Ancelle (Hautes-Alpes)

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Ancelle
Ancelle (Hautes-Alpes)
La plaine de Lachaup, Ancelle et l'Aiguille d'Ancelle.
Blason de Ancelle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Gap
Intercommunalité CC Champsaur-Valgaudemar
Maire
Mandat
Jean-Louis Clément
2022-2022
Code postal 05260
Code commune 05004
Démographie
Gentilé Ancellus
Population
municipale
913 hab. (2021 en augmentation de 0,88 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 37′ 27″ nord, 6° 12′ 26″ est
Altitude Min. 1 210 m
Max. 2 779 m
Superficie 50,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Gap
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Bonnet-en-Champsaur
Législatives 2e circonscription des Hautes-Alpes
Localisation
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Ancelle
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Ancelle
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Ancelle

Ancelle est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village d'Ancelle est situé au sud du haut-Champsaur, à l'écart du Drac, à 1 350 mètres d'altitude, entouré par les sommets de la Petite Autane (2 519 m), de la Grande Autane (2 782 m), du Piolit (2 464 m), de l'Arche (2 256 m) et du puy de Manse (1 637 m).

Le village et ses principaux hameaux entourent la plaine de Lachaup, vaste étendue de deux kilomètres de diamètre et d'une altitude moyenne de 1 300 mètres, résultant de l'assèchement, dans les premiers siècles de notre ère, d'un lac glaciaire résiduel.

La commune est principalement étendue autour du torrent de la Roanne, qui la traverse d'est en ouest, et devient ruisseau d'Ancelle en aval. Cependant, elle se jette dans le Drac puis par la suite dans le fleuve de l'Isère au niveau de Grenoble et finit sa course dans les eaux salées de la Méditerranée.

La commune est composée de plusieurs hameaux distincts et assez distants les uns des autres ; par ordre d'importance décroissante : le Village, le Château, les Matherons, Saint-Hilaire, les Faix, les Taillas, Moissière, le Collet (ce dernier sur le versant sud).

Ancelle est située à 100 km de Grenoble et à 17 km de Gap.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070 mm, avec 8 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Jean-St-Nicolas », sur la commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 943,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 34,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,7 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ancelle est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gap, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (27,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27,7 %), forêts (22,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), prairies (9,2 %), zones urbanisées (2,4 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 792, alors qu'il était de 1 707 en 2013 et de 1 574 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 24,3 % étaient des résidences principales, 73,2 % des résidences secondaires et 2,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 27,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 72,5 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ancelle en 2018 en comparaison avec celle des Hautes-Alpes et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (73,2 %) extrêmement supérieure à celle du département (45,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,6 % en 2013), contre 60,6 % pour les Hautes-Alpes et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Ancelle en 2018.
Typologie Ancelle[I 1] Hautes-Alpes[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 24,3 48,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 73,2 45,5 9,7
Logements vacants (en %) 2,6 5,8 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme sous le nom de Ancilla dès 739[14].

En Occitan Alpin, la commune se nomme Ancela.

Au VIIIe siècle, Abbon, propriétaire des terres environnantes[15], aurait confié un forest (pâturage) situé dans cette plaine à une de ses servantes (en latin ancilla) ; le nom d'Ancelle en serait dérivé[Note 4].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'histoire d'Ancelle est mal connue.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le village d'Ancelle, bâti à 1 300 mètres d'altitude et entouré par plusieurs hauts sommets, est le type par excellence d'un pays sauvage et désolé, enseveli sous la neige pendant de longs mois, ses terres maigres et peu profondes ne produisaient que des céréales pauvres et ne permettaient d'entretenir qu'un bétail étique. L'homme n'est donc pas venu y établir un domicile, il y a été contraint. En effet, fixés en 412 dans le Dauphiné, les Wisigoths durent être refoulés dans les hautes vallées vers 438 par les invasions burgondes.

En 739, une communauté y est établie, dépendant de l'abbaye de la Novalaise.

