Alain Lanavère

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Alain Lanavère
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Biographie
Naissance
Nationalité
Formation
École normale supérieure (à partir de )
Université Paris-Sorbonne (jusqu'en )Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Mère
Marianne Lanavère (d) ou Jean-Rémi Lanavère (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Association des amis de Robert Brasillach (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Directeur de thèse
Jean Touzot (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinction

Alain Lanavère (né en 1943) est un critique littéraire français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Né le , Alain Lanavère est ancien élève de l'École normale supérieure (promotion L1964)[1], agrégé de lettres classiques[2] et docteur ès lettres (1994)[3].

De 1976 à 1997, il est vice-président de l'association des amis de Robert Brasillach[4].

Il est maître-assistant[5], puis maître de conférences en littérature française à l'université Paris-Sorbonne et à l'Institut catholique de Paris[2], et enfin professeur à l'Institut catholique d’études supérieures[6]. Il a aussi enseigné à l'Institut Saint-Pie-X[7].

En 2006, il signe le « Manifeste en faveur de la messe tridentine » qui paraît dans Le Figaro[8].

En 2016, il cofonde l'École professorale de Paris, établissement privé de formation des enseignants[9],[10].

Il a notamment codirigé Michel Déon, aujourd'hui[11].

Radio[modifier | modifier le code]

Il dirige sur Radio Courtoisie, de à , l'émission Bonheur de la lecture[12], puis, depuis jusqu'à , à la suite de Pierre Brunel, le Libre journal des belles-lettres[13]. Il y accueille des chroniques d'Antoine Assaf et de Charles-Henri d'Elloy. Il est remplacé par Alain Paucard et son Libre journal de la douceur de vivre.

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • Dir. (préf. Alain Viala), Télémaque : « Je ne sais quoi de pur et de sublime », Orléans, Paradigme, coll. « Références » (no 2), , 254 p. (ISBN 2-86878-132-2).
  • Fête foraine, Paris, Caisse nationale des monuments historiques et des sites, coll. « Mémoires photographiques », , 129 p. (ISBN 2-85822-145-6).
  • Dir. avec Thierry Laurent et Jean-Pierre Poussou, Michel Déon, aujourd'hui (actes de colloque), Paris, Presses de l'université Paris-Sorbonne, coll. « Recherches actuelles en littérature comparée », , 116 p. (ISBN 2-84050-436-7).
  • Avec Pauline Chaduc et Jean-Dominique Beaudin, Fénelon, Les Aventures de Télémaque, Neuilly-sur-Seine, Atlande, coll. « Clefs concours : lettres XVIIe siècle », , 223 p. (ISBN 978-2-35030-114-3).

Éditions[modifier | modifier le code]

Prix[modifier | modifier le code]

Il est lauréat du prix Jean-Ferré en 2014[14].

Références[modifier | modifier le code]

  1. Recherche sur archicubes.ens.fr.
  2. a et b Notice BnF.
  3. Sous la dir. de Jean Touzot, Entre roman et autobiographie spirituelle : l'œuvre romanesque de José Cabanis (thèse de doctorat ès lettres), Paris, université Paris-Sorbonne, , 836 p. (SUDOC 013317091).
  4. (en) « Delitdimages.org », sur delitdimages.org (consulté le ).
  5. Edwy Plenel, « Notre père, aidez-nous », sur lemonde.fr, .
  6. « Les fondateurs », sur epparis.org.
  7. Présentation d'un colloque organisé à l'Institut en 2010, iuspx.free.fr.
  8. « Un manifeste en faveur de la messe tridentine », sur lefigaro.fr, .
  9. « L'École professorale de Paris : un établissement privé pour former des enseignants », sur savoir.actualitte.com, .
  10. Mickaël Fonton, « Des professeurs pour l'avenir », sur valeursactuelles.com, .
  11. Josyane Savigneau, « Michel Déon : « J'ai pris le goût des îles », sur lemonde.fr, .
  12. « LdJ Alain Lanavère », sur radio-courtoisie.over-blog.com.
  13. « Libre Journal des belles-lettres », sur radiocourtoisie.fr.
  14. « 27e anniversaire de Radio Courtoisie & Prix Jean Ferré 2014 », sur carnets-de-courtoisie.overblog.com.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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