Anthyme-Denis Cohon

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Anthyme-Denis Cohon
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Biographie
Nom de naissance Anthyme-Denis Cohon
Naissance
Craon
Décès (à 75 ans)
Nîmes
Évêque de l'Église catholique
Dernier titre ou fonction Évêque de Nîmes
Évêque de Nîmes
Évêque de Dol
Évêque de Nîmes

(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org

Anthyme-Denis Cohon, né le à Craon et mort le , est un ecclésiastique français, évêque de Nîmes et de Dol. Il se fit un nom par son talent pour la chaire. Il a prononcé l'éloge funèbre de Louis XIII et de la reine d'Espagne et le discours du sacre de Louis XIV.

Biographie[modifier | modifier le code]

Origine[modifier | modifier le code]

D’une famille de la noblesse bretonne établie au XVIe siècle en Anjou, où elle dérogea pour le négoce, plusieurs Cohon devenant marchands cergiers dans la ville de Craon[1], Anthyme Cohon naît lorsque cette ville était encore au pouvoir des Ligueurs. Son parrain est le gouverneur Pierre Le Cornu.

Éducation[modifier | modifier le code]

Cohon fut envoyé au Mans pour faire ses premières études[Note 1] et vint les continuer à Angers (au droit civil). Son oncle pensait le faire devenir avocat. Il alla au Parlement et suivit le barreau pendant quelque temps. Ces projets ne sont pas inconciliables avec la vocation ecclésiastique, et l'obtention dès l'âge de 15 ans de ses premiers bénéfices, car il n'était alors que simple tonsuré. Il étudie à la Sorbonne au moyen d'une bourse qu'il avait obtenue.

Son choix définitif serait dû aux conseils de l'abbé Lemarchand, plus tard curé de Précigné. Docteur en droit et chanoine du Mans à 23 ans, ordonné en et déjà pourvu de nombreux bénéfices[Note 2].

Nîmes[modifier | modifier le code]

Dès l'âge de vingt-cinq ans, il jouissait dans tout le royaume de la réputation d'un grand prédicateur. Le cardinal de Richelieu le fit nommer prédicateur du roi. Ce ministère, qu'il remplit à la satisfaction de Louis XIII, lui valut l'estime de ce monarque et l'évêché de Nîmes, auquel ce prince le nomma en . Il assista aux assemblées du clergé de et , comme député de la province de Narbonne. Les nouvelles opinions religieuses avaient fait de grands progrès en Languedoc et le parti protestant dominait à Nîmes. Cohon défend la religion catholique. Il obtint, dès , un arrêt qui obligeait les protestants à contribuer comme les catholiques aux frais de la reconstruction de la cathédrale et d'un palais épiscopal.

Oraison funèbre[modifier | modifier le code]

Il introduisit les Jésuites à Nîmes et les dota. Il signala particulièrement sa charité dans la contagion qui s'était manifestée dans cette ville en . Louis XIII étant mort le , Cohon, qui, sur des plaintes portées par les protestants, avait été mandé à Paris, y prononça, au mois d' suivant, dans l'église de Saint-Germain-l'Auxerrois, l'oraison funèbre du monarque, son premier bienfaiteur.

Bretagne[modifier | modifier le code]

Conseillé de se démettre de son évêché, à cause des difficultés qui s'étaient élevées entre les protestants et lui, il le permuta contre celui de Dol en Bretagne avec Hector d'Ouvrier le . Mazarin le désirait à Paris. Le moyen d'abandonner Dol pour Paris se présenta par Robert Cupif, le doyen du Folgoët, également évêque de Léon depuis  : Robert Cupif qui occupait le doyenné depuis . le Cohon échange son évêché de Dol à ce dernier et devient doyen de Folgoët à sa place, mais n'obtient pas les bulles pour l'évêché de Léon, car les hasards de la politique ayant contraint Robert Cupif à restituer ce siège épiscopal qu'il avait obtenu par la disgrâce de René de Rieux. Il conserva néanmoins son titre d'évêque de Dol jusqu'en , le pape n'ayant pas encore approuvé l'échange.

