Armée de terre russe
Armée de terre russe | |
![]() Grand emblème des forces terrestres des Forces armées de la fédération de Russie. | |
Création | et |
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Pays | ![]() |
Branche | Armée de terre |
Type | Armée |
Rôle | protection de l'intégrité territoriale, de la souveraineté et de la sécurité du territoire de la Fédération de Russie |
Fait partie de | Forces armées de la fédération de Russie |
Guerres | Guerre du Dniestr Guerre civile du Tadjikistan Première guerre de Tchétchénie Seconde guerre de Tchétchénie Deuxième guerre d'Ossétie du Sud Guérilla en Ciscaucasie Guerre russo-ukrainienne |
Batailles | Invasion du Daghestan Crise de Crimée Intervention militaire de la Russie en Syrie |
Commandant | Général de l'armée Oleg Saliukov |
Pavillon | ![]() |
Emblème | ![]() |
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Les Forces terrestres de la fédération de Russie (en russe Сухопутные войска Российской Федерации, Suhoputnye voyska Rossiyskoy Federatsii) est la composante terrestre des Forces armées de la fédération de Russie. Elle a été créée le à la suite de la dissolution de l'Union soviétique et de l'Armée de terre soviétique.
Organisation[modifier | modifier le code]

L'armée de terre russe regroupe les troupes blindées, les fusiliers motorisés, l'artillerie et les troupes dites spéciales (renseignement, transmissions, génie, lutte NBC, etc.).
En 2006, l'armée de terre comptait 395 000 hommes[1] répartis entre trois divisions blindées, seize divisions de fusiliers motorisés et six divisions mitrailleuse artillerie. L'organisation qui comptait quatre niveaux de commandement (district militaire - armée - division - brigade) a été simplifiée en ne conservant que trois (commandement stratégique - armée - brigade) avec l'objectif de supprimer complètement l'échelon division pour ne conserver que des brigades. Toutefois plusieurs divisions ont été maintenues. Les unités comprennent en 2021[2],[3] :
- 7 divisions :
- 2 divisions blindées composées chacune de deux bataillons de chars, un bataillon de reconnaissance, un régiment multirôle, un régiment d'artillerie et un régiment de défense aérienne,
- 4 divisions de fusiliers motorisés comprenant chacune un à deux régiments de chars, un bataillon de reconnaissance, un à deux régiments de fusiliers motorisés, un régiment d'artillerie et éventuellement un régiment de défense aérienne,
- 1 division d'artillerie/mitrailleuse positionné dans les Kouriles comprenant deux régiments d'artillerie/mitrailleuse, un régiment d'artillerie, un bataillon de chars et deux bataillons de défense aérienne ;
- des brigades interarmes :
- 2 brigades blindées comprenant chacune trois bataillons de chars, un bataillon de reconnaissance, un régiment motorisé, un bataillon d'artillerie, un bataillon de lance-roquettes, deux bataillons de défense aérienne, un bataillon de génie, une compagnie de guerre électronique et une compagnie NBC,
- 14 brigades mécanisées comprenant chacune un bataillon de chars, un bataillon de reconnaissance, trois bataillons mécanisés sur BMP, deux bataillons d'artillerie, un bataillon de lance-roquettes, un bataillons anti-chars, deux bataillons de défense aérienne, un bataillon de génie, une compagnie de guerre électronique et une compagnie NBC,
- 9 brigades de fusiliers motorisés comprenant chacune un bataillon de chars, un bataillon de reconnaissance, trois bataillons d'infanterie sur BTR et MT-LB, deux bataillons d'artillerie, un bataillon de lance-roquettes, un bataillons anti-chars, deux bataillons de défense aérienne, un bataillon de génie, une compagnie de guerre électronique et une compagnie NBC,
- 2 brigades motorisées comprenant chacune quatre ou cinq bataillons d'infanterie, un bataillon de défense aérienne et un bataillon du génie ;
- des brigades d’appui :
- 11 brigades de missiles sol-sol de type Iskander (x10) et SS-11 (x1),
- 1 brigade d'artillerie lourde,
- 9 brigades d'artillerie,
- 4 brigades de lance-roquettes multiples,
- 4 brigades du génie,
- 1 brigade de police militaire,
- 14 brigades de défense aérienne,
- 10 brigades logistiques.
