André Dhôtel

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André Dhôtel
Nom de naissance Émile André Dhôtel
Naissance
Attigny (France)
Décès (à 90 ans)
Paris 15e
Activité principale
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture Français
Genres

Œuvres principales

André Dhôtel, né le à Attigny (Ardennes) et mort le à Paris 15e, est un écrivain français, à la fois romancier, conteur et poète, ainsi qu'un scénariste.

Connu du grand public par le roman Le Pays où l'on n'arrive jamais, prix Femina 1955, il est l'auteur d'une œuvre abondante et singulière, où s'exprime un merveilleux proche du quotidien, dans lequel le rapport à la nature joue un grand rôle. Ses textes sont étudiés au collège, sous forme de courts extraits.

Biographie[modifier | modifier le code]

L'emplacement de la maison (détruite en 1914-18) à Attigny où a habité le jeune André Dhôtel.

André Dhôtel naît le à Attigny[1], et c'est dans ce village qu'il passe ses six premières années. Il écrit les souvenirs de cette époque au voisinage du gué de l'Aisne dans Un jour viendra, en 1972. Le père d'André Dhôtel est nommé en 1907 commissaire-priseur à Autun, et la famille le suit. Mais André reviendra pour les vacances dans ses Ardennes natales, à Saint-Lambert où vivaient ses grands-parents. Il pratique alors l'école buissonnière et parcourt la région d'Autun, découvrant la nature, mais regrettant sans cesse les premiers paysages ardennais. D'Autun, il poursuit sa scolarité au lycée Sainte-Barbe à Paris.

Nommé surveillant dès novembre 1918 à Sainte-Barbe, en compagnie du futur chansonnier Raymond Souplex, il prépare en même temps une licence de philosophie. André Dhôtel effectue son service militaire de 1920 à 1923, avec les écrivains Georges Limbour, Roger Vitrac et Marcel Arland. Il fonde avec ce dernier la revue Aventure en 1921, et publie également l'unique numéro de la revue Dès.

Bénéficiant des lacunes d'effectifs dues à la Grande Guerre, il est nommé professeur à l'Institut supérieur d’études françaises d’Athènes en 1924, il découvre ainsi la Grèce et ses îles pendant ses quatre années à l'Institut français d'Athènes. Il n'est pas rare de trouver des personnages grecs ou des expressions hellénophiles dans ses romans. Sur le monde hellénique, il a écrit notamment quatre romans : Ce lieu deshérité, paru à la NRF Gallimard en 1949, Ma chère âme, NRF Gallimard en 1961, L'Île de la Croix d'Or, paru en 1979, Lorsque tu reviendras, Phébus, 1986.

Rentré en France, il est nommé au collège de Béthune en 1928 et publie ses premiers textes poétiques. Nommé ensuite à Provins, il publie en 1930 Campements, son premier roman, et s'y marie en 1932 avec la fille d'un négociant en vins, Suzanne Laurent. Leur fils François naît en 1933.

Toutefois, en marge d'une vie de famille sereine et heureuse, sa carrière littéraire stagne. De 1930 à 1940, l'écrivain est refusé par les principaux éditeurs.

De 1935 à 1938, il est en poste à Charolles. Déçu, puisqu'il souhaite ardemment être nommé à Paris ou dans sa banlieue voisine, il sombre dans une profonde dépression et doit être momentanément interné. Le professeur dépressif est, malgré ses demandes, nommé à Valognes en Normandie en 1938 où il rechute mentalement pendant plusieurs mois. Rétabli, il est mobilisé quelque temps en 1940.

C'est finalement grâce à son ami Jean Paulhan qu'il retrouve le chemin de la publication et de l'enseignement apaisé. Paulhan fait accepter son roman Le Village pathétique à la NRF et use de ses relations avec les services académiques pour le faire nommer professeur à Coulommiers en 1943, là où il finira sa carrière professionnelle en 1961. Il y publie presque chaque année un roman et crée la revue 84, en compagnie de Marcel Bisiaux, Jacques Brenner, Alfred Kern, Armen Lubin et Henri Thomas. Son roman David, publié en 1947 aux Éditions de Minuit, reçoit le prix Sainte-Beuve.

