Ablaincourt-Pressoir

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Ablaincourt-Pressoir
Ablaincourt-Pressoir
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes Terre de Picardie
Maire
Mandat
Dany Domont
2014-2020
Code postal 80320
Code commune 80002
Démographie
Gentilé Ablaincourtois
Population
municipale
267 hab. (2021 en diminution de 1,84 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 50′ 27″ nord, 2° 49′ 15″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 88 m
Superficie 9,46 km2
Élections
Départementales Ham
Localisation
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Ablaincourt-Pressoir
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Ablaincourt-Pressoir

Ablaincourt-Pressoir est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

La commune actuelle résulte de la fusion, en 1966, de deux communes précédemment séparées administrativement.

Géographie

Localisation

Faisant partie du Santerre, la commune a une position stratégique (au carrefour des axes Paris – Lille / Bruxelles et Caen / Le Havre – Amiens – Saint-Quentin).

Géographie physique

Nature du sol et du sous-sol

Le sol de la commune est composé de terres franches de nature argilo-calcaire[1],[2].

Relief, paysage, végétation

Le relief de la commune est celui d'un plateau limoneux, un peu encaissé au sud[2].

Hydrographie

Il n'y a aucun cours d'eau qui traverse la commune. La nappe phréatique se situe à une vingtaine de mètres au-dessous du niveau du sol[1].

Climat

Le climat de la commune est tempéré océanique.

Géographie humaine

Urbanisme et aménagement du territoire

La commune se compose de deux villages principaux : Ablaincourt et Pressoir, villages détruits en totalité pendant la Première Guerre mondiale et reconstruits dans l'entre-deux-guerres.

Voies de communication et transports

La commune d'Ablaincourt-Pressoir dispose des infrastructures suivantes :

  • Transport routier : l'A1 (Paris – Lille) et l'A29 (Le Havre – Saint-Quentin) se croisent sur le territoire de la commune, l'échangeur d'accès à l'A 1 se trouvant sur le territoire de la commune d'Estrées-Deniécourt.
    • Une bretelle de raccord entre les deux autoroutes permet la desserte de la gare TGV-Haute-Picardie par l'A 29.
    • De plus, deux importantes routes départementales passent à proximité : au nord, la D 1029 (Amiens – Saint-Quentin) ; au sud, la D 337 (permettant des liaisons Amiens – Nesle – Chaulnes – Ham – Tergnier / Chauny – Laon) ;

Communes limitrophes

Toponymie

  • Ablaincourt :

Le nom de la localité est attesté sous la forme Habelinicurt en 1044[3],[4], Ablincurt[5].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -court au sens ancien de « cour de ferme, ferme ». L'appellatif court correspond à l'appellatif germanique hof (-hoff, -hoven) de même sens. Il est issu du gallo-roman CORTE (bas latin cortem[4]), forme contractée du latin cohors, cohortis cf. aussi curtis.

La premier élément Ablain- représente un anthroponyme germanique conformément au cas général qui veut que l'appellatif -court soit le plus souvent précédé d'un nom de personne germanique au cas régime.

Il peut s'agir d’Abbelin[4] ou d’Abelinus[6] (avec la désinence latine -us des textes écrits en latin médiéval qui n'a pas de réalité autre que littéraire).

  • Pressoir

Pour désigner Pressoir on rencontre : Pressurs, Presur en 1180, pour devenir Pressoir. Il n'est pas certain que ce toponymie soit lié à la présence d'un pressoir à vin[7].

Ablaincourt-Pressor en picard.

