Autrans

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Autrans
Autrans
Vue de la commune de loin.
Blason de Autrans
Héraldique
Autrans
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes du massif du Vercors
Maire délégué Thierry Gamot
Code postal 38880
Code commune 38021
Démographie
Gentilé Autranais
Population 1 616 hab. (2013)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 10′ 33″ nord, 5° 32′ 34″ est
Altitude Min. 1 005 m
Max. 1 711 m
Superficie 44 km2
Élections
Départementales Fontaine-Vercors
Historique
Commune(s) d'intégration Autrans-Méaudre en Vercors
Localisation
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Autrans
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Autrans
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Autrans
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Autrans

Autrans est une ancienne commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes, devenue, le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Autrans-Méaudre en Vercors.

Elle fut autrefois rattachée à l'ancienne province du Dauphiné.

Le territoire du village d'Autrans est situé dans le massif du Vercors septentrional, également connu sous le vocable des Quatre-Montagnes ou du Val de Lans[1]. Ce secteur est la zone du massif la plus développée économiquement et démographiquement. Elle est bien desservie par un réseau routier qui la relie à la vallée de l'Isère et aux grandes métropoles de la région (Grenoble, Valence).

Ses habitants se dénomment les Autranais et les Autranaises.

Géographie

Situation

Autrans est un village du massif du Vercors. Le territoire d'Autrans fait partie du parc naturel régional du Vercors.

Le bourg, situé dans une grande clairière, et l'ensemble de ses hameaux occupent le val de Méaudre, drainé par un affluent de la Bourne, le Méaudret. Le territoire de la commune est encadré par de nombreuses montagnes de moyenne altitude dont les sommets ne dépassent pas 1 800 m, la Sure, le bec d'Orient, le sommet de Plénouze, la Molière[2].

Hameaux de l'ancienne commune

  • l'Achard
  • les Ronins
  • les Prud'hommes
  • Villeneuve
  • Eybertière
  • le Bourg du-dessus
  • les Eperouses
  • le Bourg du dessous
  • le Bouchet
  • le Truc
  • Andrevière
  • les Gonnets
  • les Tranchants
  • les Vernes
  • les Gaillards
  • le Mollaret
  • le Tonkin
  • les Franques
  • Payenat
  • Écharlière

Hydrographie

Le ruisseau du Bouchet.

Plusieurs ruisseaux prennent naissance sur le territoire autranais :

  • Le ruisseau des Rivaux
  • Le ruisseau de la Périnière
  • Le ruisseau de Plagneux
  • Le ruisseau du Bouchet

Ils confluent tous dans le Méaudret qui traverse le bourg d'Autrans. Le Méaudret devient à son tour un affluent dans la Bourne en amont de Villard-de-Lans. Une station d'étude hydrologique du Méaudret (n°W3315010) est située à Méaudre depuis 1972, elle permet notamment d'obtenir la côte et le débit horaires du cours d'eau[3].

Du fait de sa situation sur un sol de nature karstique, Autrans dispose d'un important réseau hydrographique souterrain. Ce dernier est notamment connu grâce aux relevés de quatre stations de mesure des eaux souterraines[4].

Communications et Transports

Réseau routier

La commune est desservie par la route départementale 531, par la route départementale 106 qui relie Méaudre à Autrans, en provenance du sud (Royans, Valence, Diois) et par la route départementale 531, puis 106 qui relie Autrans à Sassenage, en provenance de l'est (Grenoble, Grésivaudan).

Les D 531 et D 106 traversent le Vercors et sont les moyens d'accès à Autrans, depuis la vallée du Rhône (Valence), comme depuis la vallée du Grésivaudan (Grenoble).

La route départementale 218 qui reliait autrefois Saint-Quentin-sur-Isère à Autrans est aujourd'hui fermée au tunnel du Mortier à la suite d'un éboulement qui en 1992 emporte une portion de la route en aval du tunnel au-dessus de Montaud.

Transport routier

L'arrêt « Le Village » à Autrans.

La commune est desservie par :

  • la ligne 5120 qui relie Lans-en-Vercors et Villard-de-Lans à Autrans (le village) et Méaudre (la place)[5].
  • une navette assurant l'hiver la liaison entre Autrans centre et les domaines skiables alpin et fond.

Projets de transport alternatif

À noter le lancement d'une éventuelle étude sur un nouveau moyen transport pour le plateau, le téléphérique qui pourrait relier Lans-en-Vercors avec l'agglomération grenobloise au niveau du territoire de la ville de Fontaine[6]. Une étude a été proposée par la Métro (Grenoble-Alpes Métropole), mais ce projet fait l'objet (en mars 2013) d'une certaine controverse[7].

