Basse-sur-le-Rupt

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Basse-sur-le-Rupt
Basse-sur-le-Rupt
Monument des fusillés de la Résistance
à la Piquante Pierre.
Blason de Basse-sur-le-Rupt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Intercommunalité Communauté de communes des Hautes Vosges
Maire
Mandat
Nadine Perrin
2020-2026
Code postal 88120
Code commune 88037
Démographie
Gentilé Bassurois(es)
Population
municipale
877 hab. (2020 en augmentation de 0,11 % par rapport à 2014)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 59′ 22″ nord, 6° 46′ 05″ est
Altitude Min. 409 m
Max. 1 060 m
Superficie 13,73 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Vagney
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Bresse
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Basse-sur-le-Rupt
Liens
Site web Site officiel de la commune

Basse-sur-le-Rupt [bas syʁ lə ʁy] Écouter est une commune du massif des Vosges, dans le département des Vosges en région Grand Est. Elle appartient à l'aire urbaine de La Bresse. Elle fait partie de la Communauté de communes des Hautes Vosges. C'est l'une des 189 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Ses habitants sont appelés les Bassurois Écouter.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Vue sur le hameau de Planois (carte postale Adolphe Weick.)

Basse-sur-le-Rupt est bordée à l'est par La Bresse, au sud-est par Cornimont, au sud par Saulxures-sur-Moselotte, au sud-ouest par Thiéfosse à l'ouest par Vagney.

On note que Basse-sur-le-Rupt est en contact avec La Bresse en un seul point, situé sur la borne dite Pierre des Quatre Communes.

La commune est composée de sept hameaux :

  • la Burotte ; * Contrexard ; * Planois ; * Presles ; * Pubas ; * Trougemont ; * l'Echté.

La commune est distante de 9,1 km de La Bresse, 12,3 de Dommartin-lès-Remiremont et 17,9 de Remiremont[2].

Localisation dans le département.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Basse-sur-le-Rupt
Gerbamont Rochesson
Vagney Basse-sur-le-Rupt La Bresse
Thiéfosse Saulxures-sur-Moselotte Cornimont

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le Haut du Roc, site classé, repose sur un socle de granite couronné par un plateau de grès vosgien, parsemé d'un grand nombre de blocs erratiques transportés par les anciens glaciers, témoins de la glaciation.

Le point culminant de la commune se trouve au sommet de Ronfaing (1 060 m)[3]. La commune est composée de plusieurs petits hameaux avec au centre, Planois où se trouve la mairie et l’église à 650 m d'altitude.

Le hameau est entouré par quelques sommets, dont certains dépassent les 1 000 m comme le Haut du Roc et la Piquante Pierre. Mais aussi le Bambois de Planois (840 m) qui surplombe directement le village au nord, la Haute Rapaille (803 m) au sud ou encore le Sarimont (974 m) à l'est.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité modérée[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Basse sur le Rupt et le ruisseau des Trys[5],[Carte 1].

Les sources du Rupt sont situées au pied du Rondfaing, au Haut de Presles à 950 mètres, au dessus de la Croix des Moinats (890 mètres)[6]. Le toponyme Rupt ou la finale -rupt, fréquents en Lorraine, sont une graphie régionale pour le mot ru signifiant précisément « ruisseau »[7].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Basse-sur-le-Rupt.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat y est de type classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger montagnard, particulièrement marqué sur les sommets à plus de 1 000 m[8].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Situation géographique de Basse-sur-le-Rupt.
Légende


Voies routières[modifier | modifier le code]

  • Située en moyenne montagne, la commune de Basse-sur-le-Rupt s'allonge sur une dizaine de kilomètres, le long de la départementale 34 qui relie Vagney à La Bresse[9], passant de 409 m à 1 060 m d'altitude.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Basse-sur-le-Rupt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vagney, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[15] et 13 190 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,6 %), prairies (22,1 %), zones urbanisées (14,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,9 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sur le Rupt en 1704[22], La Basse sur le Rupt en 1790,[23].