Par ailleurs les troupes parachutistes (VDV) forment une branche indépendante rassemblant 45000 hommes regroupés dans quatre divisions aéroportées comprenant chacune deux régiments aéroportés, un régiment d'artillerie, un régiment de défense aérienne et un escadron de chars commun à deux divisions. Les VDV comprennent également une brigade aéroportée indépendante, une brigade de forces spéciales et deux brigades héliportées. Ces troupes sont équipés de matériels adaptés à la projection par voie aérienne[3].
Districts militaires et armées[modifier | modifier le code]
Les 99 brigades, quatre bases militaires et dix divisions de l'armée de terre russe sont regroupées dans douze armées et quatre corps d'armée eux-mêmes affectés en 2021 aux cinq districts militaires en Russie (cf. schéma) chacun sous un commandement stratégique opérationnel[4],[5] :
- district militaire ouest, avec son état-major situé à Saint-Pétersbourg ;
- district militaire sud, avec son état-major situé à Rostov-sur-le-Don ;
- district militaire central, avec son état-major situé à Iekaterinbourg ;
- district militaire est, avec son état-major situé à Khabarovsk ;
- district militaire nord (en), avec son état-major situé à Severomorsk.
La ventilation des armées entre les différents districts est présentée dans le tableau ci-dessous :
Effectifs[modifier | modifier le code]
L'Armée de terre disposait en 2019 de 280 000 hommes auxquels s'ajoutent 45 000 parachutistes[3]. L'armée comprenait en 2014 un contingent minoritaire de 80 000 conscrits selon l'IISS[10]. L'armée de conscription n'est pas abandonnée mais la faiblesse démographique du pays oblige à faire appel à une majorité de contractuels. La qualité de ces troupes est un des points faibles de l'armée russe[11].
Équipements[modifier | modifier le code]
En 2017, l'armée russe détient encore des milliers de chars et d'engins blindés en réserves. Mais ces engins, bien que servant de pièces détachées, ne sont plus opérationnels, ils servent à maintenir une « dissuasion par la quantité » aux yeux du monde[source insuffisante] et ne seront donc pas signalés dans ce classement.
Chars de combat
en service |
Quantité | Informations
complémentaires |
---|---|---|
T-14«Armata» | 26 ( État de test avant lancement de production : Char opérationnel mais trop coûteux pour le moment.) | seulement 20 exemplaires livrés à ce jour 500 commandés |
T-90A « Vladimir » | 570
T90-M 210 (prévu 2023)[12] |
Chiffre de 2021, modernisation prévue au standard T-90M[13] |
T-80BV & T-80U | 2017 : 3450[12] 2022 actif : 50 T-80BV; 310 T-80BV/U; 220 T-80 BVM 2022 réserve : 3000 T-80B/BV/U[14] |
Chiffre de 2021, 2022, modernisation prévue des T-80BV au standard T-80BVM[13] |
T-72B3,B et A | 7000[12] 2022 actif : 700 T-72B/BA; 1050 T-72B3; 570 T-72B3M 2022 réserve : 7000 T-72/T-732A/B |
Chiffre de 2021, 2022 |
T-64 | 2000[15] | Chiffre de 2014. |
- Blindés
Véhicules de combat
et de transport d'infanterie blindés |
Quantité | Informations
complémentaires |
---|---|---|
BMP-3 | ~400
2022 : 720 BMP-3/-3M; 40 BMP-3F[16] |
|
BMP-2 | ~1800
2022 actif : 3300+ BMP-2, 70+ BMP-2M |
|
