Armancourt (Oise)

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Armancourt
Armancourt (Oise)
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CA la Région de Compiègne et de la Basse Automne
Maire
Mandat
Éric Bertrand
2020-2026
Code postal 60880
Code commune 60023
Démographie
Gentilé Armancourtois, Armancourtoises
Population
municipale
535 hab. (2021 en diminution de 4,63 % par rapport à 2015)
Densité 264 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 26″ nord, 2° 45′ 54″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 112 m
Superficie 2,03 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Compiègne
(banlieue)
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-2
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
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Armancourt
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Armancourt
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Armancourt
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Armancourt

Armancourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Armancourtois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

La rue principale du village.
Maison picarde traditionnelle, rue des Matinnoix.

La commune est située dans le département de l'Oise, dans la moyenne vallée de l'Oise et près de la rive droite de cette rivière, à une distance orthodromique de 6 km au sud-ouest du chef-lieu d'arrondissement de Compiègne[1]. La distance avec la capitale, au sud-ouest, est de 65 km[2]. Armancourt entre dans l'unité urbaine (ou agglomération au sens de l'Insee) de Compiègne composée de quatorze communes totalisant 70 610 habitants en 2009[3],[4].

Avec une petite superficie de 2,03 km2, Armancourt est la sixième commune la moins étendue parmi les 694 communes de l'Oise[5]. Elle ne possède que trois communes limitrophes, dont Lacroix-Saint-Ouen. Du fait que la limite entre les deux communes se situe au milieu de l'Oise, aucun lien routier direct n'existe entre les deux communes : il faut traverser Le Meux, au sud, pour se rendre d'une ville à l'autre. Le territoire communal est partagée en deux secteurs par la voie ferrée de Creil à Aulnoye-Aymeries et par la RD 13 qui lui est parallèle. Le secteur à l'est de cette ligne de partage correspond à la plaine alluviale de l'Oise, couverte de surfaces agricoles. À l'ouest, s'élève un coteau qui correspond au versant est d'un petit massif de collines. Ce secteur est accidenté et présente plusieurs parcelles boisées ; s'y trouve le point culminant de la commune à 112 m au-dessus du niveau de la mer. Les maisons qui ne sont pas bâties le long de la RD 13, seule route signifiante dans la commune, se situent déjà à flanc de coteau ou au sommet des buttes. Hormis l'Oise, aucun cours d'eau n'est présent à Armancourt.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Armancourt
Jaux
Le Meux Armancourt
Lacroix-Saint-Ouen

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est limitée à l'est par le lit de l'Oise, l'un des principaux affluents en rive droite de la Seine.

Elle est donc concernée par le projet « MAGEO » de mise au gabarit européen de l’Ois, qui impliquerait la rectification d'une courbe de la rivière et la disparition d'e l’île du Grand Peuple[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 664 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Armancourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Compiègne, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[16] et 70 699 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,6 %), zones urbanisées (20,6 %), eaux continentales[Note 3] (8,1 %), forêts (6,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 256, alors qu'il était de 239 en 2013 et de 230 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 93,2 % étaient des résidences principales, 2,7 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Armancourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,7 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Armancourt en 2018.
Typologie Armancourt[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 93,2 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,7 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 4,1 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Concernant les voies de communication, la RD 13 déjà mentionnée est l'unique route départementale qui existe sur la commune. C'est une route de desserte locale parallèle à la voie rapide de la RD 200 Compiègne - Creil, qui au niveau d'Armancourt passe par la rive opposée de l'Oise. Un échangeur existe sur la commune voisine du Meux, au sud. La RD 200 donne également accès à l'autoroute A1 par l'échangeur n° 9 sur la commune de Longueil-Sainte-Marie, à 10 km d'Armancourt. Compiègne est accessible par la RD 13, qui toutefois ne permet une traversée de l'Oise qu'au nord du centre-ville, près de la gare, ou à partir de Jaux, par la déviation de Compiègne (RD 1131) qui permet de s'approcher de la ville par le sud. Une voie communale quitte Armancourt en direction du nord-ouest, passant par les hameaux de Dizocourt et Varanval (commune de Jaux) et se dirigeant vers la RN 31.

Bien que traversée par la ligne de chemin de fer, Armancourt n'a jamais possédé de gare. En direction de Creil et Paris, la gare la plus proche est celle du Meux - Lacroix-Saint-Ouen, à une distance routière de 1,9 km. Elle est desservie par les trains omnibus TER Hauts-de-France de la relation C14 Compiègne - Paris. Du lundi au vendredi, s'y arrêtent huit trains pour Paris et neuf trains pour Compiègne, la fréquence étant moindre le week-end. Le temps de parcours est de 57 min pour Paris et de 8 min pour Compiègne. En direction de Compiègne, la prochaine gare est le point d'arrêt de Jaux, à 1,9 km également, mais ne s'y arrêtent que six trains dans chaque sens[22]. Sur le plan des transports en commun, Armancourt est desservie par la ligne 107 du réseau de transport compiégnois TIC et la ligne 17 du service de transport à la demande Allo'TIC de ce même réseau. La commune est également desservie par la 661 du réseau interurbain de l'Oise[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Hermencurtis (1215) ; Hermencort (1215) ; Hermencourt (1215) ; Hermancourt (vers 1240) ; Hermencourt (1266) ; Harmencourt (XVIe) ; Ermencourt (XVIe) ; ecclesia beatae Mariae de Hermencourt (XVIe) ; Armancourt (1840)[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton d'Estrées-Saint-Denis[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Compiègne-2

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Armancourt était membre de la Agglomération de la région de Compiègne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Joël François DVD  
mars 2008 En cours
(au 13 octobre 2021)
Éric Bertrand Horizons[26] Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