Histoire

Moyen Âge

  • Ablaincourt
Un aveu de 1215 mentionne la présence, à Bleincourt (Ablaincourt), d'un château fort construit sur une motte féodale. Eustache, fils de Jean de Bleincourt, seigneur d'Ablaincourt devait l'hommage féodal à Jean Ier de Nesle.
Au XVIe siècle, la seigneurie d'Ablaincourt appartint à la famille Foursy de Mont-Saint-Jean. La seigneurie passa ensuite par mariage à la famille de Blottefière.
En 1648, la famille de Blottefière céda son fief d'Ablaincourt à la famille Mathieu. Le duc de Chaulnes possédait une partie des terres d'Ablaincourt.
En 1720, Jacques Bruhier était seigneur d'Ablaincourt[7].
  • Gomiécourt
Le hameau de Gomiécourt eut un seigneur comme en témoigne une bulle de Pascal II de 1106 confirmant la possession par l'abbaye du Mont Saint-Quentin de la dîme des terres de Robert de Mauvoisin de Gomiecourt. En 1215, les seigneurs de Gomiecourt durent l'hommage à Jean Ier de Nesle[7].
  • Bovent
Le hameau de Bovent eut lui aussi son seigneur. En 1171, Baudoin II de Boulogne, évêque de Noyon confirma la donation par Imbert de Bovent d'un cens de 18 sols aux frères hospitaliers d'Éterpigny. Dans le cartulaire du prieuré de Lihons-en-Santerre, figurent des chartes des seigneurs de Bovent de 1230 et 1307.
Au XVIIe siècle, la seigneurie de Bovent passa à la famille Vaillant, dont l'un des membres fut mayeur de Péronne en 1633. Elle y resta jusqu'au XVIIIe siècle[7].
  • Pressoir
Une charte de 1204 mentionne le nom de Robert du Pressoir.

Époque moderne

Le , dans un aveu de la seigneurie de Villers-Carbonnel, Jeanne Gosson, veuve de Pierre d'Amerval, mentionne le fief de Pressoir comme appartenant à Charles de Faÿ, écuyer.
La seigneurie de Pressoir passa ensuite à la famille de Créquy puis au duc de Chaulnes[7].

Époque contemporaine

Les communes de Bovent et de Gomiécourt, instituées lors de la Révolution française, sont absorbées entre 1790 et 1794 par celle d'Ablaincourt[8].

Première Guerre mondiale

L'année 1914

Le , à l'arrivée des Allemands, la population excepté le maire s'était enfuie. Après la bataille de la Marne, les habitants revinrent dans leur village. Les troupes allemandes et françaises occupent alternativement les deux communes. À partir du , les Allemands s'installent dans les villages. Les hommes sont tous enfermés dans l'église avec 90 habitants de Vermandovillers puis les hommes valides furent emmenés à Misery et Péronne puis les plus jeunes seront envoyés en Allemagne dans des camps de travail. Dans la nuit du 29 au , 84 femmes de Vermandovillers avec leurs enfants furent réparties dans les maisons d'Ablaincourt par les Allemands.

En , le hameau de Bovent fut totalement détruit par des tirs d'artillerie.

Bataille de la Somme

Les villages d'Ablaincourt et de Pressoir étaient situés sur la deuxième ligne de front allemande. Le , les tirs d'artillerie intenses que subirent les villages obligea les Allemands à évacuer la population civile à Monchy-Lagache au début de la bataille de la Somme. Cette évacuation à pied sous les bombardements fit cinq victimes civiles. Défendus par un blockhaus, quinze batteries de canons et quarante mitrailleuses, Ablaincourt et Pressoir changèrent plusieurs fois de mains au cours des combats. Le , Génermont fut reprise par les Français, le ce fut au tour d'Ablaincourt et de Pressoir d'être reprises par les soldats des 158e et 308e régiment d'infanterie. Les Allemands lancèrent une contre-offensive le , sans succès.

Fin de la Grande Guerre

En , l'armée britannique prit la relève de l'armée française dans ce secteur du front.

Le , les Allemands lancèrent leur dernière grande offensive au cours de la bataille du Kaiser. Les troupes australiennes libérèrent Ablaincourt et Pressoir à la fin du mois d'[9].

