Avenue du Général-de-Gaulle (La Garenne-Colombes)

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Avenue du Général-de-Gaulle
Image illustrative de l’article Avenue du Général-de-Gaulle (La Garenne-Colombes)
L'avenue du Général-de-Gaulle au pont de la Puce, dans les années 1900.
Situation
Coordonnées 48° 54′ 30″ nord, 2° 15′ 20″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Ville La Garenne-Colombes
Début Rond-point de l'Europe
Fin Pont de la Puce, avenue Henri-Barbusse à Colombes
Morphologie
Type Avenue
Histoire
Anciens noms Avenue de Lutèce
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
(Voir situation sur carte : Hauts-de-Seine)
Avenue du Général-de-Gaulle
Géolocalisation sur la carte : Paris et de la petite couronne
(Voir situation sur carte : Paris et de la petite couronne)
Avenue du Général-de-Gaulle
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Avenue du Général-de-Gaulle
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
(Voir situation sur carte : Île-de-France)
Avenue du Général-de-Gaulle

L'avenue du Général-de-Gaulle est une voie de communication située à La Garenne-Colombes, dans les Hauts-de-Seine, en France[1].

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Carte postale: L'embranchement, avenue de Lutèce, début du XXe siècle.

Cette voie suit le tracé de la route départementale 106[2]. Partant du rond-point de l'Europe au sud, elle croise la rue Sartoris puis traverse la rue de l'Aigle[3], la rue Pierre-Joigneaux, l'avenue Joseph-Froment et l'avenue Foch.

Elle se termine au pont de la Puce. Au-delà, elle se prolonge à Colombes sous le nom d'avenue Henri-Barbusse, ancienne « route de Paris ».

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Elle rend honneur à Charles de Gaulle (1890-1970), général, chef de la France libre et président de la République française de 1959 à 1969.

Historique[modifier | modifier le code]

La Garenne-Colombes - Avenue de Lutèce, rails du tramway.

Cette voie fait primitivement partie de l'« avenue de Lutèce », qui traverse aussi Courbevoie du nord au sud par l'actuelle rue de Colombes.

Lors des bombardements de Paris et de sa banlieue durant la Première Guerre mondiale, le , un raid de dirigeables ciblent le no 127 sans faire de victime.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Central téléphonique Charlebourg (CHA, STA), mars 2014.

Notes et références[modifier | modifier le code]