Transport ferroviaire

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Grenoble qui est située à 36 km de la commune.

Transport aérien

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Grenoble-Isère situé à environ 72 km. Il est possible de rejoindre cet aéroport par le car Transisère en transitant par la gare routière de Grenoble.

L'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry et son hub régional, quatrième aéroport français, lui aussi relié par une ligne de car (mise en place avec le concours du conseil régional de Rhône-Alpes) avec la gare routière de Grenoble, sont situés à 110 km.

Sentiers de randonnées

Le territoire communal est traversé par :

Histoire

La place au début du XXe siècle.

Héraldique

Taillé: au premier burelé d’argent et d’azur de 10 pièces, brochant sur le tout un lion de gueule, armé, lampassé et couronné d’or, au deuxième d'azur au cristal de neige argent.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté successivement Austran au XIe siècle, puis Austrannum au XIIe siècle puis Otrans au XVIIe siècle[8].

Albert Dauzat y voit une anthroponyme germanique pris absolument, du type *Aust-hramm (pour lui, non attesté)[9], basé sur les éléments AUST[R] « est, orient » (cf. Austreberthe) et HRAMN « corbeau » (cf. Bertrand). Cette hypothèse est reprise par certains toponymistes[10], puisque Austramnus est bien attesté, par exemple dans une charte de Thibaut, comte et abbé de Saint-Julien d'Angers[11]. L'évolution phonétique Austramn[us] > Austrann[um] > Austran > Autran[s] ne pose pas de problème particulier.

Historique

Les tremplins vus de loin.
Les tremplins vus de loin.
  • Les jeux olympiques de 1968 à Grenoble (ils furent les premiers à être diffusés à la télévision) :
    • le ski de fond, de biathlon, de saut (tremplin de 90 m) et de combiné nordique (saut et fond). Pour beaucoup de Français ces images de ski nordique à Autrans ont été une révélation. Cela devait marquer le début du développement du ski de fond en France et partout en Europe ;
    • les tremplins des Jeux Olympiques d'hiver de Grenoble 1968. Ces tremplins, toujours en activité, représentent une longue tradition locale de saut à skis (premiers concours de ski en 1911). Aujourd'hui, les tremplins de 90 m, 56 m et 20 m sont équipés pour être utilisés hiver comme été et accueillent de nombreuses compétitions nationales et internationales. Vous trouverez une table d'orientation au sommet du tremplin de 90 m.

Politique et administration

Administration municipale

La mairie.
Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2016 En cours Thierry Gamot SE  
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1983 Gilbert Michel    
1983 2008 Jean Faure UMP Sénateur (1983-2011)
2008 2014 Gabriel Tatin [12] PS 1er Vice-président du parc - délégué de Autrans
2014 décembre 2015 Thierry Gamot UMP  

Services publics

La commune dispose des services suivants :

Environnement

En raison de ses efforts pour la qualité de son environnement nocturne, la commune a été labellisée « Village une étoile 2015 »[14]. Le label est décerné par l'Association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturnes (ANPCEN) et compte 5 échelons. Un panneau, disposé aux entrées du village, indique cette distinction.

Démographie

Le centre du village en été vers 15h. La majorité des touristes est à la montagne, une fête est en préparation pour la soirée.

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[16],[Note 1].

En 2013, la commune comptait 1 616 habitants, en diminution de −3,87 % par rapport à 2008 (Isère : 3,74 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0011 1001 1031 0471 1071 1171 1811 2191 290
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2011 2041 1731 1181 0921 0719991 000961
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9469269018018088908571 1141 359
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 -
9809881 3301 3701 4061 5411 6811 616-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,8 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,7 % contre 48,4 % au niveau national et 49,2 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 51,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,3 %, 15 à 29 ans = 17,5 %, 30 à 44 ans = 18,7 %, 45 à 59 ans = 21,2 %, plus de 60 ans = 22,3 %) ;
  • 48,3 % de femmes (0 à 14 ans = 19,3 %, 15 à 29 ans = 14,2 %, 30 à 44 ans = 19,7 %, 45 à 59 ans = 23,5 %, plus de 60 ans = 23,3 %).
Pyramide des âges à Autrans en 2007 en pourcentage[19]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90  ans ou +
0,9 
7,8 
75 à 89 ans
8,1 
14,2 
60 à 74 ans
14,3 
21,2 
45 à 59 ans
23,5 
18,7 
30 à 44 ans
19,7 
17,5 
15 à 29 ans
14,2 
20,3 
0 à 14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département de l'Isère en 2007 en pourcentage[20]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90  ans ou +
0,9 
5,2 
75 à 89 ans
7,9 
12,0 
60 à 74 ans
12,7 
19,6 
45 à 59 ans
19,6 
21,8 
30 à 44 ans
21,0 
20,7 
15 à 29 ans
19,2 
20,4 
0 à 14 ans
18,6 

Économie

  • Économie essentiellement touristique.