En -, Jean Dubuffet peint son portrait, qu'il intitule Dhôtel nuancé d'abricot. Il fait la connaissance en 1949 de Jean Follain, avec qui il restera ami jusqu'à la mort de ce dernier en 1971.

Il reçoit la consécration avec le prix Femina attribué en 1955 pour Le Pays où l'on n'arrive jamais, le Grand prix de littérature pour les Jeunes en 1960, le Grand prix de littérature de l'Académie française en 1974 et le Grand prix national des Lettres pour le roman Les Disparus en 1975.

Après sa retraite de l'enseignement, il va habiter à Paris et se construit une maison de vacances à Saint-Lambert-et-Mont-de-Jeux, à quelques kilomètres de sa ville natale Attigny. Cette dernière l'honore en 1984 du titre de citoyen d'honneur. Après sa mort, Saint-Lambert-et-Mont-de-Jeux baptise sa rue principale « rue André-Dhôtel ».

André Dhôtel meurt le dans le 15e arrondissement de Paris[1], un an jour pour jour après son épouse, et il est inhumé à ses côtés dans le cimetière de la Ville basse de Provins[2].

L'écrivain[modifier | modifier le code]

André Dhôtel est un écrivain du merveilleux quotidien, comme le démontre son roman intimiste Bonne nuit, Barbara (1979). Il montre, au-delà des fantaisies propres à chaque personnage, un goût pour la vie des choses, la terre et sa végétation, notamment les milieux ouverts comme la prairie, les champs, les clairières forestières, les vallées observées d'un promontoire ou bien les fleurs, les graminées, les espèces prairiales et leurs hôtes. Il s'inscrit dans la grande tradition ou lignée européenne des romantiques allemands. Les thèmes d'aventures fantastiques ou de confrontations au monde mystérieux, par exemple propres à cette tradition, sont présents dans les romans suivants :

  • Les Voyages fantastiques de Julien Grainebis, 1958
  • Le Neveu de Parencloud, 1959-1960.

L'exploration des souvenirs est également calquée sur cette tradition littéraire :

  • Vaux étranges, 1986 ;
  • Terres de mémoire, 1979 ;
  • Lointaines Ardennes, 1979.

André Dhôtel est aussi un excellent connaisseur de la Grèce antique et un admirateur de ces horizons contemporains. Il a étudié avec une pénétration personnelle la philosophie antique durant ses jeunes années[3]. Jeune romancier sans succès, il semble s'opposer tacitement à l'approche philosophique d'Alain, dont les propos subtils sur le bonheur communicatif ou de la communication et l'optimisme pacifiste étaient hégémoniques, si ce n'est à la mode au début de l'entre-deux-guerres. Après avoir subi les souffrances de plusieurs dépressions mentales, parfois graves au point d'être interné à l'asile, André décide de s'adonner à une vie simple, l'étonnement devenant alors une condition émotive de toute quête du corps et de l'esprit et un don pour cette vie simple, ce qui n'empêche pas une conquête ultérieure dans les champs de la création (mythopoïèse) et du désir de savoir ou de sciences (libido sciendi).


Citation d'André Dhôtel[modifier | modifier le code]

  • « La seule voie d'espoir et de salut, celle de la curiosité et de l'étonnement. Comment serait-on étonné sans trouble et sans mystère ? Et comment vivre si on ne s'étonne jamais ? » Les mots espoir et salut prennent une nette connotation politique et religieuse, si la recherche personnelle ou individuelle s'agrège à un monde collectif ou à une société.