Entre-deux-guerres

Les deux communes d'Ablaincourt et de Pressoir étaient totalement ravagées. Les hameaux de Gomiécourt et de Bovent n'ont pas été reconstruits[9] - [10]. Il ne subsiste de cette époque que les vestiges d'une tour d'observation allemande en brique.

Seconde Guerre mondiale

La Drôle de guerre prit fin brusquement le avec l'attaque allemande aux Pays-Bas, au Luxembourg et en Belgique. Après la percée allemande à Sedan, une suite de revers des armées française et britannique entraîna une avancée rapide des armées allemandes.

Le général Weygand, nouveau commandant en chef des armées françaises depuis le , parvint à constituer une ligne de front, la « Ligne Weygand », sur le cours de la Somme.

Le , les habitants d'Ablaincourt et de Pressoir furent évacués par ordre de la préfecture de la Somme. Le 25 mai, le 117e régiment d'infanterie installa son P. C. à Ablaincourt et attaqua les positions allemandes de Belloy-en-Santerre et de Berny-en-Santerre. qui furent pris et tenus jusqu'au . Le , l'attaque allemande débuta par un bombardement d'Ablaincourt et de Pressoir. Le 117e R.I. résista jusque 18 h où les rescapés furent faits prisonniers par les Allemands. Les deux villages furent très endommagés par les combats.

Durant l'occupation, les Allemands avaient installé à Ablaincourt une sorte de salle des fêtes pour leurs troupes[9].

Ablaincourt et Pressoir furent libérés par l'armée américaine le .

Trente Glorieuses

Les deux communes d'Ablaincourt et de Pressoir, étant contiguës, fusionnèrent en 1966 pour n'en constituer plus qu'une seule : Ablaincourt-Pressoir[8].

Un projet de troisième aéroport international pour desservir Paris et sa région fut rendu public par le gouvernement Jospin le , le site retenu s'étendait sur le territoire des communes de Chaulnes, d'Ablaincourt-Pressoir et d'autres communes des environs[11]. Contesté, le projet fut abandonné, en , par le ministre des Transports Gilles de Robien.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaulnes[8]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.

Intercommunalité

La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de Ccommunauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du Département[12].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[13],[14],[15]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [16], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [17].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[18].

Tendances politiques et résultats

Lors des élections européennes de 2019, le taux de participation dans cette ville est supérieur à la moyenne (62,5% contre 50,12% au niveau national); La liste du Rassemblement National arrive en tête avec 46,67% des suffrages, contre 23,31% au niveau national. La liste de la République en Marche obtient 16,19% des voix, contre 22,31% au niveau national. La liste des Républicains réalise un score de 8,57% des votes, contre 8,48% au niveau national. Les autres listes obtiennent des scores inférieurs à 5%[19].


Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[20] :

Candidat Premier tour Second tour
Voix % Voix %
Eva Joly (EÉLV) 2 1,27
Marine Le Pen (FN) 54 34,39
Nicolas Sarkozy (UMP) 37 23,57 71 50,35
Jean-Luc Mélenchon (FG) 12 7,64
Philippe Poutou (NPA) 0 0,00
Nathalie Arthaud (LO) 0 0,00
Jacques Cheminade (SP) 1 0,64
François Bayrou (MoDem) 7 4,46
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) 3 1,91
François Hollande (PS) 41 26,11 70 49,65
Inscrits 194 100,00 194 100,00
Abstentions 31 15,98 36 18,56
Votants 163 84,02 158 81,44
Blancs et nuls 6 3,68 17 10,76
Exprimés 157 96,32 141 89,24

Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[21] :