BMP-1 | ~1000
2022 actif : 470+ BMP-1 |
|
BMD-3/BMD-4 | ~100
2022 : 351 BMD-4M[16] |
|
BMD-2 (para) | ~850
2022 : 1000 BMD-2[16] |
|
BMD-1 (para) | ~100 | |
MT-LB | ~1400 | |
En phase de retrait | ||
BTR-80/82A | ~1150 | |
Kurganets-25 | ? | Censé remplacer BMP, BMD, MT-LB à partir de 2017 |
- Véhicules de combat et de transport d'infanterie blindés
Système d'artillerie principal | Quantité | Informations complémentaires |
---|---|---|
Obusier D-30 de 122 mm (2A18 D-30) | ~500
2022 : 4400 en réserve[17] |
122 mm, canon tracté |
2A36 Giatsint-B | ~150
2022 : 50 service actif |
152 mm, canon tracté |
Obusier de 152 mm 2A65 (2A65 Msta-B) | ~400
2022 : 200 service actif |
152 mm, canon tracté |
MT-12 Rapira (anti char) | ~400
2022 : 526 service actif |
100mm, canon tracté |
2S1 Gvozdika | ~600
2022 ː 335 service actif |
122 mm, artillerie automoteur chenillée |
2S3 Akatsiya | ~900
2022 ː 850 service actif |
152 mm, artillerie automoteur chenillée |
2S5 Giatsint-S | ~200
2022 ː 100 service actif |
152 mm, artillerie automoteur chenillée |
2S7 Pion | 2022 : 60 2S7M Malka en service actif
260 2S7 Pion en réserve[19] |
203 mm, artillerie automoteur chenillée |
2S19 Msta-S | ~450
2022 : 536 2S19M1, 350 2S19M2 |
152 mm, artillerie automoteur chenillée |
2S35 Koalitsia-SV | 2022 : 8 service actif[19] | 152 mm, artillerie automoteur chenillée (en test) |
2S9 Nona | 2022 : 30 Nona-SVK | 120 mm, mortier automoteur |
2S4 Tioulpan | 2022 : 40 service acitf
390 en réserve[19] |
240 mm, mortier automoteur |
BM-21 Grad | ~1300
2022 : 550 service actif |
122 mm, LRM (lance roquette multiple) en cours de retrait |
Tornado-G | 2022 : 216 service actif[18] | 122 mm, LRM (lance roquette multiple) remplaçant du BM-21 |
BM-27 Uragan | ~300
2022 : 200 Uragan, 6 Uragan-1M service actif |
220 mm, LRM |
BM-30 Smerch | ~300
2022 : 100 service actif[20] |
300 mm, LRM |
9A52-4 | ~76
2022 : 24 Tornado-S service actif[20] |
LRM multi support, remplaçant les BM-21/27/30 pour un nombre sans
doute bien inférieur. |
- Artillerie
Missiles balistiques | Quantité | Informations complémentaires |
---|---|---|
OTR-21 Tochka / SS-21 | ~76
2022 : Retiré du service[21] |
~480 kg charge conventionnelle, 100 kt charge nucléaire, distance 120 km
Remplacés par le SS-26. Totalement retiré du service. |
9K720 Iskander-M/ SS-26 | 2022 : 174 lanceurs[21] | ~480 kg charge conventionnelle, distance 500 km.Cible de 120 missiles |
- Missiles balistiques
Défense anti-aérienne | Quantité | Informations complémentaires |
---|---|---|
9K33 Osa | 282
2022 : 400 Osa-AKM; 38 Osa-M/M2; 20 Osa[22] |
|
9K35 Strela-10 | 358
2022 - 509 : 8 Strela 3; 21 Strela 3M; 400 Strela-10; 50 Strela-1/10; 30 Strela-10MN[22] |
|
9K330 Tor-M1 | 72 | |
9K37 Buk-M1-2/M3 | 342
2022 - 430 : ~280 M1-2; ~90 M-2; ~60 M-3[22] |
|
2K22 Tunguska | 204
2022 : +250 service actif[23] |
|
Pantsir S-1 | 2022 : 116 S-1/S-2; 2 Pantisr-M CIWS[24] | Remplace le Tunguska. |
ZSU-23-4 Shilka | ~130 | Utilisés par la marine |
S-300 | -953
2022 : 536 lanceurs toutes versions confondues[25] |
En réduction suivant l'arrivée des S-400 |
S-400 Triumph | 152 lanceurs