Armancourt candidate en 2019 pour la première fois au prix régional du concours des villes et villages fleuris, qu'elle espère obtenir pour son fleurissement campagnard et sa démarche favorisant la biodiversité, avec, par exemple, l'installation de 15 ruches en 2018[29]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés au sein de l'école Albert-Eveloy, qui compte trois classes multiniveaux. Elle a été construite en 1982 par l'intercommunalité, et dispose d'un accueil périscolaire et d'une cantine[30],[31]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 535 habitants[Note 4], en diminution de 4,63 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
323346350367352313277274258
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
228213205181176201192185185
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
178191166180157141165165178
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
177159244472501527533541558
2015 2020 2021 - - - - - -
561539535------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 280 hommes pour 275 femmes, soit un taux de 50,45 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,4 
3,7 
75-89 ans
6,7 
22,8 
60-74 ans
21,3 
24,3 
45-59 ans
24,7 
18,0 
30-44 ans
16,9 
16,2 
15-29 ans
16,9 
14,7 
0-14 ans
13,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Armancourt compte un monument historique sur son territoire :

  • L'église Notre-Dame d'Armancourt (inscrite monument historique par arrêté du [37]), rue des Vignes-Blanches :
    l'édifice est bâti à 117 m d'altitude sur une butte dominant le village, à l'écart du centre. Près de l'église se trouvaient jadis une source au caractère miraculeux, ainsi qu'un moulin à vent.
    C'est, selon l'appréciation d'Eugène Müller, un édifice sans caractère, pour lequel Louis Graves a identifié l'année de construction 1410.
    De style gothique tardif, l'église est bâtie en pierre de taille et suit un plan cruciforme classique. La nef tout comme le chœur polygonal portent sur deux travées et sont de hauteur identique, ainsi que le transept. Ses pignons présentent une alternance de briques et de pierres de taille, seule fantaisie que se permettent les façades latérales. Au-dessus de la croisée du transept s'élève le petit clocher central en charpente, au toit octogonal recouvert d'ardoise. L'on ne note qu'un seul bas-côté, au sud ; ses deux fenêtres sont de taille inégale.
    Quant à la façade occidentale avec son portail carré aux angles arrondis et les deux niches vides encadrant la baie au-dessus, elle est plus récente que le reste de l'église. À l'intérieur, la voûte de la nef est supportés par des gros piliers cannelés. Comme particularité, la tourelle d'escalier donnant accès au clocher se situe à l'intérieur de l'église, près du portail. Le transept nord-ouest abrite une grotte de Notre-Dame-de -Lourdes. Les vitraux coloriés du XVe siècle ne subsistent plus.
    Du fait de mouvements du sol, la structure de l'édifice est sérieusement affectée, et les voûtes et supports se sont désarticulées près du portail et près du chevet[38],[39],[40],[37]. L'église n'est pas souvent ouverte.

On peut également signaler :

  • Le calvaire, rue des Matinnoix (RD 13), à l'angle avec l'impasse des Larris-Martin, et à la limite avec la commune voisine de Jaux : croix filigrane en fonte, peinte en plusieurs couleurs, plantée dans un solide socle en pierre.
  • Les fermes et maisons picardes traditionnelles, datant de la plupart du XIXe siècle, le long de la rue principale du village, la RD 13 (rue des Matinnoix, rue de la Basse-Côte).
  • Le monument aux morts, sur le parking face à la mairie, rue de la Basse-Côte.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Albert Eveloy, résistant local. L'école de la commune porte son nom[30].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Armancourt Blason
Écartelé : aux 1er et 4e d'azur à la tour d'argent, ouverte et ajourée de sable, aux 2e et 3e d'argent au lévrier de gueules accolé et bouclé d'or, accompagné de trois tourteaux de gueules et surmonté d'un lambel du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Philippe Bonnet-Laborderie et François Callais, Entre rivière et forêts, la communauté compiégnoise : Armancourt, Beauvais, G.E.M.O.B., coll. « Villes d'art de l'Oise et de la Picardie », , 192 p. (ISSN 1255-0078), p. 21-25

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Armancourt » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Armancourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Armancourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Orthodromie entre Armancourt et Compiègne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
  2. « Orthodromie entre Armancourt et Paris »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
  3. « Composition communale de l'agglomération : 60502-Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. « Résumé statistique - unité urbaine de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  5. « Résumé statistique national (fichier Excel) », sur Insee (consulté le ).
  6. Marielle Martinez, « Armancourt: « Mageo, c’est en finir avec 50 ans d’immobilisme » : Un nouveau paysage pourrait se dessiner avec la mise au grand gabarit de l’Oise, en aval de Compiègne. Avec un impact non négligeable sur les terres agricoles », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Armancourt et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Compiègne », sur insee.fr (consulté le ).
  17. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. [PDF] « Horaire de la relation n° 12 Busigny - Saint-Quentin - Compiègne - Paris », sur TER Picardie (consulté le ).
  23. « Transports en commun à Armancourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  24. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 14.
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Comités municipaux », sur Horizons Le parti (consulté le ).
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Armancourt », Cartes de France (consulté le ).
  28. « Extrait du registre des délibérations du conseil municipal de la commune d'Armancourt (60880) - séance du 23 mai 2020 » [PDF], Réunions du conseil municipal, Mairie d'Armancourt (consulté le ).
  29. Raphaelle Fouan, « Le village d’Armancourt joue la carte de la biodiversité : Les initiatives pour l’environnement et le fleurissement se multiplient », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. a et b « L'école Albert Eveloy », Vie Scolaire, sur armancourt.fr (consulté le ).
  31. Benjamin Merieau, « Huit ouvertures de classes primaires annoncées dans l’Oise pour la rentrée 2021 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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