Candidat Premier tour Deuxième tour
% Voix % Voix
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) 7,05 11
Marine Le Pen (FN) 43,59 68 63,38 90
Emmanuel Macron (EM) 16,03 25 36,62 52
Benoît Hamon (PS) 1,92 3
Nathalie Arthaud (LO) 0,00 0
Philippe Poutou (NPA) 0,64 1
Jacques Cheminade (SP) 0,00 0
Jean Lassalle (R) 0,64 1
Jean-Luc Mélenchon (LFI) 12,18 19
François Asselineau (UPR) 0,00 0
François Fillon (LR) 17,95 28
Inscrits 197 100,00 197 100,00
Abstentions 33 16,75 33 16,75
Votants 164 83,25 164 83,25
Blancs 4 2,44 18 10,98
Nuls 4 2,44 4 2,44
Exprimés 156 95,12 142 86,59

Liste des maires

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 Didier Leturcq    
2008[23] En cours
(au 6 mai 2014)
Dany Domont   Retraité
Réélu pour le mandat 2014 – 2020[24]

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 267 habitants[Note 1], en diminution de 1,84 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
388413436466452444464433445
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
419393368367353365334327312
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
29528125976159180200158177
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
191224194185206227258269269
2021 - - - - - - - -
267--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Quelques chiffres de population des deux communes avant leur fusion [28] :

  • Recensement de 1851
    • Ablaincourt : 445 habitants
    • Pressoir : 144 habitants
  • Recensement de 1896
    • Ablaincourt : 312 habitants
    • Pressoir : 106 habitants
  • Recensement de 1954
    • Ablaincourt : 177 habitants
    • Pressoir : 91 habitants

Enseignement

Le collège de Chaulnes accueille la majorité des élèves locaux.

Économie

Outre l'agriculture, la commune dispose d'une importante activité de transport de voyageurs par la présence sur son territoire d'une gare T.G.V. et les dessertes par autocar vers Saint-Quentin et Amiens.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • L'église du village a été désacralisée en 1976 et vendue à des particuliers. Elle est devenue une habitatiion[29].

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Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

  • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2)
  • René Boyenval, René Debrie et René Vaillant, Répertoire des Noms de Famille de la Somme en 1849, Éditions Éklitra (Amiens, 1972), 232 p.
  • Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2007 (ISBN 978 - 2 - 913 924 - 99 - 4)
  • Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2011, (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 035 -8).
  • Henri Douchet « Fasol », L'Arrondissement de Péronne sous l'occupation (1914-1918), collection Jusant, Inval-Boiron, La Vague verte, 2014 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 059 - 4)

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a et b Notice géographique et historique sur la commune d'Ablaincourt, rédigée par M. Vivot, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme.
  2. a et b Notice géographique et historique sur la commune de Pressoir, rédigée par Madame Lecaillet, institutrice, 1898, Archives départementales de la Somme.
  3. Dans une bulle de Grégoire VI.
  4. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 1b
  5. Dans le cartulaire de Prémontré.
  6. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Genève, p. 880, n° 1595 [1]
  7. a b c d e et f Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2).
  8. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  9. a b et c Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2007 (ISBN 978 - 2 - 913 924 - 99 - 4)
  10. « Bovent », sur santerre20142018.com (consulté le 18 janvier 2015).
  11. Les Échos – « La lancinante question du troisième aéroport parisien », 4 octobre 2011 (consulté le 18 janvier 2015).
  12. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  13. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  14. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  15. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  16. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  17. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  18. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  19. « Ablaincourt-Pressoir : Découvrez les résultats des élections Européennes 2019 », sur LCI (consulté le )
  20. Ministère de l'Intérieur - Somme (Picardie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Ablaincourt-Pressoir » (consulté le )
  21. Ministère de l'Intérieur - Somme (Hauts-de-France), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Ablaincourt-Pressoir » (consulté le )
  22. « Les maires de Ablaincourt-Pressoir », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
  23. « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le )
  24. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le )
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. René Boyenval, René Debrie, René Vaillant - Répertoire des Noms de Famille de la Somme en 1849, éd. Éklitra (Amiens, 1972), 232 pages.
    Les pages 10 à 18 de cet ouvrage mentionnent la population de chacune des 832 communes composant alors le département en 1851, lors du Recensement.
  29. « L'église est à vendre », Courrier picard,‎ , p. 2.