2022 : 448 lanceurs[25] |
Remplaçant l'ensemble des S-300 d'ici 2020 avec |
- Défense anti-aérienne
- 9K330 Tor-M1
Tor-M1
Historique[modifier | modifier le code]
Historique des opérations[modifier | modifier le code]
- 1992 : guerre civile de Moldavie (14e armée)
- 1992-1997 : guerre civile du Tadjikistan
- 1992 : conflit en Ossétie du Nord de 1992
- 1992-1993 : guerre d'Abkhazie
- 1993 : Crise constitutionnelle russe
- 1994-1996 : première guerre de Tchétchénie
- 1995-1996 : Implementation Force (IFOR)
- 1996-2004 : Stabilisation Force (SFOR)
- 1999-2009 : seconde guerre de Tchétchénie
- 2006 : mission des Nations unies au Soudan
- 2008 : deuxième guerre d'Ossétie du Sud
- 2014 - en cours : guerre du Donbass
- 2015 - en cours : intervention militaire de la Russie en Syrie
- 2022 - en cours : invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022
Réformes[modifier | modifier le code]
À la fin de l'ère soviétique, la Russie s'est retrouvée avec un important stock d'armes en tout genres mais avec très peu de moyens pour les entretenir. Passée la dure période des années 1990-2000, le gouvernement lance le programme de réarmement 2007-2015 qui prévoit principalement l'achat de nouveaux matériels et dans une moindre mesure, la mise à niveau des anciens. L'armée russe (toutes branches confondues) est structurellement à l'heure de la modernisation par la professionnalisation de son contingent, et donc à la diminution globale de ses effectifs. De 4 à 5,3 millions de soldats et officiers dans les années 1980, elle passe à 2,1 millions en 1994, 850 000 en 2003, et 1 027 000 en 2006.
En 2007, 50 % des sergents et recrues sont ainsi professionnalisés. Il est prévu qu'un quart des effectifs soient placés sous contrat en 2008. Cette réforme concerne également l'organisation des académies militaires : de 79 écoles en 2004, 57 seulement seront ouvertes en 2008 avec une tendance à la spécialisation pour retenir les jeunes officiers[26].
En 2012, quelques jours avant les élections présidentielles du 4 mars, le premier ministre Vladimir Poutine annonce un vaste plan de modernisation des forces armées russes, pour plus de 500 milliards d'euros lors de la décennie à venir. Le budget en 2013 est annoncé à 2 346 milliards de roubles (près de 59 milliards d’euros), soit une hausse de 25,8 % comparé à 2012. La progression sera ensuite de 18,2 % en 2014 et de 3,4 % en 2015[27]. Les districts militaires ont été à plusieurs reprises redécoupés. Dans les années 2010 les forces terrestres étaient affectés à six districts :
- le district militaire de Moscou (Московский, Moskovsky) ;
- le district militaire de Léningrad (Ленинградский, Leningradsky) ;
- le district militaire du Caucase du Nord (Северо-Кавказский, Severo-Kavkazsky) ;
- le district militaire Volga-Oural (Приволжско-Уральский, Privolzhsko-Uralsky ) (il inclut la 15e brigade de fusiliers motorisés, qui a participé à l'exercice « Normandie-Niemen 07 » en avril 2007 avec la 1re brigade mécanisée)[28] ;
- le district militaire sibérien (Сибирский, Sibirsky) ;
- le district militaire d’Extrême-Orient (Дальневосточный, Dalnevostochny).