Il aurait évangélisé dans quelques îles (Sein, Ouessant, Batz) et quelques villes (Quimper, Landerneau, Le Faou, …) dans le deuxième quart du XVIIe siècle[2], inventant cantiques nouveaux et peintures symboliques (taolennou) pour toucher le cœur des fidèles.

C'est sous ce titre d'évêque de Dol, assisté des évêques de Saint-Malo: Ferdinand de Neufville de Villeroy et de Vannes:Charles de Rosmadec, qu'il donna dans l'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Paris la consécration épiscopale à François de Visdelou, nommé coadjuteur de Quimper, avec le titre d'évêque in partibus de Madaure, le [3].

Mazarin[modifier | modifier le code]

Après la mort de Richelieu, Cohon s'attacha au cardinal Mazarin, qui l'employa dans des affaires importantes. En butte aux ennemis de ce ministre, lorsqu'il fut obligé de quitter Paris, Cohon, enveloppé dans sa disgrâce, fut mis en prison.

La Fronde[modifier | modifier le code]

Pendant la Fronde, s'emprisonnant à Paris pour correspondre de là avec Mazarin et la Cour, il est obligé de changer chaque jour de retraite pour échapper aux complot des ennemis qui en voulaient à sa vie. Les pamphlets des Frondeurs l'abîmaient chaque jour. Il eut même l'honneur d'être mis en image ou en caricature[Note 3]. Il avait alors un aumônier, Jean Barbance du diocèse de Rodez[Note 4] et qui logeait à Paris avec l'évêque, derrière le Palais-Royal.

Louis XIV[modifier | modifier le code]

Le cardinal ayant recouvré son crédit Cohon revint à la cour. Il suivit Louis XIV dans son voyage de Bordeaux et le harangua à son entrée dans cette ville. Le roi le nomma à l'abbaye de Flaran. À son retour à Paris, le cardinal Mazarin confia à Cohon l'éducation de ses neveux[Note 5] et le chargea du rapport des placets et mémoires qu'on lui présentait.

Mésaventures[modifier | modifier le code]

Comme il avait aussi osé, sur l'avis conforme de docteurs, conférer les ordres dans le diocèse de Paris, le coadjuteur étant absent, celui-ci riposta à cet acte de juridiction sur ses ouailles par une sentence d'excommunication contre Cohon.

Il lui arriva une autre mésaventure à laquelle il dut être sensible. Il avait tendance, en bon parent, à avantager sa famille. S'il prit à peine terre dans son diocèse de Dol, il avait eu soin quand même d'y établir deux de ses neveux de Craon, Marin et François Chéreau, l'un comme gouverneur de la ville, l'autre comme chanoine de la cathédrale. Il fit une autre démarche pour son jeune frère en le mariant avec une demoiselle Lebreton, de riche et bonne famille, à laquelle il avait promis en son frère un excellent époux[Note 6].

Retour à Nîmes[modifier | modifier le code]

En , Cohon intervint dans une querelle que les réguliers du diocèse d'Angers faisaient à leur évêque Henri Arnauld au sujet des règlements qu'il leur avait été imposé[Note 7]. Louis XIV faisant en le voyage de Reims pour y être sacré, Cohon le suivit encore et prononça le discours d'usage dans cette cérémonie. Ce fut pour lui l'occasion d'une nouvelle grâce, le roi l'ayant nommé à l'abbaye Notre-Dame du Tronchet. Hector d'Ouvrier, qui lui avait succédé dans l'évêché de Nîmes en [Note 8], étant mort l'année suivante, Cohon souhaita de retourner à son premier siège et le roi le lui permit ce qu'il fit en mais de nouvelles peines y attendaient cet évêque : il fut le témoin d'une émeute qui eut des suites fâcheuses.

Une amnistie accordée aux habitants y ramena le calme. Cohon n'omit rien pour le maintenir et y parvint pour les ministres protestants, sans toutefois s'écarter de ce que lui prescrivaient ses devoirs.

