Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Il existe une confusion généralisée sur la vie et la position d'Aram Shah à la cour : certains le considèrent comme le fils, d'autres comme le frère de Qutb-ud-Din Aibak (r. 1206-1210). Minhaj-i-Seraij, le chroniqueur le plus important du XIIIe siècle, affirme cependant clairement qu'Aibak n'avait que trois filles, et seul Abu 'l-Fazl, environ trois cents ans plus tard, fait de lui le frère d'Aibak. Les chercheurs modernes nient généralement toute relation entre lui et Aibak.
Après la mort de Qutb-ud-Din Aibak, les nobles de l'empire l'élirent comme successeur à Lahore en 1210, mais il se révéla faible ; Shams-ud-din Iltutmish, alors gouverneur de Badaun, marcha sur Delhi à la tête d'une armée, où il vainquit Aram Shah en 1211. Le sort ultérieur d'Aram Shah reste incertain.
Peter Jackson, The Delhi Sultanate: a political and military history, Cambridge University Press, coll. « Cambridge studies in Islamic civilization », (ISBN978-0-521-54329-3 et 978-0-521-40477-8)
André Wink: Al-Hind: The Making of the Indo-Islamic World, Vol. II – The Slave Kings and the Islamic Conquest 11th-13th centuries. Brill, Leiden 2002, (ISBN978-0-391-04173-8).