L'élément Basse désigne des « terres basses »[22], basse signifiant précisément « bas-fond » en langue d'oïl.

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune fut créée à la Révolution française par la réunion de différents hameaux de la vallée du ruisseau de Basse sur le Rupt, affluent de la Moselotte.

Basse-sur-le-Rupt, qui relevait de l'arrondissement d'Épinal, a été rattachée à l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges à compter du 1er janvier 2019.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Durant la Seconde Guerre mondiale, au moment de la Libération de la France, la commune de Basse-sur-le-Rupt fut le théâtre d'un épisode tragique. En raison de sa situation à la fois en altitude et entourée de forêts, la Piquante Pierre, un des plus hauts sommets de la commune, abritait un maquis. Celui-ci fut attaqué et détruit le par l'armée allemande[24],[25].

La Piquante Pierre devint ensuite un lieu de mémoire où fut érigé un monument aux morts en souvenir des 83 maquisards disparus.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2020, la commune comptait 877 habitants[Note 2], en augmentation de 0,11 % par rapport à 2014 (Vosges : −2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
7685647878318598429079031 026
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 0261 0351 1931 2211 1861 2061 1339991 090
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
982923932914893932897838778
1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2020
704786804819881890878864877
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[30] :

  • École maternelle et primaire,
  • Collèges à Vagney, Cornimont, La Bresse,
  • Lycées à Gérardmer, Remiremont.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[31] :

Cultes[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
11 mai 1904 1919 Émile Mathieu (1851-1919)   Comptable
10 décembre 1919   Camille Belzung    
Les données manquantes sont à compléter.
5 août 1951 21 mars 1959 Léon Perrin (1903-1976)   Cultivateur
21 mars 1959 21 mars 1971 Adrien Perrin (1910-1987)    
21 mars 1971 21 mars 1977 Daniel Perrin    
21 mars 1977 21 mars 1983 Raymond Perrin    
21 mars 1983 juin 1995 Daniel Perrin    
juin 1995 mars 2014 Marc Grandemange    
mars 2014 En cours Nadine Perrin DVD Suppléante du député UDI Christophe Naegelen

Finances locales 2019[modifier | modifier le code]

Mairie au centre de Planois.

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[33] :

  • total des produits de fonctionnement : 671 000 , soit 750  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 548 000 , soit 613  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 163 000 , soit 182  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 198 000 , soit 222  par habitant ;
  • endettement : 377 000 , soit 421  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 16,33 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 10,38 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 16,58 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 15,76 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 830 [34].

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture - apiculture - pêche[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Auberge du Haut-du-Roc[36].
  • Locations saisonnières[37].
  • Gîte de séjour[38].

Commerces et services[modifier | modifier le code]

  • Commerces de proximité à Vagney[39].
  • Activité industrielle :
    • La scierie Duhoux[40],
    • Scieries hydrauliques à cadre, Usine de taille de granite dite graniterie[41],[42],
    • Usine de taille de granite dite graniterie[43].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Nicolas : culte dépendant de la paroisse du Ban-de-Vagney[44].
  • Le Haut du Roc : ce site à 1 014 m d'altitude, partagé avec la commune de Saulxures-sur-Moselotte, est implanté sur des poudingues (mélange de grès et de galets). Sur une plate-forme qui offre un large panorama sur la commune, une croix a été érigée en 1933.
  • La Pierre des Quatre Communes : cette pierre que l'on trouve dans la forêt sur les sentiers de promenade est une borne qui marque la limite de la commune avec ses trois voisines, La Bresse, Cornimont et Rochesson. Il s'agit également du point culminant de la commune à 1 060 ;
  • La Piquante Pierre[45]. On ne connaît pas très bien l'origine de ce monolithe situé à 1 008 m d'altitude. Il est cependant remarquable car si on le regarde bien on peut constater qu'il est formé de 4 visages (un peu à l'image des statues de l'île de Pâques). Chacun de ces visages indique un point cardinal[46].
  • Monuments commémoratifs :
    • monument aux morts du maquis ;
    • la Croix des Moinats : un monument commémore le souvenir des goums marocains au col de la Croix des Moinats. Leurs bataillons (appelés tabors) comprenant 12 000 goumiers ont combattu dans la région durant la Seconde Guerre mondiale en y laissant un lourd tribut puisque 9 000 d'entre eux furent tués ou blessés ;
    • monument aux morts devant l'église, Plaque commémorative 1914-1918 dans l'église, Monument commémoratif des Goumiers marocains sur la RD 34 en direction de Planois, Monument commémoratif du maquis de "la Piquante Pierre"[47],[48].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Tranché : - au I : d'argent, aux monts de sinople mouvants de la pointe chargés d'une pierre de granit d'argent mouvant aussi de la pointe et mise en pal ; - au II : d'or, à la roue à aubes de sable ; - une cotice en bande d'azur brochant la partition ; - au chef de gueules chargé de sept besants d'argent rangés en fasce.
Commentaires : Le blason est récent, dessiné en 1999 par un artiste local, Olivier Claudon.

