Azuré (papillon)
Apparence
Azuré
Nom vulgaire ou nom vernaculaire ambigu :
l'appellation « Azuré » s'applique en français à plusieurs taxons distincts.
l'appellation « Azuré » s'applique en français à plusieurs taxons distincts.
Diverses espèces d'azurés. (Haut: Polyommatus eros, Agriades glandon. Bas: Agriades optilete, Agriades glandon, Polyommatus eros, Polyommatus eros)
Taxons concernés
- dans la famille des Lycaenidae
- parmi la sous-famille des Polyommatinae
- dans le genre Agriades
- dans le genre Aricia
- dans le genre Azanus
- dans le genre Celastrina
- dans le genre Cupido
- dans le genre Cyaniris
- dans le genre Freyeria
- dans le genre Glaucopsyche
- dans le genre Iolana
- dans le genre Kretania
- dans le genre Lampides
- dans le genre Leptotes
- dans le genre Lysandra
- dans le genre Maurus
- dans le genre Neolysandra
- dans le genre Phengaris
- dans le genre Plebejidea
- dans le genre Plebejus
- dans le genre Polyommatus
- dans le genre Pseudophilotes
- dans le genre Scolitantides
- dans le genre Tarucus
- dans le genre Turanana
- dans le genre Zizeeria
- parmi la sous-famille des Polyommatinae
Azuré est un nom vernaculaire ambigu en français, pouvant désigner plusieurs espèces différentes de petits papillons à nuances bleutées parmi les Lycaenidae et principalement dans la sous-famille des Polyommatinae. Ils sont parfois appelés aussi « Argus » ou autre.
Ils doivent leur nom à leurs nuances couleur d'azur, un bleu ciel, par opposition aux « Cuivrés » qui ont des nuances plus rousses. Les femelles présentent souvent des couleurs plus éteintes ou brunes.
Noms français et noms scientifiques correspondants
[modifier | modifier le code]Liste alphabétique des noms vulgaires ou des noms vernaculaires attestés[1] en français (NB : il est fréquent que plusieurs noms désignent la même espèce).
- Azuré alpin – Agriades orbitulus[2]
- Azuré bétique – Polyommatus golgus[3]
- Azuré bleu céleste – Lysandra bellargus[3]
- Azuré canarien – Leptotes webbianus[3]
- Azuré commun – Polyommatus icarus[réf. souhaitée]
- Azuré cordouan – Pseudophilotes panoptes[3]
- Azuré d'Allard – Kretania allardii[2]
- Azuré d'Anatolie – Turanana endymion[2]
- Azuré d'Éros – Polyommatus eros
- Azuré d'Escher – Polyommatus escheri[2]
- Azuré d'Icare – Polyommatus icarus[4]
- Azuré daphnis – voir Azuré de l'orobe[5]
- Azuré de Brown – Polyommatus menelaos[3]
- Azuré de Chapman – Polyommatus thersites[2]
- Azuré de Freyer – Freyeria trochylus[2]
- Azuré de Lang – Leptotes pirithous[2]
- Azuré de Loew – Plebejidea loewii[2]
- Azuré de Pierret voir Azuré de la cléonie[2]
- Azuré de Schiffermüller – Pseudophilotes vicrama[3]
- Azuré de l'adragant – Polyommatus escheri
- Azuré de l'airelle – voir Azuré de la canneberge[5]
- Azuré de l'ajonc – Plebejus argus[3]
- Azuré de l'androsace – Agriades pyrenaica[3]
- Azuré de l'argolou – Tarucus balkanicus[3]
- Azuré de l'esparcette – Polyommatus thersites[3],[4]
- Azuré de l'héliotrope – Freyeria trochylus[3]
- Azuré de l'orobe – Polyommatus daphnis[3],[4]
- Azuré de l'oxytropide – Polyommatus eros[3],[4]
- Azuré de la badasse – Glaucopsyche melanops[3],[4]