Décorations[modifier | modifier le code]

Archives[modifier | modifier le code]

Les papiers personnels, les manuscrits des œuvres littéraires et philosophiques et la correspondance d'André Dhôtel sont conservés aux Archives départementales des Ardennes sous la cote 144J[5]. Après le décès de son père, son fils François Dhôtel a déposé ses archives à la Bibliothèque universitaire d’Angers où des recherches universitaires ont été réalisées autour de l'écrivain. Toutefois, en 2019 François Dhôtel a souhaité revenir sur ce dépôt et faire don du fonds André Dhôtel au Département des Ardennes[6]. Il a complété ce premier don par un deuxième don en 2021 comprenant des pièces de correspondance, des cahiers de notes et des documents relatifs à la passion d'André Dhôtel pour la musique et la nature. Tous ces documents sont librement communicables pendant les horaires d'ouverture de la salle de lecture des Archives départementales.

Publications[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

  • Campements, Paris, Gallimard, 1930 ; rééd. 1987.
  • Le Village pathétique, Paris, Gallimard, 1943 ; rééd. coll. « Folio », 1975.
  • Nulle part, Paris, Gallimard, 1943 ; rééd. Paris, Pierre Horay, 1956, 1977 ; Rombaldi, 1979.
  • Les Rues dans l’aurore, Paris, Gallimard, 1945.
  • Le Plateau de Mazagran, Paris, Éditions de Minuit, 1947 ; rééd. Paris, Guilde du livre, 1960 ; Paris, Marabout, 1977.
  • David, Paris, Éditions de Minuit, 1948 ; rééd. Paris, Marabout, 1979 [roman écrit dans las années 1930].
  • Ce lieu déshérité, Paris, Gallimard, 1949 ; rééd. 1997.
  • Les Chemins du long voyage, Paris, Gallimard, 1949 ; rééd. coll. « Folio », 1984.
  • L’Homme de la scierie, Paris, Gallimard, 1950.
  • Bernard le paresseux, Paris, Gallimard, 1952 ; rééd. coll. « L'Imaginaire », 1984.
  • Les Premiers Temps, Paris, Gallimard 1953 ; rééd. 1987.
  • Le Maître de pension, Paris, Grasset, 1954.
  • Mémoires de Sébastien, Paris, Grasset, coll. « Les Cahiers verts », 1955.
  • Le Pays où l’on n’arrive jamais, Paris, P. Horay, 1955 ; rééd. Paris, J’ai lu , 1960 ; Paris, Gallimard, 1975.
  • Le Ciel du Faubourg, Paris, Grasset 1956 ; rééd. Paris, Grasset, coll. Les Cahiers rouges, 1984.
  • Dans la vallée du chemin de fer, Paris, P. Horay, 1957.
  • Le Neveu de Parencloud, Paris, Grasset, 1960.
  • Ma chère âme, Paris, Gallimard, 1961 ; rééd. Paris, Phébus, coll. « Libretto », 2003.
  • Les Mystères de Charlieu-sur-Bar, Paris, Gallimard, 1962 ; rééd. Rombaldi, 1979.
  • La Tribu Bécaille, Paris, Gallimard, 1963 ; rééd. 1977.
  • Le Mont Damion, Paris, Gallimard, 1964.
  • Pays natal, Paris, Gallimard, 1966 ; rééd. Paris, Phébus, coll. « Libretto », 2003.
  • Lumineux rentre chez lui, Paris, Gallimard, 1967 ; rééd. Phébus, coll. « Libretto », 2003.
  • L'Azur, Paris, Gallimard, 1968 ; rééd. coll. « Folio », 2003.
  • L'Enfant qui disait n'importe quoi, Paris, Gallimard, 1968 ; rééd. coll. « Folio Junior », 1978.
  • Un jour viendra, Paris, Gallimard, 1970 ; rééd. Paris, Phébus, Libretto, 2003.
  • La Maison du bout du monde, Paris, P. Horay, 1970.
  • L’Honorable Monsieur Jacques, Paris, Gallimard, 1972.
  • Le Soleil du désert, Paris, Gallimard, 1973 ; rééd. 1997.
  • Le Couvent des pinsons, Paris, Gallimard, 1974
  • Le Train du matin, Paris, Gallimard, 1975.
  • Les Disparus, Paris, Gallimard, 1976.
  • Bonne nuit Barbara, Gallimard, 1978.
  • L’Île de la croix d’or, Paris, Gallimard, 1000 soleils, 1978.
  • La Route inconnue, Paris, Phébus, 1980.
  • Des trottoirs et des fleurs, Paris, Gallimard, 1981.
  • Je ne suis pas d’ici, Paris, Gallimard, 1982.
  • Histoire d’un fonctionnaire, Paris, Gallimard, 1984.
  • Vaux étranges, Paris, Gallimard, 1986.
  • Lorsque tu reviendras, Paris, Phébus, 1986.