Grades et insignes[modifier | modifier le code]
- Officiers
Code OTAN équivalent |
OF-10 | OF-9 | OF-8 | OF-7 | OF-6 | OF-5 | OF-4 | OF-3 | OF-2 | OF-1 | OF(D) | |||||||||||||||||||||||||
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État-major du commandement suprême | Personnel de commandement supérieur | État-major de commandement moyen | ||||||||||||||||||||||||||||||||||
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maréchal (Маршал) |
général de l'armée (Генерал армии) |
colonel-général (Генера́л-полко́вник) |
lieutenant-général (Генера́л-лейтена́нт) |
major-général (Генера́л-майо́р) |
colonel (Полко́вник) |
lieutenant-colonel (Подполко́вник) |
major (Майо́р) |
capitaine (Капита́н) |
lieutenant principal (Старший лейтенант) |
lieutenant (Лейтенант) |
sous-lieutenant (Младший лейтенант) |
cadet (Курсант) |
- Enrôlé
Code OTAN équivalent |
OR-9 | OR-8 | OR-7 | OR-6 | OR-5 | OR-4 | OR-3 | OR-2 | OR-1 | |||||||||||||
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Personnel de supervision junior | Personnel privé | |||||||||||||||||||||
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Sans équivalent | ![]() |
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Sans équivalent | ![]() |
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praporchtchik senior (Старший прапорщик) |
praporchtchik (Прапорщик) |
starchina (Старшина) |
sergent-chef (Старший сержант) |
sergent (Сержант) |
sergent junior (Младший сержант) |
caporal (Ефрейтор) |
soldat (Рядовой) |
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Forces armées de la fédération de Russie » (voir la liste des auteurs).
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Russische Heer » (voir la liste des auteurs).
- Gabriel Wackerman, la Russie en dissertations corrigés et dossiers, Paris, Ellipses, 2007, p. 76
- « Bilan en cours de la réforme de l’armée russe », sur etudesgeostrategiques.com, Études géostratégiques, (consulté le )
- Philippe Langlois, « Russie : quelle puissance militaire ? - Tableau de bord - Les forces terrestres russes », Défense et Sécurité internationale, vol. hors série 71, , p. 52-55 (lire en ligne)
- (ru) « Северный флот станет пятым военным округом России с 2021 года », sur armstrade.org,
- (ru) « Северный флот России получил статус военного округа », sur interfax.ru,
- (ru) Andrei Milenin, « Александр Дворников назначен командующим войсками ЮВО » [« Aleksandr Dvornikov nommé commandant du district militaire sud »] [archive du ], sur izvestia.ru, (consulté le )
- (ru) « В Южном военном округе появится новая армия » [archive du ], sur izvestia.ru, (consulté le )
- (ru) Igor Ilyin, « Сергей Севрюков принял штандарт командующего 49-й общевойсковой армией » [« Sergey Sevryukov a accepté le commandement de la 49e armée des armes combinées »] [archive du ], sur stapravda.ru, Stavropol Pravda, 9 janvier2014 (consulté le )
- (ru) Alexander Pinchuk et Viktor Khudoleyev, « Штандарты в надёжных руках » [« Standards dans des mains sûres »] [archive du ], sur redstar.ru (Krasnaya Zvezda), (consulté le )
- International Institute for Strategic Studies, The Military Balance 2014, p. 181
- Isabelle Facon, « Russie : quelle puissance militaire ? - La Russie et son environnement sécuritaire », Défense et Sécurité internationale, vol. hors série 71, , p. 20 (lire en ligne)
- (en) The International Institute of Strategic Studies, The Military Balance 2017, Europa Publications Ltd, , 576 p. (ISBN 978-1-85743-900-7)
- (en) « Russian plans to upgrade T-80 and T-90 jeopardise Armata programme » [« Les plans russes pour moderniser les T-80 et T-90 peuvent mettre en danger le programme Armata »], sur janes.com/ (consulté le ).
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- James Hackett et International Institute for Strategic Studies, The military balance. 2022, (ISBN 978-1-000-61972-0, 1-000-61972-9 et 978-1-003-29456-6, OCLC 1296940601, lire en ligne), p. 192-208
- Gabriel Wackerman, La Russie en dissertations corrigés et dossiers, Paris, Ellipses, 2007, p. 75.
- « Moscou augmente le budget de la défense », sur La Tribune de Genève, (consulté le )
- Armée de terre (France), Terre Information Magazine, no 185, juin 2007, p. 7.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Lien externe[modifier | modifier le code]
- Isabelle Facon, « La menace militaire russe : une évaluation », Les Champs de Mars, no 29, , p. 31 à 57 (lire en ligne).