Annequin (Pas-de-Calais)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Annequin
Annequin (Pas-de-Calais)
La mairie.
Blason de Annequin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Yves Dupont
2020-2026
Code postal 62149
Code commune 62034
Démographie
Gentilé Annequinois
Population
municipale
2 145 hab. (2021 en diminution de 6,62 % par rapport à 2015)
Densité 538 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 30′ 28″ nord, 2° 43′ 33″ est
Altitude Min. 19 m
Max. 38 m
Superficie 3,99 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Nœux-les-Mines
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Douvrin
Législatives 12e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Annequin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Annequin
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Annequin
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Annequin
Liens
Site web annequin.fr

Annequin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Annequinois.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 3,99 km2 ; son altitude varie de 19 à 38 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par le ruisseau de la Fontaine de Bray, un cours d'eau naturel de 12 km, qui prend sa source dans la commune d'Hersin-Coupigny et se jette dans le Canal d'Aire à La Bassée au niveau de la commune de Festubert[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 731 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 18 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés et gérés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].

Dans ce cadre, la commune fait partie de trois espaces protégés :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1] :

  • le marais de Beuvry, Cuinchy et Festubert. Cet ensemble de marais se situe dans le bassin versant de la Lys en limite nord/ouest du bassin minier du Pas-de-Calais qui est une zone très industrialisée et peuplée dans laquelle peu de milieux naturels subsistent[14] ;
  • le terril de la cité no 9 d’Annequin. Site constitué d’un petit terril plat couvert, sur sa moitié, par un boisement dense[15].
Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Vue panoramique d'Annequin.

Typologie[modifier | modifier le code]

Annequin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[19] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nœux-les-Mines, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,6 %), zones urbanisées (23,1 %), zones humides intérieures (12,6 %), forêts (0,7 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Annequin, provient du nom « Homme germanique » et du suffixe flamand « kins ». Soit, en 1184, Annekins Vaste domaine d’Annequin à Mazingarbe qui appartenait aux châtelains de Lens puis au seigneur de Fruges.

Baudouin (II) de Lens dit Baudouin d'Annequin, seigneur d’Annequin et de Boyeffles né entre 1325 et 1330, est un noble d’Artois, actif pendant la première partie de la guerre de Cent Ans. Retenu captif en Angleterre avec le roi Jean le bon dont il devint l’ami après la bataille de Poitiers en 1356, il est nommé chambellan royal en 1357 puis il est fait grand maître des arbalétriers en 1358. Ami de du Guesclin qui guerroie avec son cousin Olivier de Mauny, il fut aussi un proche du maréchal Arnoud d’Audrehem (un des principaux généraux de du Guesclin avec Mauny) et de Pierre de Villiers de l’Isle-Adam. Il meurt au combat en 1364 à la bataille de Cocherel.

Jean du Bois, seigneur sur la commune actuelle d'Annequin, a trouvé la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[26],[27].

Il y avait un superbe château du XIVe siècle, qui fut détruit en 1820.

La population d’Annequin a évolué comme suit :
1469 : 25 familles, 1698 : 245 habitants, 1790 : 460 habitants, 1921 : 1804 habitants.
La commune connut un fort accroissement de population avec l’ouverture de la mine à la fin du XIXe siècle.
La fosse 9 qui a fait vivre les habitants de la commune pendant un siècle a fermé en 1963. Sa production totale a été de 14,28 millions de tonnes de charbon demi-gras de 1896 à la fin de son exploitation. Le , un coup de grisou y avait fait 16 morts et 6 blessés.

Il existe peu de références écrites sur l’histoire de la commune. Toutefois, vers 1770, le curé d’Annequin écrivait : « Annequin est la plus pauvre paroisse du diocèse ». À cette période, il existait deux dictons évocateurs : « In ne grande marmite avec rien d’ins » et « Annequin, les bousates » qui traduisait le mauvais état des routes. Les Beuvrygeois voisins traitaient les habitants d'Annequin de « pieds décaux », c'est-à-dire que ceux-ci étaient déchaussés, qu'ils marchaient pieds nus...

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Douvrin.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la douzième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1801 1807 Danson    
1807 1828 Adrien, comte de Lannoy    
1828 1845 Colombier-Batheux    
1845 1866 Hennebelle    
1866 1877 Caron    
1877 1885 Mazingarbe    
1885 1889 Hennebelle    
1889 1914 Pinchon    
1914 1919 François Macquart    
1919 1945 Désiré Sénéchal    
1945 1965 Georges Boulet    
1965 1977 André Deuve SFIO Instituteur
mars 1977 mars 2001 Angèle Chavatte PCF Monitrice d'enseignement ménager puis permanente politique
Conseillère générale (1978 → 1992)
Députée (1978-1981)
Conseillère régionale
mars 2001 En cours
(au 29 mars 2021)
Yves Dupont PS Ancien cadre
Réélu pour le mandat 2008-2014
Réélu pour le mandat 2014-2020[28],[29]
Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

La commune est labellisée « 2 fleurs » au concours des villes et villages fleuris[31].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[32].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Annequinois[33].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 2 145 habitants[Note 4], en diminution de 6,62 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
464494487503594600607589566
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
572613614594600594620666804
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4451 7311 8861 8041 9321 9131 8892 0122 122
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 2252 1011 8971 9122 0862 1572 3322 3892 239
2021 - - - - - - - -
2 145--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 057 hommes pour 1 109 femmes, soit un taux de 51,2 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,2 
3,6 
75-89 ans
6,8 
13,3 
60-74 ans
16,0 
21,6 
45-59 ans
21,4 
19,4 
30-44 ans
20,1 
20,1 
15-29 ans
15,7 
21,6 
0-14 ans
18,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2019, dans la commune, il y a 879 ménages fiscaux qui comprennent 2146 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 5] de 19 110 euros, soit inférieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros. La part des ménages fiscaux imposés est de 47 % (57,6 % en France métropolitaine)[39],[40].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine mondial[modifier | modifier le code]

Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 78 d'Annezin est composé de :

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Annequin Blason
Écartelé d'or et de sable, à la bande engrelée de gueules brochant sur le tout[44].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de la Fontaine de Bray (E3510650) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Annequin et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Espace protégé FR9300082 - marais de Cambrin, Annequin, Cuinchy et Festubert », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Espace protégé FR1505874 - RNR des marais de Cambrin, Annequin, Cuinchy et Festubert », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Espace protégé FR4505970 - RNR des marais de Cambrin, Annequin, Cuinchy et Festubert », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310013361 - Marais de Beuvry, Cuinchy et Festubert », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310030114 - Terril de la cité n°9 d’Annequin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
  20. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Noeux-les-Mines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  26. Louis-Joseph Harbaville, Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais - Tome premier, Arras, Topino, (lire en ligne), p. 298
  27. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
  28. « Annequin : Yves Dupont a été réélu maire, avec cinq adjoints, dimanche matin », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « label de la commune », sur concours des villes et villages fleuris (consulté le ).
  32. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  33. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Annequin (62034) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  39. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
  40. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
  41. « Bassin Minier Nord-Pas de Calais », sur whc.unesco.org, Unesco .
  42. « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
  43. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  44. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).