Nouvelles, récits et contes[modifier | modifier le code]

  • Du Pirée à Rhodes, Le Rouge et le noir, 1928 ; rééd. Rezé, Séquences, 1996 (suivi de Printemps grec, préface de Jean Grosjean).
  • Ce jour-là, Paris, Gallimard, 1947.
  • La Chronique fabuleuse, Paris, Éditions de Minuit, 1955 ; rééd. Paris, Mercure de France (éd. augmentée), 1960 ; rééd. 2000.
  • L'Île aux oiseaux de fer, Paris, Fasquelle, coll. « Libelles », 1956 ; rééd. Paris, Grasset, coll. « Cahiers rouges », 2002.
  • Nulle part, Paris, P. Horay, 1957.
  • Les Voyages fantastiques de Julien Grainebis, Paris, P. Horay, 1957 ; 2003
  • Idylles, Paris, Gallimard, 1961 ; coll. « Folio », 2003.
  • La Plus Belle Main du monde, Paris, Casterman, coll. « Plaisir des contes », 1962.
  • Le Robinson de la rivière, Paris, Casterman, coll. « Plaisir des contes », 1962.
  • Les Lumières de la forêt, Paris, Fernand Nathan, 1964.
  • Un soir, Paris, Gallimard, 1977.
  • La Merveilleuse Bille de verre, Paris, Robert Laffont, 1980.
  • Comment Fabien regarda l’aurore, Paris, Clancier-Guénaud, Les Premiers temps, 1982.
  • La Princesse et la lune rouge, Paris, Casterman, 1982.
  • Le Bois enchanté et autres contes, Paris, Hachette, 1983.
  • Rhétorique fabuleuse, Paris, Garnier, 1983 ; rééd. Cognac, Le Temps qu'il fait, 1990.
  • La Nouvelle Chronique fabuleuse, Paris, P. Horay, 1984.
  • Pierre Marceau (Mesures, no 2, ), Paris, Mont Analogue, 1993.
  • Un adieu, mille adieux, Paris, La bibliothèque Gallimard , 2003.
  • Beauté, Paris, Phébus, coll. « Libretto », 2004.
  • Le Club des cancres, (récit paru primitivement dans le n° 1029 du du Mercure de France) ill. et postface de Jean-Claude Pirotte, Paris, La Table Ronde, 2007.
  • D’un monde inconnu, ill. de Daniel Nadaud, Saint-Clément-de-Rivière, Fata Morgana, 2012.
  • Histoire sentimentale, Paris, Lettres vives, 2022.

Poèmes[modifier | modifier le code]

  • Le Petit Livre clair, Arras, Le Rouge et le noir, 1928 ; Montolieu, Deyrolle & Théodore Balmoral, 1997.
  • La Chronique fabuleuse, Paris, Mercure de France, 1960 ; ce texte et ses avatars cités plus haut peuvent être lus comme des recueils de prose poétique.
  • La Vie passagère, Paris, Phébus, 1978.
  • Poèmes comme ça, Cognac, Le Temps qu’il fait, 2000 (préface de Jean-Claude Pirotte).