On y discerne les points caractéristiques de la commune[51] :

  • ses sept hameaux : la Burotte, Contrexard, Planois, Presles, Pubas, Trougemont et l'Echté ;
  • la rivière qui la traverse : le Rupt, affluent droit de la Moselotte ;
  • son histoire économique fondée :

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Basse-sur-le-Rupt » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Liste des 189 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
  2. Itinéraires
  3. Les accumulations glaciaires de la vallée de la Cleurie (Vosges), par Jean-Claude Flagbollet. J. Hameurt. Contributeur : G. Voirin. Revue Géographique de l'Est Année 1971 11-2 pp. 119-181
  4. Liste des communes couvertes par un (PPR) ou classées en zone sismique
  5. « Fiche communale de Basse-sur-le-Rupt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
  6. Le Réseau Hydrographique : La Moselotte
  7. Auguste Longnon, Les noms de lieu de la France : leur origine, leur signification, leurs transformations...(lire en ligne).
  8. Table climatique
  9. Itinéraires
  10. Fluo Grand Est : Vosges
  11. Gare routière de Remiremont
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Vagney », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  22. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 57a.
  23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne).
  24. Commandant Gonand, «Lucien», 3 années de Résistance dans la montagne vosgienne, journal de marche du 4e groupement F.F.I. des Vosges. Imprimerie-librairie Union - Thann. Imp. no 10635. Dép. lég. IIe tr./46. page 95.
  25. Louis Hans, La Bresse martyre : Maquis de la Piquante-Pierre, .
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  30. Établissements d'enseignements
  31. Professionnels et établissements de santé
  32. paroisse Ban-de-Vagney
  33. Les comptes de la commune de Basse-sur-le-Rupt.
  34. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet.
  35. Entreprises
  36. Auberge du Haut-du-Roc
  37. Locations saisonnières
  38. Gîte de séjour
  39. Commerces et services de proximité
  40. Ancienne scierie Clément
  41. Scieries hydrauliques à cadre
  42. « scierie hydraulique, enquête thématique régionale (architecture rurale des Hautes-Vosges) ; patrimoine industriel », notice no IA88001802, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Turbine de type Girard en fonte de fer moulée à axe vertical, à admission axiale partielle et échappement libre
  44. Les paroisses : Planois (partie de Basse-sur-le-Rupt.
  45. Le monolithe de la Piquante Pierre
  46. La Bresse et ses alentours : La Piquante Pierre
  47. Monument aux morts
  48. Monuments commémoratifs.
  49. « Biographie de Isidore Étienne », sur Écrivosges, dictionnaire des Vosgiens célèbres (consulté le ).
  50. Les trois frères Claude ensemble en coupe du monde Biathlon
  51. Basse-sur-le-Rupt, sur genealogie-bisval.net/
  52. Héraldiquel.