Le tourisme du début du siècle à Autrans était axé essentiellement sur le climatisme, ainsi la station accueillait de nombreux enfants qui avaient des problèmes de santé et plus particulièrement respiratoires.

Tourisme lié aux sports d'hiver.

Agriculture

  • Au début des années 1900, Autrans comptait près de 130 exploitations agricoles. Aujourd'hui, 17 exploitations agricoles dont 13 exploitations laitières se partagent le territoire d'Autrans. La production laitière du Vercors est transformée en Bleu du Vercors-Sassenage AOC, en Col Vert, Brique, Saint Marcellin. Autrans compte aussi des exploitations bovines pour la viande et une exploitation produisant des pigeons qui se retrouvent dans les assiettes des plus grands restaurants. Tous les ans, le 1er weekend de mai, l'opération « Prenez la clé des champs » permet de visiter les fermes du plateau du Vercors et de découvrir leur production.
  • Économie forestière

Enseignement

La commune possède[21] :

Équipements sportifs

  • Domaine skiable alpin, grand domaine de la Sure.
  • Domaine skiable nordique « Autrans », ski de fond, raquette, capitale française nordique.
  • Ouverture d'une luge 4 saisons sur le site du Claret en janvier 2017[22].

Le domaine de Gève

Domaine nordique de Gève.
  • Le plateau de Gève, situé à 1 300 m d'altitude a fait la réputation internationale d'Autrans. Situé au nord du Massif du Vercors, les conditions d'enneigement restent exceptionnelles. Le site possède 18 canon à neige. Ce domaine est accessible en voiture et en navettes gratuites pour tous les possesseurs d'un forfait ski de fond valable sur la station d'Autrans[23].

Culture et Patrimoine

  • Tremplins Olympiques
  • Monument aux Jeux olympiques d'hiver de 1968
  • La fontaine de Place de la fontaine.
  • Le monument aux morts, dans la place de la mairie
  • L'ancre en place de la mairie
  • Les maisons traditionnelles du Vercors
  • Le manoir aux Lauzes, à Andrevière
  • La Route de la Molière et le Tunnel du Mortier construits à l'occasion des Jeux Olympiques d'hiver de 1968

Patrimoine architectural

L'église Saint Nicolas.
L'église Saint Nicolas.
  • Église romane :

L'église Saint Nicolas est située au centre du village, sur une butte afin que tous les Autranais puissent la voir. L'église date des XIe et XIVe siècles, elle a été reconstruite en 1876, rénovée en 1952 et à l'intérieur au début des années 2000. Elle est dotée d'un orgue qui sort des ateliers de Dominique Promonet à Rives sur Fure, don du curé[24]. Seul le clocher peut prétendre être du Moyen Âge (XIIe et XIIIe siècles), sa flèche de pierre daterait des XVIIe et XVIIIe siècles, le chœur et la nef du bâtiment sont de 1875.

Patrimoine archéologique

Le territoire d'Autrans abrite trois sites : la motte castrale dite "du château" et les maisons fortes de Malatan et de la Tour. De ces trois sites ne subsistent que les buttes dites castrales que l'on aperçoit, aujourd'hui encore, dans le paysage[25].

La Motte au lieu-dit Château.
  • La Motte du château

Ce site est situé à environ 1 km à l'est de l'église d'Autrans sur un vallum morainique. Un bâtiment en torchis était situé sur cette motte aux environs du XIe siècle[26]. Un panneau indique le site le long du Chemin du patrimoine.

  • Malatan

Ce site, caractérisé par une plate-forme quadrangulaire[27], est situé à environ à 300 m au sud-est du site précédent et correspond à une ancienne maison forte, datant probablement du XIVe siècle[26].

  • La Tour

Ce site est situé à environ 250 m au nord-ouest du hameau d'Andrevières et les fouilles ont permis d'identifier les restes d'une tour ronde datant vraisemblablement du XIIe siècle. Elle faisait partie de la maison forte sur la motte de la Tour[26].

Patrimoine forestier

Patrimoine naturel

Patrimoine souterrain

  • La grotte de la Ture

La grotte de la Ture se situe près du hameau de Naves. Elle est utilisée aujourd’hui pour l'initiation à la spéléologie ou pour la simple découverte d'un monde souterrain car son parcours reste assez simple[29].