Au XIe siècle, le comte de Provence aurait conquis le pays, et en aurait confié l'administration à Alleaume de Faudon, dont les descendants s'installèrent sur la crête, au sud, autour de la tour Saint-Philippe, à 1 700 mètres d'altitude. Le village de Faudon est abandonné dès le XIIIe siècle, et un nouveau village construit en bordure de la plaine.

Les 5 et 6 novembre 1312, Jean II séjourne à Ancelle.

Entre les XIe siècle et le XVe siècle, la terre est divisée en différentes coseigneuries appartenant à plusieurs familles dont les Faudon, les Rodolphe d'Ancelle, d'Orcières, Martin de Champoleon, Rambaud, Isoard et Montauban[16],[17].

En 1425, Ancelle est pillé et brûlé par une compagnie de Lombards au service de la France.

C'est à partir d'Ancelle qu'a été construit, à partir de 1450, le premier canal d'irrigation dirigé vers les terres gapençaises.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Au début du XVIe siècle, les seigneurs du lieu vendent leurs possessions à des nobles gapençais, dont la famille Rambaud, qui se fait construire un château un peu à l'écart du village, au sud du ruisseau d'Ancelle. Ce château est aujourd'hui disparu, mais le hameau qui l'entourait a gardé le nom de Château d'Ancelle.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Le , un avion de transport Broussard de l'Armée de l'air s'écrase au col de Moissière, tuant le pilote (capitaine Jean Salette) et cinq officiers commandos parachutistes de l'air de la base aérienne 701 de Salon-de-Provence, morts carbonisés (le chef de bataillon Jean Bousquet ainsi que les capitaines Yves Charpentier, Bernard Pergeline, Bernard Billiet et Max Bonnaud).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Gap du département des Hautes-Alpes.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Saint-Bonnet-en-Champsaur[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Saint-Bonnet-en-Champsaur porté de 16 à 27 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription des Hautes-Alpes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Ancelles était membre de la communauté de communes du Champsaur, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Champsaur-Valgaudemar, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1974 juin 2020[19] Gilbert Jourdan[20]   Retraité des artisans, commerçants et chefs d'entreprise
Démissionnaire
juillet 2020 juillet 2022[21] Florent Basso   Technicien
Démissionnaire
août 2022[22] En cours
(au 19 janvier 2023)
Jean-Louis Clément   prothésiste audio

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 913 habitants[Note 5], en augmentation de 0,88 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1741 2201 3531 1731 1041 1831 1651 1631 196
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1671 0631 1151 1111 1101 1931 1161 0721 038
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 014949891850800762715707573
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
552589641649600619784831896
2018 2021 - - - - - - -
921913-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Ancelle est d'abord un village centré sur l'agriculture et l'élevage, essentiellement ovin (six à sept mille têtes).

La plaine de Lachaup produit de bons fourrages, les pentes du Cuchon, des Autanes et du Piolit servent de pâturages.

Depuis les années 1950, Ancelle a développé un tourisme familial, destiné pour l'essentiel aux Marseillais : ski en hiver, promenade en été, Ancelle n'a rien d'une station comparable à Merlette ou à Superdévoluy.

La station de ski[modifier | modifier le code]

