dirac près de la route d'Angoulême, ainsi que le centre et l'est de la commune, au sud du bourg, couvert par la forêt d'Horte et culminant à 223 m[4],[5],[6].

Le point le plus bas de la commune est à une altitude de 105 m, situé le long de l'Échelle sur la limite nord-est. Le bourg, situé sur une légère hauteur dominant la vallée naissante de l'Échelle, est à environ 170 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Dignac.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. La ligne de partage des eaux entre les bassins de la Charente et Gironde traverse le sud de la commune. Une petite partie sud-ouest de la commune est dans le bassin de la Charreau et une petite partie sud-est dans celui du Voultron, dans le bassin de la Dordogne Elle est drainée par l'Echelle et le Voultron et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[8],[Carte 1].

L'Échelle, ruisseau affluent de la Touvre, prend sa source dans la commune, et passe au pied du bourg. Elle est grossie par de petits affluents qui lui arrivent en rive droite, comme les ruisseaux de Cloulas et Beaulieu, prenant naissance dans des lavoirs-fontaines.

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Le SAGE « Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Végétation[modifier | modifier le code]

Le massif de Dignac est couvert de châtaigniers appartenant à la forêt d'Horte.

L'extrémité nord-ouest de la commune est couverte par la forêt de Dirac.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Dignac est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52 %), terres arables (20,6 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), prairies (5,2 %), zones urbanisées (3,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Dignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Dignac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 66,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 709 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 592 sont en aléa moyen ou fort, soit 83 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2012. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1990, 2003, 2005, 2010 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est ancien puisqu'on retrouve déjà Dignac en 1162, orthographié aussi Dinac[23], ou Dinhaco en 1233 et encore au début du XIVe siècle[24].

Comme pour Dignac en Corrèze (commune de Saint-Salvadour), le toponyme serait issu de Dinius, nom de personne gallo-roman, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine de Dinius »[25],[26].

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et marque la limite avec la langue d'oïl (à l'ouest). Le dialecte est limousin[27]. Elle se nomme Dinhac en occitan[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Dignac se trouvait sur la branche orientale d'une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait en Charente par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Dirac, Villebois-Lavalette, Gurat et Aubeterre[29].

Au XVe siècle, le fief du Pouyaud est passé par mariage de la famille Fougière à celle de Prévost de Touchimbert, et la tour a été reconstruite en 1520[30].

Au XIXe siècle et tout début du XXe siècle, la commune était réputée pour la fabrication de cercles de barriques et de charbon de bois[31]. La terre argileuse avait aussi donné naissance à une faïencerie[32].

À cette époque les habitants de Cloulas étaient presque tous cloutiers ce qui aurait donné le nom à cette commune, rattachée en 1845 avec Beaulieu[32].

Pendant la première moitié du XXe siècle, Dignac était desservie par la ligne ferroviaire d'Angoulême à Périgueux, et la gare était Sers-Dignac, située à quatre kilomètres du bourg. Les foires avaient lieu le 28 tous les deux mois.

Les registres de l'état civil remontent à 1584[31].

En 1917, lors de la Première Guerre mondiale, les époux Mayoux (François et Marie), couple d'instituteurs à l'école communale, publient une brochure pacifiste intitulée Les instituteurs syndicalistes et la guerre; ils sont arrêtés, traduits en justice et révoqués pour « propos défaitistes »[33].

Administration[modifier | modifier le code]

Mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1989 2008 Serge Eydely    
2008 En cours Françoise Delage DVG Cadre bancaire
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 1 363 habitants[Note 3], en augmentation de 3,65 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
9065191 0561 1411 1451 5371 5181 6591 513
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 4361 4011 2881 3211 2441 2441 2521 1261 115
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 1071 052975905850857885851793
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
8438961 1471 2301 2801 2911 2801 3081 329
2019 2021 - - - - - - -
1 3551 363-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 631 hommes pour 708 femmes, soit un taux de 52,88 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,5 
11,1 
75-89 ans
9,2 
22,8 
60-74 ans
22,8 
20,3 
45-59 ans
20,0 
16,7 
30-44 ans
16,2 
12,4 
15-29 ans
11,5 
16,0 
0-14 ans
18,9 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarque[modifier | modifier le code]

Dignac absorbe Beaulieu et Cloulas en 1845[36].

Économie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Dignac possède une école primaire, Marie-et-François-Mayou, comprenant six classes. Le secteur du collège est Villebois-Lavalette[40].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Vie locale[modifier | modifier le code]

  • Fête médiévale chaque année[41]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église romane Saint-Cybard, du XIIe siècle, présente une façade épaulée de murs de contreforts amortis en glacis et un clocher à deux étages, surmonté d'un toit à quatre pans et son portail. Elle a été remaniée en 1875. L'intérieur comporte des peintures remarquables du XIIe siècle et du XVIIe siècle. Elle a été classée monument historique par arrêté du [42].
  • Le jardin médiéval situé devant l'église en contrebas est constitué d'une collection d'environ 150 plantes sélectionnées d'après la liste du capitulaire De Villis de Charlemagne. L'entrée est libre[43].
Tour du Breuil.
  • Du château de la Tour du Breuil du XVIe siècle il reste le donjon carré haut de 23 mètres. La chapelle, désaffectée avant la Révolution, conserve des peintures murales du XVe siècle. Elle a été inscrite monument historique par arrêté du [45].
  • Au hameau de Cloulas se trouve l'église romane Saint-Sulpice construite au XIIe et XIIIe siècles. Le prieuré Saint-Sulpice a par la suite été rattaché à la paroisse de Beaulieu[46].
  • Au hameau de Beaulieu, l'église romane Notre-Dame de la Nativité de la Vierge était en ruine au XVIIe siècle, et a été défigurée par une reconstruction trop hâtive, qui a cependant permis de sauver l'édifice. Le fond du chœur est percé de trois fenêtres romanes accolées, comme dans les temples protestants.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Dignac Blason
De sinople au pal de gueules* chargé d'une clef renversée à double panneton d'or, accosté de deux tours d'or, ouvertes et ajourées du champ, celle de dextre soutenue de trois clous d'or posés en éventail la pointe vers le bas et celle de senestre d'une feuille de marronnier du même, au comble de gueules* chargé de l'inscription « DIGNAC » en lettres capitales d'argent.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur sinople).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Dignac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Dignac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Dignac », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Dignac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 183,187
  24. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 82,160
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  29. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
  30. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 239
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  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]