Espaces verts et fleurissement

En mars 2017, la commune confirme le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[30].

Événements sportifs

  • La Foulée blanche

Chaque année, depuis 1979, au mois de janvier, le village d'Autrans accueille la Foulée blanche, course de ski de fond à laquelle participent près de 5 000 sportifs ou amateurs[31].

Événements culturels

Événement annuel consacré à l'appréhension de l'Internet de demain, les Rencontres d'Autrans, initiées en 1997, se déroulent chaque année, au mois de janvier.

  • Vercors Music Festival.

Jumelages

Personnalités liées à la commune

  • Léonce-Émile Durand-Savoyat, ancien maire d'Autrans, député et sénateur de l'Isère.
  • De très nombreuses Autranaises et Autranais ont été membres des différentes équipes de France de ski et ont remporté nombre de titres nationaux, comme Jean-Guillaume Béatrix (médaillé au JO de Sotchi) [33] ou Dominique Locatelli[34].

Notes et références

Notes

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

  1. Site de Gallica : Ouvrage sur les montagnes dauphinoises
  2. [PDF] carte du domaine d'Autrans
  3. Station du Méaudret
  4. L'eau dans la commune d'Autrans
  5. [PDF] Horaire des lignes 5120 et 5130, sur le site transisere.fr
  6. Page sur le téléphérique dans le Dauphiné Libéré
  7. Conseil municipal : passe d’armes sur le transport par câble, sur le site ledauphine.com
  8. Collectif, Les noms anciens des paroisses du diocèse de Grenoble et des communes du département de l'Isère : accompagnés de notes concernant l'origine et le sens de ces noms, Grenoble, Notre-Dame des bonnes lectures, (réimpr. 1995), 160 p., 1 vol., in-12 (OCLC 460538497), p. 15.
  9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 978-2-85023-076-9), p. 39b
  10. Site d'Henry Suter « NOMS DE LIEUX DE SUISSE ROMANDE, SAVOIE ET ENVIRONS » (lire en ligne) [1]
  11. Telma : Chartes originales antérieures à 1121 conservées en France, Angers, AD Maine-et-Loire, G 689 n° 73 (lire en ligne) [2]
  12. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture de l'Isère.
  13. Annuaire des centres d'entretiens routiers sur le site du conseil général de l'Isère.
  14. Communiqué de presse par ANPCEN
  15. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  19. « Évolution et structure de la population à Autrans en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. « Résultats du recensement de la population de l'Isère en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  21. Site officiel de l'académie de Grenoble.
  22. « Dans le Vercors, Autrans Méaudre inaugure sa nouvelle "speed luge" », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes (consulté le )
  23. Site de l'OT d'Autrans sur le ski de fond
  24. L’église Saint Nicolas d’Autrans, www.paroisse-croixdevalchevriere-cathisere.cef.fr, accès le 31 juillet 2015.
  25. Guide des sites patrimoniaux : Sites médiévaux - motte castrale - et maisons fortes, site de Isère Patrimoine, accès le 4 janvier 2017.
  26. a b et c Éric Tasset, Châteaux forts de l'Isère, Éditions de Belledonne, Grenoble, 2005, page 667. (ISBN 2-911148-66-5)
  27. Collectif sous la direction de Chantal Mazard, Atlas du patrimoine de l'Isère, Patrimoine en Isère, éd. Glénat, 1998, p. 123. (ISBN 978-2-7234-2632-9)
  28. Découvrez les Espaces Naturels Sensibles de l'Isère, isere.fr, p. 27 (consulté le 22 juillet 2014)
  29. Site du PNV sur la grotte de La Ture
  30. « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  31. Site de la foulée blanche
  32. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
  33. « Sotchi : Autrans fête le retour de Jean-Guillaume Beatrix son champion olympique », sur France Bleu, (consulté le )
  34. « Histoire du ski à Autrans | Mairie d'Autrans-Méaudre », sur www.autrans-meaudre.fr (consulté le )

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • CPIE Vercors, Découvrir... chemin du patrimoine : Autrans glisse dans le temps d'hier à aujourd'hui, Lans-en-Vercors, Centre Permanent d'Initiative pour l'Environnement du Vercors, , 28 p.
  • Jadis au pays des Qattre Montagnes, Cahier du Peuil, n. 3, Généalogie et Histoire locale, Autrans, 1997
  • Patrimoine rurale et climatisme, Musée Dauphinois / Conservation du Patroimoine de l'Isère
  • Annick Menard, Inventaire d'archéologie rurale dans le Vercors du Ve siècle au XIIe siècle, Université de Grenoble, , 28 p.

Articles connexes

Liens externes

Office de tourisme d'Autrans