Essais[modifier | modifier le code]

  • L'œuvre logique de Rimbaud, Mézières, Éditions de la Société des écrivains ardennais, 1933.
  • Rimbaud et la révolte moderne, Paris, nrf Gallimard, 1951.
  • Saint Benoit-Joseph Labre, Paris, Éditions Plon, 1957.
  • Le Roman de Jean-Jacques, Paris, Éditions du Sud, 1962.
  • La vie de Rimbaud, Paris, Éditions du Sud, 1965.
  • Nord-Flandre Artois-Picardie, texte par André Dhôtel, photographies par Jacques Fronval, Christian de Rudder, Alain Perceval, Jacques Verroust, série Tourisme en France nr 17, Paris, Éditions SUN, 1971.
  • Jean Follain, série Poètes d'aujourd'hui nr 49, Paris, Éditions Pierre Seghers, 1972.
  • Jean Paulhan, série Qui suis-je ?, Paris, Éditions La Manufacture, 1986.
  • La littérature et le hasard, recueil de textes établi et présenté par Philippe Blondeau, Saint-Clément-de-Rivière, Fata Morgana, 2015.

Entretiens[modifier | modifier le code]

  • L'École buissonnière, entretiens avec Jérôme Garcin, Paris, Pierre Horay, 1984

Préfaces/ postfaces[modifier | modifier le code]

  • Edmond Dauchot, Ardenne bien aimée, préface d'André Dhôtel, Paris-Gembloux, J. Duculot, 1976
  • René Henoumont, Edmond Dauchot : le photographe de l'Ardenne d'autrefois, introduction de Georges Vercheval, avec un témoignage de René Henoumont et une postface d'André Dhôtel, Tournai, La Renaissance du Livre, 2000 (ISBN 2-8046-0423-3)

Bibliophilie[modifier | modifier le code]

Scénariste[modifier | modifier le code]

Prix[modifier | modifier le code]

  • l'Académie française (1974)
  • Grand prix de littérature de la Société des gens de lettres (1988)
  • Grand prix national des lettres (1975)[7]
  • Prix Femina (1955)[8]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Mairie d'Attigny, Acte de naissance no 54 avec mention marginale du décès, sur Archives départementales des Ardennes, (consulté le ), vues 449-450.
  2. Philippe Landru, « Provins (77) : cimetière de la ville basse », sur Cimetières de France et d'ailleurs, (consulté le ).
  3. Cette philosophie nullement moderne, mais culturelle ne dissocie pas arbitrairement la vie de l'Homme et ses engagements ou idéaux.
  4. « Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses n°30 du 24 décembre 1957 - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
  5. « Présentation du fonds André Dhôtel »
  6. « Don du fonds André Dhôtel »
  7. « André Dhôtel - Site Gallimard », sur gallimard.fr (consulté le ).
  8. « Liste des lauréats du prix Femina depuis 1904 », sur Tumblr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marie-Hélène Boblet, « Désintéressement et gratuité du récit dhôtelien », dans Françoise Revaz et michel Diègnes (dir.), Le récit minimal : Du minime au minimalisme. Littérature, arts, médias, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2012. (ISBN 9782878547542). [lire en ligne].
  • Jean-Claude Cagnon, La jeunesse d'André Dhôtel à Autun (1900-1991), revue « Images de Saône-et-Loire » n° 88 (hiver 1991-1992), p. 18.
  • Christine Dupouy, André Dhôtel. Histoire d'un fonctionnaire, éditions Aden, coll. Le cercle des poètes disparus, 2008
  • Yves Leclair, Premier inventaire de la valise, Prendre l'air, Mercure de France, 2001
  • Laurence Motoret, « Le Temps du Dhôtelland », in Sigila no 10, 2002
  • Patrick Reumaux, L'Honorable Monsieur Dhôtel, 26150 Die, La Manufacture, 1984

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]