Plusieurs descendants de sa nièce, Elisabeth sont restés dans le Maine dans une situation très pauvre. (Abbés de Beaulieu). D'autres ont vécu dans la plus grande opulence et possédaient au XVIIIe siècle des premières charges de l'état[4].

Il restait toujours doyen de Folgoët et il eut quelques difficultés avec les chanoines de la collégiale ce qui ressort des lettres à son neveu qui portait le même prénom que lui et était son filleul, à qui il souhaitait transmettre ce doyenné. Malgré ses recommandations et ses admonestations, le neveu peu sérieux d'un caractère léger, paresseux. L'évêque fera transmettre le doyenné au frère puîné de son filleul: Jules-Paul Cohon où il séjournera de à [5]

Publications[modifier | modifier le code]

  1. Lettre de monsieur Cohon, evesque de Nismes : escrite le , a monseigneur le Cardinal de Lyon, sur le sujet de la harangue de Monseigneur le Cardinal Duc. Paris : Bureau d'Adresse, rue de la Calandre, au grand cocq, , in-4 ̊.
  2. Les véritables harangues faites au roi, à la reine et à Son Éminence, en la députation des états de la province de Languedoc, en l'année 1638 Paris : S. Cramoisy, 1639, in-−4°.
  3. Harangues faites à Leurs Majestés en la ville de Lyon, au nom des états de la province de Languedoc assemblés à Narbonne, par messire Antime-Denis Cohon, évêque de Nismes, assisté de M. le marquis de Castries,... de MM. de Murles,... de Rochepierre,... et de Montbel,... députés desdits états vers Leursdites Majestés, le Narbonne : par J. Boude et D. Pech, (s. d.,), in-−4°
  4. Lettres intimes de Monseigneurs Cohon évêque de Nîmes à son neveu et filleul entre 1658 et 1669, publiées par Prosper Falgairolle, Nîmes 1891

Mazarinades[modifier | modifier le code]

  1. Lettre interceptée du sieur Cohon, ci-devant évêque de Dol, contenant son intelligence et cabale secrète avec Mazarin Paris, 1649, in-−4°.
  2. À qui aime la vérité (Saint-Germain-en-Laye, 1649) 4 p. ; in-4°[Note 9].
  3. Evenemens infaillibles, touchant lauthorité du Roy envers ses subjects (Paris? 1649), 8 p. ; in-4°[Note 10].
  4. Lis & fais (Saint-Germain-en Laye, 1649) 4 p. ; in-4°[Note 11].
  5. Copie du 2e billet imprimé à Saint-Germain en Laye, qui a été semé dans Paris par le chevalier de La Valette, tendant à faire soulever les Parisiens contre le Parlement (S. l.,), 1649, 8 p. ; in-4°[Note 12].
  6. Le Parlement veut despoüiller le Roy de son authorité pour s'en revestir... (Saint-Germain-en Laye, 1649)[Note 13]
  7. Pauvre peuple de Paris que je plains ta simplicité & ton aveuglement... (S.l., 1649), 4 p. ; in-4[Note 14]
  8. Les Sentimens d'un fidelle sujet du Roy, contre l'arrest du Parlement du vingt-neufiesme , S.l., 1652, 48 p. ; in-4°[Note 15].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Il est l'objet de deux notes du fond Grille à la bibliothèque d'Angers : l'une est de Joseph Grandet. Outre un résumé des faits connus, elle contient la communication suivante reçue verbalement par le curé de Sainte-Croix d'un Monsieur Cohon habitant Angers. La seconde note est personnellement de Grille : il signale le portrait de Cohon par Roussière, qui l'avait peint avant de le faire graver ; et celui qui était en tête d'une thèse à lui dédiée, - sans doute celle de son neveu Jules-Pierre, sur la philosophie, - passée en Sorbonne le .