- Azuré de la bugrane – Polyommatus icarus[5],[4]
- Azuré de la canneberge – Agriades optilete[3]
- Azuré de la chevrette – Cupido osiris[4]
- Azuré de la cléonie – Pseudophilotes abencerragus[3]
- Azuré de la croisette – Phengaris rebeli[3]
- Azuré de la faucille – Cupido alcetas[3]
- Azuré de la jarosse – Polyommatus amandus[3],[4]
- Azuré de la luzerne – Leptotes pirithous[3],[4]
- Azuré de la minette – Cupido decoloratus[3]
- Azuré de la phaque – Agriades orbitulus[3]
- Azuré de la sanguisorbe – Phengaris teleius[3],[4]
- Azuré de la sarriette – Pseudophilotes baton[3],[4]
- Azuré de la sauge – Pseudophilotes bavius[3]
- Azuré de la surelle – Zizeeria knysna[3],[4]
- Azuré de la vesce – Neolysandra coelestina[3]
- Azuré des anthyllides – Cyaniris semiargus[4]
- Azuré des astragales – Kretania pylaon[3]
- Azuré des coronilles – Plebejus argyrognomon[3]
- Azuré des cytises – Glaucopsyche alexis[3],[4]
- Azuré des géraniums – Aricia nicias[3]
- Azuré des mouillères – Phengaris alcon[3]
- Azuré des nerpruns – Celastrina argiolus[3],[5],[4]
- Azuré des orpins – Scolitantides orion[3],[4]
- Azuré des paluds – Phengaris nausithous[3],[4]
- Azuré des soldanelles – Agriades glandon[3]
- Azuré du baguenaudier – Iolana iolas[3]
- Azuré du bec-de-grue – Maurus vogelii[2]
- Azuré du genêt – Plebejus idas[3]
- Azuré du jujubier – Tarucus theophrastus[3]
- Azuré du Maghreb – Lysandra punctifera[2]
- Azuré du mimosa – Azanus jesous[3]
- Azuré du mélilot – Polyommatus dorylas[3],[4]
- Azuré du plantain – Polyommatus escheri[3],[4]
- Azuré du serpolet – Phengaris arion[3],[5]
- Azuré du seyal – Azanus ubaldus[3]
- Azuré du thym – Pseudophilotes baton[4]
- Azuré du trèfle – Cupido argiades[3],[4]
- Azuré grenadin – Cupido lorquinii[3]
- Azuré lavandin – Kretania martini[2]
- Azuré marocain – Maurus vogelii[2]
- Azuré murcian – Cupido carswelli[3]
- Azuré osiris – Cupido osiris[3]
- Azuré parme – Tarucus rosacea[2].
- Azuré platiné – Polyommatus nivescens[3],[4]
- Azuré pont-euxin – Aricia anteros[3]
- Azuré pontique – voir Azuré ukrainien[2].
- Azuré porte-queue – Lampides boeticus[3],[4]
- Azuré sarde – Pseudophilotes barbagiae[3]
- Azuré turquoise – voir Azuré du mélilot[5]
- Azuré ukrainien – Polyommatus eroides[3]
- etc.
Galerie
[modifier | modifier le code]-
Azuré de la sarriette (Pseudophilotes baton).
-
Azuré du trèfle (Cupido argiades).
-
Azuré canarien (Leptotes webbianus).
-
Un Azuré de la phaque (Agriades orbitulus).
-
Azuré de la bugrane (Polyommatus icarus), individu gynandromorphe (mâle à gauche et femelle à droite).
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑ Attention aux appellations et traductions fantaisistes circulant sur l'Internet
- Guide des papillons d'Europe et d'Afrique du Nord, Delachaux et Niestlé,Tom Tolman, Richard Lewington, (ISBN 978-2-603-01649-7)
- Nom vernaculaire français d'après Dictionary of Common (Vernacular) Names sur Nomen.at
- Azuré sur le site Inventaire National du Patrimoine Naturel (INPN), consulté en février 2012.
- Meyer C., ed. sc., 2009, Dictionnaire des Sciences Animales. consulter en ligne. Montpellier, France, Cirad.