Créée en 1953, la station de ski est gérée par la commune. Le domaine skiable d'Ancelle représente 25 km de pistes sur trente hectares, dont les trois quarts bénéficient d'un enneigement artificiel, un stade de slalom et pour sports de glisse ainsi qu'un Snowpark. Il se déroule dans un cadre de moyenne montagne habillé d’une forêt de mélèzes. Le domaine skiable alpin est composé de quinze pistes : six vertes, cinq bleues, deux rouges et deux noires. Ancelle procède depuis 2010 à un important programme d'investissement visant à renouveler les installations existantes.[réf. nécessaire]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Domaine skiable de Ancelle
Ancelle.
  • L'église Sainte-Catherine-d'Alexandrie, construite au XVIIe siècle et bénie en 1865.
  • L'église Saint-Martin-de-Tours, construite au XIXe siècle.
  • La chapelle Saint-Hilaire, construite au XIXe siècle.
  • La chapelle Saint-Pierre-aux-Liens, construite en 1803.
  • Le site de l'antique village de Faudon (ruines).
  • Le château d'Hugues Rambaud, qui a été rasé. Vers 1890, Joseph Roman, historien des Hautes-Alpes, archiviste, archéologue… pouvait encore nous parler des ruines de ce château réparé à la fin du XVIe siècle par Jacques Rambaud, l'un des capitaines Furmeyer avant d'être vendu aux Provensal qui deviendront de puissants seigneurs du Gapençais. Il constatait qu'une partie des pierres a été utilisée pour construire certaines maisons du hameau de Château d'Ancelle. Il parlait notamment de la porte principale du style architectural de l'époque du roi Henri III, surmontée par un écusson de la famille Rambaud, qui posséda la seigneurie d'Ancelle. Le hameau est toujours aussi intéressant du point de vue architectural, mais vous ne trouverez même plus une pierre de ce vestige de notre passé, un cimetière entouré de parpaings a été construit à son emplacement.
  • La stèle commémorative du crash aérien du 21 septembre 1968, qui tua six officiers, au col de Moissière (entre Ancelle et La Bâtie-Neuve)[26].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason des Rambaud de Montgardin et d'Ancelle : Alias d'azur, au pin d'or, chargé au sommet d'une colombe d'argent[27].
Blason de Ancelle Blason
Parti d'argent et de sable au lion brochant de l'un en l'autre, armé et lampassé de gueules[28].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Encyclopédie du Champsaur, par Robert Faure de Prégentil, imp. Louisjean, Gap, 2005 (ISBN 2-909956-49-0).
  • Notice sur Faudon et les deux Ancelle (Hautes-Alpes), par l'abbé J. Reynier, curé de Chateau d'Ancelle, Éditions de la librairie des Hautes-Alpes, Gap, 1992 (ISBN 2-909956-00-8).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Cependant dans le village, on dénomme ancelles des planchettes de bois servant à assurer l'étanchéité des toits ; une étymologie serait peut-être à rechercher de ce côté.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Ancelle et Saint-Jean-Saint-Nicolas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « St Jean-St-Nicolas », sur la commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « St Jean-St-Nicolas », sur la commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, page 291 (ISBN 2600028838).
  15. Ancelle et ses environs dans BnF, lat. 13879 Manuscrit du Testament d'Abbon, Bibliothèque nationale de France. Département des manuscrits
  16. Tableau historique du département des Hautes-Alpes, Parties 1-2, Joseph Roman, 1887
  17. Notice sur Faudon et les deux Ancelle (Hautes-Alpes) / abbé J. Reynier
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Samir Mathieu, « Hautes-Alpes : Le maire d'Ancelle Gilbert Jourdan démissionne. Son premier adjoint maire pour un mois seulement », D!ci,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire d'Ancelle, Gilbert Jourdan, 82 ans, élu depuis 1974, et qui se représentait aux dernières municipales, et qui a été lourdement battu par la liste adverse, vient de démissionner à moins d'un mois de la fin de son manda ».
  20. Jean Eymar, « Hautes-Alpes : Aux affaires depuis 46 ans, le maire d'Ancelle va briguer un nouveau mandat », D!ci,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Ancelle : le maire a annoncé sa démission », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Florent Basso renonce à son poste de maire, mais pas de conseiller, pour des raisons professionnelles selon Jean-Louis Clément ».
  22. « Ancelle : les projets du nouveau maire : À la suite de la démission de Florent Basso, le conseil municipal d’Ancelle a élu Jean-Louis Clément maire de la commune », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Déjà élu dans de précédents mandats municipaux, il s’est toujours intéressé à la vie communale. Jean-Louis Clément souhaite maintenir une importante activité économique à Ancelle avec une forte activité agricole et touristique ».
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Azur & Or (magazine trimestriel de l'Association nationale des officiers de réserve de l'Armée de l'air), numéro 219, décembre 2021, page 32.
  27. G.1513-AD Gap, Armorial Haut alpin, Héraldique et généalogie, Dauph. 16° Q83.D7344.272.
  28. « Ancelle »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur labanquedublason2.