Depuis , Cohon a été l'objet de plusieurs études de l'abbé Duine. Il publie à cette date une brochure intitulée : Un politique et un orateur au XVIIe siècle (in-−8°, 72 p.), où les sources bibliographiques de l'histoire de Cohon, sa correspondance et ses œuvres oratoires sont successivement passées en revue. En 1906, il donnait d'après les Archives du ministère des Affaires étrangères, d'après celle de l'évêché de Dol, et sa propre collection, un supplément à la correspondance du prélat, contenant entre autres, l'indication d'une lettre datée de Craon, février 1645 [Bulletin de 1906 de la SAHM - Société d’Archéologie et d’Histoire de la Mayenne, p. 345-348, titré : Correspondance inédite de Cohon, évêque de Nîmes et de Dol]. En 1907 et 1908, dans trois articles insérés au Bulletin de la SAHM - Société d’Archéologie et d’Histoire de la Mayenne (tome XXIII, p. 407-428 et XXIV, p. 55-116, 141-186), sous le titre Avant Bossuet. Cohon, évêque de Nîmes et de Dol, précepteur des neveux de Mazarin, précepteur du roi, il reprend son sujet avec plus d'ampleur, traitant d'abord de l'homme puis de l'Orateur.

  • Frère Léon, carmes de Rennes, recueil de lettres, Rome 1661, Titre Ier. p. 230-236, lettre 26e une longue lettre latine: Illusti.ac.Reverendiss, Dionysio Cohonio, in minori Britannia Armorica Dolensi Epsicopo, datée de 1638: Lutet. Paris, ipsis kal.Febr an MDCXXXVIIII. C'est un éloge pompeux de l'éloquence de Crahon. Comparé à Démosthène et à saint Jean Chrysostome, il est appelé : « Eloquentum Antistes, Antistum Eloquentissime »[6].
  • Charles Robert, Les Cohon (oncle et neveux), deux doyens du Folgoët (Bretagne), InfoBretagne
  • Odile Halbert, Anthyme Denis Cohon, texte en ligne (voir liens externes)

Armoiries, devise[modifier | modifier le code]

Blason Nom de la famille et blasonnement Devise
Blason d'Anthyme-Denis Cohon,

d'azur à une fasse d'or accompagnée en chef d'un soleil et en pointe de trois étoiles, posées 2 et 1, le tout de même.[7]

Ignorant Sidera Lapsvm / Les astres ne sauraient choir.
Famille Cohon,

D'or à deux serpents entrelacés et adossés de sable, au chef de même chargé d'une étoile à six rais d'argent (Nobiliaire de Bretagne – Gallia christiana)[8]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Il fut élevé par N. Cohon, son oncle, maître-école de Nantes, chanoine de l'église du Mans et archidiacre de Montfort qui fournissait à ses études.
  2. prévost de Mésanges dans l'église de Chartres, curé de Saint-Denis-de-Cormes en , de Saint-Pierre-la-Cour en , de Saint-Céneré en , prieur de Bouère par résignation de Guillaume Laurent
  3. L'abbé Angot cite une estampe hollandaise de , signée J. Luiken juv. et fecit., intitulée Révolte contre l'évêque de Nimes en .
  4. Il le fit pourvoir au mois de de la cure de La Brûlatte.
  5. Les frondeurs parlaient à ce propos de gouverner les singes et majots du cardinal.
  6. Ce qu'il ne fut pas, car tiré par son aîné de sa boutique de cirier à Craon, et casé au grenier à sel d'Ernée, il maltraita sa femme et vida pour ses fredaines la caisse de la gabelle. Il y eut procès de la part de la famille Lebreton, séparation des époux et colère de l'évêque qui tança son frère comme il savait le faire. On a une des lettres qu'il lui écrivit et qui vaut celles qu'il écrira un peu plus tard à son neveu, prieur de Folgoët
  7. Il est pour l'évêque et dit aux religieux qu'aucun prélat n'avait été aussi doux vis-à-vis d'eux.
  8. Il a fondé à Nîmes un couvent d'Ursulines. Il a aussi fondé à Nantes une chapelle dans l'église-cathédrale.
  9. Titre de départ. - Signé : Le Desinteressé à Paris = Jean-Louis de La Valette, ou plus probablement Anthyme-Denis Cohon, d'après Moreau, qui restitue le lieu d'édition - En réponse, ont été publiés : Lettre escrite au chevalier de La Valette. Soubs le nom du peuple de Paris et : Les Motifs de l'union du bourgeois de Paris, avec le Parlement, representez a la Reyne, servans de response aux libelles jettez dans Paris. Réédité sous les titres : Copie du II. billet imprimé a S. Germain en Laye, qui a esté semé dans Paris par le chevalier de La Valette et : Evenemens infaillibles, touchant lauthorité du Roy envers ses subjects
  10. Par Jean-Louis de La Valette ou plus probablement Anthyme-Denis Cohon. - Moreau indique par erreur qu'il s'agit d'une contrefac̜on du 1er billet du chevalier de La Valette, intitulé : Lis & fais
  11. Titre de départ. - Signé à la fin : Le Desinteressé à Paris=Jean-Louis de La Valette ou plus probablement Anthyme-Denis Cohon, d'après Moreau qui restitue le lieu d'éd. - En réponse, ont été publiés : L'Anti-desinteressé ou l'Equitable censeur des libelles semez dans Paris, sous le nom du des-interessé...; Conseil nécessaire donné aux bourgeois de Paris pour la conservation de la ville...; Lettre escrite au chevalier de La Valette. Soubs le nom du peuple de Paris...; et Les Motifs de l'union du bourgeois de Paris, avec le Parlement, representez a la Reyne.... - Réédité sous le titre : Copie du billet imprimé a S. Germain en Laye, qui a esté semé dans Paris par le chevalier de La Valette. Tendant a faire souslever les Parisiens contre le Parlement
  12. Même ouvrage que celui paru sous le titre : À qui aime la vérité. Titre de départ : Copie du second billet imprimé à Sainct Germain en Laye, & semé dans Paris par le chevalier de la Valette. À qui aime la verité. - Signé : Le Des-interessé à Paris = Jean-Louis de La Valette ou plus probablement Anthyme-Denis Cohon.
  13. Premiers mots du texte. - Par Jean-Louis de La Valette, ou plus probablement Anthyme-Denis Cohon, d'après Moreau qui restitue le lieu d'éd.
  14. Premiers mots du texte. - Par Jean-Louis de La Valette ou plus probablement Anthyme-Denis Cohon. - Imprimé en France.
  15. Il existe une 2e éd. de ce texte, d'après Moreau, qui nomme les auteurs auxquels on l'a attribué : Martineau, évêque de Bazas, Cohon, évêque de Dol, Servien et Silhon. Barbier ne retient que l'attribution à Anthyme-Denis Cohon. - En réponse, ont été publiés : Apologie de Messieurs du Parlement..., Observations veritables et des-interessees..., ouvrages anonymes et Le Complot et entretien burlesque sur l'arrest du 29 décembre... par le sieur de Sandricourt

Références[modifier | modifier le code]

  1. Le chartrier de la Roë (vol. 157, F. 193-195) nous apprend que la maison acquise par Cohon à Craon () était à l'abbaye de la Roë.
  2. "Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne", 1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k411391q/f70.r=Le+Faou.langFR
  3. Dom Morice et Tresvaux
  4. Supplément de Moréri, Bibliothèque française, article 22727.
  5. de Kerdanet, Notice sur Notre-Dame du Folgoët, dans la Vie des Saints de Bretagne
  6. Charles Robert, Les Cohons (oncle et neveu), deux doyens du Folgoët (Bretagne)
  7. Jeton du Languedoc, voir site http://bernard.chwartz.free.fr/jetons_languedoc/jetons_languedoc3.htm, consulté le 26/12/2014.
  8. Site infobretagne : http://www.infobretagne.com/dol-eveques-archeveques.htm, visité le 26/12/2014.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sources partielles[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]